1 Besse (J.M.), Habiter, op. cit., 2013, p. 207.
2 « Les livres sont des lieux où tout arrive », entretien avec Eugène Savitzkaya, propos recueillis par Thierry Romagné, Europe, 1038 (2015), p. 211.
3 Serres (M.), Atlas, Paris, Julliard, 1994.
4 Besse (J.M.), Habiter, op. cit., 2013, p. 203.
5 La pandémie de Covid-19 a cristallisé cette ambivalence. En effet, si le confinement dû à la pandémie de Covid-19 a d’une part cloisonné matériellement les espaces, l’intimité a par exemple été envahie par la sphère professionnelle.
6 Nancy (J.L.), La création du monde ou la mondialisation, Paris, Galilée, 2002, p. 13-15.
7 Augé (M.), Non-lieux, op. cit., 1992 ; De Biase (A.), « Habiter la nostalgie », in L’habiter dans sa poétique première, sous la direction de Berque (A.), De Biase (A.), Bonnin (P.), actes du colloque de Cerisy-la-Salle, Paris, Éditions Donner lieu, 2008, p. 116-129 ; Widerski (C.), « Vers une architecture métropolitaine », in Lieux contemporains, sous la direction de Younès (C.) Mangematin (M.), Paris, Descartes et Cie, 1997, p. 221-235.
8 Westphal (B.), La cage des méridiens, op. cit., 2016, p. 21.
9 Certains de ceux-ci sont par exemple interrogés dans le dix-neuvième numéro de la Revue critique de Fixxion française contemporaine intitulé Fictions françaises et paru en 2019 : http://www.revue-critique-de-fixxion-francaise-contemporaine.org/rcffc/issue/view/32/showToc, page consultée le 28 juillet 2022.
10 De Biase (A.), « Habiter la nostalgie », op. cit., p. 117-118.
11 Kaplan (C.), Questions of travel : postmodern discourses of displacement, Duke University Press, 1996, p. 33.
12 Westphal (B.), La cage des méridiens, op. cit., 2016, p. 56.
13 Scepi (H.), « Eugène Savitzkaya : une poétique du continu », art. cit., 1995, p. 400.
14 Ibid., p. 414.
15 Domingues de Almeida (J.), « L’écriture jubilatoire chez Eugène Savitzkaya. Lecture des premiers « romans » », Textyles. Revue des lettres belges de langue française. Eugène Savitzkaya. Le corps des mots, op. cit., p. 56.
16 Gefen (A.), Réparer le monde, op. cit., 2017, p. 188.
17 Blanchot (M.), « La parole quotidienne », art. cit., 1992, p. 361-362.
18 Voir notamment : Robbe-Grillet (A.), Pour un nouveau roman, Paris, Les Éditions de Minuit, 1963 ; Rabaté (D.), Vers une littérature de l’épuisement, Paris, Corti, 1991, p. 54-66 ; Ce que le personnage contemporain dit à la critique, sous la direction d'Audet (R.), Xanthos (N.), Paris, Presses Sorbonne nouvelle, 2019.
19 Scepi (H.), « Usage de la folie (à propos de Fou trop poli d’Eugène Savitzkaya », Textyles : revue des lettres belges de langue française. Eugène Savitzkaya : le corps des mots, op. cit., 2013, p. 121.
20 Viart (D.), « Mémoires du récit. Questions à la modernité », in Écritures contemporaines 1. Mémoires du récit, sous la direction de Viart (D.), Paris, Lettres modernes Minard, 1998, p. 24.
21 Remarquons qu’en 2017, Eugène Savitzkaya exploite une nouvelle fois, sur un autre mode, le thème de la folie, en s’attachant à la schizophrénie : Sister, Paris, L’œil d’or, 2017. Ce texte poétique a été mis en présence avec la peinture de Bérengère Vallet dans un spectacle créé et mis en scène par Hélène Mathon.
