1 E. KANT, Critique de la raison pure, trad. par A. Tremesaygues et E. Pacaud, 6e éd., Paris, 1968, p. 503, note.
2 p. VALERY, Regards sur le monde actuel, Paris, 1962, p. 37. En ce sens, cf. également L. RAUCENT, Pour une théorie critique du droit, Gembloux, 1975, p. 21 : "Une approche rapide du droit objectif conduit à penser que sa définition a la simplicité de l'évidence : une étude plus approfondie qu'elle a l'inaccessibilité du mystère".
3 St AUGUSTIN, Confessions, XIV, 17.
4 H.L.A. HART, Le concept de droit, trad. par M. van de Kerchove, avec la collaboration de J. van Drooghenbroeck et R. Célis, Bruxelles, 1976, p. 13.
5 Cf. notamment Ch. PERELMAN, La réforme de l'enseignement du droit et la "nouvelle rhétorique", in Archives de philosophie du droit, no 20, 1975, p. 165, où il parle "d'un consensus sur ce qui relève du droit ou n'en relève pas".
6 L. FRANCOIS, Le problème de la définition du droit. Introduction à un cours d'évolution de la philosophie du droit à l'époque contemporaine, Liège, 1978, p. 9.
7 M. VIRALLY, La pensée juridique, Paris, 1960, p. 1.
8 F. RIGAUX, Introduction à la science du droit, Bruxelles, 1974, p. 5.
9 Cf. notamment E. DUMONT, Discours préliminaire, in Oeuvres de J. Bentham, jurisconsulte anglais, éd. E. Dumont, Bruxelles, 1829, p. 6 qui qualifie ces deux attitudes de "deux espèces de poisons politiques".
10 P. RICOEUR, Interpretation theory : discourse and the surplus of meaning, Fort Worth, 1976, p. 79 : "Il est possible de se mouvoir autre les deux limites du dogmatisme et du scepticisme".
11 Sur le problème de la définition en général, on consultera notamment les études très développées de R. ROBINSON, Definition, Oxford, 1954 et A. BELVEDERE, M. JORI et L. IANTELLA, Definizioni giuridiche e ideologie, Milan, 1979, pp. 6-130.
12 A. LALANDE, Vocabulaire technique et critique de la philosophie, 12e éd., Paris, 1976, p. 208.
13 O. WEINBERGER, Rechtslogik, Vienne-New York, 1970, p. 250. Cf. également G. KALINOWSKI, Introduction à la logique juridique. Eléments de sémiotique juridique, logique des normes et logique juridique, Paris, 1965, p. 48 : "Toute définition est formulée dans un langage et le terme 'définition', lorsqu'il est pris au sens propre, désigne la caractérisation d'une expression".
14 H.L.A. HART, op.cit., p. 28 ; R. ROBINSON, op.cit., pp. 29 et sv.
15 A ce sujet, cf. notamment A. LALANDE, op.cit., p. 208 et 1242. Nous verrons cependant qu'il est possible de donner à cette terminologie un sens différent.
16 O. WEINBERGER, op.cit., p. 259.
17 Ibidem, p. 260. Comme le fait remarquer G. Kalinowski, il convient seulement de rappeler que les savoirs formels comportent "des concepts "construits" (non abstraits du réel) auxquels ne correspond aucune réalité". C'est pourquoi, dans ce cas particulier, "on ne peut jamais parler de "définitions de choses"" (op.cit., p. 48).
18 Cf. notamment H. LEVY-ULLMAN, Eléments d'introduction générale à l'étude des sciences juridiques, t. I, La définition du droit, Paris, 1917 : Cl. DU PASQUIER, Introduction à la théorie générale et à la philosophie du droit, 4e éd., Neuchâtel-Paris, 1967, pp. 284-289 · H.L.A. HART, op.cit., pp. 13 et sv.
