Introduction
p. 5-17
Texte intégral
1Dans le sort de Jaroslav Durych, on découvre des contradictions et des malentendus qui marquent la culture de la Bohême dès les temps les plus anciens. Un des meilleurs prosateurs des années trente, catholique fervent, publiciste passionné et intransigeant, attiré par la quête de l’infini et tourmenté par le péché et l’enfer, il paraît étranger à la société aisée et pragmatique de la première République tchécoslovaque. Certes, le hussitisme dont les traditions sont mises en relief par le président Masaryk et ses collaborateurs, est plutôt un souvenir lointain des valeurs morales dont les Tchèques avaient été défenseurs, qu’un programme politique et spirituel concret. Toutefois ce souvenir marque la conscience des élites qui commencent à chercher leurs modèles dans la culture anglo-américaine, pratique et modérée. L’exaltation baroque inspirée par la spiritualité espagnole, dont Durych se fait porte-parole, est à l’opposé de la conception de vie qu’on voulait alors mener dans un pays orienté vers des couches moyennes et prônant des vertus modestes de la vie quotidienne. Durych se trouve même ouvertement en conflit avec les autorités. Médecin militaire, il s’attaque au chef de l’État et est menacé par un procès de lèse-Majesté. Masaryk intervient pourtant pour que ce procès n’ait pas lieu. Après la Deuxième Guerre mondiale, les autorités communistes sont moins généreuses. Durych est accusé de sympathies pour l’idéologie fasciste et il est interdit de publication. Pendant la courte période du Printemps de Prague en 1968, on recommence à publier ses œuvres, mais avec la « normalisation » qui a suivi l’entrée de l’armée soviétique en Tchécoslovaquie, ses écrits disparaissent de nouveau des librairies tchèques et ne peuvent paraître qu’à l’étranger. Certes, après la chute du communisme en 1989, ses récits et romans peuvent être édités et réédités en Bohême. Ils trouvent leurs admirateurs. Mais répondent-ils à la situation du pays désemparé, marqué encore par une quarantaine d’années d’indifférence et de malhonnêteté organisée par le régime totalitaire ? Ou faut-il attendre encore que la société guérisse pour qu’elle puisse apprécier son message ardent dont les interrogations dépassent les conditions de la vie quotidienne ?
2La position des écrivains catholiques tchèques a certains traits particuliers. Depuis la fin du XVIIe siècle jusqu’aux temps récents, la Bohême était majoritairement catholique et les croyants attachés au culte catholique ne manquaient pas. Toutefois la tradition patriotique s’est forgée sur des écrits historiques, surtout sur l’œuvre de Frantisek Palacky (1798-1876), qui mettait en évidence l’héritage du protestantisme tchèque. De plus, l’Église catholique était souvent considérée comme porte-parole des intérêts de la dynastie habsbourgeoise, accusée de la perte de l’indépendance tchèque et des conditions défavorables dans lesquelles se développait la culture du pays. Il en résulte une situation très complexe dans laquelle put se faire valoir l’activité des élites catholiques, surtout si elles étaient militantes et passionnées, comme c’était le cas de Durych.
3De plus, ces élites n’étaient pas, du moins dans la première moitié du XXe siècle, homogènes. Divers groupes et groupuscules s’attaquaient mutuellement, la frontière n’était pas toujours nette entre les admirateurs de Léon Bloy, exprimant leurs confessions brûlantes, et une provocation des gens mécontents, passionnés solitaires et désespérés, comme Jakub Deml.
4Dans ce contexte, Durych a pu difficilement trouver un appui des élites officielles en Bohême – et il a pu difficilement trouver un écho spontané auprès des écrivains catholiques des autres pays – et tout particulièrement en France. Les conditions dans lesquelles son œuvre a pris naissance et le type de son expression survolant le temps dans une quête assoiffée et intolérante de l’absolu, diffèrent trop sensiblement aussi bien de François Mauriac que de Georges Bernanos et d’autres.
