Des historiens pour l’histoire agraire romaine
p. 359-369
Texte intégral
1I – Le fait que pendant le XXe siècle soient publiées quatre œuvres bibliographiques sur l’agriculture romaine, son histoire et son droit, reflète la nouvelle nécessité des historiens de connaître et de ranger l’immense production scientifique accumulée sur ce terrain de echerche. Pour cette raison, il est difficile de faire une réflexion valorisante ou d’offrir un panorama de l’ensemble entier. À ce sujet, Hermon mentionne un autre problème de l’historiographie agraire, c’est-à-dire l’amplitude temporelle et géographique du terrain d’étude, pas seulement de la péninsule italienne, étant données les grandes différences régionales, mais aussi de ses développements particuliers dans les autres provinces de l’Empire. Cette production abondante et variée, décourage les tentatives de grandes synthèses bibliographiques ou, plus modestement, de sélections bibliographiques, et encore plus de bilans historiographiques1.
2Par conséquent, mon intervention cherche seulement à esquisser un panorama de l’historiographie agraire, en suivant un fil conducteur qui cherchera à laisser à part des œuvres sur des aspects tangentiels ou particuliers du thème – malgré les polémiques que ceux-ci aient pu susciter.
3L’historiographie latine même -Caesar, De bello civile ; Salluste, Historiarum ; Tite-Live, Ab urbe condita ; Tacite, Annales- était consciente du fait que pour comprendre l’Histoire de Rome -son passé politico-militaire- il était indispensable de rechercher les événements qui marquaient son système agricole, et de raconter ses conflits agraires. Les historiens romains furent très conscients du rôle transcendantal que la terre et l’agriculteur jouaient pour maintenir les fondements de la res publica : patria, religio et familia. Néanmoins, leur conception de l’histoire comme genre littéraire – d’intention moralisante – les empêchait de la concevoir comme science sociale. Evidemment ils ne cherchaient pas non plus à aborder l’histoire agraire romaine au sens propre ; dans ce sens, on ne voit que des allusions timides dans les traités d’agronomie de Caton, De agricultura, Varro, Res rusticae et Columella, De re rustica (IIme siècle avant JC – Ier siècle après JC).
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5II – Cela dit, à partir de ce moment-là, l’histoire de l’Antiquité classique n’est pas un objet d’étude au sens propre jusqu’au dix-huitième siècle, quand on commence à faire des simples différences : histoire de la culture, histoire économique. À ce sujet, deux auteurs se distinguent : d’un côte, Montesquieu, Considérations sur les causes de la grandeur et décadence des Romains (1734), selon lequel il faut chercher les causes générales dans les coutumes et dans les institutions politiques et juridiques d’un État ; coutumes et institutions qui sont conditionnées par la géographie et les climats. Edward Gibbon, Decline and Fall of the Roman Empire (1766-1788), qui exposait sa théorie du progrès continu et irréversible de l’Humanité, étroitement lié aux facteurs matériels qui augmentent sa richesse.
6La perspective particulière avec laquelle les historiens de cette époque voyaient la réalité agraire romaine a engendré un mouvement pendulaire entre ceux qui défendaient une interprétation optimiste des procès historiques, et ceux qui soutenaient une valorisation pessimiste, sans que le matériel étudié et les références même quantitatives varient beaucoup. Mais comme précurseurs des historiens agraires du dix-neuvième siècle, Trotz et Pilati de Tassulo ont devancé leurs contemporains2.
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7III – En effet, il est indubitable que jusqu’aux dernières décennies du dix-neuvième siècle, la problématique agraire n’a plus été qu’un aspect d’un cadre thématique plus vaste, constitué par les relations politiques et sociales. De cette manière, par exemple, on abordait le traitement de la crise des Gracches. Pourtant, à la fin du dix-neuvième siècle, les études agraires ont enfin un profil propre. Avec ce changement historiographique, les grands problèmes politiques et sociaux de la République romaine tardive s’associaient à ses transformations agraires : le déclin de la petite propriété paysanne et l’avènement d’une propriété agraire moyenne et grande fondée sur le travail des esclaves. Et bien que l’agriculture romaine et ses transformations ne continuent à représenter pour les historiens qu’un élément de plus d’une vaste transformation sociale, la multitude de branches spécialisées qui surgissent pendant le dix-neuvième siècle favorise la prolifération des études agraires sur Rome. Néanmoins il manque, en général, une réflexion sur le type d’organisation agricole qui émerge des agronomes latins, centré sur le modèle de la villa, et par conséquent, néglige l’histoire de la force productive et de son développement ; et également d’autres aspects connexes à l’économie agraire romaine, comme la structure territoriale. La déformation romano-centriste des juristes justiniens projetait aussi son ombre sur le présent, et rendait impossible pour les historiens modernes une compréhension complète des formes d’appropriation et des relations agraires dans le cadre de l’Empire romain. Néanmoins il ne restait aucun espace libre pour la connaissance des régimes juridiques du sol différents de cette forme individualiste qui correspond à la figure du dominium ex iure Quiritium et, au moins partiellement, de la possessio même de l’ager publicus. D’autres moyens d’appropriation et jouissance de la terre avait été pressentis et rapportés par Mommsen, dans sa Römische Geschichte, dans laquelle il avait mis en évidence les aspects communautaires présents dans la structure archaique3. Cette prise de possession et un bon nombre d’éléments présents dans la tradition juridique romaine auraient pu ouvrir la porte à une réflexion historiographique dans ce sens ; avec, par exemple, le thème de l’ager compascuus. Pourtant, dans cette période de la prédominance, d’un côté l’histoire politico-institutionnelle et de l’autre la tradition romaniste ne facilitent pas le développement de nouveaux terrains et de nouvelles méthodes de recherche. Le fait est que l’histoire économique de l’ancien monde et de Rome était encore à ses débuts ; le retard des études sur l’histoire agraire prend sa place dans un contexte plus large4.
