Annexe 1 : Textes officiels

MEN, Ministère de l’Éducation nationale, « Programme de l’enseignement commun de français en classe de seconde générale et technologique et en classe de première des séries générales et programme de l’enseignement de littérature en classe de première littéraire », 30 septembre 2010, http://www.education.gouv.fr/cid53318/mene1019760a.html.

MEN, « Bulletin officiel spécial n^o 7 du 6 octobre 2011. Épreuve obligatoire écrite de français-littérature en série littéraire, de français en séries économique et sociale et scientifique du baccalauréat général et dans toutes les séries du baccalauréat technologique, à compter de la session 2012 des épreuves anticipées », http://www.education.gouv.fr/pid25535/bulletin_officiel.html?cid_bo=57469.

MEN, « Programme de l’enseignement de français de la classe de seconde générale et technologique », Ministère de l’Éducation nationale et de la Jeunesse, 2019, https://www.education.gouv.fr/bo/19/Special1/MENE1901575A.htm.

MEN, Programme de l’enseignement du français de la classe de première des voies générale et technologique (2019), https://cache.media.eduscol.education.fr/file/SP1-MEN-22-1-2019/93/0/spe575_annexe2_1062930.pdf.

Annexe 2 : Liste des poèmes du corpus servant de point de départ à l’atelier d’écriture, séquence 2

« Promenade de Picasso », J. Prévert, Paroles (1949).

« La Rose et le réséda », L. Aragon, La Diane française (1943).

« La Courbe de tes yeux », P. Éluard, Capitale de la douleur (1926).

« La terre est bleue », P. Éluard, L’Amour la poésie (1929).

« Le matin du monde », J. Supervielle, Gravitations (1925).

« Le cœur en bouche », R. Desnos, Corps et biens (1930).

« Le Dormeur du val », A. Rimbaud, Les Cahiers de Douai (1888).

« L’albatros », C. Baudelaire, Les Fleurs du mal (1857).

« Les yeux d’Elsa », L. Aragon, Les Yeux d’Elsa (1942).

« Les colchiques », G. Apollinaire, Alcools (1913).

« Une charogne », C. Baudelaire, Les Fleurs du mal (1857).

« Prendre corps », G. Luca, Paralipomènes (1976).

« À Cassandre », P. de Ronsard, Odes, I, 17 (1524).

« Mon rêve familier », P. Verlaine, Poèmes saturniens (1866).

« Booz endormi », V. Hugo, La Légende des siècles, tome 1 (1859).

Annexe 3 : Les poèmes-centon de Magali et Louise

Annexe 4 : Le poème achevé de Magali

Le poème achevé de Magali.

Annexe 5 : Le poème de Louise

Tous les secrets tous les sourires
Toi le chant de ma passion
Un rond de danse et de douceur
Le jour dépend de l’innocence
Mon existence de ta présence

Les siècles et la vie durent à peine des secondes
S’écoulent avec fracas aux rythmes des saisons
Tout cela descendait
Tombait
Telle une feuille morte

J’oublie tout ce que j’ai vécu
Tes yeux toxiques lentement m’empoisonnent
Le monde entier dépendait
De cette lueur dans tes yeux
Qui s’est éteinte comme asphyxiée par ton égoïsme

Le chant de mon innocence
L’odeur des chrysanthèmes
La fin de ce douloureux mirage
Il est temps de se réveiller
Les colchiques ont fané

Annexe 6 : Le texte d’Éric

Je vois la mer déchainée très sombre avec d’énormes vagues. La mer commençait à monter, elle a tellement monté qu’elle couvrait pratiquement toute la plage. Il y avait énormément de bruit entre l’orage et les vagues qui frappaient violemment contre la falaise. Je ne voyais plus la végétation qui était au-dessus de la falaise. Je me sentais vraiment impuissant, la mer était sombre, je ne voyais plus que l’écume et à l’horizon la mer était verte, un vert sombre. […] J’ai vu que la falaise allait s’effondrer à cause de la mer, au fond de la mer je voyais un rocher noir.

Annexe 7 : Le texte de Mehdi

Regardez ! Regardez !
Là-bas ! Un bateau, il va couler avec cette mer très agitée.
Moi ainsi que mes camarades assistons à un spectacle atroce, la mer en colère avec l’orage, la tempête fait fureur et au loin un bateau semble couler.
Si nous restons ici la mer risque de nous emporter mais nous n’avons pas le choix, nous sommes tous bloqués entre la plage et cette immense falaise. Nous assistons à ce spectacle, impuissants et demeurant condamnés à périr ici.

Annexe 8 : Le texte de Théo

On était venus ce matin pour accueillir notre oncle, de retour de son voyage. Aujourd’hui, la mer à Étretat était déchainée, j’étais inquiet pour mon oncle, au milieu de ces vagues hautes comme un homme. Le ciel était gris, la falaise était comme avalée par la mer en colère. Ce bateau de mon oncle était visible, au loin. Je craignais le pire pour lui.
Les badauds, autour de moi, observaient le déferlement des vagues avec horreur. Celle-ci se fracassaient sur le rebord de la falaise. […]

Annexe 9 : Le texte de Mathilde

En face de moi, je vois cette mer qui se déchaine. Elle a l’air furieuse, prête à tout engloutir sur son passage. Plus rien n’a l’air de lui résister. […] La mer ne laisse plus de place à la falaise, qui s’efface dans le décor. Elle prend de plus en plus d’ampleur, quand va-t-elle se calmer ? Les vagues sont menaçantes sous ce ciel gris. Des frissons me traversent le corps. On essaye de se rassurer mais personne n’arrive à cacher sur son visage la peur que provoque cette situation. […]