22 Voir déjà dans Fou trop poli : « Attendre confortablement assis que les choses se fassent n’était pas sans charme. » (FTP, p. 83)
23 Manganelli (G.), La littérature comme mensonge, Paris, Gallimard, 1991, p. 242-243.
24 Le procédé s’accentue dans Au pays des poules aux œufs d’or : « Les deux protagonistes de ce qui va suivre n’avaient que faire des apparences. L’un était héron et l’autre renarde, bien que d’aspect humain. Ne me demandez pas pourquoi. » (p. 19)
25 Voir à ce propos : Demoulin (L.), Savitzkaya ou la nouba originelle, op. cit., 2021, p. 113-125.
26 Bakhtine (M.), Esthétique et théorie du roman, op. cit., 1978, p. 306.
27 Domingues De Almeida (J.D.), « Du menteur au fraudeur : ouï-dire et racontages », Carnets : revue électronique d’études françaises, 13 (2018), p. 61.
28 Hamon (P.), Le personnel du roman : le système des Rougon-Macquart d’Emile Zola, Paris, Droz, 1983.
29 « Les livres sont des lieux où tout arrive », art. cit., 2015, p. 213.
30 Notamment : Goetz (B.), Théorie des maisons, op. cit., 2011 ; Besse (J.M.), Habiter, op. cit., 2013.
31 Izoard (J.), Le journal des poètes, 10 (1974), p. 5.
32 Zenoni (A.), Le corps de l’être parlant, op. cit., 1991.
33 Domingues de Almeida (J.D.), « Innocence et cruauté. Approche anthropologique de la poétique d’Eugène Savitzkaya », Intercâmbio. Revista eletrónica de Estudos Franceses da UP, 2 (2009), p. 377.
34 « Au paradis, je couvais des œufs, j’étais l’ovaire productif, le pistil et les étamines, chaque fleur du noisetier, chaque fruit de la branche, chaque branche de l’arbre et sa longue vie, les trente-six mille avatars du petit sexe laborieux et fantaisiste de la fourmi et du moineau, les diverses teintures de la vulve et les bulles minuscules formant l’écume en dentelle. J’avais l’acidité propice du vagin et le sucre du sperme » (JB, p. 18). Au sujet de ce thème dans les premiers poèmes de Savitzkaya, voir aussi : Demoulin (L.), Savitzkaya ou la nouba originelle, op. cit., 2021, p. 113-117.
35 Zenoni (A.), Le corps de l’être parlant, op. cit., 1991.
36 Nous avons par ailleurs évoqué la récurrence du motif de l’excrément dans l’œuvre de Savitzkaya. Notons que pour Julia Kristeva, l’excrément est précisément le déchet que l’être humain doit rejeter pour se constituer comme sujet et pour ne pas seulement exister comme organisme biologique. (Kristeva (J.), Pouvoirs de l’horreur : essai sur l’abjection, Paris, Le Seuil, 1980).
37 Au sujet de la mise en scène de la prépondérance et des pouvoirs de la parole dans l’esthétique de Savitzkaya, voir notamment : Ouellet (P.), « La prosopopée exaltée : la célébration de la parole chez Eugène Savitzkaya », art. cit., 2004.
38 Zenoni (A.), Le corps de l’être parlant, op. cit., 1991, p. 78-79.
39 Ibid.
40 Demoulin (L.), Savitzkaya ou la nouba originelle, op. cit., 2021, p. 67-70.
41 Zenoni (A.), Le corps de l’être parlant, op. cit., 1991, p. 85-86.
42 Miller (J.A.), « Biologie lacanienne et événement de corps », La Cause freudienne, 44 (2000), p. 14.
43 Viart (D.), « Mémoires du récit. Questions à la modernité », art. cit., 1998, p. 13.
44 Gefen (A.), Réparer le monde, op. cit., 2017, p. 189.
45 Bakhtine (M.), Esthétique et théorie du roman, op. cit., 1978, p. 306.
46 Foucault (M.), L’ordre du discours : leçon inaugurale au Collège de France prononcée le 2 décembre 1970, Paris, Gallimard, 1979, p. 13-14.
