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    Presses universitaires du Septentrion
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    Plan

    Plan détaillé Texte intégral Les écoles congréganistes de garçons en 1848 (d’après les rapports d’inspection publiés par J.-B. Arnould, Notes et documents..., op. cit.) Les écoles mutuelles en 1848

    Instituteurs avant la République

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    Table des matières

    Annexes de la première partie. L’enseignement primaire à Reims sous la monarchie de Juillet et le second Empire

    p. 279-285

    Texte intégral Les écoles congréganistes de garçons en 1848 (d’après les rapports d’inspection publiés par J.-B. Arnould, Notes et documents..., op. cit.) Les écoles mutuelles en 1848

    Texte intégral

    1Pour dresser un tableau complet de l’instruction à Reims entre 1830 et 1868, nous disposons d’abord des informations livrées par Charpentier et Arnould. En outre, on peut consulter un Rapport sur la situation morale et matérielle des salles d’asile et des écoles primaires de Reims, de L.-H. Midoc, Reims, 1869. Un bref résumé historique se trouve dans Ch. Loriquet, L’instruction primaire à Reims, Reims, 1874, avec la liste complète des ouvrages utilisés dans les écoles.

    2En 1868, époque à laquelle Charpentier a quitté sa classe, il y a à Reims cinq écoles congréganistes de filles, tenues par les sœurs de l’Enfant Jésus, avec vingt classes ; trois écoles laïques de garçons avec neuf classes ; six écoles congréganistes de garçons avec vingt-deux classes ; quatre salles d’asile dirigées également par les sœurs de l’Enfant Jésus.

    3En 1842, la population scolaire est exactement de 1478 garçons et 1682 filles, pour environ 39 000 habitants (L. Charpentier, L'enseignement primaire..., op. cit., p. 257). Le budget municipal pour ce secteur est de 33 000 francs par an (L.-H. Midoc, Rapport..., op. cit., p. 4, qui donne ces chiffres entre 1826 et 1869). En 1848, il y a cinq écoles de filles, dont quatre dirigées par les sœurs de l’Enfant Jésus ; cinq écoles congréganistes de garçons ; et les trois écoles laïques (mutuelles) de garçons.

    Les écoles congréganistes de garçons en 1848 (d’après les rapports d’inspection publiés par J.-B. Arnould, Notes et documents..., op. cit.)

    41) L’école de la rue du Jard (320 élèves ; Arnould, pp. 365 et suiv.). C’est l’ancien couvent de la Visitation, entièrement rebâti pour les frères, qui y logent, y ont leur parloir, leur chapelle, et leur jardin. On peut aujourd’hui encore le trouver, il s’y tient toujours une école, coincée désormais entre deux bâtiments scolaires modernes. La Visitation a donc échappé à la grande destruction de la ville pendant la guerre de 1914-1918. En novembre 1840, cette école compte 320 enfants, répartis dans les trois classes habituelles, deux classes d’écriture de 60 élèves chacune, et une classe inférieure de 200 élèves. A cause de ce dernier chiffre, le Frère Euphrone, directeur, demande un traitement supplémentaire pour un quatrième instituteur, ce qui lui sera accordé en 1841.

    5Le 26 mars 1847, dans l’après-midi, le comité communal d’instruction publique (dont Arnould est secrétaire) se rend dans cette école pour l’inspecter. Il observe que les salles de la première et de la seconde classe sont vastes et bien aérées ; qu’elles pourraient contenir davantage d’enfants, lesquels viendraient éventuellement d’une autre école, encombrée, celle de la rue Perdue. Le comité remarque également que les carreaux de terre rouge qui pavent la première classe sont détériorés ; que la première porte de la troisième classe est cassée et ne peut plus s’ouvrir ; que le local de la quatrième classe, qui sert le soir au cours de dessin pour les adultes, est trop bas et mal aéré, ce qui oblige à laisser les fenêtres ouvertes, et donc à supporter le bruit qui monte de la rue du Jard.