19 J. LECLERC, Du droit naturel à la sociologie, t. I, Paris, 1960, p. 53.
20 P. AMSELEK, Méthode phénoménologique et théorie du droit, Paris, 1964, p. 218.
21 K. STOYANOVITCH, Le domaine du droit, Paris, 1967.
22 Ibidem, p. IV.
23 Ibidem.
24 Ibidem, p. V.
25 Ibidem, p. 469.
26 Ibidem.
27 Ibidem, p. 50.
28 Ibidem.
29 Ibidem.
30 Ibidem, p. 469.
31 Ibidem.
32 Ibidem, p. 213.
33 M. MIAILLE, Une introduction critique au droit, Paris, 1976, p. 85.
34 Ibidem, p. 86.
35 Ibidem, p. 118.
36 J. CARBONNIER, Les phénomènes d'inter-normativité, in Essais sur les lois, Paris, 1979, p. 256 : "La norme juridique dispose, à l'égard de la norme non-juridique, d'un pouvoir dont celle-ci ne possède pas l'équivalent à l'égard de celle-là. Entendez que la règle de droit est capable de s'approprier n'importe quelle autre règle sociale, mais que l'inverse n'est point vrai".
37 A. ROSS, Definition in legal language, in logique et analyse. Nouvelle série, 1958, no 3-4, p. 146.
38 Cf. notamment O. WEINBERGER, op.cit., p. 260.
39 Cf. notamment G. KALINOWSKI, Théorie, métathéorie ou philosophie du droit. Réflexions sur The concept of law de H.L.A. Hart et On law and justice d'A. Ross, in A.P.D., t. XV, 1970, p. 183 qui considère que "la différence essentielle existant entre les règles des échecs et les règles juridiques" réside dans le fait que "la vie sociale est une nécessité critique naturelle donnée"... (p. 184) et que "la règle de conduite sociale humaine en est également une" ; G. DEL VECCHIO, Philosophie du droit, Paris, 1953, p. 15 : "Le droit positif n'est pas le résultat de causes spéciales et exceptionnelles, mais bien un phénomène commun à tous les peuples et à tous les temps, autant dire un produit nécessaire de la nature humaine".
40 G. DEL VECCHIO, Mutabilité et éternité du droit, in A.P.D., 1957, p. 148. L'auteur ajoute encore que "pour abolir le droit, il faudrait abolir l'humanité".
41 G. DEL VECCHIO, Philosophie du droit, op.cit., p. 15.
42 Ibidem, p. 253.
43 Ibidem, pp. 250-251.
44 M. MIAILLE, op.cit., p. 95.
45 Cf. notamment J. FREUND, Droit et politique. Essai de définition du droit, in A.Ρ.D., t. 16, 1971, p. 18 : "Quand je dis que le droit n'est pas une essence, j'entends qu'il n'est pas originaire au sens du politique ou de l'économique, que l'homme n'est pas immédiatement un être juridique, qu'il ne l'est pas naturellement".
46 J. DABIN, Théorie générale du droit, nouvelle édition, Paris, 1969, p. 18.
47 Cf. notamment B. MALINOWSKI, Crime and customs in savage society, New York, 1926, p. 58 ; M. GLUCKMAN, Politics, law and rituals in tribal society, Oxford, 1977, p. 182.
48 Cf. notamment S. ROBERTS, Order and dispute, Middelsex, 1979, pp. 26-28.
49 A. KOJEVE, Esquisse d'une phénoménologie du droit, Paris, 1981, p. 11.
50 P. AMSELEK, op.cit., p. 282.
51 G. KALINOWSKI, Querelle de la science normative. Contribution à la théorie de la science, Paris, 1969, p. 98.
52 P. AMSELEK, op.cit., p. 272.
53 S. GOYART-FABRE, Essai de critique phénoménologique du droit, Paris, 1972, p. 47.
54 M. MIAILLE, op.cit., p. 95.
55 M. VILLEY, Une définition du droit, in A.P.D., t. 4, 1959, p. 47.
56 M. MIAILLE, op.cit., p. 95.
57 J. DABIN, op.cit., p. 18.
58 A. LALANDE, op.cit., p. 209.
59 O. WEINBERGER, op.cit., p. 262.
60 A LALANDE, op.cit., p. 209.
61 G. KALINOWSKI, Introduction à la logique juridique, op.cit., p. 51.
62 Cf. notamment M. MIAILLE, op.cit., p. 96 qui reproche notamment le fait que la règle de droit ne soit traditionnellement rapprochée que de la règle morale ou religieuse et non d'autres 'règles' de conduite sociale, comte les lois sociologiques ou les lois économiques. On pourrait penser également aux règles du langage ou aux règles de jeu (cf. notamment H.L.A. HART, op.cit., p. 22).
