6. Défense et illustration de l’arbitraire d’un choix
p. 48-58
Texte intégral
1Venons en maintenant à ce moment de vérité où le traducteur, et subséquemment l’éditeur, devra déclarer les raisons de son choix en ce qui concerne les textes qu’il entend produire.
2Il convient pour ce faire de rappeler brièvement l’extraordinaire feuilleton que constitue l’historique des œuvres d’Antoine Vieyra se référant au mythe du Quint Empire pris dans son ensemble, une succession tout à fait gigantesque de textes, entre sermons, lettres, ouvrages structurés et discours apologétiques, qui va de 1634, où l’on s’accorde à déceler les prémices de la « grande idée », jusqu’en 2000, où le chercheur a enfin accès à une édition critique, sûre quant à son contenu, de la Clavis Prophetarum, sans oublier le travail riche et minutieux d’Ana Banza sur la (seconde) Représentation de Vieyra devant le tribunal de l’Inquisition, paru en 2008 (Banza, 2008).
3Raymond Cantel nous rappelle les conditions de cette formidable éclosion :
Les premières manifestations de la grande idée semblent remonter à 163457, quand Vieyra exalte l’espérance des sébastianistes. C’est-à-dire de ceux qui attendent le retour du roi D. Sébastien, le sauveur qui doit arracher le Portugal à la domination espagnole et le conduire vers des destins grandioses.
Le choc de la Restauration fait s’épanouir l’espoir de Vieyra. Dès 1642, il affirme sa foi dans la protection divine : le Portugal est le peuple élu de la Loi Nouvelle. Son roi, après lui avoir rendu l’indépendance, écrasera ses adversaires, il anéantira la puissance musulmane et pénétrera dans Jérusalem délivrée58. (Cantel, 1960, p. 19)
4Dès lors, Vieyra n’abandonnera plus jamais sa foi dans le nouvel empire du Christ, et ce, jusqu’à sa mort, si ce n’est au-delà, comme on serait tenté de le dire. Malgré la notoriété et même la gloire qui seront les siennes dans sa brillante carrière de sermonnaire du roi, il considérera toujours que ce qu’il a écrit de plus beau pour la chaire ou dans son immense correspondance, y compris aux plus grands princes et autres prélats, n’est qu’un ensemble de vilaines « masures » (« choupanas ») par rapport aux « grandioses palais » (« palácios altíssimos »), bien entendu littéraires, qu’il entend écrire autour du Quint Empire59.
5Dès 1649, le titre est trouvé, semble-t-il, il s’agira de l’Histoire du Futur, et les premières pages sont écrites (voir Cidade, 1953, p. ix)60. Toutefois, c’est au Brésil, où Vieyra se trouve à nouveau à partir de 1652, que la construction intellectuelle de l’ouvrage prend toute son ampleur61. Dès lors, la date clé dans l’élaboration de ce projet grandiose sera sans aucun doute celle d’avril 1659, où apparaît la fameuse lettre à l’évêque du Japon, rédigée en pleine Amazonie. Son titre, qui à lui seul est tout un programme et qui inclut les deux pièces maîtresses, à savoir la résurrection du roi, récemment décédé, et l’affirmation de la véracité des prophéties de Gonçalo Anes Bandarra, mérite d’être reproduit in extenso :
Espérances du Portugal, Quint Empire du Monde, première et seconde vie du roi Jean IV, écrites par Gonsalianes Bandarra, et commentées par le R. P. Antoine Vieyra, de la Compagnie de Jésus, et remises par le susdit à l’évêque du Japon, le R. P. André Fernandes62.
