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    Plan

    Plan détaillé Texte intégral Prologue du commentaire au Livre II : 259.3-261.4. Chapitre 1 (Phys. 192b8-193b21 = In Phys. 261.5-282.29) Chapitre 2 (Phys. 193b22-194b15 = In Phys. 282.30-309.1) Chapitre 3

    Commentaire sur la Physique d’Aristote. Livre ii, ch. 1-3

    Ce livre est recensé par

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    Table des matières

    Résumé analytique du commentaire de Simplicius à la Physique d’Aristote, livre II, ch. 1-3

    p. 37-46

    Texte intégral Prologue du commentaire au Livre II : 259.3-261.4. Chapitre 1 (Phys. 192b8-193b21 = In Phys. 261.5-282.29) Chapitre 2 (Phys. 193b22-194b15 = In Phys. 282.30-309.1) Chapitre 3

    Texte intégral

    Prologue du commentaire au Livre II : 259.3-261.4.

    Chapitre 1 (Phys. 192b8-193b21 = In Phys. 261.5-282.29)

    Parmi les êtres, les uns sont par nature, les autres, par d’autres causes… jusqu’à et des choses semblables, on dit qu’elles sont par nature (192b8-12).

    1. Explication générale : 261.7-28.
    2. Explication de « et leurs parties » : 261.29-262.12.
      1. Alexandre : 261.29-262.1.
      2. Simplicius : 262.1-12.
    3. Pourquoi dire que les animaux et les plantes sont par nature alors que c’est une âme qui caractérise ces êtres : 262.13-263.30.
      1. Position du problème : 262.13-28.
      2. Réponse de Simplicius : 262.28-263.17.
      3. Eudème : 263.18-30.
    4. Conclusion : 263.30-264.3.

    Toutes ces choses manifestement sont différentes de celles qui ne sont pas constituées par nature… jusqu’à d’autres quant à l’altération (192b12-16).

    1. Explication générale : 264.6-18.
    2. Explication de « et d’arrêt » : difficulté soulevée par le cas du Ciel : 264.18-265.1.
      1. Alexandre : 264.18-22.
      2. Porphyre : 264.22-265.1.
    3. Sur la classification des étants par Alexandre : 265.1-6.

    Mais un lit et un manteau, et tout autre chose de ce genre… jusqu’à toutes les choses qui peuvent devenir par accident causes pour elles-mêmes (192b16-32).

    1. Explication générale : « impulsion » (ὁρμή) signifie ici « principe » (ἀρχή) : 265.9-266.4.
    2. Reformulation syllogistique du raisonnement : 266.5-32.
    3. Justification de la définition de la nature donnée par Aristote : 266.33-268.12.
      1. Explication de « pour ce en quoi elle se trouve à titre premier par soi et non par accident » : 266.33-268.3.
        1. Explication de « à titre premier » : 266.33-267.5.
        2. Explication de « par soi et non par accident » : 267.5-22.
        3. Différence entre « à titre premier » et « par soi » : 267.22-268.3.
      2. Cas de concomitance du « à titre premier » et du « par soi » : 268.3-12.
    4. Critique des thèses d’Alexandre sur l’âme : 268.12-269.4.
      1. L’âme se meut comme le pilote en son navire : 268.12-18.
      2. Aristote a englobé l’âme dans sa définition de la nature : 268.18-269.4.
    5. Remarques complémentaires : 269.5-17.
      1. explication de « produites » (ποιουμένων : 192b28) : 269.5-10.
      2. Syrianus : la définition ici donnée de la nature au sens propre convient par analogie aux autres significations du mot « nature » : 269.10-17.

    Et la nature est donc ce qu’on a dit… jusqu’à ce qu’est le par nature et le selon la nature : (192b32-193a2).

    1. Pourquoi ajouter ici « toutes les choses qui possèdent un principe de ce genre ont une nature » : 269.20-270.3.
    2. Explication de « et toutes ces choses sont des substances » : 270.3-26.
      1. Première explication. Toutes les choses qui ont une nature sont substances : 270.3-8.
      2. Autres explications : 270.8-26.
      3. Problème soulevé par Alexandre : si la nature est substance elle ne peut être dans un substrat (cf. les Catégories) : 270.26-34.
    3. Le « selon la nature » et le « par nature » : 270.35-271.22.
      1. Ce que sont les choses qui sont « selon la nature » : 270.35-271.9.
      2. Différence entre le « selon la nature » et le « par nature » : 271.9-22.