    6Au moment de cette visite, la seconde classe a 26 enfants (sur 50 inscrits ; mais tous les absents ont un motif valable, et de toutes façons les parents sont toujours prévenus des absences de leurs enfants). Ils travaillent à un exercice d’écriture. Les cahiers ont été examinés, et la tenue en a paru généralement bonne. Dans la troisième classe, il y a 41 présents sur 42 inscrits. On est aussi à une leçon d’écriture, mais les enfants sont des commençants. Le comité note la présence d’un enfant aveugle de 13 ans « triste et oublié » dans son coin. On demande si quelque membre du comté ne saurait le moyen d’améliorer sa situation. Arnould nous apprend que peu de temps après, le conseil général fera placer cet enfant, aux frais du département, dans l’Institut des Jeunes Aveugles, à Paris. Dans la quatrième classe enfin, qui comporte 63 présents sur 79 inscrits, les inspecteurs font lire les enfants et constatent que les plus jeunes savent à peine les lettres, mais que parmi eux ont repère bien ceux qui ont fréquenté une salle d’asile. Les inspecteurs regrettent que le frère surveillant ne puisse pas s’occuper des élèves les moins avancés. Il s’agit au total d’une « bonne école, attentivement dirigée et bien tenue » (Arnould, Ibid., p. 469).

    72) L’école de la rue des Telliers (142 élèves). Au dessus de la porte d’entrée on peut lire encore en 1847 l’inscription ancienne en lettres jaunes : « Ecoles chrétiennes », apposée en 1814. Cette école est la seule parmi celles des frères à être divisée en deux classes, ce qui doit certainement nuire, note Arnould, à son efficacité. Lors d’une première visite (Ibid., pp. 372 et suiv.), dont Arnould ne précise pas la date mais qui doit être de la même année 1847, le comité s’intéresse surtout à l’enseignement. Dans la première classe, elle-même divisée en deux « séries », il y a 52 élèves. L’une des séries est occupée à une leçon d’arithmétique. Le comité interroge les enfants et s’aperçoit d’inégalités entre eux, et de la faiblesse marquée des moins avancés. Dans la seconde classe, également divisée en deux, 83 élèves sont présents sur 89. Tous les cahiers d’écriture paraissent bien tenus, l’écriture est en général nette et propre.

    8Lors d’une autre visite, le comité sera frappé dans la première et surtout la deuxième classe, où sont entassés 90 enfants, par une mauvaise odeur persistante. C’est que les fenêtres donnent sur une petite cour sombre et humide où sont les lieux d’aisance, adossés au mur même de la classe. En été, l’air qui entre dans la classe est des plus fétides ; mais c’est bien pire lorsqu’on laisse les fenêtres closes. Le comité propose donc des travaux à faire d’urgence.

    93) L’école de la rue Large (192 élèves). Très spacieuse, c’est, d’après Arnould, l’une des plus convenables et des mieux appropriées. Il s’agit de l’ancienne école de la rue des Capucins, laissée aux maîtres mutuels, d’abord transférée rue de Châtivesle (un frère y a laissé sa santé en gouvernant à lui seul la petite classe qui comptait plus de 170 élèves – d’après une lettre du frère Euphrone au maire, le 9 septembre 1841, in Arnould, ibid., pp. 382-383), puis construite à l’emplacement actuel en 1841. Le comité l’inspecte le 11 mai 1847. Dans la première classe il y a ce jour-là 50 élèves présents. Les cahiers sont propres mais toutes les fautes d’orthographe ne sont pas corrigées. Dans la troisième classe il n’y a que 65 élèves présents sur 85 inscrits (alors que la salle pourrait en contenir 120). Le comité fait lire quelques enfants, constate que tous connaissent bien leurs lettres et que certains lisent couramment. Le comité signale enfin comme une lacune l’absence d’un enseignement de la musique (Ibid., p. 385).