8Néanmoins, Mommsen, la grande autorité, s’efforce d’étudier la structure territoriale, en participant avec Rudorff au commentaire de la nouvelle édition de Lachmann des textes des géomètres romains5. Cependant, Arcère présente une œuvre avec une approche similaire à celle des auteurs du siècle antérieur ; bien que, dans d’autres cas, le traitement soit strictement thématique, comme dans les œuvres de Laboulaye, Dickson, Chiappetti, Gerat et Geblesco6. La discussion doctrinale de l’époque sur le caractère général de l’économie antique et sur la situation de l’agriculture en particulier, prit la forme d’un débat entre ceux qui niaient les caractéristiques capitalistes dans l’Antiquité (appelés primitivistes), et ceux qui trouvaient des parallélismes entre les conditions antiques et celles de l’époque contemporaine (modernistes) ; et le noyau du débat se trouvait dans le latifundium7 et la villa8. Par conséquent, il a fallu attendre les générations qui ont succédé à Mommsen et aux études de ses élèves pour voir un revirement limité d’intérêts, et l’émergence d’une problématique nouvelle et plus riche9.
9Ainsi, Max Weber présente sa thèse d’habilitation en 1891 sous le titre Römische Agrargeschichte und ihre Bedeutung für das öffentliche und private Recht, publiée la même annnée que Römische Agrargeschichte10. Comme l’auteur lui-même commence à le dire dans l’introduction : « Les recherches qui donnent un contenu à ce livre ne prétendent pas être une description finie de l’histoire agraire de Rome, comme l’annonce le titre ; en vérité elles se concentrent sur des différents phénomènes du Droit romain, public et privé, seulement d’un point de vu spécifique : celui de son importance pratique pour le développement des relations agraires ». Chez Capogrossi, ici peut-être pour la première fois, l’on trouve un emploi systématique des textes des géomètres romains, et le début des études modernes de l’histoire agraire romaine. Aujourd’hui encore, cet essai a un relief particulier, parce qu’il essaye de tracer un cadre de relations organiques entre l’organisation du territoire, sa définition juridique et les formes de production agraire. Il s’agit d’une tentative importante. Un autre élève de Mommsen, Schulten, recherche des formes d’organisation productive différentes des modèles classiques concentrés sur le latifundium, la villa esclavagiste et la propriété du petit paysan11. Pourtant cette ouverture thématique ne signalera pas un changement radical dans l’horizon de la recherche de la Rome antique. Ainsi en Allemagne, où on arrive à des niveaux techniques peut-être insurmontables, aucune ouverture ne s’oriente vers un type d’analyse qui permet d’individualiser la variété et la complexité des formes de jouissance de la terre12.
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10IV – En passant aux études agraires des premières décennies du vingtième siècle, il faut remarquer Gummerus13. Cet historien finlandais place le fonctionnement de la villa esclavagiste dans le cadre d’un système économique complexe constitué de relations d’échange entre exploitations agricoles, d’une organisation élevée de la production et du marché artisanal et civique, qui reste toujours pour nous un modèle très intéressant14. Grâce à cette largeur de vision, Toynbee arrive à reconnaître à l’élevage l’importance primaire qu’il obtiendra dans le deuxième siècle avant JC. au plus tard15.
11Néanmoins, comme règle générale, les sources insèrent directement la question agraire dans une problématique d’histoire globale ; un champ particulier d’étude qui justifie de toute façon la fragmentation et la diversité de recherches qui se réalisent16. Par conséquent, les références au monde romain sont tangentielles ou simplement décrivent des facteurs concrets, comme lorsque l’on aborde les lois agraires sur le partage des terres, les mécanismes juridiques qui garantissent les droits sur cette terre, le caractère essentiellement agricole de la société monarchique et du début de la République17, ou le latifundium et le colonat, et d’autres questions comme les rebellions serviles ou la législation alimentaire de Trajan, qui ont des connexions agricoles, certaines d’une importance décisive.
12Les approches des monographies publiées pendant cette période, le début du siècle, sont diverses, et les travaux de Roux, Heitland, Billiard et Acerbo en apportent la preuve18. Au même moment, Savoy aspire à offrir une œuvre encyclopédique sur l’Histoire de l’agriculture, qui n’arrive pas à être intéressante pour les Romanistes, à cause de son manque de précision19. Maroi, quant à lui, non seulement essaye de présenter un état de la question, mais aussi introduit les sources épigraphiques dans ce domaine d’études20.
