1 Voir l’article de Paul Fraisse consacré à cette maison d’édition dans le présent volume.
2 Paul Zumthor : « Le désir de la voix vive habite toute poésie, en exil dans l’écriture. », dans Introduction à la poésie orale, Paris, Seuil, 1983, 307 p., p. 160.
3 Voir une Note de Ghérasim Luca de 1965 : « Fondamentalement et même légalement je suis nécessairement apatride. Ni ma langue passée ni ma langue présente ne justifient à mes yeux (après Auschwitz) l’appartenance à un patrimoine national » (propos rapportés par Dominique Carlat, Ghérasim Luca l’intempestif, Paris, Corti, 402 p., p. 251).
4 Gaston Miron, « Demain l’histoire », in L’Homme rapaillé, Paris, Poésie/Gallimard, 1999, 202 p., p. 173.
5 Entretien diffusé sur disque 33 tours à Paris, L’âme du Canada français par deux poètes du Québec, cité par Pierre Nepveu dans Gaston Miron. La vie d’un homme, Boréal, 2011, 900 p., p. 452.
6 Gaston Miron, « Monologues de l’aliénation délirante », L’Homme rapaillé, op. cit., p. 93.
7 Nelson Charest, Entrée « Gaston Miron », dans Corinne Blanchaud (dir.), Dictionnaire des écrivains francophones, Paris, Champion, 2013, 574 p., p. 350.
8 Gaston Miron, « Sur la place publique », L’Homme rapaillé, op. cit., p. 99.
9 Id., « Compagnon des Amériques », Ibid., p. 101.
10 Ibid., p. 101.
11 Id., « L’octobre », L’Homme rapaillé, op. cit., p. 103.
12 Id., « Marche à l’amour », ibid., p. 59.
13 Henri Meschonnic, « L’épopée de l’amour », Présence francophone, n° 31, 1987, p. 99.
14 Gherasim Luca, « Qui voyez-vous ? », Paralipomènes, dans Héros-limite, Paris, Gallimard, « Poésie », 2011, 201 p., p. 211.
15 Id., Ghérasim Luca par Ghérasim Luca, Paris, Corti, 2001 (coffret de deux DVD).
16 Id., introduction de Héros-limite, op. cit., p. XI-XIII.
17 Id., « Héros-limite », dans Héros-limite, ibid., p. 15.
18 Id., « Le tangage de ma langue », inédit, lu par Ghérasim Luca dans Ghérasim Luca par Ghérasim Luca (CD 1), Paris, Corti, 2001.
19 Id., Héros-limite, op. cit., p. XII.
20 Voir Yannick Torlini, Ghérasim Luca, le poète de la voix : ontologie et érotisme, Paris, L’Harmattan, 2011, 201 p. : « Le bégaiement entraîne toujours une fidélité au son, que sa logique prime sur la logique textuelle et sémantique ou non » (p. 55).
21 Voir à ce sujet les définitions que donne de l’oralité Dominique Casajus dans L’Aède et le troubadour. Essai sur la tradition orale, Paris, CNRS Éditions, 2012, 205 p.
22 « Néanmoins je pense que c’est un mirage parce qu’il s’agit d’une poésie déjà très écrite, je travaille extrêmement mes poèmes. » (Entretien accordé à Claude Filteau, Y. Gasquy-Resch, Littérature du Québec, Vanves, EDICEF, 1994, 287 p., p. 141, cité par Yannick Resch)
23 Paul Zumthor, Introduction à la poésie orale, op. cit., 1983, p. 32.
24 Entretien accordé à Claude Filteau, Y. Gasquy-Resch, Littérature du Québec, op. cit., p. 141.
25 Paul Zumthor, Introduction à la poésie orale, op. cit., p. 147.
26 Jacques Brault, Chemin faisant, Montréal, Éditions de la Presse, 1975, 159 p., p. 24.
27 Claude Filteau, « Un poète de circonstance », dans Gaston Miron, un poète dans la cité, Études françaises, n° 35, 2-3, Les Presses de l’Université de Montréal, 1999, 237 p., p. 106-127.
28 « Libérez le souffle et chaque mot devient un signal » écrit en effet Ghérasim Luca dans ce texte inédit cité par André Velter, dans son introduction de Héros-Limite, op. cit., p. XII.
29 Stéphane Hirschi, Élisabeth Pillet et Alain Vaillant, L’Art de la parole vive. Paroles chantées et paroles dites à l’époque moderne, L’art de la parole vive. Paroles chantées et paroles dites à l’époque moderne, Valenciennes, Presses Universitaires de Valenciennes, 2006, 328 p., p. 9.
30 Paul Zumthor, Introduction à la poésie orale, op. cit., p. 12.