6C’est à partir de là, comme on le sait, que les ennuis vont commencer, mais aussi que toutes ces vicissitudes vont décupler les forces du rédacteur et sa volonté de mener à terme son projet mordicus et perseveranter. D’ailleurs, avant même que les tracas de l’Inquisition n’eussent agi comme un stimulant de plus, il s’en trouva un autre, celui de la date fatidique de 166663, date à laquelle devaient se manifester, selon Vieyra, les premiers signes avant-coureurs des grandes choses à venir. Il eut été dommage que le rédacteur d’une œuvre prophétique majeure fût pris de court par le destin, d’autant qu’une comète, soudain apparue, ne pouvait manquer d’être un signe prémonitoire de plus64.
7Lorsque, effectivement, il ne se passe rien de notable en cette année-là, il y a chez Vieyra un mélange de déception et de soulagement, ce n’est pas tout de suite, certes, mais il aura ainsi le temps de finir son œuvre. Rien en tout cas n’arrête ses ardeurs. Toutefois, un désagrément plus redoutable que l’amour-propre écorné vient l’assaillir, car depuis 1662, la machine inquisitoriale s’est mise en route contre lui et, dès lors, la composition de son ouvrage va se trouver constamment imbriquée dans les nombreux écrits par lesquels il tente d’assurer sa défense65. C’est donc certainement tout autant dans un dessein de clarification didactique que de justification qu’il décide alors de faire précéder l’œuvre proprement dite, l’Histoire du Futur, d’un livre d’introduction qu’il intitule le Livre antépremier :
Le Livre antépremier devait constituer un vaste vestibule ouvrant à l’Histoire du Futur proprement dite. Mais un vestibule qui lui non plus ne fut jamais achevé. Autant que nous le sachions, tout ce qui nous en reste sont les douze chapitres initiaux qui, pour l’essentiel, remontent à l’« échantillon » que Vieyra envoya à la Cour de Lisbonne au printemps 166566.
8Et c’est ainsi que la structure même du livre commence à se compliquer et que les ébauches de plan qu’on a retrouvées ne permettent plus d’arriver à une vision claire, et encore moins définitive, de l’ensemble67. Il y aura désormais trois entités qui se chevauchent, les deux premières en portugais, et une troisième, qui représente le cœur même de la réflexion théologique, et qui, de ce fait, requiert la langue du sacré, à savoir le latin. Il s’agit de la Clavis Prophetarum, c’est-à-dire la Clé des Prophètes, censée apporter la preuve définitive, sinon de l’imminence, du moins de la réalisation prochaine du règne du Christ sur terre. À en croire les déclarations de Vieyra lui-même devant l’Inquisition, il aurait d’ailleurs entamé la Clavis également vers 164968, et dans une lettre de 1672, il nous rappelle à nouveau toute l’importance de l’ouvrage qu’il a toujours dans ses cartons et qu’il a sans doute en partie divulgué :
Je tiens prêt sous le boisseau un livre en latin intitulé le Quint Empire ou l’Empire consommé du Christ, qui est en fait la Clavis Prophetarum ; et personne ne le lit sans sentir pour lui de l’admiration et considérer qu’il est d’une grande utilité à l’intelligence des écrits prophétiques69.
9En réalité, aucun de ces ouvrages, ou plutôt aucune des parties de ce vaste monument spirituel et eschatologique ne sera jamais réellement terminée, y compris l’ensemble constituant les deux premières, malgré trois éditions successives, qui verront le jour après la mort de l’auteur en 1718, 1838 et 188570. Quant à la Clavis Prophetarum, encore moins achevée que le reste, ce dont Vieyra avait conscience71, son odyssée est encore plus extraordinaire au gré des tribulations des divers manuscrits entre Salvador, le lieu où Antoine Vieyra s’éteint en 1697, et les diverses bibliothèques ou archives de Rome et de Lisbonne. On ne disposera longtemps que de versions non seulement incomplètes, mais souvent abrégées pour la partie effectivement rédigée, ou plus ou moins bien retranscrites par des tiers, pour l’essentiel de la Compagnie de Jésus, cela s’entend.
