1 Joseph-Henry Costa, « Journal », fo 66r°.
2 Joseph-Henry Costa écrit en effet au début de son « Journal » : « J’avais déjà comme toi projeté de recueillir tes lettres. Je ne sai trop si les miennes en seront dignes ».
3 Notons que ces citations ne sont pas toujours fidèles au texte original.
4 Éditions de 1877, 1878 (2 éditions), 1879, et 1886. Pour une biographie exhaustive de Joseph-Henry Costa, nous renvoyons le lecteur à la notice que lui a consacré Paul Guichonnet, dans le Dizionario biografico degli Italiani, Rome, Istituto della Enciclopedia Italiana, 1984, t. 30, p. 205-208.
5 Marquis P. de Ségur, Le Royaume de la rue Saint-Honoré (Madame Geoffrin et sa fille), Paris, Calman-Lévy, 1897, p. 61-63.
6 Roger-Armand Weigert, « Pierre-Jean Mariette ou l’apogée d’une dynastie », dans Pierre-Jean Mariette, Les grands peintres. I. École d’Italie. Notices biographiques et catalogues des œuvres reproduites par la gravure XVIe-XVIIIe siècle, éd. D. Wildenstein et al., Paris, 1969, p. xi.
7 J. Chatelus, Peindre à Paris au XVIIIe siècle, Nîmes, J. Chambon, 1991, p. 301-302.
8 M. Hamon, Madame Geoffrin femme d’influence, femme d’affaires au temps des Lumières, Paris, Fayard, 2010, p. 140, 174, et 230.
9 P. Michel, « Les collections parisiennes et leurs visiteurs au XVIIIe siècle », dans P. Michel éd., Collections et marché de l’art en France au XVIIIe siècle, Bordeaux, Cahiers du Centre François-Georges Pariset, 2002, p. 153-175 et plus particulièrement p. 170-171 et P. Michel, Peinture et Plaisir. Les goûts picturaux des collectionneurs parisiens au XVIIIe siècle, Rennes, PUR, 2010.
10 Voir E.-A. de Foras, F. de Mareschal, P. de Viry et F. d’Yvoire, Armorial et nobiliaire de l’ancien duché de Savoie, Grenoble, 1863-1950, t. 2, p. 196-202 et la contribution récente de A. Palluel-Gaillard, Une grande famille de Savoie. Les Costa, L’Histoire en Savoie, 27e année, no 107, septembre 1992.
11 J. Nicolas, La Savoie au XVIIIe siècle, Paris, 1978, I, p. 280.
12 Voir J. Nicolas, op. cit., 1978, et P. Michel, « Une famille de curieux et de collectionneurs dans la Savoie d’Ancien Régime : les Costa », Curiosité. Etudes d’histoire de l’art en l’honneur d’Antoine Schnapper, Paris, Flammarion, 1998, p. 297-315.
13 P. Michel, op. cit. 1998, p. 297-315.
14 J. Nicolas, op. cit., 1978, I, p. 298.
15 Archives privées.
16 Information précieuse qui nous a été aimablement fournie par Bertrand Jestaz que nous remerçions.
17 P. Michel, op. cit., 1998, p. 306.
18 Sur ce personnage voir notamment Athanasius Kircher S.J., Il Museo del Mondo, cat. expo. a cura di E. Lo Sardo, Rome, Palazzo Venezia, février-avril 2001.
19 P. Michel, op. cit. 1998, p. 307.
20 Celle-ci est évoquée dans des Mémoires historiques et généalogiques sur la famille Costa, rédigés en décembre 1804 par le marquis Henry Costa, Archives privées, fo 35-45. Voir J. Nicolas, op. cit., 1978, I, p. 280-281.
21 Sur ce personnage, voir Jean-Louis Grillet, Dictionnaire historique, littéraire et statistique du département du Mont Blanc et du Léman, Chambéry, 1807, t. 2, p. 161 ; F. Vermale, « Le marquis Alexis Costa et la Révolution. 1788 », Mémoire et documents de la Société savoisienne d’histoire et d’archéologie, t. 68, 1931, p. 31-57 et J. Nicolas, op. cit., 1978.
22 J. Létanche, Les vieux châteaux, maisons fortes et ruines féodales du canton d’Yenne en Savoie, Chambéry, 1907, reprint Paris, 2006, p. 46-49.
23 Charles-Albert Costa de Beauregard, Un homme d’autrefois. Souvenirs recueillis par son arrière petit fils, le marquis Costa de Beauregard, Paris, Plon, 1877, p. 5.