47 Gefen (A.), Réparer le monde, op. cit., 2017, p. 188.
48 Westphal (B.), La cage des méridiens, op. cit., 2016, p. 13.
49 Scepi (H.), « Usage de la folie (à propos de Fou trop poli d’Eugène Savitzkaya) », art. cit., 2013.
50 Kaplan (L.), Questions of travel, op. cit., 1996, p. 160.
51 Virone (C.), « Des emblèmes énigmatiques. À propos de Bufo bufo bufo et de Cochon farci », art. cit., 2013, p. 43.
52 Ibid.
53 Demoulin (L.), Savitzkaya ou la nouba originelle, op. cit., 2021.
54 Scepi (H.), « Eugène Savitzkaya et le souci de l’origine », art. cit., 1993, p. 142-143.
55 Jenny (L.), La parole singulière, op. cit., 2009.
56 Ibid., p. 109-110.
57 Ibid., p. 126.
58 « Les livres sont des lieux où tout arrive», art. cit., 2015, p. 211.
59 Le Petit Robert de la langue française 2015, op. cit.
60 Nuridsany (M.), « Eugène Savitzkaya. Au pays des merveilles », Le Figaro, 27 avril 1992, cité sur le site des Éditions de Minuit, en ligne, http://www.leseditionsdeminuit.fr/livre-Marin_mon_cœur-1836-1-1-0-1.html, page consultée le 24 novembre 2019.
61 Jenny (L.), La parole singulière, op. cit., 2009, p. 108.
62 Rey-Flaud (H.), L’éloge du rien : pourquoi l’obsessionnel et le pervers échouent là où l’hystérique réussit, Paris, Le Seuil, 1996, p. 30.
63 Bélot-Fourcade (P.), « Mythe », in Dictionnaire de la psychanalyse, op. cit., 2009, p. 362.
64 Lacan (J.), Le séminaire de Jacques Lacan, Livre XVII : l’envers de la psychanalyse (1969-1970), Paris, Le Seuil, 1991, p. 137-153.
65 Jenny (L.), La parole singulière, op. cit., 2009, p. 133-134.
66 Ibid., p. 105.
67 Romagné (T.), « La Sainte Famille savitzkayenne. Sur quelques aspects inattendus d’À la cyprine », Europe, 1099‑1100 (2020), p. 82-89.
68 Barthes (R.), Sade, Fourier, Loyola, in Barthes (R.), Œuvres complètes. 3: 1968-1971, nouvelle édition revue, corrigée et présentée par É. Marty, Paris, Le Seuil, 2002, p. 847.
69 Rey-Flaud (H.), L’éloge du rien, op. cit., 1996, p. 210-211.
70 Ibid., p. 209.
71 Ibid., p. 211.
72 Ibid.
73 Ibid., p. 213.
74 Marin (L.), La critique du discours : sur la Logique de Port-Royal et les Pensées de Pascal, Paris, Les Éditions de Minuit, 1975, p. 182.
75 Jenny (L.), La parole singulière, op. cit., 2009, p. 93.
76 Ibid.
77 Ibid., p. 114.
78 Lacan (J.), Le séminaire de Jacques Lacan, Livre XI : les quatre concepts fondamentaux de la psychanalyse (1964), op. cit., 1990, p. 73.
79 Jenny (L.), La parole singulière, op. cit., 2009, p. 117.
80 Ibid., p. 113.
81 Rey-Flaud (H.), L’éloge du rien, op. cit., 1996, p. 26.
82 Jenny (L.), La parole singulière, op. cit., 2009, p. 117.
83 Ibid., p. 116.
84 Ibid., p. 118.
85 Ibid.
86 Saussure (F de.), Cours de linguistique générale, édition critique préparée par Tullio de Mauro, Paris, Payot, 1972, p. 156.
87 Jenny (L.), La parole singulière, op. cit., 2009.
88 Ibid., p. 123.
89 Ibid., p. 123-124.
90 Ibid., p. 126.
91 Piret (P.), « Présentation », 2008.
92 Jenny (L.), La parole singulière, op. cit., 2009, p. 128.
93 Ibid., p. 129‑130.
94 Jenny (L.), La parole singulière, op. cit., 2009.
95 Bajomée (D.), « Les chambres noires d’Elvis. Pour une lecture d’Un jeune homme trop gros d’Eugène Savitzkaya », art. cit., p. 97-107.
