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Introduction du dialogue

p. 101-101


Texte intégral

1Merci de votre présence à la deuxième partie de cette journée sur la confiance, un dialogue interdisciplinaire. Je tiens tout d’abord à remercier très chaleureusement nos trois intervenants de cet après-midi, de leur présence et de leur accompagnement, avant de les présenter.

Merci à nos deux discutants ou dialoguants, nos deux amis juristes qui vont dialoguer avec l’économiste Michel AGLIETTA, que je vais présenter dans un instant. Je remercie d’avoir accepté de jouer à ce jeu Vincent DUSSARD, professeur de droit public et spécialiste de droit fiscal et financier et Lucien RAPP, professeur de droit public, spécialiste de droit économique dont les travaux passionnants portent sur différents sujets que j’ai moi-même abordés sous l’angle économique. Michel AGLIETTA – à qui je dois beaucoup puisqu’il a été mon directeur de thèse - est actuellement professeur émérite à Paris 10, conseiller au CEPII (Centre d’Études Prospectives et d’Informations Internationales), membre honoraire de l’IUF, également connu pour sa participation au Conseil d’Analyses Économiques, au Cercle des économistes et à différentes instances ou think tank. Parmi ses ouvrages, certains ont été particulièrement marquants pour la science économique française, à commencer par son premier ouvrage Régulation et crise du capitalisme. L'expérience des États-Unis, publié en 1976, qui a été au fondement de ce courant de la régulation qui s’est épanoui en France. Au début des années 1980, il a réalisé un travail sur la monnaie avec André ORLÉAN, La violence de la monnaie, ainsi que deux autres ouvrages fondamentaux sur la monnaie, cette institution dont nous allons parler aujourd’hui puisqu’elle a un lien très fort avec la notion de confiance. Un grand merci donc à Michel AGLIETTA pour sa présence aujourd’hui.

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