24 Archives Départementales de la Savoie, Fonds de Ville de Travernay, Lettre du comte de Choisel, 14 décembre 1766, citée par J. Nicolas, op. cit., 1978, II, p. 801 note 174.
25 « Mémoire historique sur la famille Costa », 1804 (Archives privées), fo 82.
26 J.L. Grillet, op. cit, 1807, t. 2, p. 161-162.
27 Cet ouvrage connut deux autres éditions à Chambéry en 1774 et à Paris en l’an X-1802, qui attestent son succès.
28 J. Nicolas, op. cit., 1978, II, p. 806.
29 J. Nicolas, op. cit., 1978, II, p. 807.
30 C.A. Costa de Beauregard, op. cit., 1877, p. 2.
31 Télémaque Costa (1761-1828), futur chevalier de Malte et colonel d’infanterie.
32 Pierre-Joseph Auberjon, seigneur de Murinais. Il avait été page du Roi dans sa Grande-Ecurie, puis Capitaine de Cavalerie au Régiment de Grignan, chevalier de l’Ordre Royal et Militaire de Saint-Louis. De son mariage avec Louise-Geneviève de Savary-de-Brèves étaient issus trois enfants dont Henriette-Louise, qui avait épousé le marquis Joseph-Alexis Costa. D’après De La Chesnaie-Desbois et Badier, Dictionnaire de la noblesse, 3e éd., Paris, 1868, t. I, col. 923-924.
33 C.A. Costa de Beauregard, op. cit, 1877, p. 9.
34 Cité par C.A. Costa de Beauregard, op. cit., 1877, p. 5.
35 J. Nicolas, op. cit., 1978, II, p. 976.
36 Le « Journal » de Joseph-Henry fait en effet fréquemment allusion à des estampes d’après les maîtres, conservées au château du Villard.
37 Archives privées, XXe degré. Lettre d’Alexis-Barthelemy à sa femme, « 7 de 1763 ». À cette date, il ne semble pas possible d’y reconnaître la première collection de François Tronchin car celui-ci n’était pas un amateur de peinture italienne.
38 Opuscule de 56 pages publié à Besançon en 1779, signalé par J. Nicolas, op. cit., 1978, II. p. 1010.
39 Comte H. Costa, Discours…, p. 12-13 cité par J. Nicolas, op. cit., 1978, II, p. 1022.
40 Comte H. Costa, Discours…, cité par J. Nicolas, op. cit., 1978, II, p. 1022.
41 Ibidem.
42 J. Nicolas, op. cit., 1978, II, p. 1023.
43 Souvenirs recueillis par le baron Morand de Confignon. Une excursion au Villard, La Motte-Servolex, 1891 p. 66.
44 C. A. Costa de Beauregard, op. cit., 1877, p. 16.
45 C.A. Costa de Beauregard, op. cit., 1877, p. 15-16.
46 A.N. Dezallier d’Argenville, Voyage pittoresque de Paris ou indication de tout ce qu’il y a de plus beau dans cette grande ville en Peinture, Sculpture et Architecture, Paris, De Bure l’aîné, éd. 1765, p. iii (Préface).
47 Sans doute Antoine-Victor-Augustin, Chevalier de Malte, Aide-Major de la Gendarmerie, « lequel a fait les deux dernières guerres ». D’après De La Chesnaye-Desbois et Badier, Dictionnaire de la Noblesse, 3e éd. Paris, 1869, t. I, col. 923-924.
48 Dans Gilbert Romme, Correspondance 1774-1776, Clermont-Ferrand, 2006, p. 49.
49 Joseph-Henry Costa, « Journal », fo 9r°.
50 Joseph-Henry Costa, « Journal », fo 11r°.
51 Joseph-Henry Costa, « Journal », fo 43r°.
52 Joseph-Henry Costa, « Journal », fo 26v°.
53 D’après Jeze (État ou Tableau de la Ville de Paris, éd. Paris, 1765, 3e partie, p. 23) : « Salle des Antiques, remplie de modèles en plâtre, des plus beaux morceaux qui nous restent de l’antiquité, entr’autres des bas-reliefs de la colonne Trajanne… Même Salle, plusieurs ouvrages de Sculptures Modernes… »
54 Joseph-Henry Costa, « Journal », fo 33r°.
55 Joseph-Henry Costa, « Journal », fo 23v°.
56 Joseph-Henry Costa, « Journal », fo 20v°.
57 Joseph-Henry Costa, « Journal », fo 26r°.
58 Joseph-Henry, « Journal », fo 81v°, « Réponse à la lettre du 19 ».
59 Joseph-Henry Costa, « Journal », fo 19v°.
60 Joseph-Henry Costa, « Journal », fo 20r°. Notons que dans une lettre de Gaudet à Marc-Michel Rey (D. Diderot, Correspondance, éd. G. Roth et J. Varloot, Paris, Ed. de Minuit, 1970, XV, p. 53) datée du 12 may 1777, il est question d’un « Mr Dacosta », que les éditeurs scientifiques de cette correspondance proposent d’identifier (note 6), avec le « comte Joseph Henri Costa, plus tard marquis Costa de Beauregard ? », identification qui nous paraît quelque peu hasardeuse à cette date.