63 J. BENTHAM, A fragment on government, in A comment on the commentaries and a fragment on government, ed. by J.H. Burns and H.L.A. HART, Londres, 1977, p. 495. Eh ce sens, cf. également O. WEINBERGER, op.cit., p. 263.
64 Cf. H.L.A. HART, op.cit., p. 29.
65 Ibidem. Cf. par exemple, L. FRANCOIS, op.cit., p. 71 : "Si les échantillons n'ont aucun caractère intrinsèque commun, l'ensemble prétendument désigné par eux est indéfinissable".
66 H. Ph. VISSER 'T HOOFT, La philosophie du langage ordinaire et le droit, in A.P.D., t. 17, 1972, p. 269.
67 H.L.A. HΑRT, op.cit., p. 282.
68 H.L.A. HART, op.cit., p. 30.
69 S. ROMANO, L'ordre juridique, trad. par L. François et P. Gothot, Paris, 1975, p. 7.
70 H.L.A. HART, op.cit., pp. 103 et sv.
71 S. ROMANO, op.cit., p. 2.
72 M. MIAILLE, op.cit., p. 96.
73 M. VILLEY, Philosophie du droit, t. I, Définitions et fins du droit, Paris, 1975, p. 6.
74 M. VILLEY, Seize essais de philosophie du droit, Paris, 1969, p. 24.
75 Cf. notamment, Cl. DU PASQUIER, Introduction à la théorie générale et à la philosophie du droit, op.cit., p. 308 : "Entre la notion, le fondement, le but, l'idée du droit, les distinctions sont nébuleuses : suivant les auteurs, on emploie indiféremment l'un ou l'autre de ces termes pour exprimer des pensées analogues".
76 G. RADBRUCH, Vorschule der Rechtsphilosophie, Göttingen, 1965, p. 39 ; J. BINDER, Rechtsbegriff und Rechtsidee. Bemerkungen zur Rechtsphilosophie Rudolf Stammler, neudruck, Darmstadt, 1967.
77 G. DEL VECCHIO, Philosophie du droit, op.cit., p. 249.
78 G. RADBRUCH, op.cit., p. 33 : "Der Begriff des Rechts verhält sich zur Idee des Rechts wie das Sein zum Sollen".
79 G. DEL VECCHIO, Philosophie du droit, op.cit., p. 249.
80 P. PESCATORE, op.cit., p. 427.
81 Ibidem, p. 423.
82 L. FRANCOIS, op.cit., p. 28.
83 M. MIAILLE, op.cit., p. 52.
84 M. MIAILLΕ, op.cit., p. 96.
85 H., L. et J. MAZEAUD, Leçons de droit civil, t. I, Paris, 1972, p. 96.
86 G. BURDEAU, Traité de science politique, t. I, 2e éd., Paris, 1966, p. 185.
87 Ibidem.
88 Ibidem, p. 192.
89 Cf. notamment J. LENOBLE et F. CST, Droit, mythe et raison. Essai sur la dérive mytho-logique de la rationalité juridique, Bruxelles, 1980, notamment pp. 269 et sv.
90 G. BURDEAU, op.cit., p. 219.
91 R. DWORKIN, Taking rights seriously, Cambridge, Mass., 1977, p. 40.
92 P. FORIERS, Le juriste et le droit naturel. Essai de définition d'un droit naturel positif, in La pensée juridique de Paul Foriers, vol. I, Bruxelles, 1982, p. 425.