13Quand se sont écoulées déjà presque quatre décennies du siècle, Volterra, dans la brève introduction de son Saggio bibliografico di diritto agrario romano, publié dans la Rivista di diritto agrario de 1937, signale qu’il y a peu de travaux qui se sont consacrés expressément à ce champ d’étude, alors que, étant donnée la nature du Droit romain, une grande partie de la littérature romaniste s’occupe par force des institutiones juridiques qui ont des rapports directs ou indirects avec l’agriculture21.
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14V – Déjà dans les années soixante-dix, Sereni, dans la préface de l’édition italienne du livre de Max Weber, Storia agraria romana, offrait une vision assez pessimiste de l’état des recherches sur l’histoire de l’agriculture et des techniques agraires des Romains ; des mots qui selon Capogrossi ont donné un coup de fouet à la romanistique, et les études agraires de Tibiletti, Fraccaro, White o Gabba en sont la preuve22. Pourtant pendant les dernières décennies du vingtième siècle commencent de nouvelles recherches, de nouvelles méthodes de rapprochement et de nouvelles stratégies de recherche. Même en l’Union Soviétique, l’historiographie du monde antique rencontre en son sein les motifs de sa rénovation, en surmontant ainsi la répétition schématique et rigide des formules qui avaient fini par banaliser la réflexion même de Marx sur la société pré-capitaliste. Staerman, Sergeenko et Kuziscin se situent comme protagonistes d’un tel processus23. Tandis que les études de Staerman se concentraient sur le développement de la force de production et l’organisation de l’esclavage, celles de Sergeenko, encore en grande partie ignorées par le public occidental, s’occupaient de préférence de l’histoire technique agraire. Kuziscin se concentrait, quant à lu, dans l’analyse des systèmes d’organisation de la propriété foncière, ainsi mettait-il en relief la propriété foncière de moyenne importance comme une forme économique différente et séparée du latifundium, et en évidence l’intensité et la rapidité de circulation de ces mêmes possessions agraires, point sur lequel s’est centré, fort justement, l’historiographie moderne de ces dernières années24.
15Il faut citer aussi Marcone, Mangas Manjarrés, Die Goyanes et Ders pour leurs travaux monographiques sur l’agriculture romaine25. Cela dit, les essais de rapprochement à la réalité agraire romaine ont conduit Nicolet à utiliser à la fois des sources littéraires, des traités de géomètres et des nouvelles découvertes archéologiques26. Capogrossi aussi mérite une place spéciale dans ce travail historiographique, parce qu’il a consacré une partie transcendantale de son parcours de recherche à l’étude de la propriété et de l’agriculture27.
16 Kolendo, pour sa part, malgré le titre de son œuvre : L’agricoltura nell’Italia romana28, approfondit la productivité de la main-d’œuvre, qu’elle soit libre ou servile, et l’influence que les techniques et les outils de travail pourraient avoir eu sur la productivité29. Kolendo suit ainsi la ligne commencée par De Robertis, qui sera continuée par El Bouzidi30.
17À nouveau, il s’agit de donner une nouvelle orientation aux études agraires ; et ainsi, Sirago exprime dans le prologue de son œuvre que celle-ci n’est ni un traité sociologique ni une analyse de la technique agraire dans le monde antique, mais un essai de compréhension d’histoire de Rome, elle-même étroitement liée à la possession et l’exploitation de la terre31. Les études partielles continuent ; Kehoe analyse la mentalité économique des hautes classes sociales romaines dans la planification et la gestion de leurs investissements agraires32, et comment les juristes prennent en compte les intérêts financiers de celles-ci dans la régulation de certaines institutions juridiques déterminées33. De son côté Lo Cascio aborde les modalités d’installation34, et Ampolo celles de productivité35. Buck analyse les dispositions du Codex Theodosianus, des Instituta et du Codex justiniens, en relation avec les établissements agricoles en détaillant chacun des aspects de ces unités de production et leur utilité pour l’économie de cette fin de l’Empire36. Ligios fait des études approfondies sur les outils agricoles37.
18Nous assistons aussi à la présentation d’œuvres collectives sur la terre et les systèmes agraires : Terre et paysans dépendants dans les sociétés antiques 38 ; La proprietà a Roma39 ; Capogrossi rassemble des articles de certains auteurs comme L’agricoltura romana. Guida storica e critica40. Le livre De agricultura, In memoriam Pieter Willem de Neeve, paraît à Amsterdam en 199341. Les Actes du Colloquio Internazionale sobre Demografia, sistemi agrari, regimi alimentari nel mondo antico sont publiés à Parme (Parma 17-19 ottobre 1997), Bari 1999, où l’on met en relation les nouvelles disciplines humanistes42. Franciosi s’occupe de la publication de Ager Campanus43. La romanizzazione della Campania antica44. Il prend la responsabilité de la Session de la Société Fernand de Visscher pour l’Histoire des droits de l’Antiquité de 2002 sur « paysans, bergers et pêcheurs »45
19 De façon très active, Ella Hermon fait ses principales recherches sur la législation agraire et l’occupation du sol : elle est titulaire d’une chaire de recherche au Canada en interactions société-environnement naturel dans l’Empire romain46.
