1 Pour une critique de la notion de « culture politique », se reporter à Denys Cuche, La Notion de culture en sciences sociales, Paris, La Découverte, 1996.
2 Daniel Cefaï (dir.), Cultures politiques, Paris, PUF, 2001, p. 8.
3 Thierry Barboni, Les changements d’une organisation. Le Parti socialiste, entre configuration partisane et cartellisation (1971-2007), Thèse pour le doctorat de science politique, Université de Paris I, 2008, p. 66.
4 Michel Hastings, « Partis politiques et administration de sens », dans Dominique Andolfatto, Fabienne Greffet et Laurent Olivier (dir.), Les partis politiques : quelles perspectives ?, Paris, L’Harmattan, 2001, p. 21-36.
5 Michel Offerlé, Les partis politiques, Paris, PUF, 2006, p. 27.
6 Les compléments de G. Deleuze à la conception foucaldienne du dispositif sont mobilisés. Selon lui, « Un dispositif, c’est d’abord un écheveau (…) composé de lignes de nature différente », auxquelles sont rattachées des dimensions distinctes : lignes ou courbes de visibilité, les lignes d’énonciation, les lignes de force et les lignes de fuite. Ce chapitre utilise les trois premières dimensions afin de « faire parler » le dispositif, c’est-à-dire de mettre en lumière les stratégies, intentions et relations des pouvoirs qui émanent des outils numériques mis en place, pendant la campagne pour l’élection présidentielle de 2012, par le PS et l’UMP. Gilles Deleuze, « Qu’est-ce qu’un dispositif ? », dans Michel Foucault philosophe, rencontre internationale, Paris, Seuil, 1989, p. 185.
7 Michel Offerlé, Les partis politiques, op. cit., p. 108.
8 Axel, responsable des réseaux sociaux au sein de l’équipe numérique de N. Sarkozy. Entretien du 28 décembre 2012.
9 Julien Boyadjian, Analyser les opinions sur internet…, op. cit.
10 Pour un travail plus développé sur le lien entre télévision et réseaux sociaux pendant la campagne pour l’élection présidentielle de 2012, se référer à notre article : « Twitter en regardant la télévision : une campagne transmédias interactive ? – Analyse comparée des stratégies numériques au Parti Socialiste et à l’Union pour un Mouvement Populaire lors des ripostes-party », Télévision, 5, 2014, p. 95-112.
11 Natalie, en charge de la stratégie dans l’équipe web de F. Hollande. Entretien du 15 septembre 2012.
12 Baptiste Roynette, directeur du web à l’UMP. Entretien du 31 janvier 2013.
13 Nicolas Princen, directeur de la webcampagne de N. Sarkozy. Entretien du 15 septembre 2012.
14 Olivier Donnat, « Pratiques culturelles et usages d’Internet », Cultures études, 2007 ; http://www2.culture.gouv.fr/deps/fr/pratiquesinternet.pdf.
15 Émile Josselin, directeur adjoint à la direction du web à Solférino. Entretien du 27 janvier 2012.
16 Le débat de l’entre-deux tours a totalisé environ 479 250 tweets, correspondant au hashtag #LeDébat ; Les tweets partisans sont répartis de la façon suivante : #AvecSarkozy : 94 843 tweets (45,7 %) ; #VoteHollande : 112 624 tweets (54,3 %).
17 « Le débat Hollande-Sarkozy, côté LOL sur le Web », L’Express, 3 mai 2012.
18 Romain Pigenel, responsable du pôle Influence au QG de F. Hollande en 2012. Entretien du 11 octobre 2012.
19 Idem.
20 « Fail » est une interjection employée par les internautes pour commenter une action, un propos, une photo ou une vidéo ayant trait à une situation d’échec. « Dérivée du verbe “to fail”, l’interjection et sa popularisation tireraient leur origine de la formule “you fail it”, message de Game Over d’un jeu vidéo japonais des années 1990 à l’anglais douteux. » ; Titou Lecoq et Diane Lisarelli, Encyclopédie de la web culture, Paris, Robert Laffont, 2011, p. 67.
