1 Albert Cohen, Le livre de ma mère, dans Œuvres, « Bibliothèque de la Pléiade », Gallimard, Paris, 1993, p. 716.
2 Albert Cohen, Ô Vous, frères humains, ibidem, p. 1051.
3 Albert Cohen, Solal, ibidem, p. 114. Désormais la page du roman figurera entre parenthèses dans le texte après la citation.
4 Benjamin Crémieux, « Judaïsme et littérature », Les Nouvelles littéraires, 4e année, n° 156, samedi 10 octobre, p. 4 : « Le Judaïsme est à la mode en France. On formerait déjà une petite bibliothèque avec tout ce qui a paru depuis deux ou trois ans et qui, d’une manière ou d’une autre a trait à Israël. » Cité par Nadia Malinovitch, art. cit., dans Archives juives, volume 39, op. cit.
5 Idem.
6 La semaine de Paris, 5-12 décembre 1930.
7 En particulier l’article de Cyril Aslanov, « Une tradition peut en cacher une autre : les enjeux de la francophonie des Valeureux de France », in Perspective, Revue de l’Université hébraïque de Jérusalem, n° 3, 1996, p. 40-67, et Marie Dollé, « L’effraction du français », in Cahiers Albert Cohen , Paris, publication de l’atelier Albert Cohen, n° 12, septembre 2002, p 91-98.
8 À propos de cette forme, infra, p. 103.
9 Voir à ce sujet l’article de Gilles Philippe : « Un introuvable modèle textuel ? Approche stylistique des monologues intérieurs de Solal », dans Albert Cohen , Colloque du centenaire, Roman 20-50, Collection « Actes », université de Lille III, 1997, p. 227-238.
10 A. Cohen, Belle du Seigneur, Paris, Gallimard, « Folio », 1998, p. 16.
11 Article cité.
12 Voir ici même notre première partie.
13 Claire Stolz, « Cohen, Aragon, Sarraute, Duras, Pinget : une rencontre polyphonique », Cahiers Albert Cohen n° 13, septembre 2003, p. 185-204.
14 Voir à ce sujet l’article de Marta Caraion, « Indiscrétions de Mariette en aparté », dans Albert Cohen , Colloque du Centenaire, op. cit., p. 211-224.
15 Albert Cohen, Belle du seigneur, « Folio », Gallimard, Paris, 1998. Les pages indiquées entre parenthèses après la citation correspondent à cette édition.
16 On trouvera une description de cette langue et un relevé de ses principales caractéristiques dans l’article de Jérôme Cabot : « Paroles populaires dans les romans d’Albert Cohen », dans André Petitjean et Jean-Marie Privat, « Les voix du peuple et leurs fictions », Recherches textuelles, Université Paul Verlaine, Metz, n° 7, 2007, p. 397-425.
17 Pour toutes ces remarques, voir l’ouvrage de Françoise Gadet, Le français populaire, « Que sais-je ? », PUF, Paris, 1992, pages 35 à 43.
18 Raymond Queneau, Le chiendent, « Folio », Gallimard, Paris, 1974, p. 377.
19 Albert Cohen, Le livre de ma mère, op. cit., p. 757.
20 Albert Cohen, Les Valeureux, dans Œuvres, op. cit., p. 911.
21 Même si le texte est dicté, comme c’est le cas pour l’œuvre de Cohen.
22 Notamment p. 898-899.
23 Albert Cohen, Ô vous, frères humains, dans Œuvres, op. cit, p. 1064.
24 Albert Cohen, Mangeclous, dans Œuvres, op. cit., p. 548.
25 Ibidem, p. 467
26 Albert Cohen, Solal, op. cit., p. 342. Il s’agit de la version définitive de 1969, contemporaine, donc, de Belle du Seigneur, où le plurilinguisme est moins marqué que dans la version de 1930.
27 Albert Cohen, Les Valeureux, op. cit., p. 846-847.
28 Louis-Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit, op. cit., p. 461 : « Elle était seule à présent la fille pour l’habiter le pavillon, que je me pensais… »
29 Voir à ce sujet Françoise Gadet, Le français populaire, op. cit., p. 66
30 Cf. Jérôme Cabot, art. cit.
31 Solal, op. cit. p. 185.
32 Mangeclous, op. cit., p. 660.
33 Sur toutes ces questions nous renvoyons aux travaux déjà cités de Cyril Aslanov, de Marie Dollé, et à ceux de Renata Jarzebowska-Sadkowska, « Traduisibilité des langages identitaires en polonais : l’exemple de Mangeclous d’Albert Cohen », in Cahiers Albert Cohen, Le Manuscrit, Paris, n° 16, 2006, p. 109-124.
34 Cyril Aslanov, article cité.
35 Jacques Derrida, Le monolinguisme de l’autre, Galilée, Paris, 1996.
36 Ibidem.