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20VI – Comme je l’ai annoncé au commencement de mon intervention, je n’ai pas aspiré à fixer l’état de la question ; ce qui exigerait un travail d’équipe au niveau international et multidisciplinaire, qui permettrait, s’il était stimulé par un Institut d’études agraires – avec les ressources électroniques à notre disposition (portail web, adresses électroniques, bases de données, etc...) – de canaliser les efforts de tant de chercheurs. Parce que, comme soutient Sirago, les études sur l’agriculture romaine ont été à la mode de telle sorte qu’elles se sont converties en thème par excellence du vingtième siècle entre les spécialistes de l’antiquité romaine.
21Je termine avec une réflexion de Volterra, qui écrivait en 1937 : « En effet, l’objet d’étude reste toujours le même à travers les siècles. Par conséquent, la notion de la structure des institutions juridiques agraires, les transformations qu’elles éprouvent à travers les différents événements sociaux et politiques, l’effet pratique qu’ils ont atteint, constituent une précieuse et irremplaçable expérience du passé. Pour les chercheurs de cette branche du droit, il sert comme guide imbattable pour l’étude des normes en vigueur ; il leur donne la mentalité la plus apte pour apprécier la fonction que chaque institution accomplit dans la vie sociale et économique moderne, il est utile pour prévoir les développements successifs et pour concevoir et suggérer des nouvelles normes et institutions qui s’adaptent mieux à la réalisation des objectifs actuels »47. Néanmoins, la réalité actuelle est tout autre : La discipline du Droit agraire, qui est âgée de un peu plus d’un demi-siècle48, est développée par des administrativistes et fondamentalement par des civilistes – avec un grand dynamisme –, mais en tournant le dos au modèle agricole romain, malgré la grande richesse de ses registres49.
Notes de bas de page
1 E. Hermone, « Approches historiographiques », La question agraire à Rome : Droit romain et société, Como, 1999, p. 21 ; E. Volterra, Saggio bibliografico di diritto agrario romano, Firenze, 1937, E. Volterra, Bibliograffa di diritto agrario romano, Florencia, 1951 ; K.D. White, A bibliography of roman agriculture, Reading, 1970 ; D. Flach, Bibliographie zur römischen Agrargeschichte, Paderbom, 1991.
2 C. H. Trotz, lus agrarium romanum, Franequerae 1753 ; C. A. Pilati de Tassulo, Dissertation sur l’état de l’agriculture chez les Romains et son influence sur leurs lois, leurs moeurs, leurs gouvernement et leur commerce, La Haye, 1774.
3 T. Mommsen, Römische Geschichte, Breslay, 1854-1856.
4 L. Capogrossi Colognesi. « Introduzione », L’agricultura romana. Bari, 1982, p. 12-13.
5 F. Blume. K. Lachmann, T. Mommsen. A. Rudorff, Die Schriften der römischen Feldmesser II, Berlin, 1848-1852.
6 L. E. Arcère, L’état de l’agriculture des Romains depuis le commencement de la République jusqu’au siècle de Jules-César, relativement au gouvernement, aux moeurs et au commerce, Paris, 1877 ; A. Dickson, L’agricoltura degli antichi, Bologna, 1788 ; E. Laboulaye, « Du droit agraire chez les Romains », Revue de lég. et jur., 17 (1843), p. 558-570 ; A. Chiappetti, « L’agricoltura presso gli antichi Greci e Romani », Nueva antología 23 (18) 1880 ; Gerat, Discorso sull’agricoltura presso i Romani, Venezia, 1884 ; C. Geblesco, La question agraire à Rome, Paris 1894 (thèse).
7 J. Love, « The character of the roman agricultural estate in the light of Max Weber’s économic sociology », Chiron 16 (1986) p. 100.
8 M. L. Hédouville, Essai sur le régime des eaux dans ses rapports avec l’agriculture, Barle-Duc, 1877.
9 L. Capogrossi Colognesi, « Introduzione », L’agricultura romana, Bari, 1982, p. 8-10.
10 M. Weber, Rômische Agrargeschichte, Stuttgart, 1891.
11 A. Schulten, « Die Landgemeind in römischen Reich », Philologus 53 (1894) p. 629-686 ; A. Schulten. Comunità ruralinello stato romano, 1955.
12 L. Capogrossi Colognesi, « Introduzione », L’agricultura romana, Bari, 1982, p. 10-11 ; L. Capogrossi Colognesi, « Max Weber et Eduard Meyer sur l’histoire agraire romaine des premiers siècles », Index 15 (1987) p. 15 s.
13 H. Gummerus, Der ramische Gutsbetrieb als wirtschaftlicher Organismus nach den Werken des Cato, Varro, und Columela, Leipzig, 1906. Aussi, Rodbertus, « Per la storia dell’evoluzione agraria di Roma sotto gl’imperatori », Biblioteca di storia economica II, Milano, 1907.