    104) L’école de l’Esplanade Cérès (248 élèves). La décision de construire une école en ce lieu excentré, un faubourg de la ville qui attire chaque année davantage de population, remonte à 1827. La troisième classe n’a été ajoutée qu’en 1836. Le comité a fait dans l’école une inspection de deux heures le 31 janvier 1848 et une autre inspection le 7 avril (Ibid., pp. 393 et suiv., et pp. 395 et suiv.). En janvier, dans la première classe où 53 élèves sont présents, les cahiers d’écriture des plus avancés semblent très satisfaisants quant à l’écriture et à l’orthographe. Il s’avère toutefois que les enfants ont les mains sales, ce qui vient probablement d’une absence de recommandation des frères à ce sujet. En avril, le comité répète une objection déjà faite : les modèles d’écriture et les dictées sont la plupart du temps « des préceptes abstraits de la science théologique », ou bien des phrases détachées et sans signification, donc sans intérêt ; on ne fait pas appel à l’intelligence des élèves (Ibid., p. 396.). Par contre, des questions sur le système métrique et des calculs de fractions décimales sont traités avec facilité. En janvier, dans la deuxième classe, sont présents 70 élèves qui « en général » lisent bien et couramment. Dans la troisième classe sont présents 92 élèves sur 128 (à cause du mauvais temps et notamment du dégel qui oblige à rester chez eux les enfants les plus jeunes et dont le domicile est le plus éloigné).

    115) L’école de la rue Perdue (273 élèves). C’est l’école quittée en 1833 au profit des maîtres mutuels puis restituée aux frères en 1838. Depuis 1841, toutes les observations du comité, souligne Arnould, ont visé à obtenir un agrandissement des locaux, car dès cette époque la première classe renfermait 60 enfants, la deuxième 80, et la troisième 150. Mais en 1848, l’amélioration se fait encore attendre (Ibid., p.397 et suiv.).

    Les écoles mutuelles en 1848

    121) L’école du 1er arrondissement, rue des Capucins est celle ouverte le 1er janvier 1833 avec pour instituteur Louis-Philippe-Charles Bourdonné. Né le 25 août 1805 à Paris, Bourdonné obtient en 1841 la direction de l’école primaire supérieure et il est remplacé à son poste par François-Hector Rosset, né le 16 août 1816 à Paris, ancien professeur au collège de Gisors, et qui enseignait depuis 1838 à l’école mutuelle du 3e arrondissement. Arnould, qui ne pouvait être étranger à la nomination de Bourdonné, en fait un portrait plus qu’élogieux : il a, dit-il, « concentré toutes ses facultés, dirigé toute ses études vers l’instruction primaire ; il a voué sa vie à cette noble et utile carrière d’instituteur primaire... » (Ibid., p. 442). On lui doit en outre une innovation remarquable : depuis 1835, il fait imprimer des bulletins qu’il envoie aux parents tous les quinze jours pour les informer des progrès et de l’assiduité de leurs enfants. Quant à Rosset, c’est « un homme religieux et bon, de mœurs graves et méditatives, qui comprend bien les devoirs de l’instituteur de l’enfance... » (Ibid., p. 445).

    13Conformément au plan habituel des écoles mutuelles, le local de la rue des Capucins est un rectangle dont les deux longueurs s’ouvrent de six grandes fenêtres cintrées, alors que l’estrade est adossé au mur face à la nouvelle rue Libergier. Cette salle est meublée par onze tables et bancs pour douze à quatorze enfants, garnis d’ardoises, d’encriers et de guidons en bois portant les chiffres et les lettres réclamés par la méthode. Sur les murs sont accrochés 15 tableaux noirs devant lesquels les élèves viennent suivre différentes leçons, de lecture, de géographie ou d’arithmétique, sous la conduite de leurs moniteurs. Devant la classe il y a une cour étroite avec, au fond, les lieux d’aisance et un hangar où les élèves déposent leur panier. Un rapport de 1836 trouve cet espace très incommode (un cloaque !) et propose un aménagement ; ce vœu sera assez vite réalisé. L’école accueille 112 élèves au moment où Rosset y entre en fonction ; elle en comptera 164, chiffre maximal, au 1er janvier 1844 (Ibid., pp. 439-440).

