Desgabets est-il gassendiste ?
Is Desgabets a Gassendist?
p. 139-144
Résumé
Dom Robert Desgabets (1610-1678) has been reckoned Gassendist by a few authors, among whom Victor Cousin. Yet Desgabets himself claims to be Cartesian, and even more Cartesian than Descartes! The evidence provided by his own texts is herewith analysed in order to attempt an answer to the question « Is Desgabets a Gassendist? ». Theese texts seem to show that he is indeed only a Gassendist insofar as he considers Gassendi as a the co-founder, along with Descartes, of the mechanistic « New philosophy ». But when the question arises as to which of the two parties he choses to belong, he will follow Descartes, condemning explicitly the doctrine of void and atoms. Desgabet’s apparent affinities with Gassendi may be explained by a cause other than influence: namely his own, often paradoxical, insight finding precisely in Descartes the means to maximize the fulfillment of whatever good is to be found in any other philosophy.
Texte intégral
1Victor Cousin écrivait de Desgabets : « il est plus proche de Gassendi que de Descartes » et Jean-Robert Armogathe déclare qu’il a « passé Descartes à l’alambic du gassendisme »– Descartes à l’alambic est le titre donné à une partie des conférences, dites de Commercy, avec le cardinal de Retz. Un peu plus loin, Armogathe juge que dom Catelinot « sous-estime le gassendisme » de Desgabets. Madame Rodis, qui rappelle ces deux avis, est de l’opinion contraire : Desgabets est tout à fait cartésien. Certes il loue Gassendi d’avoir été un des fondateurs du mécanisme moderne, « mais le double refus du vide et des atomes suffit à renverser son système »1.
2Pour reprendre le débat, je voudrais surtout laisser parler Desgabets lui-même, moins examiner ses thèses philosophiques pour les rapporter soit à Descartes, soit à Gassendi que relever comment il s’affirme à l’égard de l’un et de l’autre.
3Desgabets se veut très clairement cartésien. Son œuvre principale s’intitule Supplément à la philosophie de Monsieur Descartes. Il se prétend même plus cartésien que Descartes, répétant que monsieur Descartes n’est pas toujours bon cartésien, qu’il n’a pas tiré toutes les conséquences de ses principes.
4Voilà donc ce que distille dom Robert. L’alambic auquel ses interlocuteurs estiment qu’il soumet Descartes – le titre « Descartes à l’alambic » n’est pas de lui – est d’abord robertien, une méthode propre à dom Robert pour pousser le cartésianisme en quelque sorte jusqu’au bout.
5Desgabets s’emploie, vigoureusement et subtilement à la fois, à tirer par sa lecture des textes de Descartes leur quintessence. Il s’agit d’un travail de réduction, comme si ce qu’il estime la plus pure des philosophies devait être encore épuré, afin de dévoiler et sa simplicité et son efficace.
« On dira peut être, écrit dom Catelinot, qu’ils [les philosophes les plus fameux de son temps] ont trop approfondi les matières et porté trop loin leurs curieuses recherches, surtout D. Desgabets qui semble avoir voulu trouver la Pierre Philosophale »2.
6 Le robertisme se déclare toujours être un cartésianisme débarrassé de ses scories, libéré de ses entraves, clairement défini par quelques principes dont s’ensuivent des conséquences évidentes.
7Mais ainsi le cartésianisme devient une sorte de philosophie universelle et pérenne. Ainsi quintessencié, il fournit le modèle de toute philosophie. La plupart des philosophies, sinon toutes, disent la même chose, mais beaucoup moins bien que le cartésianisme.
8À l’opération alchimique sur Descartes s’en ajoute une autre, analogue : extraire des philosophies non cartésiennes ce qu’elles ont en définitive de cartésien sous d’autres mots. S’il est parfois nécessaire de corriger le discours de Descartes pour entendre mieux sa pensée, il faut aussi reformuler le langage des autres philosophes dans les termes de la simplicité et de la clarté cartésiennes pour comprendre ce qu’ils voulaient dire. Ainsi on obtient une essence de la philosophie qui leur est commune.
