Esthétique plurielle
Ce volume représente un pari : il s’agit d’interroger la pluralité de l’esthétique sans la réduire à la variabilité des point de vue sur les œuvres de l’art. C’est donc l’idée esthétique elle-même dont on entend ici évoquer les visées contraires. Pour cela, on a choisi d’engager une démarche qui serait elle-même plurielle : aborder le principe de création ou l’expérience de beauté selon un angle conceptuel à chaque fois différent, qui permette de croiser, autour du rapport à l’œuvre d’art, le ...
Éditeur : Presses universitaires de Vincennes
Lieu d’édition : Saint-Denis
Publication sur OpenEdition Books : 26 juin 2018
ISBN numérique : 978-2-84292-919-0
DOI : 10.4000/books.puv.712
Collection : Esthétiques hors cadre
Année d’édition : 1996
ISBN (Édition imprimée) : 978-2-910381-36-3
Nombre de pages : 160
Michèle Lagny, Marie-Claire Ropars-Wuilleumier et Pierre Sorlin
Avant proposMarie-Claire Ropars-Wuilleumier
Esthétique et subjectivité : approche critiqueMaurice Mourier
Deux ou trois choses que je crois savoir d’elleBéatrice Bloch
L’imaginaire dans l’expérience esthétique de la lecturePierre Bayard
Hélas, ou qu’est-ce qu’une œuvre ratée ?Philippe Ivernel
Le singulier pluriel du beau à l’épreuve de l’instant historiqueChristian Doumet
Toucher la musique avec des motsJean-Michel Rey
L’œuvre comme généalogie de l’esthétiqueCe volume représente un pari : il s’agit d’interroger la pluralité de l’esthétique sans la réduire à la variabilité des point de vue sur les œuvres de l’art. C’est donc l’idée esthétique elle-même dont on entend ici évoquer les visées contraires. Pour cela, on a choisi d’engager une démarche qui serait elle-même plurielle : aborder le principe de création ou l’expérience de beauté selon un angle conceptuel à chaque fois différent, qui permette de croiser, autour du rapport à l’œuvre d’art, le rejet ou l’invocation de la subjectivité, la référence au possible ou à l’imaginaire, la mesure de l’échec ou la loi de l’exaltation, le suspens ou le réancrage de l'historicité : bref, la loi de l’œuvre et la recherche d’une règle.
À travers Kant ou Valéry, entre Benjamin et Kafka, de l’idée musicale à l’expérience poétique, le paradoxe de l’art décline ainsi ses variantes. Il se prolonge dans la démarche d’une jeune artiste faisant courir, de texte en texte, la trace minimaliste d’un mode sériel d’exploration.
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Le Temps d'une pensée
Du montage à l'esthétique plurielle
Marie-Claire Ropars-Wuilleumier Sophie Charlin (éd.)
2009
Effets de cadre
De la limite en art
Pierre Sorlin, Marie-Claire Ropars-Wuilleumier et Michelle Lagny (dir.)
2003
Art, regard, écoute : La perception à l'œuvre
Pierre Sorlin, Marie-Claire Ropars-Wuilleumier, Michele Lagny et al. (dir.)
2000