Point de synthèse XV. Le téléphone
p. 197-204
Texte intégral
1Le téléphone représente, historiquement, une des premières inventions de l’homme pour se soustraire de la distance ; il est aussi, aujourd’hui, le média peut-être le plus personnel.
A. Un survol historique
2– 1680. Un bénédictin de l’Abbaye de Citeaux, Dom Gauthey propose un moyen rapide de faire entretenir des personnes par l’intermédiaire des propriétés des tubes en matière de transmissibilité de la voix humaine. Un physicien anglais Hooke inventa également le téléphone à « ficelle ». « Il comprenait, à chaque extrémité, un tube de forme conique fermé par une membrane tendue en parchemin, au milieu de laquelle était fixée la ficelle destinée à les relier ». Lorsqu’une personne parlait en face de l’un des tubes, les vibrations imprimées à la membrane étaient transmises par le fil à l’autre membrane qui reproduisait les vibrations de la première et les sons émis au départ1.
3– 1790. Claude Chappe (mort en 1830), un physicien, invente le télégraphe. Il veut « mettre le gouvernement à même de transmettre ses ordres à une grande distance dans le moins de temps possible »2. Le réseau Chappe fonctionne jusqu’à 1855 et emploie plus de 1000 personnes pour 5000 Km de lignes reliant 556 stations. Chaque station relais est équipée d’un système de bras articulés. Et chaque position donnée à ces bras détermine un signe alphabétique différent3. – 1794. Une dépêche est transmise pour la première fois le 1er septembre 1794 entre Paris et Lille4.
4– 1837. Deux physiciens américains Henry et Page, découvrent qu’une tige métallique soumise à des aimantations et désaimantations successives très rapides, pouvait émettre des sons. Ceux ci étaient en rapport avec la fréquence des émissions de courant qui les provoquaient5.
5– 1837. Les physiciens anglais, William Cooke (1806-1879) et Charles Wheatstone (1802-1875) établissent une première ligne télégraphique électrique de deux kilomètres.
6– 1837. En France, la transmission par télégraphe devient un monopole d’Etat ; la loi stipule : « Quiconque transmettra sans autorisation des signaux d’un lieu à un autre, soit à l’aide de machines télégraphiques, soit par tout autre moyen, sera puni »6.
7– 1837. L’américain Samuel Morse (1791-1872), professeur de peinture à l’Université de New York, permet l’innovation économique de cette invention avec l’aide financière d’Alfred Vail. Le Congrès américain consent en 1843 à la construction d’une ligne expérimentale entre Baltimore et Washington (50 km). Le Second Empire, en France adoptera le procédé qui devient international.
8– 1849. La première ligne télégraphique Morse installée en France se trouve entre Paris Saint Germain et Rouen. Il faut attendre la promulgation d’une loi en 1850 sur « la correspondance télégraphique privée » pour que le service télégraphique soit ouvert au public le 1er mars 1851.
9– 1851. La loi du 2 mai 1837 et le décret loi du 27 décembre 1851 confèrent au gouvernement, en France, un pouvoir d’autorisation de l’installation de réseaux privés de téléphone. La nationalisation en 1889, des réseaux privés entre 1879 et 1889, marque, de facto, le monopole d’Etat du téléphone7.
10– 1854. Un français Charles Bourseul (1829-1912) (fonctionnaire de l’Administration française des Télégraphes) a l’idée de remplacer le contacteur du télégraphe électrique par une membrane vibrant sous l’effet de la voix à l’émission et par un électroaimant à la réception créant ainsi le micro et l’écouteur8.
11– 1859- L’abbé Giovanni Caselli, professeur de physique à l’université de Florence met au point le premier appareil de télé transmission d’une image, le pantélégraphe, ancêtre du télécopieur9
12– 1861. Philip Reis, un professeur de musique et de physique près de Hambourg, met au point un appareil permettant la transmission électrique à de grandes distances de la mélodie musicale. Il l’appelle « Téléphone ».
… « Sur un cône imitant l’oreille humaine, il avait tendu une membrane à laquelle il avait fixé un fil de platine qui faisait partie d’un circuit alimenté par une batterie d’accumulateurs. De l’autre côté, des conducteurs arrivaient à une bobine enroulée autour d’une aiguille à tricoter dont les modifications de l’état magnétique reproduisaient les sons »10.