96 Le Petit Robert de la langue française 2015, op. cit.
97 Voir également : Febel (G.), « Écrire l’intensité de la vie ou le roman en excès – l’œuvre romanesque d’Eugène Savitzkaya », art. cit., 2011.
98 Ruffel (L.), Le dénouement, op. cit., 2005.
99 Jenny (L.), La parole singulière, op. cit., 2009, p. 122.
100 L’incipit de Fou trop poli présente une semblable identification entre le texte et l’objet évoqué, en l’occurrence le contenu de brouettes.
101 Jenny (L), La parole singulière, op. cit., 2009, p. 123.
102 Ibid., p. 125.
103 Ibid.
104 Ibid., p. 125-126.
105 Ibid., p. 196-197.
106 Savitzkaya (E.), « Un jeune Belge », Revue de l’Université de Bruxelles. La Belgique malgré tout, 1-4 (1980), p. 427.
107 Portfolio des architectes Beguin et Massart, en ligne, http://beguin-massart.be/portfolio_page/esplanade-saint-leonard/, page consultée le 8 août 2019.
108 Ruffel (L.), Brouhaha, op. cit., 2016, p. 56.
109 Ibid., p. 100‑101.
110 Ibid., p. 101.
111 Mongin (O.), La condition urbaine, op. cit., 2007, p. 273.
112 Ibid., p. 271-272.
113 Ruffel (L.), Brouhaha, op. cit., 2016, p. 101.
114 Ruffel (D.), « Une littérature contextuelle », Littérature. La littérature exposée, 160 (12.2010), p. 64.
115 Hanna (C.), Nos dispositifs poétiques, op. cit., 2010, p. 17.
116 Ibid., p. 45.
117 Portfolio des architectes Beguin et Massart, op. cit.
118 Ibid.
119 Ibid.
120 Ibid.
121 Ruffel (L.), Brouhaha, op. cit., 2016, p. 103.
122 Au sujet de l’adresse dans l’œuvre de Savitzkaya, voir l’analyse d’À la cyprine menée par Pierre Vinclair : Vinclair (P.), « À qui fou parles-tu? », Europe, 1099-1100 (2020), p. 131-141.
123 Le Grand Robert de la langue française 2017, op. cit.
124 Le Trésor de la langue française, op. cit.
125 « Arlette Baumans & Aloys Beguin, Parc St-Léonard in Liège », sous la direction de Knopes (L.), in Belgium new architecture. Belgique nouvelles architectures. België niewe bouwkunst, vol. 2, Prisme Éditions, 2003, p. 176.
126 Portfolio des architectes Beguin et Massart, op. cit.
127 Ibid.
128 Malherbe (P.), « Savitzkaya par monts et par vaux », Le Soir (29 mars 2003), en ligne, https://www.lesoir.be/art/l-invite-du-samedi-savitzkaya-par-monts-et-par-vaux-je-_t-20030329-Z0MZLW.html, page consultée le 8 août 2019.
129 Hanna (C.), Nos dispositifs poétiques, op. cit., 2010, p. 16.
130 Portfolio des architectes Beguin et Massart, op. cit.
131 Delaunois (A.), « Liège. Sur le site de l'ancienne prison St-Léonard le poète Savitzkaya trace une ligne de mots en liberté », Le Soir (25 septembre 2001), en ligne, https://www.lesoir.be/art/liege-sur-le-site-de-l-ancienne-prison-st-leonard-le-po_t-20010925-Z0KYTF.html, page consultée le 8 août 2019.
132 de Certeau (M.), L’invention du quotidien, op. cit., 1990, p. 198.
133 Tiberghien (G.A.), « Introduction. La ville nomade », in Careri (F.), Walkscapes: la marche comme pratique esthétique, Arles, Jacqueline Chambon, 2013, p. 9.
134 Ibid., p. 14.
135 de Certeau (M.), L’invention du quotidien, op. cit., 1990, p. 148.
136 Ibid., p. 149-150.
137 Bailly (J.C.), La phrase urbaine, op. cit., 2013, p. 173.
138 Ibid., p. 174.
139 Ibid., p. 174-175.
140 Ibid., p. 175.
141 de Certeau (M.), L’invention du quotidien, op. cit., 1990, p. 149.
