1 Pour un aperçu général de la pensée kantienne, J. LACROIX, Kant et le kantisme, Paris, P.U.F., 1966 ; A. PHILONENKO, L’œuvre de Kant, 2 tomes, Paris, Vrin, 1969-1972 ; J. GRONDIN, Emmanuel Kant avant/après, Paris, Criterion, 1991.
2 Cf. E. KANT, Critique de la raison pure, trad. par A. Tremesaygues et B. Pacaud, Paris, P.U.F., 1944, p. 19 (Préface de 1787).
3 Cf. A. ALTMANN, Moses Mendelssohn et les preuves de l’existence de Dieu, in Archives de Philosophie, 42 (1979), p. 397 à 419.
4 Cf. J. GRONDIN, op. cit., p. 53, n. 5.
5 Cf. Fichtes Werke, hrsg. von I.H. Fichte, Berlin, 1845-1846 (nachdr. Berlin, Walter de Gruyter, 1971), Bd. IV, p. 403 à 410. Nous citerons désormais « F.W. »
6 Cf. M. KESSELER, Kritik aller Offenbarung, Untersuchungen zu einem Forschungsprogramm Johann Gotlieb Fichtes und zur Entstehung und Wirkung seines « Versuchs » von 1792, Mainz, Matthias-Grünewald-Verlag, 1986, p. 197. On comparera avec E. KANT, La religion dans les limites de la simple raison, trad. par J. Gibelin, Paris, Vrin, 1952, p. 76 ainsi que p. 249. Nous citerons désormais « R.L ».
7 Cf. P. MOREAU, L’éducation morale chez Kant, Paris, Cerf, 1988, p. 274 et 275.
8 Pour une lecture de ce type, voir J. HABERMAS, L’espace public, Archéologie de la publicité comme dimension constitutive de la société bourgeoise, trad. par Μ. B. de Launay, Paris, Payot, 1978, le chapitre 13 : Kant — La publicité médiatrice de la politique et de la morale, p. 112 à 126.
9 B. GILSON, L’essor de la dialectique moderne et la philosophie du droit, Paris, Vrin, 1991, p. 681 et 682.
10 Ibid., p. 683.
11 Ibid., p. 684.
12 J. LADRIERE, L’articulation du sens, 2 tomes, Paris, Cerf, 1984, t. 2, p. 330.
13 Cf. R.L., p. 77, note 1.
14 Cf. R.L., p. 21.
15 E. KANT, Critique de la faculté de juger, trad. par A. Philonenko, Paris, Vrin. 1965, § 91, p. 294 et 295. Nous citerons désormais « K.U. ».
16 Ibid.
17 Ibid.
18 E. KANT, Critique de la raison pure, op. cit., p. 551.
19 Ibid., p. 552.
20 Chercher à connaître c’est équivalemment, d’un point de vue moral espérer : croire en l’accomplissement du dynamisme de la raison, ici théorique, la pratique.
21 Ibid., p. 543 et 544.
22 Ibid., p. 556.
23 Ibid.
24 Ibid., p. 555.
25 Ibid., p. 556.
26 R.L., p. 162.
27 Cf. K.U., p. 265.
28 Cf. K.U., p. 275 : « On pensait que la doctrine de la liberté n’était nécessaire pour la philosophie pratique que comme condition négative et en revanche que la doctrine de Dieu et la nature de l’âme, appartenant à la philosophie théorique, devaient être traitées pour elles-mêmes et séparément, ensuite on les reliait avec ce que la loi morale (qui n’est possible que sous la condition de la liberté) ordonne, et ainsi on constituait une religion ».
29 Cf. K.U., p. 265.
30 Le type moral est ce mixte de la conviction reliant « principes objectifs » et « causes subjectives » dans une forme d’espoir qui figure « l’unité des fins sous la loi morale ».
31 Cf. K.U.. p. 274, n. 2.
32 Cf. J. LADRIERE, op. cit., p. 330.
33 « Ce qui est ici l’essentiel, écrit Kant, c’est que cette idée se dégage de la morale et n’en est pas le fondement » (R.L., p. 23).