13– 1865. Un journal de Boston relate l’arrestation d’un homme pour « escroquerie » car il essayait de récolter des fonds pour pouvoir financer une entreprise de téléphone ! On y lit :
« Les personnes bien informées savent qu’il est impossible de transmettre la voix humaine par fil, et quand bien même ce serait possible, cela n’aurait aucun intérêt »11.
14– 1876. Alexander Graham Bell (3 mars 1847 (Edimbourg, Ecosse), 1922), un américain, transforme cette invention en innovation en réussissant des transmissions12. Un faible courant électrique engendré par une lame en vibration était suffisant pour faire vibrer audiblement une autre lame.
… « Le téléphone de Bell utilisait une lame qui vibrait en réponse à la voix humaine. La lame était montée tout près d’un électro aimant qui transformait les vibrations en un courant électrique variable. Ce courant était ensuite transmis par un fil jusqu’à un récepteur où le signal électrique était transformé à nouveau en un son par un électro aimant qui faisait vibrer une autre lame »13.
15– 1877. Boston (Etats-Unis) a son premier réseau téléphonique en Mai, pour réunir... cinq banquiers. A Paris, en 1879, les quarante huit premiers abonnés sont des banques, des agents de change, des industriels du télégraphe et du téléphone, des journaux.
Le réseau pneumatique fonctionne à Paris à la fin du Second empire, et perdure jusqu’en 1980 !
16– 1880. La construction des lignes téléphoniques nouvelles car ne pouvant pas utiliser les lignes télégraphiques (à un fil)14 se réalise d’abord « en aérien », puis sous terre dès 1880 à Paris dans des enveloppes de plomb. Le « Théatrophone » dès 1881 à Paris permet de suivre des pièces de théâtre au bout d’un fil noir !
17– 1878. Théodore Vail, neveu d’Alfred Vail, collaborateur de Morse, assure (1878-1887) la création des réseaux téléphoniques à la tête de l’entreprise Bell, puis à partir de 1907 du nouveau nom de cette entreprise, AT§T (American Téléphoné § Telegraph Company, 1877).
18– 1900. Michael Idvorsky Pupin (1885-1935), professeur de physique mathématique à l’université de Colombia aux Etats-Unis, permet grâce à ses « bobines de charge » amplificatrices (des répéteurs), la réalisation de transmissions téléphoniques sur de très longues distances15.
19– 1915. Première communication téléphonique sans fil entre Arlington en Virginie (Etats-Unis) et Paris (France).
20– 1995. L’Europe compte un appareil téléphonique par personne en moyenne avec 329 millions d’unités contre 259 en 198916.
Un graphique montrant les perspectives d’ici à l’an 2000 des descendants du télégraphe est symptomatique17.
B. Le téléphone cellulaire
21• Le principe du téléphone cellulaire est simple18 : « alors que les systèmes conventionnels nécessitent une station centrale puissante19, (il) met en œuvre un réseau de stations de faible puissance réparties au centre de « cellules » (d’où le nom) de deux à vingt kilomètres de diamètre découpant une ville ou l’ensemble d’un territoire. La puissance de l’émetteur-récepteur central étant limitée, les fréquences identiques peuvent être utilisées dans des cellules adjacentes. Un ordinateur associé à chaque station attribue des fréquences inutilisées à un usager se déplaçant de cellule en cellule. De même, l’ordinateur achemine un appel en recherchant automatiquement les fréquences libres dans chaque cellule concernée. Un nombre illimité d’appels peuvent ainsi être transmis simultanément. Un exemple : dans une grande ville, seulement une dizaine d’utilisateurs de radio téléphones sur 1000 abonnés peuvent communiquer simultanément. Un système de radios cellulaires permettrait 200 000 conversations simultanées ! »20.