    Mais que la nature existe il serait ridicule de s’employer à la montrer… jusqu’à… ne pensent rien (193a3-9).

    1. Pourquoi Aristote ne démontre pas que la nature existe : 271.25-272.12.
    2. L’intellect, faculté de juger de ce qui est évident : 272.13-273.1.
    3. Conclusion : 273.1-4.

    Certains sont d’avis que la nature c’est-à-dire l’essence des êtres qui sont par nature… jusqu’à tout le reste naît et périt sans fin (193a9-28).

    1. Enchaînement avec ce qui précède : 273.7-17.
    2. les Présocratiques : la nature est le substrat, i.e. la matière : 273.17-275.3.
      1. Le « constituant premier dépourvu de forme par soi » est la matière première : 273.17-34.
      2. Antiphon et les Présocratiques : 273.35-274.26.
      3. Explication de « dispositions » et « états » : 274.27-275.3.
    3. Sur la variante « disposition formelle » (τὴν κατὰ ῥυθμὸν διάθεσιν) au lieu de « disposition conventionnelle » (τὴν κατὰ νόμον διάθεσιν) : 275.3-5.

    La nature se dit donc ainsi d’une première manière… jusqu’à un principe de mouvement et de changement (193a28-30).

    1. Pourquoi l’ajout de : « des êtres qui ont en eux-mêmes un principe de mouvement et de changement » : 275.8-23.
      1. Dans les artefacts la matière sous-jacente première, identifiée avec la matière prochaine, n’est pas nature : 275.8-15.
      2. Dans les artefacts la matière première, i.e. le substrat dernier, n’est pas non plus nature : 275.15-23.
    2. Parfaite exactitude du texte d’Aristote : 275.23-30.

    D’une autre manière, c’est la configuration et la forme… jusqu’à si ce n’est par la raison : (193a30-b5).

    1. La nature est forme : 275.32 – 276. 24.
    2. Forme selon la configuration et forme selon la définition, i.e. selon le « type » : 276.24-277.9.

    Et ce qui est fait de ces composants n’est pas une nature, mais est par nature, par exemple un homme (193b5-6) : 277.12-19.

    Et celle-ci est davantage nature que la matière… jusqu’à car un homme naît d’un homme (193b6-12).

    1. C’est la forme, et non le composé comme le comprend Porphyre, qui est davantage nature que la matière. Premier argument : 277.20-31.
    2. Reformulation syllogistique du premier argument d’Aristote par Alexandre : 277.31-278.3.
    3. Explication de : « davantage » et « entéléchie » : 278.3-9.
    4. La forme est davantage nature. Second argument : 278.10-32.

    De plus, la nature entendue comme… jusqu’à… Donc la figure (ἡ μορφή) est nature (193b12-18).

    1. La nature est forme. Troisième argument : une chose devient ce vers quoi elle va, à savoir la forme : 278.35-279.11.
    2. Sur la dérivation identique formellement mais sémantiquement différente des noms φύσις et ἰάτρευσις : 279.11-25.
    3. Explication de la lettre : 279.25-35.

    Mais la configuration (μορφή) et la nature se disent en deux sens… jusqu’à… il faudra l’examiner plus tard (193b18-21).

    1. Apories soulevées par le texte d’Aristote : 280.3-281.13.
      1. En quoi la privation est en un sens forme et nature : 280.3-27.
      2. En quel sens le chemin vers la privation peut être appelé nature : 280.27-281.13.
      3. Le problème de la génération substantielle : la substance n’a pas de contraire : 280.34-281.13.
    2. Résolutions de l’aporie posée par la génération substantielle : 281.13-282.29.
      1. Solution qu’on peut tirer d’Aristote. La contrariété n’est pas entre substances (feu et terre) mais entre formes : 281.13-282.2.
      2. Remarque d’Alexandre : 282.3-6.
      3. Autre solution. La contrariété n’est pas entre formes, mais entre les différences que sont le chaud, le sec, etc. : 282.6-29.