34 R.L., p. 24.
35 R.L., p. 25. n. 1.
36 R.L., p. 69.
37 Cf. R.L., p. 48.
38 Cf. R.L., p. 66.
39 Cf. R.L., p. 66.
40 Cf. R.L., p. 37 et 38.
41 Cf. R.L., p. 67 et 68.
42 Cf. R.L., p. 69.
43 Cf. R.L. p. 71.
44 Cf. R.L., p. 73.
45 « Le mal véritable, le mal du mal, ce n’est pas la violation d’un interdit, la subversion de la loi, la désobéissance, mais la fraude dans l’œuvre de totalisation. (...). La requête d’un objet entier de la volonté est en son fond antinomique. Le mal du mal naît au lieu de cette antinomie », P. RICOEUR, Le conflit des interprétations, Essais d’herméneutique, Paris, Seuil, 1969, p. 414.
46 Cf. R.L., p. 61.
47 Cf. R.L., p. 72 et 73, à propos de l’éducation.
48 Cf. R.L., p. 61, note I.
49 Cf. R.L., p. 76.
50 Cf. R.L., p. 76 et 77, note 1.
51 Cf. R.L., p. 81.
52 Cf. R.L., p. 47.
53 Tout l’enjeu de sa vie se déploie dans l’entre-deux du ciel et de l’enfer ; et Kant déclare exacte cette représentation chrétienne (cf. R.L., p. 84).
54 Cf. R.L., p. 85.
55 Cf. W. PANNENBERG, Grundzüge der Christologie, Gütersloh, Gütersloher Verlagshaus Gerd Mohn, 1964 (Dritte Auflage 1969), p. 38 : « Kant verband Jesus mit seinem « Ideal der moralischen Vollkommenheit », als Verkörperung, Beispiel dieser Idee, die jeder Mensch in seinem moralischen Bewusstsein vorfinde ».
56 Cf. R.L., p. 68.
57 Cf. R.L., p. 90 et 91, note 1.
58 Cf. P. RICOEUR, op. cit., p. 405.
59 Cf R.L., p. 93.
60 Cf P. RICOEUR, op. cit., p. 407 et 408.
61 Cité par Kant, R.L., p. 92.
62 Cité par Kant, R.L., p. 93.
63 Cf. R.L., p. 101.
64 « C’est-à-dire par son exemple, (dans l’Idée morale) il ouvre la porte de la liberté pour tous ceux qui veulent mourir à tout ce qui les tient enchaînés à la vie terrestre, au détriment de la moralité et réunit pour lui parmi eux « un peuple qui, appliqué aux bonnes œuvres, serait son bien » et sous sa dénomination tandis qu’il abandonne à la leur ceux qui préfèrent la servitude morale » (R.L., p. 112).
65 Cf. R.L., p. 131.
66 Cf. R.L., p. 133.
67 Cf. R.L., p. 136 et 137.
68 Cf. R.L., p. 143.
69 Cf. E. WEIL, Problèmes kantiens, Paris, Vrin, 1963, p. 146.
70 Cf. R.L., p. 55 et p. 179.
71 Cf. R.L., p. 179.
72 Cf. R.L., p. 162.
73 Cf. R.L., p. 179.
74 Cf. E. KANT, op. cit., p. 25 et 26. Voir aussi, ibid., p. 557. On retrouve aussi ce souci dans la Critique de la raison pratique, au sujet de l’humilité. Cf. E. KANT, Critique de la raison pratique, trad. par Fr. Picavet, Paris, P.U.F., 1960, p. 81.
75 Que ce soit par l’exclusivité du savoir religieux ou de sa pratique, le docteur d’une église (R.L., p. 247) ou le prêtre. « Le sacerdoce par suite consisterait d’une manière générale dans l’autorité que s’arroge le clergé sur les âmes en se donnant l’apparence d’avoir la possession exclusive des moyens de grâce » (R.L., p. 259). Ce qui signifie que le principe premier est pour tout homme le respect de la loi morale. Un sacerdoce qui s’arrogerait le pouvoir serait la première trahison du Christ serviteur des hommes.