9Le chapitre huit de la seconde partie du Supplément à la philosophie de Monsieur Descartes s’intitule : « Combien il est facile d’élaircir les questions fondamentales de la métaphysique par les principes proposés »3. Dans ce cas il s’agit de la scolastique qu’il reprend, dans les deux sens du terme, c’est-à-dire critique, mais pour préserver en l’expliquant le sens de ses distinctions : de l’essence et de l’existence, de la substance et des accidents notamment.
10J’ai parlé de simplicité cartésienne, c’est en effet une idée constante de Desgabets que Descartes permet de ramener au simple ce que les philosophies diverses ont rendu indûment complexe, et ainsi – comme le titre du chapitre que j’ai cité l’indique – de trouver faciles les questions fondamentales.
11Le Supplément à la philosophie de Monsieur Descartes, qui n’est précisément pas un complément, procède de la façon suivante : d’abord retrouver dans les Méditations la simplicité première, que Descartes n’a pas toujours bien vue, mais dans ce premier temps – Desgabets le répète – c’est Descartes qui se corrige lui-même. Le deuxième temps consiste à découvrir ce simple, contenu dans les philosophies confuses, au moyen de ce cartésianisme épuré.
12Si tel est bien l’un des mouvements constants de l’œuvre de Desgabets, il paraît alors difficile d’espérer découvrir chez lui le mouvement contraire : interpréter Descartes à l’aide d’une philosophie différente, ou tout au moins le soumettre à la critique d’une pensée autre.
13Mais peut-être ne faut-il pas tenir la pensée de Gassendi pour autre, justement. Qu’appelle-t-on cartésianisme à l’époque de Desgabets ? N’est-ce pas le nom générique donné à la philosophie mécaniste en négligeant les oppositions entre les philosophies particulières ? Appelle-t-on cartésiennes des thèses mâtinées de gassendisme ?
14A ces questions on trouve réponses dans les textes de Desgabets. Elles sont de deux ordres. Les unes minimisent les différences entre Descartes et Gassendi. Les autres au contraire accusent les oppositions et concluent en prenant décidément le parti des cartésiens. Deux longs textes en particulier comparent Descartes et Gassendi. L’un dans le Traité de l’indéfectibilité des substances4, pour les rapprocher ; l’autre dans Le guide de la raison naturelle5 pour « faire connaître les avantages de la philosophie de M. Descartes par dessus tous les autres ».
15Il faut souligner que les deux textes, l’un comme l’autre, mettent en valeur les progrès de la philosophie moderne, dont et Descartes et Gassendi sont les représentants éminents. Descartes, dit le premier texte, « partage avec quelques génies de notre siècle [dont Gassendi qu’il lui compare] toute la gloire des nouvelles découvertes philosophiques ». Le second texte les tient tous les deux pour les artisans les plus remarquables du « privilège de notre siècle » à savoir « l’union de la physique et de la mathématique ». C’est là leur génie commun. Mais les deux textes de Desgabets divergent parce qu’ils n’ont pas la même intention. Le premier faisant l’éloge de la physique moderne, tend à réduire le différend entre gassendistes et cartésiens à un malentendu ; le second énonçant la nécessité de prendre parti, relève l’opposition radicale entre les uns et les autres et l’incompatibilité des deux philosophies.
16Les gassendistes ont assez de raison, leur dit en somme Desgabets dans le premier texte, pour comprendre ce qu’ils disent et, le faisant, pour réformer leur langage afin de parler comme Descartes. Sur deux points principalement. Ils sont suffisamment versés en mathématiques pour savoir que leurs atomes ne sont précisément pas des points mathématiques. Ils leur donnent eux-mêmes des figures et des formes différentes. Autrement dit, leur objecte dom Robert, Dieu ou même un ange sont capables d’écrire sur un seul atome tous les livres du monde, et même tous les livres sur la première lettre de ce livre atomique, etc. Une comparaison qu’il reprend dans sa lettre à Clerselier sur les atomes et le vide. Bref, les gassendistes parlent mal, n’accordent pas leur langage à leur véritable pensée en prétendant une composition des choses par des indivisibles. Deuxièmement leur discours crée des « espaces imaginaires » qui ne sont que des effets langagiers. Un espace de rien n’est rien : ils parlent donc pour ne rien dire.
