1 Lipps, Van Kerckhoven, FE, p. 22.
2 Lipps, Werke I/1, p. 47.
3 Gerhard Rogler, Die hermeneutische Logik von Hans Lipps, op. cit., p. 145-148.
4 Lipps, Van Kerckhoven, FE, p. 201. Nous avons analysé de plus près le phénomène de l’embarras dans « La prise de parole comme seconde naissance responsive », in Simon Calenge (dir.), Réponse, responsivité, responsabilité, Paris, Le cercle herméneutique, 2019, n° 32-33, p. 57.
5 Ibid., p. 205.
6 Ibid., p. 203.
7 Ibid., p. 202.
8 Ibid., p. 203.
9 Ibid., p. 205.
10 Lipps, Werke I/1, p. 48.
11 Guy van Kerckhoven, L’attachement au réel, op. cit., p. 101.
12 Ibid.
13 Lipps, Werke I/1, p. 49.
14 Lipps, Werke I/2, p. 13. Cf. Guy Van Kerckhoven, L’attachement au réel, op. cit., p. 83.
15 Lipps, « Standpunkt und Existenz », in Werke V, p. 62.
16 Ibid., p. 65.
17 Ibid., p. 66.
18 Lipps, Van Kerckhoven, FE, p. 207.
19 Lipps, « Standpunkt und Existenz », in Werke V, p. 64.
20 Cf. Michel Haar, Heidegger et l’essence de l’homme, Grenoble, Millon, 2002, p. 57 ; Reiner Schürmann, Le principe d’anarchie, op. cit., p. 296.
21 Heidegger, SZ, p. 298.
22 Ibid., p. 307.
23 Lipps, « Standpunkt und Existenz », in Werke V, p. 68.
24 Lipps, « Standpunkt und Existenz », in Werke V, p. 68.
25 Heidegger, Ga 27, p. 341.
26 Heidegger, Ga 27, p. 340.
27 Lipps, « Standpunkt und Existenz », in Werke V, p. 66.
28 Chez Heidegger, la chair est absente. La volonté de Heidegger de maintenir la neutralité du Dasein, l’empêche de penser pleinement les questions liées à la chair (Sur cette neutralité, cf. Ga 26, p. 171-172).
29 Lipps, Werke III, p. 79.
30 Ibid., p. 78.
31 Cf. ci-dessous, partie II, chapitre 3, §1.
32 Lipps, Werke III, p. 79.
33 Lipps, Werke II, p. 98, note 2 ; traduction, p. 93.
34 Cf. ci-dessous, chapitre 4, §2.
35 König, Sein und Denken, Studien im Grenzgebiet von Logik, Ontologie und Sprachphilosophie, noté désormais SuD, Halle, Niemeyer, 1937, p. 25.
36 Lipps, Werke III, p. 90.
37 Le concept de signifiance est étudié, ci-dessous, au premier paragraphe du chapitre 1, partie II.
38 Schürmann reproche à Lipps cette tentative d’assimilation structurelle de l’impression à la sensation. Selon Schürmann, en tentant ainsi de donner une structure commune à la sensation et à l’impression, Lipps méconnaît la spécificité de l’impression telle que voulait la découvrir König. En effet, pour König, l’impression ne se rapporte en fin de compte qu’à ce de quoi elle est l’impression : le vide de la chambre, et non la chambre elle-même. Cf. Schürmann, ShS, p. 192.
39 Lipps, Werke II, p. 97 ; traduction (modifiée), p. 91.
40 Lipps, « Die Verbindlichkeit der Sprache », in Werke IV, p. 119, « La force d’obligation du langage », traduction Simon Calenge, Revue Alter, n° 26, 2018, p. 227.