93 Cf. notamment L. FRANCOIS, op.cit., p. 33 ; L. RAUCENT, op.cit., p. 26.
94 Le dictionnaire Robert définit la métonymie comme le "procédé de langage par lequel on exprime un concept au moyen d'un terme désignant un autre concept qui lui est uni par une relation nécessaire (la cause pour l'effet, le contenant pour le contenu, le signe pour la chose signifiée)".
95 Cf. G. KALINOWSKI, Querelle de la science normative, op.cit., p. 151, où l'auteur applique ce raisonnement au terme "science normative", qu'il considère comme "métonymique" lorsqu'il désigne la science qui "étudie des normes".
96 Cf. en ce sens, G. DEL VECCHIO, Philosophie du droit, op.cit., p. 249 qui distingue le droit naturel du droit positif par le fait qu'il s'affirme principe déontologique, indiquant ce qui doit être, même si ce n'est pas. Il ajoute encore qu'il s'agit là de "l'idéal du droit".
97 A ce sujet, cf. notamment C.G. HEMPEL, Eléments d'épistémologie, trad. de B. Saint-Sernin, Paris, 1972, p. 134 ; A. LALANDE, op.cit., p. 211 ; G. KALINOWSKI, Introduction à la logique juridique, op.cit., p. 50 ; A. BELVEDERE, M. JORI et L. LANTELLA, op.cit., p. 16-17. Certains parlent également, à ce propos, de définition réelle et de définition nominale, en prenant ces termes dans un sens différent de celui qui a déjà été évoqué.
98 A. LALANDE, op.cit., p. 211.
99 Ibidem.
100 C.G. HEMPEL, op.cit., p. 135.
101 R. ROBINSON, op.cit., pp. 91-92.
102 Ibidem.
103 Ibidem, p. 61 ; A. BELVEDERE, M. JORI et L. LΑΝΤΕLLΑ, op.cit., p. 33.
104 G. KALINOWSKI, Introduction à la logique juridique, op.cit., p. 50, qui parle, à cet égard, de définition "régulatrice".
105 O. SCARPELLI, La définition en droit, in logique et analyse, nouvelle série, no 3-4, 1958, p. 134 ; A. BELVEDERE, M. JORI et L. LΑΝTΕLLΑ, op.cit., pp. 33 et sv.
106 Cf. notamment J. COMMAILLE et J.Fr. PERRIN, Le modèle de Janus de la sociologie du droit, in Droit et société. Revue internationale de théorie du droit et de sociologie juridique, no 1, vol., 1985, p. 99.
107 R. ROBINSON, op.cit., p. 66 ; E. DURKHEIM, Les règles de la méthode sociologique, Paris, 1973, p. 37.
108 E. DURKHEIM, op.cit., p. 34.
109 Ibidem, p. 31.
110 Ibidem, p. 32.
111 Cf., à cet égard, les considérations émises dans la première étude de ce volume, concernant ce que nous avons appelé, à la suite de Hart, un point de vue "radicalement" externe.
112 J. DABIN, Réponse à une enquête sur "Qu'est-ce que la philosophie du droit ?", in A.P.D., no 7, 1962, p. 107.
113 Cf. notamment A.J. ARNAUD, La valeur heuristique de la distinction interne/externe comme grande dichotomie pour la connaissance du droit éléments d'une démystification, in Droit et société. Revue internationale de théorie du droit et de sociologie juridique, no 2, 1986, p. 140.
114 Cf. notamment A. BANCAUD et Y. DEZALAY, La sociologie juridique comme enjeu social et professionnel, in R.I.E.J., no 12, 1984, pp. 18 et 27.
115 J. COMMAILLE, Esquisse d'analyse des rapports entre droit et sociologie. Les sociologies juridiques, in R.I.E.J., no 8, 1982, p. 32.
116 Cf. notamment A. BANCAUD et Y. DEZALAY, op.cit., p. 27.
117 Cf. notamment, à ce sujet, R. DWORKIN, La théorie du droit comme interprétation, in Droit et société. Revue internationale de théorie du droit et de sociologie juridique, no 1, 1985, p. 90 qui oppose, à cet égard, un droit dans un sens "pré-interprétatif" et un droit dans un sens "interprétatif".