5À première vue en effet, ses récits et romans ne se prêtent pas facilement à des études comparées traditionnelles. Et si l’on veut s’y hasarder, on se heurte, tout particulièrement de France, à plusieurs obstacles. L’œuvre de Durych est marquée par la sensibilité baroque. Certes, dans les dernières décennies, le Baroque a été mis en honneur en France, mais c’est une découverte tardive – et elle diffère des visions qui hantent l’auteur du Requiem. La démesure et l’inachèvement de ses images hardies ont peu de commun avec l’expression appréciée dans la poésie baroque française.
6À regarder de près, on trouve toutefois chez lui certains traits dont l’actualité esthétique et spirituelle dépasse les années de son activité d’écrivain et peut être mesurée par des critères de nos jours. Ses œuvres sont trop nombreuses et variées pour qu’on arrive à les classer sous une seule étiquette : recueils de poésies, pièces de théâtre, adaptations de légendes, proses poétiques, récits de voyage, romans psychologiques dont l’intrigue est située dans le présent, évocations du passé dans lesquelles des scènes historiques détaillées et presque documentaires sont accompagnées de visions hallucinantes de l’homme face à l’absurde – ou plutôt à un infini incompréhensible.
7Une grande partie de son œuvre, dont le Requiem, a été créée dans les années vingt et trente du XXe siècle. C’était l’époque où, parmi des genres littéraires en faveur, une place importante revenait aux « vies romancées ». On en trouve des traces aussi bien chez Durych que chez d’autres écrivains tchèques de l’époque, attirés par des sujets historiques, comme Karel Schulz ou Miloš V. Kratochvíl. L’histoire des événements évoluait vers l’analyse des contradictions, conflits intérieurs et destins imprévisibles des personnages qui, même situés dans un passé lointain, devenaient un miroir de l’homme moderne, hésitant et abandonné.
8Ce n’est pas un hasard si Durych s’intéresse à Wallenstein. Certes, le troisième centenaire de la mort de ce chef d’armée a inspiré plusieurs auteurs, dont Golo Mann ou Alfred Döblin. Mais l’attrait que ce personnage exerçait alors sur les écrivains témoigne en même temps d’une affinité plus profonde avec son sort incertain et plein de contradictions : l’atmosphère pesante et dangereuse des années d’entre les deux guerres pouvait se reconnaître, avec angoisse, dans les déceptions s’ouvrant vers l’absurde qui ont marqué la carrière de ce chef d’armée célèbre, trahi et assassiné.
9Dans la littérature tchèque, ce personnage revêt une signification particulière : son sort coïncide en effet avec le début de l’époque qui, après la bataille perdue de la Montagne Blanche en 1620, fut largement considérée comme l’ère des « ténèbres » – fin de l’indépendance nationale, émigration massive des élites protestantes, introduction forcée de la Contre-Réforme et germanisation successive du pays. De nombreux romans et récits présentent cette période sous un éclairage patriotique simplifié : les Tchèques ont été des victimes des Habsbourg et de l’Église catholique omniprésente dans la monarchie autrichienne ; leur défaite fut injuste. Durych ne suit pas ce schéma traditionnel et ne dispose pas de façon préétablie le bien et le mal. Il montre les contradictions et les absurdités d’une guerre civile – tous les Tchèques n’étaient pas alors protestants et la guerre de Trente ans acquérait en Bohême, en effet, le caractère d’une guerre fratricide. Il dévoile le désarroi des gens qui ne savent pas où appartenir et retrouvent leur dignité dans un geste tragique, dans la mort – ou se dégradent en lâcheté que l’auteur ne manque pas de commenter avec un rire sarcastique. Mais derrière la vanité de toutes choses qui émane de ses récits, on découvre un élan, une soif de l’absolu, un désir de sacrifice qui donne le sens à la vie – dans n’importe quelles conditions.