14 Aussi, A. Arcangeli, « I contratti agrari nel de agri cultura di Catone (prolegomeni) », St. Zanzucchi (Milano, 1927) p. 5-82.
15 A. J. Toynbee, Hannibal’s legacy. The Hannibalic war’s effects on roman life, London. 1965 ; L. Capogrossi Colognesi, « Introduzione », L’agricultura cit., p. 15-20.
16 À ce sujet, par exemple, E. Pais, Storia della colonizzazione di Roma antica, Roma, 1923.
17 L. M. Ballestero Hernandez, Derecho agrario. Estudios para una introducción, Zaragoza. 1990, p. 70-79.
18 P. Roux. La question agraire en Italie. Le latifundium romain. Paris, 1910 ; W.E. Heitland, Agricola, Cambridge, 1921 (Agricola : A study of agriculture and rustic life in the greco-roman world from the point of view of labour, Connecticut 1970) ; W. E. Heitland, « A great agricultural emigration from Italy ? », JRS 8 (1918) p. 34-53 ; R. Billiard, L’agriculture dans l’antiquite d’aprés les Géorgiques de Virgile, Paris, 1928 ; G. Acerbo, L’agricoltura italica al tempo d’Augusto, Roma, 1938.
19 E. Savoye, L’agricolture à travers les âges. Histoire des faits, des institutions, de la pensée et des doctrines économiques et sociales. II, De Hammourabi à la fin de l’empire romain, Paris, 1935.
20 F. Maroi, « La storia del diritto agrario e i suoi insegnamenti », Atti I Congresso Nationale di diritto agrario 1935. p. 27-37 ; F. Maroi, Il diritto agrario nelle epigrafi romane, Roma. 1938.
21 À ce sujet, par exemple, L. Zancan, Agerpublicus. Ricerche di storia e di diritto romano, Padova, 1935 ; A. Burdese, Studi sull’agerpublicus, Torino, 1952.
22 L. Capogrossi Colognesi, « Introduzione », L’agricultura cit., p. 30 ; G. Tibiletti, « Il latifondo dall’epoca graccana all’impero », Relazioni del X Congresso Internationale di Scienze storiche, II, Roma, 1955, p. 183-266 ; G. Tibiletti, « Ricerche di storia agraria romana », Atheneum 28 (1950) p. 183-266 ; P. Fraccaro, « Di alcuni antichissimi lavori idraulici di Roma e della Campagna », Bolletino Società Geografica Italiana, V. VIII, 3-4, Roma 1919 ; P. Fraccaro, « Assegnazioni agrarie e censimenti romani », Scritti in onore di C. Ferrini I, p. 262-274 ; P. Fraccaro, « Un episodio delle agitazioni agrarie dei Gracchi », Studies presented to David Moore Robison on his seventieth birthday II, Saint-Louis, 1953, p. 884-892 ; K. D. White, Roman farming, London-Southampton, 1970 ; E. Gabba, M. Pasquininucci, Strutture agraria e allevamento trashumante nell’Italia romana (III-I sec. a.c.), Pisa, 1979.
23 E. M. Staerman, Die Blüitezeit der Sklavenwirtschaft in der römischen Republik, Wiesbaden, 1969 ; E. M. Staerman, Genesis robovladelceskich v Italii, Moskau, 1976 ; E.M. Staerman, V. M. Smirin, N. N. Belovan, J. K. Kolosovskaja, Die Sklaverei inden westlichen Provinzen des Römischen Reiches im 1.-3. Jahrhundert, Stuttgart, 1987 ; M.E. Sergeenko, Remeslenniki drevnego Rima, Leningrad, 1968 ; V. I. Kuziscin, « L’azienda agricola contadina dell’antica Roma corne tipo economico ». VDI 1973 ; V. I. Kuziscin, La grande proprietà agraria nell’Italia romana, Roma, 1976 ; « L’azienda contadina dell’antica Roma corne modello economico », Schiavitù e produzione nella Roma repubblicana, Roma, 1986, p. 209-246.
24 L. Capogrossi Colognesi, « Introduzione », L’agricultura cit., p. 27-30 ; E. Rawson, « La aristocrazia ciceroniana e le sue proprietà », M.I. Finley, La proprietà a Roma, Bari, 1980.
25 A. Marcone, Storia dell’agricultura romana : dal mondo arcaico all’età impériale, Roma, 1977 ; 2004 ; J. Mangas-Manjarrés, La agricultura romana, 1977 ; M. C. Die Goyanes, La cuestión agraria en la República romana hasta los Gracos, Madrid, 1977 ; Ders, L’agricoltura nell’Italia romana, Roma. 1980.
