1 Histoire de l’art chez les Anciens, t. II, trad. M. Huber, Paris, Barrois aîné, 1789, p. 101.
2 Voir Mélanges, III, dans Œuvres complètes, t. XLVII, V. Del Litto et E. Abravanel (éd.), Genève, Édito-Service, « Cercle du Bibliophile », 1972, p. 400-401.
3 M. Crouzet, Raison et déraison chez Stendhal, t. II, Berne, Peter Lang, 1983, p. 881.
4 Histoire de la peinture en Italie, dans Œuvres complètes, éd. citée, t. XXVII, p. 432, note supprimée sur le carton ; voir les remarques plus tardives sur le « sacrifice de la vérité au Beau idéal » dans Abraham Constantin, Stendhal, Idées italiennes sur quelques tableaux célèbres, S. Teroni et H. de Jacquelot (éd.), Paris, Beaux-Arts de Paris éditions, 2013, p. 73.
5 G. Blin, Stendhal et les problèmes du roman, Paris, José Corti, 1973, p. 33.
6 Mélanges, III, dans Œuvres complètes, ouvr. cité, p. 305.
7 Histoire de l’art chez les Anciens, t. II, ouvr. cité, p. 92, 93, 108.
8 OI, t. I, p. 774 et HPI, chap. xx et xxx.
9 HPI, chap. xx et clxxxiv ; Promenades dans Rome, dans Voyages en Italie, V. Del Litto (éd.), Paris, Gallimard, « Bibliothèque de la Pléiade », 1973, p. 1229.
10 Idées italiennes sur quelques tableaux célèbres, ouvr. cité, p. 215 ; Promenades dans Rome, dans Voyages en Italie, ouvr. cité, p. 608, 722.
11 Devant le groupe Oreste et Électre, alors dans la collection Ludovisi, ibid., p. 884.
12 Voir notre étude, « Stendhal néoclassique ou les “pouvoirs de la sculpture” », L’Année stendhalienne, no 13, 2014, p. 211-230.
13 Voir Mélanges, III, dans Œuvres complètes, ouvr. cité, p. 405 ; HPI, p. 438.
14 Idées italiennes sur quelques tableaux célèbres, ouvr. cité, p. 218.
15 HPI, chap. cxxii ; Histoire de l’art chez les Anciens, t. II, ouvr. cité, p. 101, 106-107 ; Idées italiennes sur quelques tableaux célèbres, ouvr. cité, chap. xviii ; Mélanges, III, dans Œuvres complètes, ouvr. cité, p. 379, 405 ; Promenades dans Rome, dans Voyages en Italie, ouvr. cité, p. 702, 769, 779, 909.
16 Promenades dans Rome, dans Voyages en Italie, ouvr. cité, p. 778.
17 Ibid., p. 769. Voir aussi ibid., p. 778, 781.
18 Mélanges, III, dans Œuvres complètes, ouvr. cité, p. 34 ; IV, p. 97.
19 Histoire de l’art chez les Anciens, t. II, ouvr. cité, p. 93.
20 Ibid., t. II, p. 101.
21 Réflexions sur l’imitation des œuvres grecques en peinture et en sculpture, Paris, Aubier, 1990, p. 123.
22 Pensées, Filosofia nova, t. II, Paris, Le Divan, 1931, p. 138.
23 Promenades dans Rome, dans Voyages en Italie, ouvr. cité, p. 812.
24 « Salon de 1846 », dans Curiosités esthétiques. L’art romantique, H. Lemaître (éd.), Paris, Garnier, 1962, chap. xvi, p. 187-194.
25 On rappellera l’épigraphe du Rouge et le Noir, t. I, chap. ix.
26 Il arrive rarement, c’est le cas de Gozzoli, qu’ils n’excluent pas l’expression (HPI, p. 138).
27 Histoire de l’art chez les Anciens, t. II, ouvr. cité, p. 39-40.
28 Voir OI, t. I, p. 161 ; Histoire de l’art chez les Anciens, t. II, ouvr. cité, p. 131-136.
29 Journal littéraire, t. III, dans Œuvres complètes, V. Del Litto et E. Abravanel (éd.), Genève, Édito-Service, « Cercle du Bibliophile », 1970, p. 189.
30 Mélanges, III, dans Œuvres complètes, ouvr. cité, p. 403.
31 Journal littéraire, dans Œuvres complètes, ouvr. cité, chap. xxxv, p. 87.
32 Mélanges, III, dans Œuvres complètes, ouvr. cité, p. 86, 104, 402-403 ; HPI, chap. xv ; Promenades dans Rome, dans Voyages en Italie, ouvr. cité, p. 1941 ; Histoire de l’art chez les Anciens, t. II, ouvr. cité, p. 31.