61 Joseph-Henry Costa, « Journal », fo 29r°.
62 Joseph-Henry Costa, « Journal », fo 18r°.
63 Ibidem.
64 Ibid.
65 Joseph-Henry Costa, « Journal », fo 18v°. Le tableau se trouve aujourd’hui à la National Gallery de Londres.
66 Joseph-Henry Costa, « Journal », fo 59r°.
67 Ibidem.
68 Joseph-Henry Costa, « Journal », fo 66 Réponse à la lettre du 20e mars.
69 Joseph-Henry Costa, « Journal », fo 30v°.
70 Joseph-Henry Costa, « Journal », fo 33r°.
71 Joseph-Henry Costa, « Journal », fo 31v°.
72 Joseph-Henry Costa, « Journal », fo 30v°.
73 Ibidem.
74 Joseph-Henry Costa, « Journal », fo 16r°. L. S. Mercier (Paris le Jour, Paris la Nuit, éd. par M. Delon et D. Baruch, Paris, 1990, p. 485, note 20) disait à propos de Greuze : « Greuze et moi, nous sommes deux grands peintres ; du moins Greuze me reconnaissait pour tel. Nous nous connaissions depuis longtemps. Il a mis le drame dans la peinture et moi la peinture dans le drame… ».
75 Joseph-Henry Costa, « Journal », fo 26.
76 Anne-Dorothée Therbusche-Lisziewska (1732-1782).
77 Joseph-Henry Costa, « Journal », fo 56v°.
78 Joseph-Henry Costa, « Journal », fo 32r°.
79 Joseph-Henry Costa, « Journal », fo 67, de Paris, le 1er avril.
80 Joseph-Henry Costa, « Journal », fo 28r°.
81 Ibidem, fo 69v°, le 3 avril.
82 Jeze (État ou Tableau de la Ville de Paris, éd. Paris, 1765, 3e partie, p. 13).
83 Joseph-Henry Costa, « Journal », fo 56r°. Paris, 16 mars 1767. Ce passage a été souvent cité depuis la publication de l’Homme d’autrefois, par C.A. Costa de Beauregard, en 1877.
84 Rime del signor Cavaliere D. Alessandro Sappa Patrizio Alessandrino ed Accademico immobie coll’aggiunta in fine di alcune Poesie d’altri Soggetti della stesa, Alessandria, chez Ignazio Vimercati, 1772, p. 149 (texte avec variantes), éd. utilisée, Alessandria, Vimercati, 1787, I, p. 327, sonnet ccxcvi. Celui-ci est intitulé : « In lode dei meravigliosi disegni del predetto conte Enrico Costa che nel suo arrivo a Allessandria sott’altro nome fatta una graziosa sorpresa a S.E. la Signora Contessa d’Entremont sua gran Madre, si dispone al viaggio d’Italia » (titre dans éd. de 1772, abrégé en 1787 sous la forme : « In lode dei meravigliosi disegni del predetto conte Costa »).Sonetto Sarà nobil teatro al tuo valore Italia bella, ove, o Signor, ten vai : In te avrà Roma un giusto estimatore ; Tu in lei gli applausi di te degni avrai ; Firenze poi, che d’ogni gran PittoreI ritratti serbarsi in sen vedrai, Del tuo imago ancor vorrà l’onore ; Ne tu negarla ai prieghi suoi potrai. Formala dunque finchè qui t’arresti : E pingi, se propor tu mi permetti, Quell’inganno gentil, con cui giungesti. Della sorpresa Madre a piè ti metti ; E i baci, e il pianto, che da lei traesti, I tutti esprimi i suoi brillanti affetti (Cité par Baudi di Vesme, Schede Vesme. L’Arte in Piemonte dal XVI al XVIII secolo, Turin, 1963, I, p. 369).