10Si une partie de la littérature postmoderniste de nos jours se contente de la devise « anything goes », l’œuvre de Durych peut être considérée comme son antidote. Rien n’est plus éloigné de ses visions ardentes que l’indifférence, l’abandon inerte sans dignité. C’est précisément par le contraste avec certaines œuvres de nos jours, désertant les valeurs spirituelles et morales, que ses récits et romans retrouvent leur actualité.
11La défenestration de Prague (1618) et la bataille de la Montagne Blanche marquent le début de la Guerre de Trente ans, dont Wallenstein (Valdštejn) fut le héros le plus prestigieux. À la Montagne Blanche, les troupes de l’Électeur palatin, chef de l’Union évangélique, récemment élu roi de Bohême par les représentants du pays, sous le nom de Frédéric V, furent défaites par celles de l’Empereur Ferdinand II (petit-neveu de Charles-Quint) et de son puissant allié Maximilien de Bavière, chef de la Ligue catholique unissant Autrichiens et Espagnols. C’était pour l’État tchèque la perte de fait d’une indépendance qu’il ne devait recouvrer que trois siècles plus tard.
12Deux épisodes, de sens pourtant opposé, l’épopée hussite et la défaite de la Montagne Blanche, sont demeurés dans la mémoire des Tchèques, tant catholiques que protestants, comme les symboles des aspects héroïques et tragiques de l’histoire nationale.
13Dans son grand roman Bloudĕní (Errance), Durych a évoqué de façon saisissante le déchirement du pays et le sort du hardi chef de guerre Wallenstein, qui, au service de l’Empereur, mais devenu plus puissant que l’Empereur lui-même, s’apprêtait apparemment à le trahir et à revendiquer pour lui-même le trône de Bohême. Trois récits publiés sous le titre Requiem représentent l’épilogue de son aventure.
14Dans les motivations de Wallenstein, la religion a peu de part. Ce Tchèque de bonne noblesse né en Bohême en 1583, après avoir reçu une éducation protestante, s’est converti au catholicisme et a constitué une armée censée servir les intérêts de l’Empereur dans les conflits avec les puissances du Nord. Apparemment indifférent en matière de religion, Wallenstein était en revanche très attiré par l’astrologie dont il attendait des directives dans ses entreprises militaires et ses ambitions politiques. Il est connu que, sous Rodolphe II (mort en 1612), Prague, alors capitale de l’Empire, l’était aussi des sciences – y compris occultes – et de la magie. Schiller a pris soin d’ouvrir sa tragédie La mort de Wallenstein par une scène entre le héros et son astrologue.
15Wallenstein était-il, comme le répètent les manuels, un « aventurier » ? L’historien V.L. Tapié, dans Monarchies et peuples du Danube (1969) s’élève contre ce cliché en rappelant que les armées de mercenaires vivant sur le pays et menées par un chef sans scrupules correspondent aux conditions habituelles dans lesquelles étaient le plus souvent conduites les guerres de l’époque. On a des témoignages de la dureté impitoyable du personnage, mais aussi de sa générosité. On lui a reproché sa richesse ; elle lui vient de ses relations à la cour, et d’abord des biens hérités de sa première femme, morte jeune ; ensuite des affaires réalisées en achetant les terres de nobles condamnés ou proscrits lors de la répression qui a suivi la Montagne Blanche. Wallenstein a eu la chance de constituer avec des nobles et des marchands de Prague un consortium qui procura de fortes sommes à l’Empereur alors à court d’argent. Il reçut en échange le droit exclusif de battre monnaie en plusieurs provinces. Des domaines réunis par lui, l’Empereur fit un duché, nommant Wallenstein duc de Friedland et prince d’Empire. La capitale en est Jičín (en allemand Jitschin), ville proche de la chartreuse de Valdice où se déroule l’action du troisième récit de Requiem.