76 Cf. R.L., p. 229.
77 Cf. R.L., p. 212. Kant renvoie à Matthieu XXV, 35-40.
78 R.L., p. 241. Voir aussi la Sittenlehre de Fichte, F.W. IV 173.
79 Nous suivons la Sittenlehre d’Iena publiée en 1798 et dont la traduction française de P. Naulin a déjà été utilisée dans l’avant-propos.
80 R.L., p. 242 et F.W. IV 168.
81 R.L., p. 242.
82 Kant et Fichte lient cette espérance à un sentiment (Gefühl), celui produit par l’harmonie de la conscience avec son devoir. Selon Fichte, « le sentiment de la certitude est engendré par l’accord d’un acte du jugement avec la tendance morale » (F.W. IV 175).
83 Cf. P. RICOEUR, Le conflit des interprétations, op. cit., p. 413.
84 Cf. op. cit., p. 413.
85 Cf. Critique de la raison pratique, op. cit., p. 137 et 138.
86 Fichte écrit : « Tout homme doit se convaincre de ce qu’est son devoir et tout homme le peut dans tous les cas » (F.W. IV 174 ; trad. citée, p. 167). Fichte précise « devant soi-même et devant les autres » (F.W. IV 174) et dans la perspective « d’être confirmé dans sa conviction pour l’éternité et d’être rendu incapable de se changer » (F.W. IV 175 ; trad. citée, p. 168 et 169).
87 Cf. F.W. IV 172.
88 Le principe de la foi fétichiste (R.L., p. 251).
89 Cf. R.L., p. 66.
90 Cf. Rm 8, 5 à 9 ainsi que Ga 5, 16 à 18.
91 Cf. Rm 6, 6.
92 Cf. 1 Co 15, 44 à 46.
93 Cf. R. BRISART, La phénoménologie de Marbourg, Bruxelles, Publications des Facultés Universitaires Saint-Louis, 1991, p. 169.
94 Sur ce thème, cf. St. BRETON, Deux mystiques de l’excès : J.-J. Surin et Maître Eckhart, Paris, Cerf, 1985, p. 138 et 139.
95 Cf. Critique de la raison pratique, op. cit., p. 103.
96 D’où ce passage de l’Ecrit sur la religion souligné et commenté par Fichte dans sa Sittenlehre (1798) : « La conscience est une aperception qui est en soi un devoir » (R.L., p. 241). Cette formule fournit, pour Fichte, la clé d’une rationalité des convictions chez Kant : agir moralement, c’est avoir acquis la conviction ou « Savoir qu’une action que je veux entreprendre, est juste » (R.L., p. 242). Cf. Fichtes Werke, Bd. IV, p. 168 à 173.
97 Cette idée est centrale dans la théosophie de Jacob Boehme. Pour le mystique souabe, l’essence de la vie est « le triomphe éternel sur la possibilité du mal » (Fr. WARRAIN, La théodicée de la Kabbale, Paris, Ed. Véga, 1949, p. 210). Schelling reprendra cette idée dans son essai de 1809 sur la liberté humaine (Sämtliche Werke, Bd. VII, p. 399).
98 Cf. E. HUSSERL, Fichtes Menschheitsideal, Drei Vorlesungen, in Husserliana, Bd. XXV, Aufsätze und Vorträge (1911-1921), hrsg. von Th. Nenon u. H. R. Sepp, Dordrecht/Boston/Lancaster, Martinus Nijhof, p. 267 à 293, p. 277 et 278. Cité par J.BENOIST, Husserl : au-delà de l’onto-théologie, in Les Etudes philosophiques, 1991, p. 433 à 458. p. 446.