85 Lettre du 1er janvier 1770, citée par Paul Costa, Matériaux, (publié à compte d’auteur), 1883-1897, p. 188.
86 Tous deux sont incrits dans le volume VII des catalogues (« Catalogo dei gentilissimi e valorosissimi Pastori Arcadi essendo Custode Generale Acamante Pallanzio= Giuseppe Brogi da Roma ») en 1771, ainsi : « Coasta (sic) marchese padre Niso dorideo, Brogi 1771 VII 130 et « Costa marchese figlio Eurialo isidense, Brogi 1771 VII 131 »). Je remercie O. Michel de m’avoir signalé ces informations tirées de A.M. Giorgetti Vichi, Gli Arcadi dal 1690 al 1800, Rome, 1977, p. 306. Sur cette institution romaine et son recrutement, voir Amedeo Quondam, « L’istituzione Arcadia. Sociologia e ideologia di un’Accademia », Quaderni Storici, no°23, mai-août 1973, p. 389-438. Voir également O. Michel, Vivre et peindre à Rome au XVIIIe siècle, Rome, École Française de Rome, 1996, p. 95-107.
87 Olivier Michel (op. cit., 1996, p. 60) rappelle toutefois que « l’Académie de Saint-Luc n’admettait que les peintres de « grande manière » (les peintres d’histoire) à quelques exceptions près, pour des peintres étrangers surtout ».
88 J.L. Grillet, op. cit., 1807, II, p. 163.
89 Cité dans Souvenirs recueillis par le baron Morand de Confignon. Une excursion au Villard, La Motte-Servolex, 1891, p. 45.
90 Archives privées, XXe degré, no 23.
91 Sur les relations amicales entre Joseph-Henry Costa et P.L. De La Rive, voir P.-A. Guerretta, Pierre-Louis De La Rive. Vie et œuvre peint (1753-1817), Genève, 2002, et plus particulièrement les pp. 44, 93, 242, 265-266, 413, 415.
92 Cité par F. Descostes, Joseph de Maistre avant la Révolution. Souvenirs de la société d’autrefois 1753-1793, Paris, 1893, I, p. 161, note (1).
93 Cité par F. Descostes, op. cit., 1893, II, p. 162.
94 F. Descostes, op. cit., I, 1893, p. 162.
95 Sur le rôle de Joseph-Henry Costa durant cette campagne militaire, voir Piero Cazzola, « Guerra ed emigrazione nella vita di Henry Costa de Beauregard (1792-1799) », dans E. Kancefféd. « Voyage et Révolution. II. Viaggi di uomini e di idée al tempo della Rivoluzione, Grenoble, Centre Interuniversitaire de Recherche sur le Voyage en Italie (Bibliotheque du Voyage en Italie, 44), Genève, Slatkine, 1993, p. 381-406 et Virgilio Ilari, Piero Crociani et Ciro Paoletti, La Guerra delle Alpi (1792-1796), Rome, Stato Maggiore dell’Esercito, Ufficio Storico, 2000, pp. 44, 98, 157, 190, 303, 307.
96 J.L. Grillet, op. cit., 1807, I, p. 340-341, écrit à son propos : « À l’âge de 10 ans, Eugène Costaz réduisit dans un espace de huit pouces, sur six, la carte des environs du lac Léman, de M. Mallet, avec tant de délicatesse et de précision, qu’elle fut trouvée digne d’être placée dans le cabinet du roi de Sardaigne. Il dessina ensuite les animaux et les paysages héroïques ; il esquissa des groupes de soldats, toutes les actions où il se trouva pendant la guerre ; et ses dernières compositions historiques, furent la mort d’Epaminondas, et celle de Cléobis et de Biton… ».
97 F. Descostes, op. cit., 1893, I, p. 159. Le Discours à Mme la marquise de Costa sur la vie et la mort de son fils Alexis-Louis-Eugène de Costa… » a été publié dans J. de Maistre, Œuvres complètes…, Lyon, 1884, VII, p. 234-278. Sur la mort d’Eugène Costa lors de cette bataille voir V. Ilari, P. Crociani et C. Paoletti, op. cit., 2000, p 157.
98 Cette publication, commencée en 1816, ne fut achevée qu’après la mort de Joseph-Henry, par son petit-fils Charles-Albert-Marie.
99 Sur ce personnage voir Dictionnaire de biographie française sous la dir. de Roman D’Amat, vol. 9, Paris, 1961, p. 787.
100 J.-L. Grillet, op. cit., 1807, I, p. 340.
101 Mémoires de l’Académie de Savoie, 2e série, t. VIII, Exposition de Chambéry, 1863, no 18. Compositions diverses dessinées à la plume. Collection Costa et no 82 : « Atelier de peinture dans le château du Villard, peint à l’âge de 14 ans, par le marquis Costa, auteur des Mémoires historiques sur la Maison Royale de Savoie ».