16Tel est le personnage qui va offrir à l’Empereur de constituer et d’entretenir pour lui la puissante armée indispensable pour faire face à l’extension d’un conflit qui, concernant à l’origine la question de la liberté du culte en Bohême, est vite devenu une conflagration européenne mettant aux prises puissances catholiques et puissances protestantes.
17Ayant déclaré déchu Frédéric V sans tenir compte des protestations des princes allemands, l’Empereur a en effet transféré à Maximilien de Bavière le titre d’électeur palatin, réduisant ainsi à deux (Saxe et Brandebourg) le nombre des électeurs protestants à la diète d’Empire siégeant à Ratisbonne, contre cinq catholiques. Les royaumes protestants du nord, Danemark et Suède, vont successivement intervenir contre l’Autriche, alliée à l’Espagne ; ils sont soutenus par la France de Richelieu, inquiète des ambitions territoriales croissantes des Habsbourg.
18Wallenstein conquiert pour l’Empereur les duchés maritimes de Mecklembourg et de Poméranie, et défait les troupes de Christian IV de Danemark, lequel doit signer la paix à Lübeck. Lorsque Gustave-Adolphe de Suède envahit à son tour l’Allemagne, les princes catholiques réunis à Ratisbonne exigent, comme condition de leur soutien à l’Empereur, le renvoi du trop puissant Wallenstein (1630).
19Mais les succès militaires des Suédois, qui pourtant ont perdu leur roi tué à la bataille de Lützen (novembre 1632), ont créé pour l’Empereur une situation si critique, qu’il se résout à confier de nouveau à Wallenstein la levée d’une armée dont ce dernier sera le chef, avec une grande liberté d’action. Il y a cependant à Vienne un parti de la paix et un parti de la guerre. Ce dernier, plus influent, s’obstine à exiger du commandant en chef, des actions spectaculaires, alors que Wallenstein n’est pas seul à penser que l’intérêt de l’Autriche serait de signer la paix. Il mène déjà depuis quelque temps des tractations secrètes avec les Suédois et avec la France. Un climat de méfiance s’est établi entre l’Empereur et lui. À Pilsen, en janvier 1634, Wallenstein fait signer un serment de fidélité à ses généraux. C’est une contrelettre par laquelle la personne de Wallenstein se substitue à celle de l’Empereur. Quelques jours plus tard, il est relevé de son commandement, et dès lors les événements se précipitent. Wallenstein, avec ceux de ses généraux qui ont épousé sa cause, tente de faire sa jonction, dans la région de Ratisbonne, avec les troupes de Bernard de Saxe-Weimar, allié aux Suédois, lesquels ont aussi l’appui de nombreux émigrés tchèques. Faisant route par Eger (Cheb), il voit sa manœuvre déjouée par l’Empereur, qui a été averti par un des principaux officiers de Wallenstein, Piccolomini.