    Chapitre 2 (Phys. 193b22-194b15 = In Phys. 282.30-309.1)

    Mais puisqu’on a distingué en combien de sens se dit la nature (193b22).

    1. Les cinq significations du mot « nature » : 282.31-285.12.
      1. La nature est la matière : 282.31-283.20.
      2. La nature est la forme engagée dans la matière : 283.21-27.
      3. La nature est le composé de forme et de matière : 283.28-284.4.
      4. La nature est le mouvement même de la génération : 284.5-11.
      5. La nature au sens propre est la cause du changement, i.e. la cause productrice : 284.12-24.
      6. La définition de la nature au sens propre s’applique à toutes les significations du mot « nature » : 284.25-285.12.
    2. Pourquoi Aristote n’a-t-il pas ici mentionné le sens principal du mot « nature », i.e. celui de cause productrice : 285.13-29.
    3. Récapitulation générale sur ce qu’est la nature : 285.30-289.35.
      1. La méthode suivie par Aristote : 285.30-286.6.
      2. La tripartition : étants supra-naturels, naturels, infra-naturels : 286.6-19.
      3. Différence entre la nature et l’âme : L’âme est principe du mouvoir, la nature, principe de l’être-mû : 286.20-288.32.
      4. En quoi dans sa définition de la nature Aristote se rapproche et en quoi il se sépare des Anciens : 288.33-289.25.
      5. La triade forme, nature, matière comme image spéculaire de la triade des dieux intelligibles, Être, Vie, Pensée : 289.25-35.

    Il faut après cela étudier en quoi le mathématicien diffère du physicien… jusqu’à et on ne produit même pas d’erreur en les séparant (193b22-35).

    1. La différence entre physique et mathématique selon Aristote : 290.3-291.20.
    2. Témoignage d’Alexandre : ce qui différencie le physicien de l’astronome selon Géminus ou Posidonius chez Géminus : 291.21-292.3.
    3. Explication de la lexis : 292.32-293.15.
      1. Explication de « il serait absurde… des attributs par soi des étants naturels » : 292.32-293.6.
      2. Aristote réduit ici la mathématique à la géométrie : 293.6-10.
      3. Astronomie et astrologie : 293.10-15.

    Or c’est ce que font aussi, sans s’en apercevoir, les partisans des Idées… jusqu’à non pas en tant que mathématique, mais en tant que physique (193b35-194a12).

    1. Selon Aristote, séparer les formes est possible pour le mathématicien, pas pour le physicien : 293.18-29.
    2. Règle générale pour déterminer ce qui est ou n’est pas séparable mentalement : 293.30-294.22.
    3. Confirmation avec l’optique, l’harmonie, l’astronomie : 294.22-295.12.
    4. Aristote corrige les conceptions erronées du vulgaire sur les Idées : 295.12-25.
    5. Les formes naturelles sont séparables elles aussi en pensée : 295.25-296.31.
    6. Arguments qu’on peut tirer d’Aristote pour établir l’existence des Causes paradigmatiques séparées : 296.32-298.17.
    7. Les Formes dans l’Intellect sont causes productrices et modèles de formes, et non d’accidents, ni de composés : 298.18-299.12.

    Mais puisque la nature se dit en deux sens… jusqu’à ni du point de vue de la matière (194a12-15) : 299.13-27.

    Car, assurément, sur ce point aussi on pourrait soulever une difficulté… jusqu’à En effet tout terme extrême ne prétend pas être un but, c’est seulement [l’extrême] le meilleur (194a15-33).

    1. Les Anciens physiciens, à l’exception d’Empédocle et de Démocrite, n’ont traité que de la matière : 299-30-300.26.
    2. Remarque d’Alexandre : Aristote ne mentionne pas Anaxagore : 300.27-301.10.
    3. La physique traite de la matière et de la forme. Les arguments d’Aristote : 301.11-302.3.
    4. Le but de la vie naturelle n’est pas la mort : 302.3-18.
    5. Alexandre suggère d’inverser les mots τέλος et ἔσχατον en 194a29s. : 302.18-25.