10Il faut ajouter à cet ensemble, qui aurait sans doute constitué la base d’une édition revue et corrigée par l’auteur, comme une bonne partie des Sermons publiés de son vivant, la masse gigantesque des documents que Vieyra a rédigés pour sa défense devant l’Inquisition72. On retrouve là, d’une manière sans doute plus incisive, mais moins brillante, l’essentiel de l’argumentation du visionnaire, et il faudrait, bien sûr, rajouter à cet ensemble les allusions extrêmement nombreuses à la théorie du Quint Empire qui apparaissent un peu partout dans les lettres et les sermons. Tous les exégètes, et en particulier le plus important d’entre eux, Raymond Cantel, ont largement puisé à toutes ces sources pour étayer leur analyse et décrire le plus exactement possible l’utopie chrétienne du Quint Empire selon Vieyra.
11Disons tout de suite que, même s’il n’a jamais été dans nos intentions que d’atteindre à l’exhaustivité, la question de la publication en français de l’Histoire du Futur posait d’entrée de jeu la question d’un choix aussi draconien qu’arbitraire. Sachons, avant que de l’exposer, en assumer la responsabilité pleine et entière. Deux arguments parfaitement incontournables permettaient d’ailleurs de nous éclairer très rapidement. Le premier, sans doute le plus faible, mais d’emblée le plus décisif, est celui de la quantité : si l’on avait voulu traduire et publier tout ce qu’Antoine Vieyra a écrit sur le Quint Empire, ce n’est pas un volume aux tailles raisonnables qu’il aurait fallu produire mais une bibliothèque tout entière, et encore, avec une chance très hypothétique qu’une telle édition pût être considérée comme légitimement complète.
12En dehors des textes prévus pour l’édition, quelle qu’en soit la forme finale, nous avons conservé uniquement, en annexe, un fragment significatif et révélateur de la fameuse lettre de 1659, d’abord parce qu’elle constitue un document historique, puisque que c’est cette lettre, qui dûment interceptée par l’Inquisition, selon ses habitudes, a abouti, entre autres, au procès que l’on sait, ensuite parce qu’elle est un bel exemple, parmi une infinité d’autres, de la ferveur avec laquelle Antoine Vieyra a défendu son grand œuvre, y compris depuis le fin fond de l’Amazonie, d’où s’ensuivirent d’ailleurs certaines critiques sur son état mental, celui d’un homme déjà et souvent malade, exposé de surcroît à d’aussi rudes épreuves climatiques73.
13Le second argument, plus subtil, mais également spécieux quant au respect scrupuleux de la pensée de l’auteur, est qu’à aucun moment ne soit apparue une version que l’on aurait pu considérer comme le bon à tirer, sachant que le plan évoqué plus haut ne semble pas avoir réellement dépassé le stade de l’ébauche et que nombre de chapitres, voire de paragraphes, sont lacunaires, quelle que soit la source, manuscrite ou imprimée. Nous assumons volontiers l’arbitraire, mais arbitraire ne saurait, bien sûr, signifier aveugle.
14À ce propos, il convient aussi d’ajouter un mot à propos des écrits apologétiques de Vieyra, concernant sa théorie du Quint Empire, qui sont généralement inclus dans les œuvres de l’auteur et publiés à ce titre. Certes, on retrouve bien dans ces pages les points principaux de l’argumentation, et nous nous en sommes servi pour guider notre choix, mais outre que la pesanteur théologiale et casuistique l’emporte alors souvent sur la verve lumineuse des meilleurs passages des œuvres proprement dites, nous ne pensons pas qu’il soit nécessairement utile de joindre à chaque édition nouvelle de Madame Bovary le procès qui fut fait en son temps à Gustave Flaubert.
15Ces constatations faites, qui nous servaient en quelque sorte de sauf-conduit du point de vue de l’éthique, sans résoudre pour autant le problème pragmatique et matériel, nous ont permis de nous orienter vers une solution qui conciliait d’une manière autant que faire se peut raisonnable des impératifs d’intelligence du message et, plus encore, s’agissant d’Antoine Vieyra, cet extraordinaire apôtre du verbe avant que de l’être du Christ, de restitution en français de la merveilleuse esthétique du style.