22• Le projet GSM (Global System for Mobiles communication) est une initiative de la CEE21. En 1990, le téléphone mobile (analogique) ne représente en France que 300 000 abonnés22 ; son extension (numérique) prévoit 4 millions d’abonnés vers 1999 pour un potentiel raccordable de 15 millions de personnes pour l’Europe. Il fonctionne dès l’été 199123 et utilise un maillage du territoire concerné en petites zones d’une trentaine de kilomètres carrés. De nouvelles fréquences sont mis à la disposition des deux opérateurs français qui transmettent pour l’instant en analogique, France Télécom (Radio-Corn 2000)24 et la SFR (filiale de la Compagnie Générale des eaux, 53 500 abonnés en 1991, ouvert en 1989)25. Enfin l’utilisation d’une carte à puce, propre à chaque abonné, permet à chacun d’utiliser n’importe quel téléphone mobile26.
23• Ce type de relations « radio cellulaires »27 est repris par un projet de Motorola et Lockheed28, appelé « Iridium », dont les premiers abonnements sont acceptés pour 199729 Il s’agit, à l’aide de 77 satellites à 750 Km d’altitude, de diviser la surface de la terre en 2849 cellules. On utilisera alors, soit un téléphone portatif spécialement conçu pour ce système, soit un combiné standard puisque le réseau téléphonique commuté actuel sera connecté aux stations terrestres de réceptions30.
Le groupe suédois Ericsson commercialise un mini téléphone, le « CT-3 », pesant 190 g ; il utilise tous les types actuels de réseaux téléphoniques, du réseau RTC aux réseaux cellulaires31.
C. L’utilisation novatrice du téléphone
24• Une des dernières innovations est, en 1989, pour France Télécom, le projet « Pointel »32, c’est-à-dire, des bornes téléphoniques dans un alentour de 200 mètres. Le système permet à l’aide d’un petit appareil portable (moins de 200 grammes, 1500 francs en 1992) de se connecter (6 appels simultanés) au réseau commuté (la liaison avec la borne se fait dans la fréquence des 864 MHz)33. Les cabines aux mains libres permettent grâce à la RAP (Reconnaissance Automatique de la Parole) de fournir des bornes de connaissance en fonction des informations demandées ; la cabine « Publivox » a été expérimentée à Perros Guirec en juin 1988 avec succès. Les produits de France Télécom Eurosignal (1975, pour être prévenu par un « bip »), 85 000 abonnés en 1993, Alphapage (novembre 1987, pour avoir sur l’écran un message de 80 caractères)34, 17 000 abonnés en 1993, Opérator (1987, pour avoir sur l’écran un affichage numérique), 55 000 abonnés en 1993, fournissent des exemples d’utilisation de la communication « totale », en attendant la transmission de l’information directement à la montre du poignet35. L’utilisation du réseau commuté, via des stations terrestres permet aux passagers des avions d’appeler leurs correspondants au sol ; l’Europe de l’ouest construit le réseau TFTS (Terrestrial Flight Telephone System) ; le consortium Jet-Phone (France Télécom et British Telecom) est chargé de sa mise en service ; l’utilisation de ce système ne concerne que les liaisons aériennes survolant des zones habitées, les liaisons satellites (plus chères, avec notamment « Satellite Aircom ») couvrant les autres zones.
25• D’abord expérimentale, à Marseille, la messagerie vocale est opérationnelle à Paris (3672) et en 1993, accessible à la France entière. Bell Canada généralise son exploitation en décembre 1991 à Montréal, Toronto, Ottawa. Le mercredi 21 novembre 1990, le Ministre français des Postes et Télécommunications a présenté un plan pour l’avenir du visiophone36 en France vers les années 1995 : un visiophone à écran plat37. Le Minitel Photo permet une transmission en 4 secondes d’une image d’un quart d’écran en 4800 bits par seconde. Il vise les services de l’aide à la vente, de la promotion, de l’information38. France Télécom a lancé en 1992 ce nouveau réseau expérimental : TVR (Télétel Vitesse Rapide). Il fonctionne donc à 4800/4800 bauds (en half duplex) au lieu des 1200/75 habituels. Il permet de naviguer et télécharger 2 à 3 fois plus rapidement. Le réseau s’appuie sur l’avis V27 ter du CCITT. Cette nouvelle génération de Minitel permet ainsi non seulement de consulter les services plus rapidement mais également de visualiser des images au format JPEG.
Karel Van Miert, commissaire européen chargé de la la concurrence, annonce le 15 avril 1993, la volonté de la Commission de Bruxelles de mettre fin le 1er janvier 1998 aux monopoles d’exploitation du téléphone dans la Communauté39.