    Et puisque les arts produisent leur matière, les uns absolument, les autres en la rendant propre à être travaillée (194a33-34) : 302.26-303.22.

    Et que nous nous servons de tout ce qui existe… jusqu’à comme on l’a dit dans le traité De la philosophie (194a34-36) : 303.23-304.18.

    Les arts, assurément, qui dominent la matière et la connaissent… jusqu’à dans les choses naturelles son existence est donnée (194a36-194b8).

    1. Explication générale : 304.21-305.1.
    2. Questions soulevées par le texte : 305.1-23.
      1. Comment peut-on dire que le pilote connaît aussi la matière : 305.1-11.
      2. Comment comprendre : « l’art qui utilise est d’une certaine manière architectonique » : 305.11-16.
      3. Explication de : « En somme, dans les choses de l’art… son existence est donnée » : 305.16-23.

    De plus la matière fait partie des choses relatives, car à forme différente matière différente (194b9).

    1. Explication de « la matière est un relatif » : 305.25-30.
    2. Explication de « à forme différente matière différente » : 305.30-36.

    Jusqu’à quel point, donc, le physicien doit-il aller dans la connaissance de la forme… jusqu’à c’est l’affaire de la philosophie première de le déterminer (194b9-15).

    1. Sens général du texte : 306.3-23.
    2. Comment comprendre « jusqu’à quel point » μέχρι δὴ πόσου : 306.23-308.37.
      1. L’accentuation des deux τινος dans μέχρι του τινος γὰρ ἕνεκα ἕκαστον. Lecture d’Alexandre : 306.23-29.
      2. Les causes des réalités physiques sont elles aussi engagées dans une matière : 306.29-307.12.
      3. Interprétation d’Alexandre et de Thémistius : le physicien doit se cantonner à la forme engagée dans une matière : 307.13-308.14.
      4. Le physicien doit connaître la cause finale : 308.14-37.

    Chapitre 3

    Mais une fois que ces distinctions ont été faites, il faut examiner les causes (194b16) : 309.1-31.

    Selon une modalité donc, on appelle cause… jusqu’à ainsi que les genres de l’airain et de l’argent (194b23-26) : 309.32-310.17.

    1. Première cause : la matière. Différence entre matière et privation : 309.35-310.8
    2. Pourquoi mentionner la matière en premier : 310.8-13.
    3. Explication de « et les genres » : 310.13-17.

    En un autre sens, c’est la forme et le modèle, et cela c’est l’énoncé de la quiddité (194b26-27).

    1. Opinion d’Alexandre : la forme naturelle n’est pas modèle en tant qu’Idée. Le finalisme en biologie et l’analogie avec les automates : 310.20-311.37.
    2. Apories que pose l’interprétation d’Alexandre et solutions : 312.1-313.27.
      1. En quel sens la forme immanente qui advient peut-elle être modèle ? : 312.1-18.
      2. Critique du modèle embryologique d’Alexandre : 312.18-313.27.
      3. En quel sens la nature est-elle puissance irrationnelle ? : 313.27-314.14.
    3. Sont modèles au sens propre les Formes dans l’Intellect : 314.15-24.

    Et les genres de celle-ci… jusqu’à ainsi que les parties qui sont dans cet énoncé (194b27-29) : 314.25-315.3.

    De plus [est cause] le principe premier d’où part le changement… jusqu’à ce qui produit le changement de ce qui est changé (194b29-32) : 315.4-28.

    1. Troisième cause : la cause efficiente. La nature et les instruments ne sont pas causes efficientes au sens propre du terme : 315.6-18.
    2. Explication de « ou la mise en repos… de ce qui est changé » : 315.19-28.

    De plus, [on parle de cause] comme de la fin… jusqu’à les unes sont des actions, les autres, des instruments (194b32-195a3).

    1. Quatrième cause : la cause finale : 315.30-316.8.
    2. Les causes intermédiaires entre la cause efficiente et la cause finale ne sont pas des causes efficientes, comme le pense Alexandre, mais des causes instrumentales : 316.8-20.