16Au demeurant, même à son époque déjà, Vieyra n’avait convaincu personne, ou en tout cas bien peu de gens en dehors des cercles qui lui étaient les plus proches, mais il a séduit et enthousiasmé tout le monde par l’éternelle beauté de son style, que l’on adhère ou pas à l’instauration prochaine, ou lointaine, du royaume du Christ sur terre…
17C’est dans ce sens que nous avons travaillé, d’abord en ne conservant que ce qui aurait pu ou dû être une édition définitive, dont personne ne saura jamais quelle en aurait été la structure définitive, et en opérant ensuite à l’intérieur de ce corpus, néanmoins encore fort vaste tout autant qu’incomplet, une sélection par le sens (qu’est-ce que le Quint Empire ?) et par l’esthétique (les meilleures réussites de ce rhétoricien hors du commun). À ce niveau, le choix nécessairement restreint pouvait s’apparenter à ce que l’on fait pour la musique, quand l’intégrale est impossible, à tous égards hors d’atteinte et de propos.
18Sur le débat de fond, que le curieux ne saurait laisser pour négligeable, il ne s’agissait pas non plus de suivre à la trace, ou à l’exemple, le très brillant exposé de Raymond Cantel, et de ses successeurs. Nous pensons simplement avoir sélectionné avec assez d’adresse les principaux arguments, comme la méthodologie générale de l’exercice, pour que chacun, sur ce point, puisse se faire une opinion, si tant est que ce soit vraiment ce qui importe aujourd’hui.
19À ce propos, il est évident que les interminables exégèses bibliques auxquelles Vieyra se livre, les effarants débats théologiques qu’il développe à longueur de pages, en portugais et en latin, en portugais puis en latin, les fastidieuses citations d’autorités ecclésiastiques et antiques dont le nom même a complètement disparu aujourd’hui, n’ont qu’un intérêt très médiocre pour le lecteur moderne. Par contre, les paraboles lumineuses qu’il fait revivre, les démonstrations fulgurantes qu’il vient à tirer de prémices les plus inattendues, méritent d’une manière tout aussi évidente, et ce, dans une langue qui fût autant que possible à la hauteur de la sienne, d’être transcrites en français et offertes à ce même public, comme l’ont été dès le XVIIIe siècle les plus beaux de ses sermons. C’est, fondamentalement, ce qui a dicté notre choix et nourri ce travail.
20Que les mânes exotiques de l’illustre jésuite nous le pardonnent, nous avons souhaité, par nécessité autant que par esthétique, aller à l’essentiel, qui est en même temps le plus beau, aller surtout au plus impérissable, y compris dans l’illumination transcendante d’une imagination enfiévrée et décuplée par la foi.
Notes de bas de page
57 Précisément dans un sermon sur saint Sébastien, prêché au Brésil (voir Cantel, 1960, p. 14).
58 João Viegas confirme cette date et cite le sermon de l’année nouvelle (Sermão dos Bons Anos) comme la première formulation structurée du projet messianique (Viegas, 1998, p. 138).
59 Voir Cantel, 1960, p. 20, et Cidade, 1953, p. xxxvii.
60 Il n’est certainement pas inutile de remarquer que la fixation du projet est consécutive à la rencontre que Vieyra a eue, lors de ses missions diplomatiques, avec le rabbin Menasseh ben Israël. Ce dernier, né à Madère en 1604, de son nom lusitan Manoel Dias Soeiro, s’est établi avec sa famille à Amsterdam, pour fuir l’Inquisition. On le retrouvera, plus tard, lui aussi, dans l’entourage de Christine de Suède, à Rome. Vieyra anticipe sur le rapprochement entre juifs et chrétiens qui aura lieu au début du XXIe siècle (voir le Premier Testament en lieu et place de l’Ancien) et, en tout cas, il fait totalement sien le messianisme judaïque (voir, entre autres, Banza, 2008, p. xvii-xix).