Notes de bas de page
1 « Histoire du téléphone », Service de l’information et des relations publiques des PTT, SIRP 22 EN 10-77.
2 Cité par Flichy, octobre 1991, p. 19.
3 La première expérience de transmission à distance a lieu dans la Sarthe le 2 mars 1791.
4 Claude Chappe géra le réseau avec l’aide de ses quatre frères, Ignace, Pierre, René, Abraham. Chappe se rend compte qu’il est nécessaire de coder l’information transmise : en 1800, il utilise 92 signaux élémentaires permettant de transmettre un vocabulaire de 8464 mots.
5 Pour une approche historique du télégraphe, cf. Flichy, octobre 1991, p. 44 et s.
6 Cité par Willett, août 1989, p. 99.
7 Se marquant en 1923 par un « budget annexe » de la loi de finances.
8 Cf. « Aux origines de la crise du téléphone français », Michel Atten, in revue Réseaux n° 49, septembre octobre 1991 ; cf. aussi « Aux origines des télécommunications d’affaires » in France Telecom, revue française des télécommunications, juillet 1991, p. 58.
9 LM920408, p. 13, pantélégraphe.
10 Carré, 1991, p. 52.
11 Cité par Flichy, octobre 1991, p. 118.
12 Le brevet est déposé le 14 février 1876 à 14 heures quelques heures avant celui d’Elisha Gray (1835 -1901) ; brevet américain n° 174465 du 7 mars 1876.
13 Reader’s Digest, 1984, p. 307. Bell transmit à son assistant la phrase suivante : « Monsieur Watson, veuillez venir dans mon bureau, je vous prie ».
14 Dans une transmission télégraphique, il n’y a qu’une seule direction de transmission ; la « paire téléphonique » permet l’interactivité.
15 La « Triode » (1906) permettra une nette augmentation de puissance.
16 Entreprises et Télécommunications, juillet, 1991, p. 8. Selon Siemens, il y a en 1993, plus de 520 millions d’abonnés au téléphone de part le Monde ; in Science et Vie, janvier 1993, p. 82.
17 Ungerer, 1988, p. 22 ; cf. aussi pour l’histoire de ces techniques, Griset, 1991, p. 6-24.
18 Cf. Manguian, juillet 1993, p. 53.
19 Les premiers essais de téléphone mobile remontent en France en 1956 pour seulement la région parisienne.
20 Rosnay, 1986, p. 105. Une société française E.O., dirigée par Alain Rossman, présente un ordinateur « communicateur personnel » permettant d’être connecté sans fil à divers réseaux pour envoyer et recevoir des messages ; in LM921124, p. 19, patrons ; cf. Science et Vie High Tech, n° 7, p. 92.
21 Cf. Manguian, juillet 1993, p. 62.
22 Le radio téléphone a fait son apparition en 1949 aux Etats-Unis et 1956 en France.
23 Commercialisation avant la fin de l’année 1992, cf. Télécoms & Réseaux International, novembre 1991, p. 14.
24 1986, date de création, 2000 abonnés, 1990, 230 000 abonnés.
25 le GSM bénéficie de 50 Mhz dans la bande des 900 Mhz ; L’armée libère la bande des 1700-2100 Mhz ; les 400 Mhz libérés sont destinés aux systèmes DECT (Digital European Cordless Télécommunications) qui devraient succéder au GSM à l’horizon 2000 .
26 LM910327 p. 17 téléphone ; cf. Entreprises & Télécommunications, janvier 1992, p. 22 ; cf. aussi le lancement par France Télécom à partir du 1er juillet 1992 du réseau de téléphone numérique mobile « Itineris » – (inconvénient actuel, c’est l’appelant qui paye le coût de la communication !), in LM920613, p. 19, téléphone ; cf. Science et Vie High Tech, n° 7, p. 98 ; cf. Science et Vie, décembre 1992, p. 134 ; cf. Libération, 16 avril 1993, p. 3.
27 Science et Vie High Tech, n° 1, p. 97.
28 Rejoint par British AeroSpace.
29 LM900815 p. 16 motorola ; cf. aussi PcToday, december 1991, p. 18 ; cf. Télécoms & Réseaux, mai 1993, p. 40 ; cf. Manguian, juillet 1993, p. 105.