    Tel est donc, sans doute, le nombre de manières dont les causes se disent (195a3).

    1. Hiérarchie des causes. Matière et forme comme constituants des êtres naturels : 316.22-317.6.
    2. Hiérarchie des causes efficientes : Intellect et Âme. La Nature est cause instrumentale : 317.6-28.
    3. Les causes des étants naturels : matière et forme, cause efficiente cause paradigmatique, cause finale, cause instrumentale : 317.28-318.25.

    Mais il arrive aussi, du fait que les causes se disent de plusieurs manières… lui dont la présence aurait été cause de salut (195a4-14) : 318.26-319.13.

    Toutes les causes dont il a été question tombent sous quatre modalités… jusqu’à les unes sont causes comme substrat (par exemple les parties), les autres comme quiddité : le tout, le composé, la forme (195a15-21).

    1. Les différentes espèces de cause matérielle : 319.16-320.11.
    2. Les différentes espèces de cause formelle. Divergence de conceptions du composé entre Platoniciens et Aristotéliciens : 320.12-36.

    Par contre, la semence, le médecin, celui qui a pris une décision et d’une manière générale ce qui produit, toutes [ces] choses (πάντα) sont le principe d’où part le changement ou l’immobilité (195a21-23).

    1. Les différentes manières d’être cause efficiente : 321.3-11.
    2. Comment il faut construire πάντα : 321.11-13.

    Il y a, par ailleurs, celles [qui sont causes] comme but… jusqu’à Telles sont donc les causes et tel est leur nombre, [distinguées] par l’espèce (195a23-27).

    1. Aristote ajoute la cause finale. Rejet de la construction de « des autres choses » par Alexandre : 321.16-23.
    2. Pourquoi le but, i.e. le ce en vue de quoi, est le bien : 321.23-322.6.
    3. Selon Eudème la cause finale n’a été reconnue que par une minorité : 322.6-15.

    Et les modalités des causes sont multiples en nombre… jusqu’à par exemple si l’on disait que le blanc ou le cultivé sont causes de la statue (195a27-195b3).

    1. Les deux sens de τρόποι (« modalités ») : 322.18-22.
    2. Les différences en chaque espèce de cause : par soi/par accident, antérieure/postérieure, proche/lointaine, englobante/englobée : 322.18-324.4.

    D’autre part toutes les causes, soit proprement dites, soit par accident… jusqu’à le constructeur et le constructeur en train de construire (195b3-6) : 324.7-19.

    On fera les mêmes remarques que précédemment… jusqu’à D’autre part toutes sont dites selon l’acte et selon la puissance (195b6-16).

    1. Les mêmes différences se retrouvent et dans les causes et dans les causés : 324.22-325.9.
    2. Les différentes combinaisons possibles dans les causes et dans les causés : 325.10-26.

    Et elles diffèrent dans la mesure où les causes en acte et particulières… jusqu’à la maison et le constructeur ne disparaissent pas simultanément (195b16-21).

    1. La concomitance, nécessaire dans le cas de la cause et du causé en acte, ne se vérifie pas toujours dans le cas de la cause et du causé en puissance : 325.29-326.7.
    2. « En puissance » signifie ici non pas « qui peut devenir », mais « qui n’est pas en acte, mais peut l’être » : 326.7-12.

    Mais il faut toujours chercher la cause la plus élevée… jusqu’à et des modalités sous lesquelles elles se présentent (195b21-30).

    1. Explication de « la cause la plus élevée ». La nature n’est pas cause efficiente au sens propre : 326.15-30.
    2. Explication de « De plus, les genres [sont causes] des genres… les causes en acte, causes des choses actualisés » : 326.30-34.
    3. Alexandre sur le sens de « en puissance » et la résolution de l’aporie de la coquille au fond de la mer : 326.34-327.6.
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    Simplicius. Commentaire sur la Physique d’Aristote. Livre ii, ch. 1-3. édité par Alain Lernould. Villeneuve d’Ascq: Presses universitaires du Septentrion, 2019. https://0-doi-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/10.4000/books.septentrion.36466.
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