1 Stendhal, « Critique amère du Salon de 1824 par M. Van Eube de Molkirk. XVe article, Coup d’œil sur l’état de la sculpture en Europe, Canova, Thorvaldsen, Dannecker, Fiochetti, Chantrey », dans Stendhal, Salons, M. Reid et S. Guégan (éd.), Paris, Gallimard, « Le Promeneur », 2002, p. 132.
2 Voir I. Leroy-Jay Lemaistre, « Les commandes de sculptures », dans M.-A. Dupuy (éd.), Dominique-Vivant Denon. L’œil de Napoléon, catalogue de l’exposition (Paris, musée du Louvre, 20 octobre 1999 - 17 janvier 2000), Paris, RMN, 1999, p. 352-360 ; et F. Mazzocca, « Canova : l’ideale classico tra scultura e pittura », dans Canova, l’ideale classico tra scultura e pittura, catalogue de l’exposition (Forlì, Musei San Domenico, 25 janvier-21 juin 2009), Cinisello Balsamo (Mi), Silvana editoriale, 2009, p. 30-37.
3 Voir D. Gallo, Modèle ou Miroir ? Winckelmann et la sculpture néoclassique, Paris, Éditions de la Maison des sciences de l’homme, 2008.
4 Stendhal, « Critique amère du Salon de 1824 par M. Van Eube de Molkirk. XVe article… », dans Salons, ouvr. cité, p. 133. L’Hébé mentionnée ici est la version aujourd’hui à Chatsworth, qui fut exposée à la Royal Academy de Londres en 1816. Elle avait été réalisée pour John Campbell, lord Cawdor, entre 1808 et 1814. Cicognara la considérait comme la version la plus réussie des quatre réalisées par le sculpteur. Voir Canova, l’ideale classico tra scultura e pittura, ouvr. cité, p. 224-228, cat. IV. 18 (S. Androsov) ; et M. Bükling et E. Mongi-Vollmer (éd.), Schönheit und Revolution. Klassizismus 1770-1820, catalogue de l’exposition (Francfort, Städel Museum, Liebighaus Skulpturensammlung, 20 février - 26 mai 2013), Munich, Hirmer Verlag, 2013, p. 244-247, cat. LIX (M. Bükling).
5 Stendhal, « Critique amère du Salon de 1824 par M. Van Eube de Molkirk. XVe article… », dans Salons, ouvr. cité, p. 133.
6 « Esquisses, croquis, pochades, ou tout ce qu’on voudra, sur le Salon de 1827 », dans Stendhal, Salons, ouvr. cité, p. 158.
7 « Critique amère du Salon de 1824 par M. Van Eube de Molkirk. XVIIe article. MM. Bosio, Valois, Flatters, Dannecker, Raggi, Bartolini, Debay, Cortot, Dieudonné, David, Desbœufs, Elshœcht, Canova », dans Stendhal, Salons, ouvr. cité, p. 148. Sur les échos européens des créations canoviennes, voir, entre autres, Canova, l’ideale classico tra scultura e pittura, ouvr. cité.
8 J. J. Winckelmann, Histoire de l’art dans l’Antiquité [1764], trad. D. Tassel, introduction et notes D. Gallo, Paris, LGF, « La Pochothèque », 2005, p. 351. Voir aussi ce que Stendhal écrit à ce sujet dans ses Promenades dans Rome, t. II, Paris, François Maspero, 1980, p. 264-265. Outre D. Gallo, « La leçon de l’antique », L’Année stendhalienne, no 6, 2007, p. 9-24, voir à ce propos M. Stanić, « Canova, une cristallisation esthétique de Stendhal ou la cristallisation comme anti-théorie de l’expérience esthétique ? », dans D. Gallo (éd.), Stendhal, historien de l’art, Rennes, PUR, 2012, p. 81-96.
9 « Esquisses, croquis, pochades, ou tout ce qu’on voudra, sur le Salon de 1827 », dans Stendhal, Salons, ouvr. cité, p. 158-159.
10 Stendhal, Promenades dans Rome, t. I, ouvr. cité, p. 246-247.
11 « Esquisses, croquis, pochades, ou tout ce qu’on voudra, sur le Salon de 1827 », dans Stendhal, Salons, ouvr. cité, p. 160.
12 Ibid.
13 Dans les Promenades dans Rome (ouvr. cité, p. 246), Stendhal considérera les Lutteurs du Vatican comme « les moins beaux » des ouvrages du sculpteur. Sur ces deux statues, voir en dernier Canova, l’ideale classico tra scultura e pittura, ouvr. cité, p. 139-143, cat. I. 4 (S. Grandesso), M. Bükling et E. Mongi-Vollmer (éd.), ouvr. cité, p. 136-139, cat. 31 (J. Myssok).
14 J. J. Winckelmann, ouvr. cité, p. 275-276.
15 Les citations sont tirées de Quatremère de Quincy, Canova et ses ouvrages ou Mémoires historiques sur la vie et les travaux de ce célèbre artiste, Paris, Adrien Le Clere, 1834, p. 68-69.
16 Voir G. Pavanello et G. Romanelli (éd.), Antonio Canova, catalogue de l’exposition (Venise, musée Correr et Possagno, Gipsoteca, 22 mars-30 septembre 1992), Venise, Marsilio, 1992, p. 254, cat. 125 (F. Mazzocca) ; F. Lui, « Il caso della Maddalena del Canova a Parigi. Riflessi iconografici e letterari in età romantica », dans A. Poli (éd.), Rappresentazione del sacro nel romanticismo francese, Moncalieri, Centro universitario di ricerche sul viaggio in Italia, 2006, p. 357-372 ; et Canova l’ideale classico tra scultura e pittura, ouvr. cité, p. 310-313, cat. VIII. 1 (S. Androssov).
17 Quatremère de Quincy, ouvr. cité, p. 57.
18 Voir F. Mazzocca, art. cité, p. 25-43 ; S. Grandesso, « La fortuna dell’Ebe canoviana in scultura come personificazione della grazia giovanile e prototipo delle statue ‘ aeree’ », dans Canova l’ideale classico tra scultura e pittura, ouvr. cité, p. 45-57 ; « IV. La fortuna di Ebe. Scultura antica, pittura neoclassica e Canova », ibid., p. 206-232, et M. Bükling « Marmore Mädchen. Die Heben von Canova und Thorvaldsen », dans M. Bükling et E. Mongi-Vollmer (éd.), ouvr. cité, p. 235-243.
19 Quatremère de Quincy, ouvr. cité, p. 112.
20 Il ne fut achevé qu’en 1815.
21 Sur l’historique de cette œuvre voir surtout P. Fardella, Antonio Canova a Napoli tra collezionismo e mercato, Naples, Paparo Edizioni, 2002, p. 75-88.
22 Voir C. M. S. Johns, Antonio Canova and the Politics of Patronage in Revolutionary and Napoleonic Europe, Berkekey, Los Angeles, Londres, University of California Press, 1998, p. 141-142, et J. Myssok, Antonio Canova. Die Erneuerung der klassischen Mythen in der Kunst um 1800, Petersberg, Michael Imhof Verlag, 2007, p. 285-288.
23 « Esquisses, croquis, pochades, ou tout ce qu’on voudra, sur le Salon de 1827 », dans Stendhal, Salons, ouvr. cité, p. 168.