26 CI. Nicolet, « L’économie. Mentalité et connaissances. L’agriculture », et « La question agraire », Roma y la conquista del mundo mediterráneo, I, Paris, 1977 ; P. Resina-Sola, Frontino. De agri mensura, Granada, 1983. S. Felici, « Il diritto agrario nelle epistole di Plinio il giovane », Rivista di diritto agrario 1967, p. 786-814 ; S. Felici, « Columela e l’agricoltura del suo tempo », Rivista di diritto agrario 1979, 118-127 ; R. Chevalier, « Cité et territoire. Solutions romaines aux problèmes de l’organisation de l’espace. Problématique 1948-1973 », Aufstieg und Niedergang der rômischen Welt. Festschrift J. Vogt, II (1974), p. 649-788.
27 À ce sujet, par exemple, L. Capogrossi Colognesi, La struttura della proprietà e la formazione de iura praediorum nell’età repubblicana, II, Milano, 1976 ; L. Capogrossi Colognesi, « Max Weber e Eduard Meyer sulla storia romana arcaica », BIDR 88 (1985) p. 83-101 ; L. Capogrossi Colognesi, « Grandi proprietari, contadini e coloni nell’Italia romana (I-III d. C.) », Società romana e impero tardoantico. Istituzioni, ceti, economie, Roma, 1986 ; L. Capogrossi Colognesi, « Dalla villa al saltus : continuità e transformazioni », Du latifundium au latifondo. Un Héritage de Rome, une création médievale ou moderne ? Actes de la Table ronde internationale du CNRS, Paris, 1995, p. 191-211 ; L. Capogrossi Colognesi, « Instrumenta e fisonomia dell’assetto agrario », Labeo 46 (2000) 1, p. 102-111.
28 J. Kolendo, L’agricoltura nell’Italia romana, Roma, 1980 (actualisation de Il progresso tecnico e il problema della manodopera nell’agricoltura dell’Italia antica, 1968) ; J. Kolendo, Le traité d’agronomie des Saserna, Wroclaw, 1973.
29 L. Amirante, « Tecniche agrarie e progresse economico nell’Italia romana », Index 9 (1980) p. 153 s.
30 F. de Robertis, L’organizzazione e la tecnica produttiva. La forza di lavoro e i salari nel mondo romano, Naples, 1946 ; F. de Robertis. La produzione agricola in Italia dalla crisi del III secolo all’età dei Carolingi, Roma, 1972 ; S. El Bouzidi, Place et rôle des esclaves chez Caton. Pour l’analyse d’un traité agronomique, Besançon, 1994.
31 V. A. Sirago, Storia agraria romana, I, Napoli, 1995.
32 P.W. de Neeve, « The price of agricultural land in roman Italy and the problem of economic rationalism », Opus 4 (1985) p. 77-109 ; P. Temin, « A market economy in the early roman empire », JRS 91 (2001) p. 169-181.
33 D. P. Kehoe, « Allocation of risk and investment on the estates of Pliny the younger », Chiron 18 (1988) p. 15-42 ; D. P. Kehoe, Investment, profit, and tenancy. The jurists and the roman agrarian economy, Michigan, 2000.
34 E. Lo Cascio, Terre, proprietari e contadini dell’Imperio romano. Dall’affitto agrario al colonato tardoantico, Roma, 1997 ; M. Clavel-Lévêque, Cadastres et espace rural. Approches et réalités antiques, Paris, 1983 ; E. Lo Cascio, Modalità insediative e strutture agraire, Bari, 2001 ; F. Grelle, « Struttura e genesi dei Libri coloniarum », Die römische Feldmefkunst, Göttingen, 1992, p. 67-87.
35 C. Ampolo, « Le condizioni materiali della produzione. Agricoltura e paesaggio agrario », DdA 2 (1980) p. 15-46.
36 R. J. Buck, Agriculture and agricultural practice in roman law, Wiesbaden, 1983.
37 M. A. Ligios, Interpretazions giuridica e realtà economica dell’instrumentum fundi tra il I sec. a.c. e il III sec. d.c., Napoli, 1996.
38 Terre et paysans dépendants dans les sociétés antiques (Besançon 2-3 Mai 1974) Paris, 1979 : E. C. Welskopf, « En guise d’introduction : quelques remarques sur la relation de l’homme et la terre » ; A. Mele, « Il catasto miceneo di Pilo » ; C. Mossec, « Les dépendants paysans dans le monde grec à l’époque archaïque et classique » ; M. Sakellariou, « Les hectémores » ; P. Leveque, « Les dépendants de type hilote, hectémores » ; J. C. Carrière, « Existe-t-il, dans la société homérique, des rapports de dépendance ? » ; L. R. Ménager, « Naissance de la cité et formation du concept de ‘classe’. Les structures institutionnelles lors du passage au fait urbain ; les structures militaires, expression des catégories sociales » ; M.A. Dandamayev, « Le statut de Vikkaru néo-babylonien » ; J. Modrzejewski, « Régime foncier et statut social dans l’Egypte ptolémaïque » ; H. Kreissig, « Propriété foncière et formes de dépendance dans l’hellénisme oriental » ; A. Khazanov, « Les formes de dépendance des agriculteurs par rapport aux nomades antiques des steppes eurasiatiques » ; M. Torelli, « Rome et l’Etrurie à l’époque archaïque » ; L. Capogrossi Colognessi, « Le régime de la terre à l’époque républicaine » ; J. Kolendo, « Le problème du développement du colonat en Afrique romaine sous le Haut-Empire » ; M. Mazza, « Terra e forme di dipendenza nell’impero romano ».