17C’est dommage ! Dans ces passages Desgabets affirme que la querelle entre gassendistes et cartésiens est quelque peu dérisoire. Ils s’accordent pour fonder la nouvelle philosophie de la nature. Ni les uns, ni les autres ne sont comparables aux « Paracelcistes, Fluddistes, Helmontistes », qui ne sont, dit-il dans Le Guide de la raison Naturelle, que des visionnaires. Le seul débat qui vaille est entre sectes des cartésiens et des gassendistes qui sont d’accord pour « suivre l’esprit mécanique ». Mais quoi qu’ils pensent en commun, ils s’affrontent en particulier. Cependant le tort n’en est pas imputable aux cartésiens, mais aux gassendistes qui, quoiqu’ils pensent vrai, ne parlent ou n’écrivent pas juste. Pour une raison qui apparaît dans le texte de Desgabets : parce qu’ils ne sont pas suffisamment libérés du langage courant, que Desgabets qualifie plus volontiers celui des « préjugés de l’enfance », comme de dire vide une cruche non remplie de liquide. Mais si les gassendistes acceptaient de corriger leur discours (c’est-à-dire, en réalité en se ralliant à celui de Descartes), ils s’allieraient aisément avec les cartésiens pour promouvoir, après qu’ils l’aient les uns et les autres fondée, la philosophie moderne de la nature. Descartes et Gassendi sont les initiateurs d’une « admirable et générale réformation du monde dont nos neveux jouiront. »
18Dans l’autre texte, celui du Guide de la raison naturelle, que j’apporte au débat, Desgabets ne cherche pas du tout la conciliation. Il s’agit d’autre chose, comme le titre du chapitre l’indique : « L’union de la physique et de la mathématique et le choix d’une secte philosophique ». Cette fois il n’est plus question seulement de vanter le succès de la physique mécaniste que Descartes et Gassendi ont instituée. Si l’on peut regretter qu’ils ne s’accordent pas sur les principes, ils en ont néanmoins l’un et l’autre ouvert le champ fertile. Mais dans ce second passage, il faut se déterminer pour l’une des deux philosophies. Indéniablement Desgabets choisit Descartes. Seule l’idée cartésienne de la substance matérielle comme étendue peut produire la bonne physique sans dommage. Les atomes et le vide ne conduisent qu’à des contradictions que Desgabets se plaît à relever, pour rejeter catégoriquement l’atomisme.
19La conclusion de ce chapitre du Guide de la raison naturelle est extrêmement sévère contre le gassendisme, puisqu’il est à ranger parmi les
« opinions beaucoup plus dangereuses que si elles n’étaient que simplement fausses, car il arrive quelquefois qu’elles embarrassent tellement le sens commun que la simple ignorance leur est beaucoup préférable ».
20A ce texte où Desgabets choisit le cartésianisme en rejetant vigoureusement le gassendisme, il faut ajouter une lettre, encore inédite : Lettre à M. Clerselier touchant les nouveaux raisonnements sur les atomes et le vide contenus dans le livre du discernement du corps et de l’âme6. Il s’agit d’une critique du livre de Cordemoy, Le discernement du corps et de l’âme en six discours pour servir à l’éclaircissement de la physique, paru en 1666.