21 Sur Twitter, ceux qui suivent un compte ne partagent pas toujours les idées de son détenteur (en revanche, c’est généralement le cas sur Facebook). Ainsi, des twittos de gauche peuvent s’abonner au compte Twitter d’une personnalité UMP afin de se tenir informés de ce qui se dit en ligne dans le camp adverse.
22 IFOP, « Observatoire des réseaux sociaux », novembre 2012.
23 Medhi, équipe web de F. Hollande, pôle Influence. Entretien du 2 mars 2012.
24 Valerio Motta, directeur du web du PS à Solférino. Entretien du 21 mai 2012.
25 Medhi, équipe web de F. Hollande, pôle Influence. Entretien du 2 mars 2012.
26 Claire, responsable du porte-à-porte, puis coordinatrice de l’équipe numérique de F. Hollande. Entretien du 4 juin 2012.
27 Valerio Motta, directeur du web du PS à Solférino. Entretien du 21 mai 2012.
28 Idem.
29 Axel, responsable des réseaux sociaux au sein de l’équipe numérique de N. Sarkozy. Entretien du 28 décembre 2012.
30 Comme le souligne H. Savigny, le discours tenu par les stratèges en communication politique, par les « marketeurs », interviewés dans le cadre d’une recherche scientifique, est parfois faussé en raison de leurs positions de représentation qui les amènent à vouloir dresser un bilan positif de leurs actions. Heather Savigny, The Problem of Political Marketing, New York, Continuum, 2008.
31 Sylvie Goupil, « Médiatisation de l’espace public et nouvelles technologies de l’information et de la communication : vers le citoyen virtuel ? », Communication présentée dans le cadre du congrès annuel de la Société Québécoise de Science Politique, Montréal, 26-28 mai 2004.
32 Mélanie Verville, « Usages politiques des médias sociaux et du Web 2.0. Le cas des partis politiques provinciaux québécois », Mémoire présenté à la faculté des études supérieures et postdoctorales de l’Université Laval dans le cadre du programme de maîtrise en communication publique pour l’obtention du grade de Maître ès arts (M.A.), 2012, p. 19.
33 La stratégie de type grassroots retravaille le modèle du parti de masse, mais le rôle des adhérents s’avère moins formel et se mêle à celui des sympathisants. Karl Löfgren et Colin Smith, « Political Parties and Democracy… », art. cité.
34 Le terme « communautaire » est lui-même contestable. Mot-valise, il peut amener des confusions dans le propos. Il a toutefois été choisi dans une démarche comparative avec l’UMP et est entendu par rapport à l’activation de top-activists, quasiment intégrés à l’équipe de campagne de F. Hollande.
35 Magali Nonjon, « Professionnels de la participation : savoir gérer son image militante », Politix, 2, 70, 2005, p. 89.
36 Est empruntée à A. Panebianco, la formule « modèle génétique » afin de mettre l’accent sur la prégnance des règles et des conditions présidant à la création du parti politique. Selon cette théorie, les fondements de la création du parti permettent de saisir les codes de fonctionnement historique qui imprègnent encore actuellement le parti. Angelo Panebianco, Political Parties : Organization and Power, Cambridge, Cambridge University Press, 1988.
37 Steve Davis, Lary Elin et Grant Reeher, Click On Democracy, Westview Press, 2002.
38 Olivier Blondeau et Laurence Allard, Devenir media. L’activisme sur Internet, entre défection et expérimentation, Paris, Éditions Amsterdam, 2007, p. 45.
39 Nigel A. Jackson et Darren G. Lilleker, « Building an Architecture of Participation ? Political Parties and Web 2.0 in Britain ». Journal of Information Technology & Politics, 6, 3, 2009, p. 248.
40 Tamara A. Small, « La politique canadienne en 140 caractères : la vie des partis dans l’univers Twitter », Revue parlementaire canadienne, 2010, p. 47.
41 Axel, responsable des réseaux sociaux au sein de l’équipe numérique de N. Sarkozy. Entretien du 28 décembre 2012.
42 Commentaire d’un internaute sur le profil Facebook de F. Hollande, suite à la publication intitulée « Grand rassemblement Paris-Bercy, pour le changement », le 29 avril 2012.
43 Commentaire d’un internaute sur le profil Facebook de F. Hollande, suite à la publication intitulée « déplacement dans l’Aisne », le 25 avril 2012.