    142) L’école du 2e arrondissement. C’est l’école dirigée par Léopold Charpentier. Elle se trouve depuis décembre 1836 à proximité de l’Esplanade Cérès, rue Haute-Croupe, entre le mur d’enceinte de la ville et l’ancien cimetière protestant. La date est donnée par Charpentier (in L’enseignement primaire..., op. cit., p. 87), mais Arnould mentionne Pâques 1837 (in Notes et documents..., op. cit., p. 455). Avant qu’on décide de cette implantation, on avait envisagé de réunir l’école au palais de justice dont on projetait la construction (Voir Arch. Mun. de Reims,1 D 13, 1836), après avoir occupé d’abord la salle des Gisantes de l’hôtel-dieu. C’est, dit Arnould, une école « convenablement disposée », entourée d’un grand jardin, et composée de trois bâtiments parmi lesquels Charpentier a son logement, dont il jouit gratuitement depuis 1840, « comme marque de satisfaction et à titre de récompense des bons et loyaux services » (Ibid., p. 458) ; mais nous avons vu que les choses sont plus compliquées. Voici la statistique de la fréquentation de cette école dans ses deux implantations (Ibid., pp. 436-437 et 464-466).

    01-10-1833 : 79 élèves

    31-12-1834 :113 -

    31-12-1835 :111 -

    31-12-1836 : 97 -

    31-12-1837 :114 -

    21-12-1838 : 120 -

    31-12-1839 : 125 -

    31-12-1840 : 131 -

    31-12-1841 : 139 -

    31-12-1842 :133 -

    31-12-1843 : 144 -

    31-12-1844 :134 -

    31-12-1845 : 138 -

    01-10-1847 : 147 -

    15Une visite est effectuée par le comité communal d’instruction le 7 avril 1848 (le même jour que pour l’école des frères voisine) dans la classe de Charpentier. Il y a ce jour-là 147 élèves présents. Tous se montrent « attentifs, appliqués à leurs études, bien disciplinés sous la main ferme et vigilante de l’instituteur » (Ibid., p. 395). Le comité note que malgré les préoccupations du dehors (la révolution, cette fois !), « l’application des élèves, l’ardeur intelligente des moniteurs, le zèle et la persévérance du maître », rien de tout cela ne fait défaut à la marche de la classe. L’école montre donc que la méthode d’enseignement mutuel produit « des résultats remarquables par l’ensemble et l’unité des exercices et des progrès des enfants ». Le comité conclut-ce que ne manque pas de citer Charpentier (Ibid., p. 395 ; et L. Charpentier, L’enseignement primaire..., op. cit., pp. 162-163) : « Nous croyons fermement que le mode de l’enseignement mutuel, à mesure qu’il se complète et se perfectionne par les améliorations réalisées chaque jour, doit être, dans l’avenir, l’une des bases fondamentales de l’éducation publique et nationale, applicable à tous les enfants et à toutes les classes de la société. »

    163) L’école du 3e arrondissement. Ouverte également, comme celle du 1er arrondissement, en janvier 1833, elle était d’abord située à la place des frères, rue Perdue. Puis elle fut déplacée en 1834 sur la place Suzanne, où elle avait une façade sur la rue Neuve. C’est là cependant, a-t-on répété, une mauvaise installation, car le mur qui sépare l’école de son préau et de la place où est la pompe à incendie est trop rapproché des tables d’écriture, et les cercles de lecture contre les murs sont trop rapprochés des tables. Toute circulation est impossible. En outre, les tables proches de l’estrade, pour les plus jeunes enfants, sont encombrées de 14 ou 15 élèves serrés les uns contre les autres, alors qu’il en faudrait 12 au plus. Autre défaut, il n’y a de lumière et d’air que du côté qui donne sur la rue Neuve.