21Tout de suite Desgabets déclare et répète que l’introduction d’un atomisme dans la philosophie cartésienne constitue un « schisme » :
« en s’efforçant de réformer les principes de M. Descartes il a fait sans y penser un schisme dans sa philosophie qui est d’autant plus considérable qu’il ôta tout d’un coup à la véritable philosophie une de ses plus fortes colonnes et fortifia notablement le parti de M. Gassendi qui n’a déjà que trop de belles apparences pour se soutenir et pour traverser celui de M. Descartes, quoique ce soit seulement de sa philosophie que le monde peut recevoir une réformation générale. »
22Aux contradictions sur l’indivisibilité des atomes et sur les espaces imaginaires, Cordemoy ajoute l’absurdité de les rendre cartésiennes. On remarque, écrit Desgabets, « dans les livres et les Académies que les sectateurs de M. Gassendi n’écoutent aucune raison ». Il n’est donc pas possible de discuter avec eux, et encore moins de concilier ce qui est précisément le moins fondé de leur philosophie, l’atomisme. L’introduire dans le cartésianisme c’est le pervertir par de l’imaginaire :
« La doctrine contraire [au gassendisme] qui rejette le vide comme une chimère ne s’appuie pas sur de si faibles fondements. Elle n’emploie que des notions claires, que des jugements solides et des conséquences nécessaires ».
23Quoi qu’il veuille, Cordemoy fissure le véritable cartésianisme en ses fondements, en tâchant d’y assimiler la conception gassendiste de la matière. Desgabets n’a rien d’autre à reprocher à Cordemoy, mais c’est l’essentiel. Il ne critique que le premier des six discours de son livre, qui traite de ce sujet, et conclut sa longue lettre en louant globalement les cinq discours suivants. Desgabets affirme l’incompatibilité du cartésianisme et du gassendisme, et prend résolument le parti de Descartes.
24Quelles raisons aurait-on d’aller contre ses propres déclarations ? Faut-il le soupçonner de dissimuler ? On n’en voit guère les motifs, il ne lui était sans doute pas plus facile de se vouloir cartésien que gassendiste au sein de son ordre. On sait combien justement son cartésianisme affiché, tant en philosophie qu’en théologie, lui a valu de difficultés, jusqu’à, post mortem, l’arrêt de la publication de ses œuvres que préparait dom Catelinot. Faut-il penser qu’il se méconnaît lui-même et emprunte plus à Gassendi qu’il ne le sait, du moins en dehors de l’atomisme qu’il récuse ?
25Il y a certes des rencontres, mais elles ne sont pas toutes significatives. Dans sa Réponse d’un cartésien à un philosophe de ses amis (inédite)7 il dit à ce philosophe, sans doute le P. Pardies qui, lui, a publié sa Lettre d’un philosophe à un cartésien de ses amis – assurément Desgabets – en 1672, qu’il distingue bien Aristote des aristotéliciens. Aristote n’est pas coupable de ce qu’ont pensé ceux qui se sont réclamés de lui. Il y a bien plus de vrai chez le maître que chez ses prétendus disciples. Mais est-il nécessaire d’avoir lu les Exercitationes pour le penser ? Et c’est pour défendre Descartes, et non Gassendi qu’il égratigne au passage, que Desgabets critique la philosophie péripatétique.
26Toutefois en faisant allusion à sa lettre à Pardies et plus généralement aux nombreux passages de son œuvre où Desgabets critique les scolastiques, j’en viens à une question plus fondamentale, celle sans doute qui a le plus contribué à lui prêter du gassendisme : son empirisme. Ma réponse je la tirerai de son alambic.
27Singulier cartésien que celui qui répète tout au long de son œuvre l’adage « Nihil est in intellectu quin prius fuerit in sensu ». Soit ! Il refuse constamment et catégoriquement les atomes, mais dans sa théorie de la connaissance ne dérive-t-il pas de sa fidélité à Descartes, pour rejoindre l’ennemi de son maître ? Je suis enclin à y voir autre chose, précisément la trace d’un travail sur l’aristotélisme, comme si rencontrer Descartes – on ne sait pas comment Desgabets l’a fait – c’était trouver les clefs du bon Aristote contre les mauvais aristotéliciens. Il y a souvent dans les textes, je l’ai dit, l’idée qu’un Descartes alambiqué permet de comprendre clairement ce qu’il y a de confus dans les thèses des philosophies traditionnelles, la matière et la forme, la substance et les accidents, mais aussi la théorie des espèces intentionnelles.
