1 S. Crossman et J. -P. Barou, Enquête sur les savoirs indigènes, p. 23.
2 M. Hardt, « L’histoire eurocentrée », compte rendu du livre de D. Chakrabarty, Provincializing Europe : Postcolonial thought and historical difference, p. 39.
3 A. Afouda, Tradition africaine et réalité scientifique, p. 12-13.
4 J. -J. Salomon, « Sciences et développement : Pourquoi la quête est-elle incertaine ? », R. Waast (éd.), Les sciences hors d’Occident. Les conférences, p. 74-75.
5 E. Morin, Les sept savoirs nécessaires à l’éducation du futur, p. 40-41.
6 P. Levy, « L’hypertexte, une nouvelle étape dans la vie du langage », (http://www.boson2x.org/article.php3?id_article=41).
7 Ibid.
8 Ibid.
9 S. Adotevi, Négritude et négrologues.
10 Il est plus juste de parler de spiritualité.
11 Ph. de la Costardière, Histoire des sciences de l’Antiquité à nos jours, p. 107.
12 Ibid., p. 107.
13 C. Duflo, « Le mécanisme de la science », La finalité dans la nature. De Descartes à Kant, p. 22.
14 B. Latour va jusqu’à considérer les chercheurs et les institutions comme des instruments. Il parlera alors d’instrument non-humain pour distinguer les objets des personnes qui constituent cette chaîne d’instruments. Cf. La science en action, p. 166.
15 Cf. Le concept de modèle. A. Badiou y explique que l’inscription en tant qu’usage pratique de recherche fait partie du système formel dans le processus de la production du savoir et doit être perçu comme un dispositif expérimental.
16 A. Leroi-Gourhan, Le geste et la parole. La mémoire et les rythmes, p. 68.
17 Cf. Ch. Jacob (dir.), Lieux de savoir. Espace et communautés. Ce livre offre un large panorama des manières dont à travers les âges et les cultures les hommes ont produit, validé, sauvegardé et transmis des savoirs. L’éclairage qu’il apporte à l’issue d’une anthropologie historique des pratiques et des traditions de savoir donne à penser que les gestes et les instruments des savants, les dynamiques de formation et de fonctionnement des communautés de savants sont infinis, ne se valent pas, mais préparent la voie à différentes configurations de savoir, dont le savoir contemporain.
18 B. Latour, « Ces réseaux que la raison ignore : laboratoires, bibliothèques, collections », M. Baratin et C. Jacob (dir.), Le pouvoir des bibliothèques, p. 23-46.
19 B. Latour et Steve Woolgar conduisirent une étude de terrain sur « la production des faits scientifiques » dans un laboratoire de neuroendocrinologie de l’Institut Salk de San Diogo et furent surpris en rentrant dans ce lieu supposé de machines et d’instruments par l’« omniprésence » de la masse de papiers écrits et imprimés au point de caractériser le laboratoire comme un « système d’inscription littéraire ». Cf. La vie de laboratoire. La production des faits scientifiques.
20 Texte recueilli auprès d’un locuteur de la langue goun parlée dans la région de Porto-Novo.
21 Amagbe, parole ou langue intelligible adressée aux plantes, aux éléments de la nature pour déclencher la puissance contenue en eux, s’accompagne de l’usage exclusif des feuilles et des principes naturels. On le traduit par l’expression puissance du verbe. Les amagbe peuvent être classés par catégorie correspondant à des situations de fait, bonheur, richesse et prospérité, malheurs et pauvreté. On les distingue de bogbe parole assortie de libation de sang offert à une divinité pour des raisons de nuisance.
22 Cf. P. Verger, Ewé. Le verbe et le pouvoir des plantes chez les Yoruba.
23 CAM est l’acronyme de Crassulacean Acid Metabolism ou Métabolisme acide des crassulacées, un mode de photosynthèse très particulier adopté par de nombreuses plantes succulentes.
24 On appelle cycle de Calvin le métabolisme commun à tous les types de photosynthèse et aboutissant à la synthèse des glucides.
25 La photosynthèse est le processus de captation et de transformation de l’énergie du rayonnement solaire en énergie chimique utilisable par la cellule végétale.
26 Cf. M. A. Ayedoun, Contribution à la connaissance chimique des huiles essentielles de plantes aromatiques du Bénin en vue de leur valorisation (thèse) ; M. A. Ayedoun, M. Moudachirou, E. Yayi et J. Gbenou, « Influence des méthodes traditionnelles de conservation des fruits de Xylopia aethiopica », Laboratoire de pharmacognosie et huiles essentielles (LPHE) ; M. Moudachirou, M. A. Ayedoun, J. Gbenou, F. -X. Garneau, K. H. Koumaglo et L. Mensah-Addae, « Composition chimique des huiles essentielles des feuilles de Clausena anisata récoltées dans la sous-région Bénin-Togo-Ghana ».
27 E. Yayi, op. cit.
28 Cl. Lévi-Strauss, La pensée sauvage, p. 24.
29 Ibid., p. 24.
30 Cf. E. Evans-Pritchard, Sorcellerie, oracles et magie chez les Azandé.
31 Cl. Lévi-Strauss, La pensée sauvage, p. 23.
32 Cf. D. Husson, Les quarks. Histoire d’une découverte, p. 112.
33 P. Legendre, Ce que l’Occident ne voit pas de l’Occident, p. 23.
34 Ibid., p. 25.
35 Ibid., p. 14-15.
36 C. von Barloewen, Anthropologie de la mondialisation, p. 13-14.
37 Cf. A. Nandy, L’ennemi intime.
38 A. Afouda, Tradition africaine et réalité scientifique, p. 270.
39 Ibid., p. 343.
40 Ibid., p. 357.
41 Ibid., p. 356.
42 Ibid., p. 358.
43 A. Afouda, Tradition africaine et réalité scientifique, p. 104.
44 Ch. A. Diop, Civilisation ou barbarie, p. 405.
45 Cf. S. Adotevi, Négritude et négrologue.
46 Cf. A. A. Moles, Les sciences de l’imprécis.
47 A. Afouda, Tradition africaine et réalité scientifique, p. 361.
48 Cf. G. Bachelard, Le droit de rêver, et La terre et les rêveries de la volonté.
49 G. Bachelard, La terre et les rêveries de la volonté, p. 20.
50 F. Mayor, « Préface », E. Morin, Les sept savoirs nécessaires à l’éducation du futur.
51 E. Morin, Les sept savoirs nécessaires à l’éducation du futur, p. 29-30.
52 P. Davies, « Entrapercevoir l’esprit de Dieu », J. Staune, Science et quête de sens, p. 43.
53 G. W. von Leibniz, Discours touchant la méthode de la certitude et de l’art d’inventer (http://fr.wikisource.org).
54 F. Waquet, « Conserver et transmettre le savoir à l’époque classique », A. Supiot (dir.), Tisser le lien social, p. 280-281.