41 Lipps, Werke II, p. 102 ; traduction, p. 96.
42 Lipps, Werke II, p. 96 ; traduction, p. 102-103.
43 Lipps, Werke V, p. 71.
44 Ibid., p. 71.
45 Lipps, Werke III, p. 61. La référence à Kant est explicite dans Werke II, p. 58 [trad. p. 56].
46 Lipps, « Bemerkungen zur Theorie der Prädikation », in Werke IV, p. 178.
47 Otto Friedrich Bollnow, Studien zur Hermeneutik II, Munich, Karl Alber, 1983 p. 226. Bollnow s’appuie sur Lipps, Werke II, p. 56 ; traduction, p. 54.
48 Lipps, Werke III, p. 60.
49 Ibid., p. 61.
50 Ibid., p. 67.
51 Ibid., p. 68.
52 Lipps, Werke II, p. 56 ; traduction (modifiée), p. 54.
53 Lipps, Werke III, p. 61.
54 Lipps, Werke II, p. 99 ; traduction, p. 93.
55 On retrouve cette structure dans Werke II, p. 8 ; traduction, p. 8. Elle sera reprise dans la pragmatique lippsienne. Cf. partie II, chapitre 2, §4.
56 Lipps, Werke III, p. 61. C’est nous qui soulignons.
57 Ibid., p. 51.
58 Comme le montre Käte Meyer Drawe, il est possible chez Lipps, de parler d’un appel des choses comme d’un appel des mots. Dans les deux cas se forme une situation dans laquelle chacun est obligé. La notion de Verbindlichkeit si importante pour Lipps n’attend pas le langage pour apparaître. Meyer-Drawe, Käte, « Das Wort als Antwort auf die Dinge », in Dilthey Jahrbuch 6/1989, p. 135. Cf. ci-dessous, §6 de ce chapitre.
59 Lipps, Werke III, p. 77.
60 Lipps, Werke III, p. 51.
61 Cf. partie II, chapitre 1, §1.
62 Lipps, Werke III, p. 45.
63 Ibid., p. 44.
64 Lipps, « Die Verbindlichkeit der Sprache », in Werke IV, p. 119, traduction, p. 215. Cette phrase de Lipps est en fait une citation de Herder Traité sur l’origine des langues, traduction Lionel Duvoy, Paris, Allia, 2010, p. 88 : « Les mots parfum, son, sucré, amer, âcre, etc, sonnent tous comme si on les sentait ». Le terme employé par Herder, et repris par Lipps ici est fühlen. Celui-ci renvoie moins à la sensation [Empfindung] qu’au sentiment, ou à l’impression.
65 Ibid., p. 120.
66 Lipps, Werke III, p. 72.
67 Käte Meyer Drawe, « Das Wort als Antwort auf die Dinge », op. cit., p. 136.
68 Lipps, Werke II, p. 87 ; traduction, p. 92 et 94 ; traduction, p. 100.
69 Ibid., p. 97 ; traduction, p. 104.
70 Ibid.
71 Ibid., p. 86 ; traduction, p. 71-72.
72 Ibid., p. 86 ; traduction, p. 72. C’est nous qui soulignons la seconde fois.
73 Ibid., p. 110 ; traduction, p. 103.
74 Il faut d’emblée préciser que Lipps ne pense pas, à la manière de Platon, que les mots ont été forgés à la ressemblance de ce qu’ils signifient. Cette ressemblance n’est pas la relation naturelle qui se produit entre le langage et la nature. Comme nous le verrons dans la deuxième partie, cette ressemblance est construite, dépendante de la forme interne du langage. Ce que Lipps veut signifier ici, c’est simplement le fait qu’un mot ne peut faire pleinement sens, dans l’usage ordinaire qu’on en fait, que dans la mesure où son usage quotidien a permis de produire en lui une ressemblance : celle par laquelle on sent comme si le mot lui-même était ce qu’il signifiait. Cf. partie II, chapitre 1, §3.
75 Jean Grondin, « L’art comme présentation chez Gadamer, portée et limite d’un concept », in Études germaniques 62, 2007, p. 337-349.