28 On ne peut pas s’en étonner, quand on sait ce que fut Desgabets, longtemps, avant d’être écarté dans son prieuré de Breuil, professeur de philosophie auprès des jeunes étudiants dans divers monastères de sa congrégation lorraine. Qu’avait-il comme programme de référence ? Sans doute les thèses de la philosophie scolastique comme dans tout scolasticat. Et lui, à la fois émerveillé personnellement et quelque peu prosélyte auprès de ses étudiants, a découvert combien « monsieur Descartes » permettait d’en renouveler la compréhension. Peut-être faut-il penser d’abord que l’empirisme de dom Robert est dû à sa recherche d’une néo-scolastique cartésienne, c’est-à-dire moderne et paradoxale.
29Mais Desgabets n’en est pas à un paradoxe près. Ses paradoxes sont les produits de son alambic. Par exemple, on le pense, non sans raison, proche de Spinoza, par la docrine de l’indéfectibilité des substances, mais on découvre qu’il la fonde sur l’idée la plus créationiste qui soit, étendant la théorie cartésienne de la création des vérités éternelles à celle des substances. Dom Catelinot avait raison, plus qu’aucun autre Desgabets a cherché la pierre philosophale et a même pensé l’avoir trouvée en réduisant le cartésianisme à sa quintessence. Par elle il fait éclore la vérité de ce que toutes les philosophies n’ont su au mieux énoncer que comme véridique. En particulier, grâce à Descartes, il met en valeur la vérité d’expérience d’Aristote, contre les méfaits de l’aristotélisme confus et bavard. Pour reprendre, en la détournant, une formule connue : d’Aristote, comme des autres philosophies qu’il rencontre ou invoque, dont celle de Gassendi, Desgabets laisse toujours entendre, qu’avec celle de Descartes il en sauve les apparences.
30Reste à s’interroger sur une parenté éventuelle : s’il y a de l’éclectisme dans le gassendisme, la philosophie apparemment assimilante de Desgabets n’en est-elle pas proche ? Mais Desgabets ne pratique pas une sorte d’œcuménisme philosophique. Il n’assimile rien, ne concilie rien, il ne cesse au contraire d’opposer, et des oppositions doit surgir une vérité non pas commune, mais supérieure, toute contenue dans le cartésianisme. Mais à la condition aussi qu’on oppose Descartes à Descartes, pour que se corrigeant lui-même, il se sauve de ses contradictions et aille, pour ainsi dire, plus loin que lui. Bref, à mon sens, Desgabets ne trouve de juste dans ce qu’a écrit Gassendi que ce qui peut se lire avec les lunettes d’un cartésien, plus cartésien que Descartes ne l’a su être.
Notes de bas de page
1 Dom Robert Desgabets, Œuvres philosophiques inédites, édition par G. Rodis-Lewis et J. Beaude, fascicule 1, Amsterdam, 1983, p. XXXVI. 4.
2 Manuscrit d’Épinal 64, p. 822. Cf. Joseph Beaude « Desgabets et son œuvre. Esquisse d’un portrait de Desgabets par lui-même », « Journée Desgabets », Revue de synthèse, janvier-juin 1974, p. 16.
3 Op. cit., fascicule 6, p. 244.
4 Op. cit., fascicule 2, p. 29.
5 Op. cit., fascicule 4, p. 115.
6 Manuscrit d’Épinal 64, pp. 685-699.
7 Manuscrit d’Épinal 64, pp. 640-670.
Auteur
Director of Research (CNRS, UPR 75). 15 Boulevard de l’industrie, F-01600 Trévoux. France.
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