39 La proprietà a Roma. Guida storica e critica, Bari 1980 : M. I. Finley, « Introduzione » ; R. P. Duncan-Jones, « Alcune conformazioni délia proprietà della terra nell’impero romano » ; D. Crawford, « Proprietà imperiali » ; J. Crook, « Il diritto romano classico e la vendita della terra » ; E. Rawson, « L’aristocrazia ciceroniana e le sua proprietà » ; M. I. Finley, « L’affitto della proprietà agricola privata in Italia prima di Diocleciano » ; P. Garnsey, « L’investimento immobiliare urbano » ; C. R. Whittaker, « Ager deserti ».
40 L’agricoltura romana. Guida storica e critica, Roma-Bari 1982 : L. Capogrossi Cologgnessi, « Introduzione » ; H. Gummerus, « L’azienda agricola romana e l’economia agraria nell’opera di Catone » ; V. I. Kuziscin, « L’espansione del latifondo in Italia alla fine della repubblica » ; AJ. Toynbee, « Nuove esigenze e opportunità economiche nell’Italia peninsulare e nella cisalpina dopo la guerra annibalica » ; E. Gabba, « L’estrutture agrarie dell’Italia romana (III-I ac.) ».
41 De agricultura, In memoriam Pieter Willem de Neeve, Amsterdam 1993 : R. J. Van Der Spek, « Pieter Willem de Neeve (1945-1990) on ancient agrarian history » ; H. T. Wallinga, « Hesiod’s farmer as a salior » ; H. Sancisi-Weerdenburgh, « Salon’s hektemoroi and Pisistratid dekatemoroi » ; H. W. Singor, « Spartan land lots and Helot rents » ; R. J. Van Der Spek. « New evidence on Seleucid land policy » ; D. Yntema, « Greeks, natives and farmsteads in south-eastern Italy » ; H. S. Versnel, « Saturn and the Saturnalia. The question of origin » ; D. Rathbone, « The census qualifications of the assidui and the prima classis » ; F. Meijer, « Cicero and the costs of the republican grain laws » ; P. Rosafio, « The emergence of tenancy and the precarium » ; J.N. Bremmer, « Tibullus colonus and his Ambarvalia »« ; W. Scheidel, « Sklaven und Freigelassene als Pächter und ihre ökonomische Funktion in der römischen Landwirtschaft » ; J. Carlsen, « The villica and Roman estate management » ; H. C. Teitler, « Free-born estate » ; D. P. Kehoe, « Investment in estates by upper-class landowners in early imperial Italy : The case of Pliny the Younger » ; L. de Ligt, « The nundinae of L. Bellicius Sollers » ; H. Lirb, « Partners in agriculture. The pooling of resources in rural societates in Roman Italy » ; E. Lo Cascio, « Considerazioni sulla struttura e sulla dinamica dell’affitto agrario in èta impériale » ; H. W. Pleket, « Agriculture in the Roman empire in comparative perspective ».
42 Demografia, sistemi agrari, regimi alimentari nel mondo antico, Bari, 1999 : D. Vera, « Premessa » ; P. Garnsey, « Malnutrizione e produttività agricola nel Mediterraneo antico » ; G. Nenci, « Il miglio e il panico nell’alimentazione delle popolazioni mediterranee » ; G. Ballarini, « Zootecnodissea. Allevamento degli animali e trasformazione degli alimenti di origine animale nel mondo omerico (circa IX secolo a.c.) » ; U. Fantasia, « Aree marginali nella Grecia antica : paludi e bonifiche » ; L. Gallo, « Il ruolo delle leguminose nell’agricoltura e nell’alimentazione del mondo greco » ; R. Salleres, « Malattie e demografia nell Lazio e in Toscana nell’antichità » ; G. Bandelli, « La popolazione della Cisalpina dalle invasione galliche alla guerra sociale » ; E. Lo Cascio, « Popolazione e risorse agricole nell’Italia del II secolo a.c. » ; J. Remesal Rodrigez, « Politica e regimi alimentari nel principato di Augusto : il ruolo dello stato nella dieta di Roma e dell’esercito » ; J. Carlsen, « Gli Alimenta imperiali e privati in Italia : ideologia ed economia » ; M. Forlin Patrucco, « Cristianesimo. monachesimo. demografia » : W. Scheidel, « Salute, agricoltura e popolazione in Egitto nell’età romana e nel XIX secolo » ; I. Andorlini, A. Marcone, « L’orzo nell’Egitto greco-romano » ; D. Silvestri, « Per un progetto di indagine sulla terminologia alimentare nel mondo antico » ; D. Foraboschi, « Ipotesi per una conclusione ».