99 E. HUSSERL, op. cit., p. 278.
100 Cf. op. cit., p. 104.
101 On pourrait dire ad extra.
102 On pourrait dire ad intra.
103 Cf. G. THILS, L’infaillibilité du peuple chrétien « in credendo », Paris/Louvain, DDB/Warny, 1963.
104 Cf. W. KASPER, La théologie et l’Eglise, trad. par J. Hoffmann, Paris, Cerf, 1990, p. 15.
105 Cf. E. WEIL, op. cit., p. 146. Voir R.L., p. 208 et 209, ainsi que 231 et 234.
106 Cf. G. THILS, Pour une théologie de structure planétaire, Louvain-la-Neuve, Publications de la Faculté de Théologie, 1983, p. 48 à 50, ainsi que 56 et 57.
107 Cf. les développements de J.L. SEGUNDO, Qu’est-ce qu’un dogme ?, Liberté évangélique et vérité normative, trad. par F. Guihal, Paris, Cerf, 1992, p. 483 ss. Il suit avec raison les réflexions de A. TORRES QUEIRUGA, La revelación de Dios en la realización del Hombre, Madrid, Ediciones Cristiandad, 1987, p. 288 ss.
108 Cf. P. MOREAU, op. cit., p. 276 à 279. Voir aussi J. GRONDIN, op. cit., p. 146 à 149.
109 Cf. l’article classique de G. GURWITSCH, Kant et Fichte, interprètes de Rousseau, in Revue de Métaphysique et de Morale, 76 (1971), p. 385 à 405. Voir aussi de manière générale, R. POLIN, La politique de la solitude, Paris, Sirey, 1971.
110 Cf. R.L., p. 200, note 1.
111 Cf. Critique de la raison pratique, op. cit., p. 165 et 166.
112 Sur cette terminologie, voir Ph. VAN PARUS, Qu’est-ce qu’une société juste ?, Paris, Seuil, 1991, p. 244.
113 Cf. P. GUILLAMAUD, Le négatif chez Kant, in Les Etudes philosophiques, 1990, p. 173 à 185, p. 184 et 185 : « (...) la théorie kantienne du mal radical préserve la réalité de la morale individuelle tout en posant la réalité d’un bien suprasensible, et c’est la connaissance impossible des voies impénétrables de Dieu comblée par la foi qui rend possible cette préservation ».
114 Cf. B. ROUSSET, La philosophie de Rousseau et la question de la directivité, in Jean-Jacques Rousseau et la crise contemporaine de la conscience, Paris, Beauchesne, 1980, p. 151 à 166, p. 163. J.STAROBINSKI, Le remède dans le mal, Paris, Gallimard, 1964, p. 164.
115 Cf. E. KANT, Anthropologie d’un point de vue pragmatique, trad. par M. Foucault, Paris, Vrin, 1964, p. 164.
116 Kant en reste, de ce point de vue, selon les termes de Ricoeur, à une « stratégie d’épuration formelle » des convictions, dès lors assimilées aux inclinations, sans tenir compte de la détermination téléologique de l’existence morale à partir de la symbolisation des particularités d’un mode d’être-au-monde (Soi-même comme un autre, op. cit., p. 332 et 333).
117 Cf. Ph. VAN PARUS, op. cit., p. 246.
118 Cf. E. HUSSERL, op. cit., p. 277.
119 Cf. J.G. FICHTE, Fünf Vorlesungen über die Bestimmung des Gelehrten, in F.W. XI 145 à 208, p. 153. Et déjà dans les leçons de 1800 sur la Bestimmung des Menschen, F.W. Il 288 ss.