20Schiller a mis l’accent, dans sa tragédie, sur la trahison de Piccolomini. Certes, Wallenstein semble lui aussi avoir trahi l’Empereur. Les conditions assez obscures de sa chute demeurent discutées par les historiens. L’homme, dans son mystère, reste une grande figure. Durych en a fait un personnage d’épopée. Il prend sans doute quelques libertés avec l’histoire, mais il avait réuni une énorme documentation, qui lui aura fourni plus d’une suggestion pour ce Requiem. Comparons par exemple certains passages de « La Prairie de Budweis » à cet extrait d’une relation des derniers jours de Wallenstein rédigée en italien par Piccolomini lui-même :
L’adhésion des participants à une telle conjuration [le serment de Pilsen] devait lui permettre, croyait-il, de se faire couronner roi de Bohême le 24 février [1634] ; c’est pourquoi il donna ordre aux soldats de Haute et Basse Silésie de se présenter le 22, cavalerie, infanterie, étendards et voitures, à la revue générale qui devait avoir lieu sur la Montagne Blanche (lieu proche de Prague, célèbre par la magnifique victoire remportée par le très glorieux Empereur Ferdinand II en 1620 contre les rebelles et hérétiques), l’intention étant, après avoir fait prêter serment à toute l’armée, de se porter rapidement à Prague pour le couronnement, menaçant de mort cruelle quiconque n’obéirait pas […] Pour mieux parvenir à ses fins il ordonna au baron de Schofftemberg [Scherffenberg ?] de faire pénétrer secrètement et avec de grandes précautions quelques-uns de ses soldats à Vienne, en plaçant des forces en embuscade aux environs, afin de s’emparer d’une porte et de se rendre maître de la ville, la dévastant et faisant périr tous les membres de la famille impériale et royale… Et alors que des complices allumaient des incendies en divers endroits de la ville, ne devaient être épargnées que les maisons de personnes désignées à l’avance, l’intention étant d’éliminer des terres allemandes l’auguste maison d’Autriche. Tout cela était déjà réglé lorsque heureusement le feu fut découvert ainsi que la trahison. Dieu montra combien il avait à cœur le salut de cette auguste Maison, en rendant vain le dessein d’une aussi injuste et scélérate machination.1
21Les projets de Wallenstein ont échoué à Prague comme à Vienne, après avoir connu un début de succès en Silésie (« Le Courrier »), Ferdinand II a envoyé à temps à Prague un haut émissaire, Don Baltazar Marradas, qui a maintenu dans la fidélité à l’Empereur la capitale de la Bohême. Une tentative de s’emparer de Wallenstein mort ou vif avait déjà été confiée au général Gallas. Là où Gallas n’a pas réussi, Piccolomini, chargé de la même mission, va y arriver. À Eger, Wallenstein et quelques-uns de ses compagnons sont assassinés à l’instigation de l’Empereur, le 25 février 1634. Le corps du généralissime est enseveli dans un premier temps à Mies, à une centaine de kilomètres au sud-ouest de Prague. Il sera ensuite transféré à la chartreuse de Valdice.
22On peut admettre que la confusion dans le pays, la lenteur et la difficulté des communications, rendent vraisemblable le malentendu sur lequel repose le premier des trois récits de Requiem, puisque le courrier arrive de Silésie. Vers la fin du second récit, il est fait allusion à la victoire remportée par les forces austro-espagnoles à Nördlingen, cette même année 1634 qui a vu la mort de Wallenstein ; le commandement en chef avait été alors confié au fils de l’Empereur, le jeune roi de Hongrie. Ce même récit se situe en un temps où l’Empereur, espérant obtenir le ralliement d’une partie au moins des rebelles, se contente de laisser en liberté provisoire, mais sous surveillance, les plus compromis, pendant que les juges instruisent leur procès.
23La victoire de Nördlingen a permis à l’Empereur de conclure la paix avec les Suédois à Prague (1635). Mais ce ne sera qu’un rebondissement de la guerre, puisque la France prend maintenant les armes et engage des opérations en Rhénanie. En 1639 les Suédois, sous le commandement du général Banér, occupent le nord de la Bohême. C’est alors que pourrait se situer l’épisode qui fait le sujet du récit « Valdice », si cet épisode n’est pas inventé de toutes pièces – car on n’a aucun document fiable établissant que la sépulture ait alors été violée.
24Durych, qui a traité dans Errance l’épisode du massacre de Wallenstein et de ses compagnons à Eger, présente dans Requiem trois moments du destin posthume du héros ou de sa légende. Les lendemains amers de l’épopée lui sont l’occasion d’exalter le courage et la fierté, de flétrir la lâcheté, et d’associer à la célébration du héros la verdeur d’une ironie féroce.
Notes de bas de page
1 Cité dans le texte italien par H. von Srbik, Wallensteins Ende. Ursachen, Verlauf und Folgen der Katastrophe (La fin de Wallenstein. Causes, déroulement et suites de la catastrophe), Wein, L. W. Seidel und Sohn, 1920, p. 393-395.
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