43 Ager Campanus, atti del Convegno Internazionale La storia dell’Ager Campanus, i Problemi della Limitatio e sua Lettura Attuale, Ral Sito di S. Leucio, 8-9 Giugno 2001, Napoli 2002 : L. Monaco, « II processo di privatizzazione dell’ager publicus e i riflessi della normativa agraria sull’ager Campanus » ; G. Franciosi, « I due dell’ager Campanus misteri dell’ager Campanus » ; O. Sacchi, « I limiti e le trasformazioni fino alla debellatio del 211 a.c. » ; A. Manzo, « L’assetto dopo il 211 a.c. : le ricognizioni di Postumio e di Lentulo » ; A. Russo, « Nota minima sui Gracchi e l’ager Campanus » ; L. Minier], « La rogatio agraria di Servilio Rullo » ; G. M. Olivieri, « La legislazione agraria di Cesare » ; A. de Simone, « La Banca Dati : l’archivio delle conoscenze e le prospettive di ricerca » ; R. Compatangelo Soussignan, « I catasti della Campania settentrionale : problemi di metodo e di datazioni » ; L. Capogrossi Colognesi, « Pagi sanniti e centuriatio romana » ; S. Quilici Gigli, « Sulle vie che ricalcano gli antichi assi centuriali » ; M. de Nardis, « Viabilità campana e scritti gromatici » ; G. L. Soricelli, « Divisioni agrarie romane e occupazione del territorio nella piana nocerino-sarnese » ; S. de Caro, « Introduzione alle relazioni sugli scavi in atto » ; E. Laforgia, A. de Fillipis, « Centuriazione a Gricignano d’Aversa » ; D. Giampaolo, « Un territorio per due città : ‘Suessula’ e Acerra » ; G. Tagliamonte, F. Miele, « L’ager Allifanus » ; P. Gargiulo, « Il territorio di Liternum » ; V. Sampaolo, « L’area tra Volturno e Agnena » ; A. Cernigliaro, « Un area metropolitana nel Settecento ? ».
44 La romanizzazione della Campania antica, Napoli 2002.
45 Session de la Société Fernand de Visscher pour l’Histoire des Droits de L’Antiquité de 2002 sur paysans, bergers et pêcheurs : G. Franciosi, « La piscatio tinnaria » ; S. Serangelis, « Normativa in favore degli agricoltori nel tardo impero romano » ; F-S. Meissel, « Pecus in commune pascendum dare, politio und colonia partiaria » ; N. Benke, « Aemilia Pudentilla. A Landowning Lady » ; Z. Lucic, « Plinius der jüngere über das antikes Agrarproblematik » ; N. Bogojevic Gluscevic, « Legal Position of Dependent Peasants in Medieval Serbian Coastal Communities : a Parallel with Justinian’s Law » ; M. C. Oliver Solam, « Los novenarii, labradores romanizados en la Navarra bajomedieval » ; M. Youni, « Farming, Stock-raising and Legislating in Ancient Crete » ; J. Gomez Garzas, « El pignus en el Agri cultura de Catón » ; R. Van Den Bergh, « Ownership of agri deserti during the latest roman Empire » ; M. N. Lopez Galvez, « Campesinos y pastores : el daño por incendio » ; E. Karajovic, « Les produits des paysannes, des bergers et des pêcheurs au temps de l’édit sur les prix de Diocletien » ; P. Rosafio, « Contadini e capitazione dopo la riforma fiscale dioclezianea » ; A. Ruelle, « Agere : vocabulaire rustique ou juridique ? » ; F. Zuccotti, « Pastori patrizi e contadini plebei : alcune ipotesi sulle strutture del più arcaico ordinamento romano » ; R. Rodriguez Lopez, « L’agriculture comme officium dans le monde romain » ; O. Sacchi, « Agricoltura, pastorizia e ager publicus » ; M. Garcia Garrido, « Nihil est agricultura melius. Agricolae et mercatores » ; L. kofanov, « Nexum e mancipium nell XII tavole e la situazione dei contadini nexi nel V sec. a. C. » ; T. Peralta Esmer, « Una intuizione di Kant : pastori ed agricoltori” ; J.-H. Michel, « Bergers et paysans à travers l’histoire romaine » ; M. Mircovic, « L’état romain et le système agraire. Possibilité d’étude se fondant sur la comparaison avec les systemes des pays du tiers monde ».
46 E. Hermon, Habiter et partager les terres avant les Gracques, Paris, 2001 ; E. Hermon. « Les Gromatici entre fictions et faits », Histoire, espaces et marges de l’Antiquité. Mélanges M. Clavel-Lévêque, Besançon, 2003, p. 133-160.
47 E. Volterra, Bibliografîa di diritto agrario, ouv. cit., p. 3-4.
48 J. F. Delgado DE Miguel, Estudios de Derecho agrario, Madrid, 1993, p. 45.
49 A. Palermo, « Profili storici del diritto agrario. Diritto romano », Rivista di diritto agrario 1, 1966, p. 67-204 ; Aussi, L. Costato, « Per una storia del diritto agrario », Rivista di diritto agrario 1, 2003, p. 75-85, apprécie l’histoire du droit agraire.
Auteur
Professeur à l’Université de Almeria (Espagne).
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