44 Axel, responsable des réseaux sociaux au sein de l’équipe numérique de N. Sarkozy. Entretien du 28 décembre 2012.
45 Idem.
46 Idem.
47 Modèle de présentation de données informatiques.
48 Axel, responsable des réseaux sociaux au sein de l’équipe numérique de N. Sarkozy. Entretien du 28 décembre 2012.
49 Olivier, responsable de la promotion du bilan de N. Sarkozy au sein de l’équipe web du QG. Entretien du 1er février 2013.
50 Ralph Negrine et Darren Lilleker, « The Professionalization of Political Communication : Continuities and Change in Media Practices », European Journal of Cmmunication, 17, 3, 2002, p. 305-323.
51 Baptiste Roynette, directeur du web à l’UMP. Entretien du 31 janvier 2013.
52 Rachel Gibson et Stephen Ward, « Parties in the Digital Age. A Review Article », Representation, 45, 1, 2009, p. 93.
53 Benoît Thieulin, directeur de l’agence web Netscouade et directeur de la campagne numérique de S. Royal en 2007. Entretien du 29 février 2012.
54 Pierre Chassat, directeur de la communication de l’UMP. Entretien du 1er mars 2012.
55 Vinícius Andrade Pereira, « Linguagens midiáticas, entretenimento e multissensorialidade na cultura digital », in REGIS Fátima (dir.), Tecnologias de comunicação e cognição, Porto Alegre, Sulina, 2012.
56 Hélio Arthur Reis Irigaray et Luiz Alex Silva Saraiva, « Humor e discriminação por orientação sexual no ambiente organizacional », RAC – Revista de Administração Contemporânea, 14, 5, 2010, p. 890-906.
57 Roberto Menna Barreto, Criatividade em propaganda, São Paulo, Summus, 1982.
58 Romain Pigenel, responsable du pôle Influence au QG de F. Hollande pendant la campagne pour l’élection présidentielle de 2012. Entretien du 11 octobre 2012.
59 J. L. Zapatero est un homme politique espagnol. Membre du Parti socialiste ouvrier espagnol, il remporte les élections générales en 2004 et en 2008.
60 François Musseau, « Zapatero, la “vista” au pouvoir », Libération, 5 avril 2008.
61 Ariane, en charge du compte Twitter de F. Hollande pendant la campagne pour l’élection présidentielle de 2012. Entretien du 11 octobre 2012.
62 Pierre Chassat, directeur de la communication de l’UMP. Entretien du 1er mars 2012.
63 Julien, bénévole au sein de l’équipe web de F. Hollande. Entretien du 2 mars 2012.
64 Le 1er février 2012, le candidat socialiste a été saupoudré de farine (enfariné) alors qu’il signait à la tribune un contrat de la Fondation Abbé Pierre contre le mal-logement. Cet enfarinage a donc été filmé.
65 Natalie, bénévole au sein de l’équipe web de F. Hollande. Entretien du 15 septembre 2012.
66 Émile Josselin, directeur adjoint à la direction du web à Solférino en 2012. Entretien du 27 janvier 2012.
67 Valerio Motta, directeur du web du PS à Solférino. Entretien du 21 mai 2012.
68 Pendant la campagne pour l’élection présidentielle française de 2012, plusieurs médias en ligne se sont dotés de sondages, fondés sur les données récoltées via les réseaux sociaux. On peut citer le « Politivox » de libération.fr, le « Twittoscope » du journal gratuit Métro, « Le Scan » du figaro.fr ou encore le « Twittrack2012 » d’atlantico.fr.
69 André J. Bélanger, « La communication politique ou le jeu du théâtre et des arènes », Hermès, 17-18, 1995, p. 131.
70 En février 2012, lors de son passage dans l’émission « Parole de candidat » sur TF1, F. Hollande a annoncé sa volonté d’imposer à 75 % les revenus « au-dessus d’un million d’euros par an » : « Ce n’est pas possible d’avoir ces niveaux de rémunération. (…) J’ai appris les progressions considérables des rémunérations des patrons du CAC 40, deux millions d’euros (par an) en moyenne. Comment l’accepter ? ».