142 Ruffel (D.), « Une littérature contextuelle », art. cit., 2010.
143 Ibid., p. 62.
144 Antoine (J.P.), « L’espace conduit-il au paradis ? Sur l’exposition des mots », Littérature. La littérature exposée, 160 (12.2010), p. 106.
145 Ibid., p. 109.
146 Ibid., p. 110.
147 Ibid., p. 108-109.
148 Ruffel (L.), Brouhaha, op. cit., 2016, p. 106.
149 Ibid.
150 de Certeau (M.), L’invention du quotidien, op. cit., 1990, p. 140-141.
151 Ibid., p. 142.
152 Ibid., p. 141-142.
153 Malherbe (P.), « Savitzkaya par monts et par vaux », art. cit., 2003.
154 Delaunois (A.à, « Liège. Sur le site de l'ancienne prison St-Léonard le poète Savitzkaya trace une ligne de mots en liberté », art. cit., 2001.
155 Malherbe (P.), « Savitzkaya par monts et par vaux », art. cit., 2003.
156 Careri (F.), Walkscapes : la marche comme pratique esthétique, op. cit., 2013, p. 26.
157 Tiberghien (G.A.), « Introduction. La ville nomade », art. cit., 2013, p. 14-15.
158 Goetz (B.), La dislocation, op. cit., 2001, p. 135-139.
159 de Certeau (M.), L’invention du quotidien, op. cit., 1990, p. 147.
160 Ibid., p. 159.
161 Bailly (J.C.), La phrase urbaine, op. cit., 2013, p. 180.
162 « Les livres sont des lieux où tout arrive », art. cit., 2015, p. 212.
163 Hanna (C.), Nos dispositifs poétiques, op. cit., 2010, p. 32.
164 Bailly (J.C.), La phrase urbaine, op. cit., 2013, p. 172-173.
165 Portfolio des architectes Beguin et Massart, op. cit.
166 Bikialo (S.), « Énonciation éditoriale et littérature exposée », Semen, 41 (2017), en ligne, https://0-journals-openedition-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/semen/10582, page consultée le 28 octobre 2019.
167 Hanna (C.), Nos dispositifs poétiques, op. cit., 2010, p. 201.
168 Ibid., p. 203.
169 de Certeau (M.), L’invention du quotidien, op. cit., 1990, p. 161.
170 Bailly (J.C.), La phrase urbaine, op. cit., 2013, p. 178-179.
171 Portfolio des architectes Beguin et Massart, op. cit.
172 Bailly (J.C.), La phrase urbaine, op. cit., 2013, p. 180-181.
173 Ingold (T.), Une brève histoire des lignes, traduction de S. Renaut, quatrième édition augmentée, Bruxelles, Zones sensibles, 2013, p. 26-27.
174 de Certeau (M.), L’invention du quotidien, op. cit., 1990, p. 162.
175 Ibid., p. 153.
176 Ibid.
177 Ibid., p. 153-154.
178 Ibid., p. 162.
179 Ibid., p. 171.
180 Ibid., p. 158-159.
181 Ingold (T.), Une brève histoire des lignes, op. cit., 2013, p. 197.
182 Ibid., p. 198.
183 Ibid., p. 181-182.
184 Ibid., p. 182.
185 Ibid., p. 177.
186 de Certeau (M.), L’invention du quotidien, op. cit., 1990, p. 147.
187 Thiry (F.), « Arlette Baumans et Aloys Beguin, Parc Saint-Léonard Liège. Rendez-vous à l’estacade », A+, 177, (2002), p. 66.
188 de Certeau (M.), L’invention du quotidien, op. cit., 1990, p. 150-151.
189 Lussault (M.), L’homme spatial, op. cit., 2007, p. 245.
190 Ibid., p. 249-250.
191 Ibid., p. 249.
192 Ibid., p. 249-250.
193 Bailly (J.C.), La phrase urbaine, op. cit., 2013, p. 174.
194 de Certeau (M.), L’invention du quotidien, op. cit., 1990, p. 155-156.
195 Ibid., p. 160-161.