120 Cf. F.W. IV 171 et 172.
121 F.W. IV 172 (trad. de P. Naulin, p. 166).
122 Cf. P. ROHS, Johann Gottlieb Fichte, München, C.H. Beck, 1991, p. 88 sv.
123 Cf. F.W. VII 30 ; ainsi que F.W. V 407 à 410.
124 Cf. F.W. IV 405 et 406.
125 Cf. F.W. V 412 et 413 ; ainsi que F.W. VII 32.
126 Cf. F.W. IV 500 et 501.
127 Cf. F.W. III 82.
128 Cf. F.W. III 84.
129 Cf. J.-M. FERRY, Les puissances de l’expérience, op. cit., t. 2, p. 126 et 127.
130 Cf. P. LIVET, Intersubjectivité, réflexivité et récursivité chez Fichte, in Archives de Philosophie, 50 (1987), p. 581 à 619, p. 608.
131 A. RENAUT, Présentation, in FICHTE J.G., Discours à la nation allemande, trad. par A. Renaut, Paris, Imprimerie nationale, 1992, p. 7 à 48, p. 42 et 43.
132 Cf. F.W. VI 311.
133 Cf. F.W. VI 315.
134 Cf. R. LAMBLIN, Sur la nouvelle interprétation de la philosophie de Fichte, in Les Etudes philosophiques, 1989, p. 65 à 90.
135 Cf. ibid., p. 79.
136 Cf. notamment, F.W. V366.
137 C’est en tout cas le bilan que nous pensons pouvoir tirer de nos recherches, menées dans le cadre de l’agrégation, sur Droit et création sociale chez Fichte (à paraître).
138 Cf. J.-C. GODDART, Christianisme et philosphie dans la première philosophie de Fichte, in Archives de philosophie, 55, 1992, p. 199 à 220, p. 218.
139 Cf. A. RENAUT, Fichte : le droit sans la morale ?, in Archives de philosophie, 55, 1992, p. 221 à 242, p. 232 et 233.
140 Cf. P. RICOEUR, Soi-même comme un autre, Paris, Seuil, 1990, p. 334 et 335.
141 Cf. J. LADRIERE, L’articulation du sens, 2 tomes, Paris, Cerf, 1984, t. 2, p. 252 et 253.
142 Cf. JT. GODBOUT — CAILLE A., L’esprit du don, Montréal, Ed. Boréal, 1992, p 24.
143 Comme le remarque Habermas dans sa critique de Foucault. Cf. J. HABERMAS, Le discours philosophique de la modernité, op. cit., p. 340.
144 Comme l’écrit K.O. Apel, « ce problème d’une application de l’éthique des principes par rapport à l’histoire ne peut être mis sur le même plan que le problème normal de l’application circonstanciée d’une morale conventionnelle, ou que le problème de la responsabilité vis-à-vis des conséquences tel que nous l’avons abordé, avec le théorème (U), au plan de la justification des normes ou de la légitimation. Son domaine d’objet concerne plutôt les conditions d’application du principe (U) en tant précisément qu’elles sont encore à réunir ; il renvoie donc en définitive à la question posée en particulier par les philosophes qui privilégient l’action politique : en quoi une éthique des principes peut-elle encore être exigée ? » (K.O. APEL, L’éthique de la discussion : sa portée, ses limites, in L’univers philosophique, sous la direction d’André Jacob, Paris, P.U.F., 1989, p. 154 à 165, p. 161).
145 Cf. A. TOURAINE, Critique de la modernité, Paris, Fayard, 1991, p. 389 et 390, ainsi que p. 404.
146 Cf. F.W. IV 409.
147 Cf. F.W. V 527 et 531.
148 Cf. F.W. V 404.
149 Cf. J.-C. GODDARD, Fichte et Spinoza, in Bulletin de l’Association des amis de Spinoza, 27, 1991, p. 2 à 29, p. 21. Voir aussi FÜHRER W., Das Wort Gottes in Luthers Theologie, Vandenhoeck u. Ruprecht, Göttingen, 1984, p. 94.
150 Cf. W. FÜHRER, op. cit. p. 57.
151 Cf. F.W. IV 522, 543 et 544.
152 Cf. J. LADRIERE, op. cit., t. 2, p. 330.
153 Cf. F.W. V 533 (paraphrasant 1 Co, 13, 1 à 3).
154 Cf. F.W. V 534.