76 Hans Georg Gadamer, Vérité et méthode, op. cit., p. 481-499 (la notion de Darstellung se trouvant développée p. 491) : Gadamer souligne la structure spéculaire de la langue, sa capacité à refléter le monde en lui donnant un surplus de réalité. Il faut noter alors que Hans Lipps est régulièrement convoqué par Gadamer dans ce parcours réflexif.
77 Käte Meyer-Drawe, « Das Wort als Antwort auf die Dinge. Lipps und Merleau-Ponty », op. cit., p. 131.
78 Lipps, Werke II, p. 92 ; traduction, p. 98.
79 Lipps, « Die Verbindlichkeit der Sprache », in Werke IV, p. 115, traduction, p. 224.
80 Ibid.
81 Nous reviendrons sur la différence entre déterminations adverbiale et adjectivale dans le chapitre 4, §2. Les déterminations adjectivales disent ce que les choses sont – elles manifestent des propriétés objectives des choses. Les déterminations adverbiales disent comment les choses sont – elles manifestent des modes d’être des choses.
82 Cela ne signifie pas que, dans le nom, le mode d’être des choses n’apparaît pas du tout. Au contraire, comme nous le verrons (partie II, chapitre 1), le choix d’un nom peut tout à fait dépendre de l’impression que me fait la chose qu’il caractérise.
83 Cf. partie II, chapitre 3, §1.
84 Lipps, Werke I/1, p. 27 ; Werke I/2, p. 22.
85 Cf. ci-dessus, §2, l’analyse par Lipps et König de l’impression comme éveil.
86 Lipps, Werke I/2, p. 21.
87 Lipps, « Die Verbindlichkeit der Sprache », in Werke IV, p. 115, traduction, p. 223.
88 Van der Weppen, Die existentielle Situation und die Rede, op. cit., p. 21.
89 Cité par Lipps, Werke III, p. 45.
90 Ibid., p. 48.
91 Ibid.
92 Ibid., p. 46.
93 Lipps, Werke II, p. 93 ; traduction, p. 87.
94 Ibid.
95 Lipps, « Standpunkt und Existenz », in Werke IV, p. 70.
96 Ibid., p. 71.
97 Bollnow, Studien zur Hermeneutik II, op. cit., p. 277.
98 Ibid., p. 276.
99 Lipps, « Die Verbindlichkeit der Sprache », in Werke IV, p. 115, traduction, p. 224.
100 Ibid.
101 Bernhard Waldenfels, Grenzen der Normalisierung, Francfort sur le Main, Klostermann, 2008, p. 105.
102 Ibid.
103 Sur cette analyse difficile, cf. Waldenfels, Antwortregister, op. cit., p. 200-201.
104 Cf. Jean-Louis Chrétien, L’appel et la réponse, Paris, éditions de minuit, 1992, p. 38, ainsi que Simon Calenge, « La logique responsive » in Simon Calenge, Réponse, responsivité, responsabilité, op. cit., p. 11-14.
105 Waldenfels radicalisera ce phénomène dans Bruchlinien der Erfahrung (Francfort sur le Main, Klostermann, p. 98-99), en thématisant l’expérience pathique : celle-ci se déploie comme une expérience purement passive qui me submerge. La « cause » de cette expérience ne peut être instituée que sur le fondement de cette expérience elle-même. Elle se produit après son effet. Dans l’expérience pathique, c’est l’effet qui fait être la cause. Il n’en va pas ainsi de la réponse, que toujours quelque chose précède. Mais il est possible de dire que ce qui précède la réponse n’est un appel que par la réponse qui lui est offerte.
106 Lipps, Werke II, p. 7 ; traduction, p. 7.
107 Ibid., p. 9 ; traduction, p. 9.
108 Ibid., p. 10 ; traduction, p. 10.
109 Ibid., p. 11 ; traduction, p. 11.
110 Waldenfels, Antwortregister, op. cit., p. 193.
111 Lipps, Werke III, p. 56.
112 Rainer Maria Rilke, Notes sur la mélodie des choses, traduction Bernard Pautrat, Paris, Alia, 2008, p. 25.
113 Lipps, Werke II, p. 52, traduction, p. 59.