61 Voir note 58.
62 « Esperanças de Portugal, Quinto Império do Mundo, primeira e segunda vida de El-Rei D. João o quarto. Escritas por Gonsalianes Bandarra, e comentadas pelo Padre Antônio Vieira da Companhia de Jesus, e remetidas pelo dito ao Bispo do Japão, o Padre André Fernandes. » (Vieyra, 1998a, p. 63) Voir, ci-après, l’annexe 1 où figurent des extraits de ce texte, réunis sous ce titre à rallonge dans le goût de l’époque.
63 Souvenons-nous que le chiffre 666 est le chiffre du Diable ou, ce qui revient au même, celui de la bête de l’Apocalypse (voir Besselaar, 1987, p. 109).
64 Voir Cantel, 1960, p. 110-121.
65 C’est ainsi que l’on a retrouvé dans les archives de l’Inquisition des fragments rédigés et même des chapitres inédits de son œuvre maîtresse (voir Besselaar, 1983, p. 12), sans parler de son énorme volume de Defesa… (Vieyra, 1957) et de la Representação…, récemment publiée par Ana Banza (Vieyra, 2008).
66 « O Livro Anteprimeiro devia ser o amplo vestíbulo da História do Futuro propriamente dita. Mas também o vestíbulo não chegou a ser acabado. Quanto saibamos, tudo o que dele nos resta limita-se aos seus doze capítulos iniciais que, pela maior parte, remontam ao « retalho da peça » que […] Vieira mandou para Lisboa [à Corte] na Primavera de 1665. » (Besselaar, 1981, p. 12)
67 Il devait y avoir sept chapitres, qui recoupaient en fait cinquante-neuf questions à traiter. José van den Besselaar, qui s’est livré à un petit calcul prospectif, pense que l’ensemble, s’il avait été achevé, aurait dépassé les 2 000 pages (voir Besselaar, 1983, p. 12). Voir, ci-après, le texte du Livre antépremier, p. 81 et suiv., et l’annexe 2.
68 Voir Cidade, 1953, p. xxxii. Toutefois, et autant qu’on puisse en juger, l’essentiel de la rédaction de la Clavis étant postérieur au procès de l’Inquisition, on peut très bien considérer, comme le fait Ana Banza (Banza, 2008, p. lxx-lxxi), que Vieyra avait ainsi évacué deux problèmes majeurs, ses principales faiblesses devant le Saint Office : les signes précurseurs non échus… et la nécessaire résurrection du « second corps » du roi défunt !
69 « Tenho em grande altura um livro latino intitulado o Quinto Império ou Império Consumado de Cristo, que vem a ser a Clavis Prophetarum ; e ninguém o lê sem admiração e sem o julgar por importantíssimo à inteligência das escrituras proféticas. » (cité par Cidade, 1953, p. xxii)
70 Voir Buescu M. L. C., 1982, p. 10.
71 Voir le témoignage du R. P. Casnedi, compagnon de Vieyra sur ses vieux jours, lequel publia un résumé en latin de la Clavis, pendant longtemps la seule source disponible sur cette œuvre (Cidade, 1953, p. xxxvii).
72 Le mot « défense » apparaît d’ailleurs en bonne place, à côté de « représentation », parmi les diverses éditions que ces documents d’archives, conservés pour la plupart, ont suscitées, tant au Portugal qu’au Brésil, depuis Hernâni Cidade (Cidade, 1952 et 1953) jusqu’à Ana Banza (Banza, 2008), en passant par Adma Fadul Muhama (Muhama, 1995) et Alfredo Bosi (Bosi, 1998).
73 Voir chapitre 8 de cette introduction.
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