30 Science et Vie, novembre 1990, p. 132 ; LM930807, p. 10, Russie Chine ; on est ainsi en présence des PIC (Communicateur Intelligent Personnel). Le lancement est prévu en 1994. Le service Euteltracs permet de localiser un véhicule en Europe, une partie de l’Afrique du Nord et du Moyen Orient ; cf. Entreprises et Télécommunications, octobre 1991 p. 44.
31 « 1990, l’année où le téléphone sans fil coupe le cordon » in Libération, 6 février 1990.
32 C’est la reprise du projet anglais « Telepoint » qui ne peut pas recevoir d’appels.
33 Expérimentation le 1er octobre 1991 à Strasbourg (Bi-Bop) et décembre 1992 à Paris et toutes les villes de plus de 50 000 habitants en 1994 (à Paris, le jeudi 22 avril 1993) ; in LM911003, p. 30, téléphone et LM930509, p. 19, parisiens ; cf. « Bi-Bop : le monde dans la poche », in Science et Vie, mars 1992, p. 126 ; cf. Télécoms & Réseaux, mai 1993, p. 56. Des appareils spéciaux peuvent recevoir des appels en se « faisant localiser » près d’une borne ; Apple France lance le 17 mai 1993, un « PowerBop », un PowerBook équipé d’un modem spécial (CT2) permettant de se connecter à une borne Bi-Bop.
34 Hewlett-Packard commercialise en 1993 un messager de poche, compatible DOS, le HP-95LX.
35 Entreprises et Télécommunications, n° 4, p. 54.
36 Idée inventée par Jules Verne dans son roman « le château des Carpates ». Les débuts datent, en France, de mai 1984 à Biarritz ; le visiophone est en 1991 lancé sur le marché par Matra sous une licence du CNET, Centre National d’Etudes des Télécommunications ; le mot « visiophone » est inscrit au journal officiel du 24 juin 1982.
37 Un groupement d’intérêt économique a été constitué avec la SAGEM et un appel d’offres portant sur 100 000 visiophones est lancé en 1992, l’objectif étant de faire descendre les prix de 30 000 francs à 2000 francs en 1995 ; cf. LM901123, p. 33, Quilès télécommunications. Matra lance en 1991 son visiophone baptisé « Visage » équipé d’un Codée vidéo (Codeur/décodeur) (150 millions d’opérations par seconde) qui effectue la conversion analogique numérique et la compression de l’image captée par la caméra pour la transmettre via le réseau Rnis (10 images par seconde) ; in Télécoms & Réseaux International, octobre 1991, p. 15. Cf. aussi Vasseur, août 1992, p. 95-103.
38 Cf. La lettre de Teletel, n° 21, p. 8 ; Science et Vie High Tech, n° 7, p. 100.
39 LM930417, p. 24, téléphone.
Le texte seul est utilisable sous licence Licence OpenEdition Books. Les autres éléments (illustrations, fichiers annexes importés) sont « Tous droits réservés », sauf mention contraire.
Bibliothèques en mouvement : innover, fonder, pratiquer de nouveaux espaces de savoir
Yolande Maury, Susan Kovacs et Sylvie Condette (dir.)
2018
Relation d’aide et formation à l’entretien
Édition entièrement revue et augmentée
Jacques Salomé
2003
Images en texte. Images du texte
Dispositifs graphiques et communication écrite
Annette Beguin-Verbrugge
2006
Comment le retard vient aux Français
Analyse d’un discours sur la recherche, l’innovation et la compétitivité 1940-1970
Julie Bouchard
2008
Quand la télévision donne la parole au public
La médiation de l’information dans L’Hebdo du Médiateur
Jacques Noyer
2009
Les origines des sciences de l’information et de la communication
Regards croisés
Robert Boure (dir.)
2002
Médias et Territoires
L’espace public entre communication et imaginaire territorial
Jacques Noyer, Bruno Raoul et Isabelle Paillart (dir.)
2013
L’avènement des porte-parole de la république (1789-1792)
Essai de synthèse sur les langages de la Révolution française
Jacques Guilhaumou (dir.)
1998