71 Dans le programme de F. Hollande, il est indiqué que seule la part des revenus dépassant le seuil d’un million d’euros – et non l’ensemble du revenu – sera imposée à 75 %. La part en dessous sera soumise à l’assiette progressive de l’impôt sur le revenu. Mais une partie des auditeurs de l’émission « Parole de candidat », lors de l’annonce de cette mesure, ont compris que toutes les personnes allaient être taxées à 75 %.
72 Benjamin, responsable du pôle Veille au sein de l’équipe numérique de F. Hollande en 2012. Entretien du 6 juin 2012.
73 Romain Pigenel, responsable du pôle Influence au QG de F. Hollande en 2012. Entretien du 11 octobre 2012.
74 Idem.
75 Andranik Tumasjan, Timm O. Sprenger, Philipp G. Sandner et Isabell M. Welp, « Predicting Elections with Twitter : What 140 Characters Reveal about Political Sentiment », Proceedings of the Fourth International AAAI Conference on Weblogs and Social Media, Menlo Park, The AAAI Press, 2010, p. 178-185.
76 Brendan O’Connor, Ramnath Balasubramanyan, Bryan R. Routledge et Noah A. Smith, « From Tweets to Polls : Linking Text Sentiment to Public Opinion Time Series », Proceedings of International AAAI Conference on Weblogs and Social Media, Washington, May 2010, p. 1-8.
77 Julien Boyadjian, Analyser les opinions sur internet…, op. cit.
78 Andranik Tumasjan et al., « Predicting Elections with Twitter… », art. cité.
79 Valerio Motta, directeur du web du PS à Solférino. Entretien du 21 mai 2012.
80 « L’affaire Merah » a marqué la campagne pour l’élection présidentielle de 2012. Le 11 et 15 mars 2012, trois parachutistes (militaires) sont assassinés à Toulouse et à Montauban. L’enquête s’oriente d’abord vers les milieux d’extrême droite. La semaine suivante, quatre personnes (dont trois enfants) sont tuées devant une école juive de Toulouse. Identifié comme le « tueur à scooter », M. Merah, jeune jihadiste de vingt-trois ans, est tué par la police après trente-deux heures de siège.
81 L’idée est de ne pas utiliser le compte Facebook officiel du PS pour ne pas braquer les internautes. Ils pourraient ne pas tenir compte de l’information diffusée si elle venait du parti.
82 « Désintox : Quand on fait passer un jeune posant avec François Hollande pour un terroriste. » – Article du site internet du PS, publié le 22 avril 2012. http://www.parti-socialiste.fr/articles/desintox-quand-fait-passer-un-jeune-posant-avec-francois-hollande-pour-un-terroriste.
83 Présentation des Créateurs de possibles, http://www.lescreateursdepossibles.com. (Consulté le 12 mars 2010 – il n’est désormais plus accessible).
84 http://www.lacoopol.fr/presentation.
85 Cette référence explicite au vocable coopératif, emprunté à l’économie sociale, se développe de plus en plus afin de s’inscrire dans des formes d’engagement plus « souples ». Des expériences similaires dans l’intention et le recours au vocabulaire coopératif peuvent être citées : « VEGA », Verts et gauche à Liège ou Wisconsin Movement as a « political cooperative governed by its members » aux Etats-Unis. Mais cette appellation est plutôt stratégique et l’on ne retrouve pas, dans le cas de la Coopol, tous les critères d’un mouvement coopératif : adhésion libre et universelle, démocratie interne, participation économique des membres, autonomie et indépendance, éducation et formation, inter-coopération, engagement envers la communauté, etc.
86 M. Aubry, Première secrétaire du PS, le 12 janvier 2010, lors de la présentation de la Coopol à la presse.
87 Thierry Solère, directeur de la campagne numérique de N. Sarkozy en 2007. Entretien du 16 juin 2011.
88 Stephen Coleman, « Doing IT for Themselves : Management versus Autonomy in Youth E-Citizenship », dans Lance Bennet (dir.), Civil Life Online : How Media Can Engage Youth, Cambridge, MIT Press, 2008, p. 189-206.