    17L’instituteur de cette classe était en 1833 Paul Parizy, né le 22 décembre 1792 à Reims. Mais en 1838, il fut contraint de cesser ses activités par suite d’une décision du comité communal d’instruction primaire : la loi de 1833, en effet, demandait que les instituteurs antérieurement en fonction fussent institués par le ministre de l’instruction publique, après avoir été nommés par le comité d’arrondissement (le second comité scolaire, au-dessus du comité communal ou local). Or suivant la procédure, le comité cantonal se retourna vers le comité communal, qui émit un avis défavorable pour des raisons qu’Arnould ne veut pas dévoiler, mais qui tiennent vraisemblablement aux insuffisances intellectuelles et pédagogiques du maître, que d’ailleurs Charpentier avait décelées lorsqu’on lui avait demandé son avis, au moment du recrutement. Toutefois, l’inspecteur départemental, Pourpe, protesta, bien qu’il eût lui-même signalé la mauvaise tenue de l’école. Ce fut peine perdue. Parizy resta en poste encore un an et on le remplaça en faisant comme d’habitude appel à la Société élémentaire. Rosset arriva donc, puis il rejoignit en 1841 l’école du 1er arrondissement et, à partir du 1er février 1841, ce fut Jean-Rémi Homo, né le 5 octobre 1811 à Verzy, qui fut appelé au 3e arrondissement, en vertu de mérites publiquement attestés puisqu’il venait de remporter (en 1840) le prix du canton de Bourgogne, ainsi que plusieurs mentions honorables dans le concours du canton et de l’arrondissement. En février 1841, l’école reçoit 150 élèves, et ce chiffre se maintiendra les années suivantes (Ibid., pp. 474-475).

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    • (2020) Les deux vies d’Abel Barbin, né Adélaïde Herculine (1838-1868). DOI: 10.3917/puf.houbr.2020.01.0297
    • Borges, Angélica. (2021) A urdidura do magistério primário na Corte Imperial: um professor na trama de relações e agências. DOI: 10.7476/9786587949208
    • Caron, Jean-Claude. (2000) The French Experience from Republic to Monarchy, 1792–1824. DOI: 10.1057/9781403932747_8
    • Alix, Sébastien-Akira. (2019) School Acts and the Rise of Mass Schooling. DOI: 10.1007/978-3-030-13570-6_7
    • Krop, Jérôme. (2015) Pratiques sociales et identité professionnelle dans le champ de l’enseignement primaire de la Seine (1870-1914). Les Sciences de l'éducation - Pour l'Ère nouvelle, Vol. 48. DOI: 10.3917/lsdle.483.0019
    • TIPEI, ALEX R.. (2018) HOW TO MAKE FRIENDS AND INFLUENCE PEOPLE: ELEMENTARY EDUCATION, FRENCH “INFLUENCE,” AND THE BALKANS, 1815–1830S. Modern Intellectual History, 15. DOI: 10.1017/S147924431700018X
    • Toloudis, Nicholas. (2008) InstituteurIdentities: Explaining the Nineteenth Century French Teachers' Movement. Social Movement Studies, 7. DOI: 10.1080/14742830801969373
    • Causarano, Pietro. (2012) Teachers and trade unions: between corporate tradition, professional associations and collective representation. Transfer: European Review of Labour and Research, 18. DOI: 10.1177/1024258912439143
    • Bret, Dominique. (2015) Introduction. Les Sciences de l'éducation - Pour l'Ère nouvelle, Vol. 48. DOI: 10.3917/lsdle.483.0007

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    Jacquet-Francillon, F. (1999). Annexes de la première partie. L’enseignement primaire à Reims sous la monarchie de Juillet et le second Empire. In Instituteurs avant la République (1‑). Presses universitaires du Septentrion. https://0-doi-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/10.4000/books.septentrion.46998
    Jacquet-Francillon, François. « Annexes de la première partie. L’enseignement primaire à Reims sous la monarchie de Juillet et le second Empire ». In Instituteurs avant la République. Villeneuve d’Ascq: Presses universitaires du Septentrion, 1999. https://0-doi-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/10.4000/books.septentrion.46998.
    Jacquet-Francillon, François. « Annexes de la première partie. L’enseignement primaire à Reims sous la monarchie de Juillet et le second Empire ». Instituteurs avant la République, Presses universitaires du Septentrion, 1999, https://0-doi-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/10.4000/books.septentrion.46998.

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    Jacquet-Francillon, F. (1999). Instituteurs avant la République (1‑). Presses universitaires du Septentrion. https://0-doi-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/10.4000/books.septentrion.46923
    Jacquet-Francillon, François. Instituteurs avant la République. Villeneuve d’Ascq: Presses universitaires du Septentrion, 1999. https://0-doi-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/10.4000/books.septentrion.46923.
    Jacquet-Francillon, François. Instituteurs avant la République. Presses universitaires du Septentrion, 1999, https://0-doi-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/10.4000/books.septentrion.46923.
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