102 Ce texte a été également publié sous la forme d’un article dans R. Fournier Sarloveze, « Un amateur oublié. Costa de Beauregard », Revue de l’Art Ancien et moderne, t. X, juillet-décembre 1901, p. 259-275.
103 Représentant notamment des sujets tirés de Robinson Crusoë, de l’Arioste, des Fable d’Esope et du Don Quichotte de Cervantes, qui nous éclairent sur les lectures du jeune Joseph-Henry Costa‘.
104 Fournier Sarloveze, op. cit., 1901, p. 272, note 1. Mentionnons aussi l’article de P.-E. Schazmann, « Les peintures du marquis Henry Costa de Beauregard », Journal de Genève, 14 février 1963.
105 Ce tableau est reproduit dans J. Nicolas, op. cit., 1978, II, fig. 156. Il représente Joseph-Henry Costa dessinant d’après un moulage du Gladiateur Borghese dans l’Atelier-Salon du château du Villard, entouré du marquis Alexis-Barthélémy, son père et du marquis de Murinais.
106 Ce tableau peint sur toile représente Joseph-Henry Costa présentant à sa famille réunie autour d’une table le portrait de sa sœur aînée, Henriette qu’il vient d’achever. Reproduit dans J. Nicolas, op. cit., 1978, II, fig. 165.
107 D’après une mention de l’inventaire Tronchin. Toutefois, il pourrait bien s’agir d’une mauvaise lecture de la date ou d’une transcription erronée. La date de 1765 correspondrait mieux.
108 De Genève à l’Ermitage. Les collections François Tronchin, cat. expo. Genève, Musée Rath, 1974, p. 160, no 314 et 315.
109 Ces faits sont rappellés également par P.- A. Guerretta, op. cit., 2002, p. 44.
110 Il fut acheté par le marchand Martin Laporte, pour 21 fr. Voir cat exp. De Genève à l’Ermitage… p. 160, no°315.
111 J.L. Grillet, op. cit., 1807, II, p. 163-165.
112 Lettre de N***au marquis Alexis-Barthélemy Costa, Turin, le 16 de janvier (1765), Archives privées.
113 Archives privées, lettre de Charles Emmanuel III, roi de Sardaigne et de Chypre, à Turin, le 23 de février 1765.
114 Faits rappelés récemment par P.-A. Guerretta, op. cit., 2002, p. 44.
115 Lettre du 10 mai 1776, Genève, Bibliothèque Publique Universitaire, Ms Tronchin 196, citée par H. Tronchin, Le conseiller François Tronchin et ses amis Voltaire, Diderot, Grimm etc d’après des documents inédits, Paris, 1895, p. 265.
116 Archives privées, XXe degré, no 23.
117 Rime del signor Cavaliere D. Alessandro Sappa Patrizio Alessandrino ed Accademico immobie coll’aggiunta in fine di alcune Poesie d’altri Soggetti della stessa, Alessandria, Ignazo Vimercati, 1787, p. 326 : « Al Conte Enrico Costa Sonetto ccxcv L’Alpe in van ci divide : il guardo mio Anche da lungi la tua tela or mira : Quel doppio osserva tenero desioPer cui la Sposa, e Figlia arde, e sospira ? E mentre l’ondeggiar del mesto addio Con gli altri anche il mio cor dietro si tira, Grazie rendo a quel foglio in cui vegg’ioIl tuo lavor, che vita, e Grazia spira. A non so, quando lego i tratti suoi, Chi quegli affetti meglio animi, e avvivi, E la paterna penna, o i color tuoi. So che genj si brillanti, e viviFar ponno altri stupir, ma non già noi : La Fonte conosciam di si bei rivi ». cité par Baudi di Vesme, Schede Vesme. L’Arte in Piemonte dal XVI al XVIII secolo, Turin, 1963, I, p. 369.
118 Ibidem, p. 369.
119 J.L. Grillet, op. cit., 1807, I, p. 340.
120 La traduction de ce célèbre texte par Filleau de Saint-Martin fut réimprimée au moins vingt fois entre 1730 et 1780. Voir M. Bardon, Don Quichotte » en France aux XVIIe et XVIIIe siècles. 1605-1815, Paris, H. Champion, 1931, p. 152.
121 P. Testud, « Introduction » de l’édition critique de Restif de La Bretonne, La dernière aventure d’un homme de quarante-cinq ans, Paris, Champion, 2007, p. 35.