89 Martin, adhérent PS de la Fédération de Gironde. Entretien du 25 octobre 2011.
90 Fabienne Greffet et Stéphanie Wojcik, « Parler politique en ligne », Réseaux, 4, 150, 2008, p. 19-50.
91 Baptiste Roynette, directeur du web à l’UMP. Entretien du 31 janvier 2013.
92 Pierre Chassat, directeur de la communication de l’UMP. Entretien du 1er mars 2012.
93 Rachel K. Gibson, « From Brochureware to “MyBo”: An Overview of Online Elections and Campaigning », Politics, 32, 2, 2012, p. 77-84.
94 « L’UMP n’a pas, contrairement au PS, la culture de cette démocratie interne », Libération, Interview de Florence Haegel, 20 novembre 2012.
95 Extrait d’un blog politique. http://netpolitique.net/category/netpolitique/netpolitique_france/page/2/ (Consulté le 26 novembre 2016).
96 Cette plateforme est le symbole de « l’ère Xavier Bertrand » et ceux qui critiquent ouvertement ce dispositif à l’UMP sont en fait des proches de J.-F. Copé.
97 La création de ce réseau a été fortement médiatisée puisqu’il a été dévoilé lors des vœux de M. Aubry, première secrétaire du PS. L’enjeu était alors de donner une image de modernité du parti qui sait se saisir des innovations technologiques.
98 Message reçu lors de l’inscription à la Coopol.
99 Libération, 29 décembre 2009.
100 Message d’accueil sur le réseau partisan, la Coopol. http://www.laCoopol.fr/
101 Thierry Barboni et Eric Treille, « L’engagement 2.0 », art. cité, p. 1140.
102 Matthieu, responsable des communautés web au PS. Entretien du 10 février 2011.
103 Comme ce fut le cas, par exemple, du groupe « changer le nom du PS parce qu’il n’est pas socialiste », resté peu de temps en ligne. « UMP, PS : deux réseaux sociaux, deux philosophies différentes », Le Monde, 12 janvier 2010.
104 Rémi, chargé de mission responsable de la Coopol à la Netscouade. Entretien du 27 janvier 2012.
105 Matthieu, responsable des communautés web au PS. Entretien du 10 février 2011.
106 Pour une analyse plus poussée des débats sur la Coopol, se reporter à : Marino De Luca et Anaïs Theviot, « The French Primary on the Net. The Social Network of the Socialist Party, the Coopol », The International Journal of E-Politics, 5, 3, 2014, p. 46-65.
107 Matthieu, responsable des communautés web au PS. Entretien du 10 février 2011.
108 Idem.
109 On assiste à une prolifération de groupes qui sont composés en fonction des thèmes et des courants politiques internes au PS : « Pour le droit de vote des étrangers résidant en France pour les élections locales » (2 233 membres) ; « Groupe de soutien à la candidature de Ségolène Royal » (1 847) ; « Terra Nova » (1 537), etc. Dans les groupes rattachés spécifiquement à une motion, il n’existe plus d’affrontements puisque les personnes qui le composent, sont en fait d’accord.
110 Paul, militant de la Fédération de Gironde, créateur d’un groupe de soutien à S. Royal sur la Coopol. Entretien du 22 septembre 2011.
111 Rémi, chargé de mission responsable de la Coopol à la Netscouade. Entretien du 27 janvier 2012.
112 Idem.
113 Matthieu, responsable des communautés web au PS. Entretien du 10 février 2011.
114 Rémi, chargé de mission responsable de la Coopol à la Netscouade. Entretien du 27 janvier 2012.
115 Pierre Chambat, « La démocratie assistée par ordinateur », Cahiers politiques, 4, 2000, p. 69.
116 Nous reprenons ici le terme employé sur la Coopol pour classer les quinze premiers groupes possédant le plus de membres.
117 Le sentiment de compétence constitue généralement une traduction subjective de la position sociale.
118 Snapchat est une application gratuite de partage de photos et de vidéos disponible sur plateformes mobiles iOS et Android.
119 Tinder est une application de réseautage social pour des rencontres amoureuses, souvent d’une nuit.
120 Florence Haegel, Les droites en fusion, Paris, Presses de Sciences Po., 2013, p. 236
121 Serge Proulx et Francis Jauréguiberry, Usages et enjeux des technologies de communication, Toulouse, Editions Eres, 2000.