33 Idées italiennes sur quelques tableaux célèbres, ouvr. cité, chap. xviii ; HPI, chap. cix.
34 . Histoire de l’art chez les Anciens, t. III, ouvr. cité, p. 195-200.
35 « Fragments des derniers volumes », Histoire de la peinture en Italie, t. II, dans Œuvres complètes, ouvr. cité, p. 370.
36 Ibid., p. 372.
37 Mélanges, III, dans Œuvres complètes, ouvr. cité, p. 406.
38 Ibid., p. 7, 48, 70 ; Idées italiennes sur quelques tableaux célèbres, ouvr. cité, p. 168 ; Promenades dans Rome, dans Voyages en Italie, ouvr. cité, p. 886.
39 Histoire de l’art chez les Anciens, t. III, ouvr. cité, p. 196.
40 Rome, Naples et Florence, dans Œuvres complètes, t. XIII, ouvr. cité, p. 33.
41 Promenades dans Rome, dans Voyages en Italie, ouvr. cité, p. 938-939.
42 M. Crouzet, Le Rouge et le Noir. Essai sur le romanesque stendhalien, nouv. éd., Paris, Eurédit, 2012, p. 95-109.
43 Mélanges, III, dans Œuvres complètes, ouvr. cité, p. 400. Winckelmann, Recueil de différentes pièces sur les arts par M. Winckelmann, Paris, Barrois, 1786, p. 5, dont Stendhal possédait un exemplaire.
44 Ibid., p. 401.
45 É. Décultot, Johann Joachim Winckelmann : enquête sur la genèse de l’histoire de l’art, Paris, PUF, 2000, p. 115.
46 HPI, chap. cxvii et cxviii, chap. cxxii ; Promenades dans Rome, dans Voyages en Italie, ouvr. cité, p. 780 ; Histoire de l’art chez les Anciens, t. II, ouvr. cité, p. 61-63.
47 Du romantisme dans les beaux-arts, dans Racine et Shakespeare (1818-1825), M. Crouzet (éd.), Paris, Honoré Champion, 2006, p. 243.
48 Réflexions sur l’imitation des œuvres grecques en peinture et en sculpture, ouvr. cité, p. 113-115.
49 Histoire de l’art chez les Anciens, t. II, ouvr. cité, p. 238.
50 Voir G. Blin, ouvr. cité, p. 23, 33-34.
51 Quatremère de Quincy a repris sa théorie de la « généralisation », formulée dès 1802 dans son étude sur les arts du dessin, dans l’Essai sur la nature, le but et les moyens de l’imitation dans les beaux-arts, Paris, Didot, 1823, p. 282.
52 HPI, chap. clv ; Histoire de l’art chez les Anciens, ouvr. cité, t. I, p. 15 et t. II, p. 44-45, 273.
53 D. Bouhours, Les Entretiens d’Ariste et d’Eugène [1671], édition établie et commentée par Bernard Beugnot et Gilles Declecq, Paris, Honoré Champion, « Lumière classique », no 47, 2003 (cinquième entretien).
54 Histoire de l’art chez les Anciens, t. IV, ouvr. cité, chap. v, vi.
55 J. J. Winckelmann, « De la grâce dans les ouvrages de l’art », dans le Recueil de différentes pièces sur les arts, ouvr. cité, p. 285-295 ; Histoire de l’art chez les Anciens, t. II, ouvr. cité, p. 28 et suiv. ; Histoire de la peinture en Italie, t. II, V. Del Litto et E. Abravanel (éd.), Genève, Édito-Service, « Cercle du Bibliophile », 1969, p. 396. Voir É. Pommier, « La notion de la grâce chez Winckelmann », dans Winckelmann : la naissance de l’histoire de l’art à l’époque des Lumières, Paris, La Documentation française, 1991, p. 39-81.
56 L. Norci Cagiano, « Ridicule ? “Ce bavard de Winckelmann né dans mon fief” », L’Année Stendhal, no 3, 1999, p. 157-174 ; « Stendhal e il bello ideale antico », Quaderno del Dipartimento di letteratura comparate, no 5, 2009, p. 129-142.
57 « La leçon de l’antique », L’Année stendhalienne, no 6, 2007, p. 22.
58 Mélanges, III, dans Œuvres complètes, ouvr. cité, p. 249. Idées italiennes sur quelques tableaux célèbres, ouvr. cité, p. 218.
59 Ibid., p. 75.
60 Molière, Shakespeare, la comédie et le rire, Paris, Le Divan, 1930, p. 158.