118 J. DABIN, Réponse, op.cit., p. 108. C'est en ce sens notamment qu'on peut comprendre l'adoption d'une définition du droit qui, contrairement à la position adoptée par de nombreux philosophes, n'incluerait aucune référence à une valeur déterminée, telle que la justice ou le bien commun. Comme l'a fait remarquer Hart, en effet, la "conscience de ce qu'il y a, en dehors du système officiel, quelque chose à quoi l'individu doit se référer en dernier ressort pour résoudre ses problèmes d'obéissance a sûrement plus de chance de se maintenir en vie parmi ceux qui sont habitués à pensa : que des règles du droit peuvent être iniques que parmi ceux qui pensent que rien d'inique ne peut jamais avoir le statut de droit". Cf. également C.A. AUERBACH, Legal tasks for the sociologist, in Law and the behavioral sciences, ed. by L.M. Friedman et S. Macaulay, Indianapolis-Kansas City-New York, 1968, p. 19 : "It is sometimes argued that to define 'law' to include unjust law will, in fact, encourage obedience to unjust law. But it is also argued that to define only just law as 'law' will have the same effect because it will habituate the people to assume that the existing law order is always just".
119 S'il est vrai, comme l'affirme M. Villey qu'"autre chose est la description théorique du droit, autre la définition requise par les praticiens" (M. VILLEY, the définition du droit, op.cit., p. 50, note 4), il nous semble qu'il n'y a aucune imcompatibilité a priori entre les deux.
120 cf. supra, la première étude de cet ouvrage.
121 H. KANTOROWICZ, Der Begriff des Rechts, Göttingen, s.d., p. 20.
122 R. ROBINSON, op.cit., p. 66.
123 Cf., à cet égard, Ch. PERELMAN, De l'évidence en métaphysique, in Ch. Perelman, Le champ de l'argumentation, Bruxelles, 1970, p. 247.
124 H. KELSEN, Théorie pure du droit, trad. de H. Thevenaz, Neuchâtel, 1953, p. 62.
125 G. KALINOWSKI, Querelle de la science normative, op.cit., p. 98.
126 R. ROBINSON, op.cit., p. 35.
127 R. ROBINSON, op.cit., p. 37. Cf. également F. OST, Le code et le dictionnaire. Acceptabilité linguistique et validité juridique, in Sociologie et sociétés, vol. XVIII, no 1, avril 1986, p. 69.
128 R. ROBINSON, op.cit., p. 56.
129 L. FRANCOIS, op.cit., p. 77.
130 cf. notamment Ch. PERELMAN, A propos de la règle de droit. Réflexions de méthode, in La règle de droit, Etudes publiées par Ch. Perelman, Bruxelles, 1971, p. 314 : "Ce sont les tribunaux, et plus particulièrement la Cour suprême, qui sont chargés de dire le droit, c'est donc en examinant leurs décisions que nous saurons ce qu'eux considèrent comme une règle de droit".
131 A cet égard, on se reportera aux remarques formulées à propos du caractère "herméneutique" de la science du droit, dans la première étude de cet ouvrage.
132 Sur la portée de cette distinction, cf. R. ROBINSON, op.cit., p. 109 ; A. BELVEDERE, M. JORI et L. LANTELLA, op.cit., pp. 43-45.
133 Cf. à cet égard, C.G. HEMPEL, op.cit., p. 138.
134 H. KANTOROWICZ, op.cit., p. 89.
135 A cet égard, cf. notamment H.L.A. HART, op.cit., pp. 175 et sv.
136 C.G. HEMPEL, op.cit., p. 139.
137 H.L.A. HART, op.cit., p. 120.
138 Sur la circularité partielle qu'implique cette situation, cf. la quatrième étude de cet ouvrage.
139 H. KELSEN, Théorie pure du droit, 2e éd., trad. de Ch. Eisenmann, Paris, 1962, p. 96.
140 Ch. PERELMAN, A propos de la règle de droit, op.cit., p. 314.
141 H.L.A. HART, op.cit., pp. 119-120.
142 Ibidem, p. 125.
* Cet article constitue une étude inédite de M. van de KERCHOVE.