1 Encyclopédie méthodique marine, op. cit., article « flotte », tome II, p. 325.
2 Se reporter à la présentation méthodologique du chapitre introductif, p. 37.
3 Carrière Ch., Négociants marseillais au XVIIIe siècle : contribution à l’étude des économies maritimes, Marseille, Institut historique de Provence, 1973, p. 48, et Haudrère P., op. cit., p. 331.
4 SHD, Marine, Rt, 1 E 422, f° 125.
5 Pour sa part, Jean Boudriot avance un taux de 58 %, Boudriot J., op. cit., p. 228. La question est examinée dans le détail au chapitre V dans le cadre de la préparation des navires.
6 D’après le fichier « Mouvements », comme les autres graphiques présentés dans ce chapitre.
7 Buti G., « Marseille, la péninsule ibérique et les empires américains (1656-1793) : “Le soleil des profits se lève aussi à l’ouest” », La Méditerranée dans les circulations atlantiques au XVIIIe siècle, Revue d’histoire maritime, no 13, 2011, p. 211.
8 Butel P., Les négociants bordelais, l’Europe et les îles au XVIIIe siècle, Paris, Aubier, 1974, p. 24 sq. et 36 sq.
9 Villiers P., « Les convois coloniaux en Atlantique de Louis XIV à Louis XVI », Marzagalli S. (dir.), Bordeaux et la Marine de guerre (XVIIe-XXe siècles), Bordeaux, Presses universitaires de Bordeaux, 2002, p. 110.
10 D’après le fichier « Mouvements ».
11 Guerry E., « Michel Rodrigue, de l’association familiale à l’entreprise individuelle, de Louisbourg à La Rochelle », Augeron M. et Guillemet Dominique, op. cit., p. 192.
12 Sur ce sujet, se reporter à la dernière mise au point : Martinetti B., Les négociants de La Rochelle au XVIIIe siècle, Rennes, PUR, 2014.
13 D’après le fichier « Mouvements ». Il s’agit des mentions disponibles. Pour Élie Vivier, l’Amphitrion et la Marguerite, et pour Garesché, le Père de famille, le Daubenton, et l’Aunis.
14 Deveau J.-M., op. cit., p. 50.
15 212 tonneaux pour la période 1749-1754, et 260 tonneaux pour l’époque pré-révolutionnaire, Meyer J., L’armement nantais dans la deuxième moitié du XVIIIe siècle, op. cit., p. 81.
16 D’après le fichier « Mouvements », et Meyer J., op. cit., p. 281. On pourra aussi se reporter au travail de Bernard Michon, Michon B., op. cit., 2011.
17 Cf. chapitre VIII.
18 Brest participa par exemple à la traite selon trois modalités : prêt de navires aux compagnies, expéditions guerrières, armements corsaires ; selon Pourchasse P. et Hroděj P., « Brest et la traite négrière », Cahiers des Anneaux de la Mémoire, Les ports et la traite négrière, no 10, 2007, p. 57.
19 Boudriot J., Le navire marchand, Paris, Éditions Jean Boudriot, 1991.
20 Haudrère P., Le grand commerce maritime au XVIIIe siècle, Européens et espaces maritimes, Paris, Sedes, 1997, p. 112.
21 Boudriot J., op. cit., p. 52.
22 Intérieur du port de Marseille, Joseph Vernet, huile sur toile, 165x265, musée national de la Marine, no 5 OA 3D, dépôt du musée du Louvre, département des peintures, inv. 8294 (cf. cahier central).
23 « Flutes a cul rond, ou flutes hollandaises. Ce sont les flutes qui n’ont point de lisse d’ourdi et dont l’arrière est rond comme l’avant à l’endroit de la baloire », Ollivier Blaise, Traité de construction contenant par ordre alphabétique la description des vaisseaux de tout rang…, cité par Vergé- Franceschi M. et Rieth E., La France maritime au temps de Louis XIV, Paris, Éditions du Layeur, 2001, p. 44.
24 Carrière C., op. cit., p. 594.
25 SHD, Marine, Rt, 1 E 267, f° 120.
26 SHD, Marine, Rt, 1 R 29, non folioté.
27 Boudriot J., op. cit., p. 175.
28 Péret J., « La grande pêche morutière entre Louis XIV et la guerre d’Amérique », journées d’étude du GIS, Boulogne-sur-Mer, novembre 2009, repris ensuite dans Péret J., « Les Sables d’Olonne et les bancs de Terre-Neuve au XVIIIe siècle. Le regard d’un armateur, André Collinet », Augeron M., Péret J. et Sauzeau T. (dir.), Le golfe du Saint-Laurent et le Centre-Ouest français. Histoire d’une relation singulière (XVIIe-XIXe siècle), Rennes, PUR, 2010, p. 53.
29 Sur le Bonhomme-Richard, on pourra se reporter à Boudriot J., Le Bonhomme-Richard, Nice, Éditions Ancre, 1996.
30 Cabantous A., Lespagnol A. et Péron F. (dir.), Les Français, la terre et la mer, XIIIe-XXe siècle, Paris, Fayard, 2005, p. 268.
31 SHD, Marine, Rt, 1 E 267, f° 120 bis.
32 Encyclopédie méthodique marine, op. cit., article « affréter », tome I, page 21.
33 SHD, Marine, Rt, 1 R 29, non folioté.
34 SHD, Marine, 1 R 31, non folioté.
35 Ordonnance de Louis XIV pour les armées navales et arcenaux de marine, op. cit., livre troisième, titre premier, art. III, p. 111.
36 Martin S., « Les flûtes de la Marine : un objet singulier de la construction navale au XVIIIe siècle », dans les actes du colloque international « La construction navale et ses objets : nouvelles approches, nouveaux outils », Nantes, université de Nantes/SFHM, septembre 2012 (à paraître aux PUR).
37 Encyclopédie méthodique marine, op. cit., article « gabare », tome 2, p. 461. Les gabares utilisées dans la flotte des colonies furent ainsi plus proches des flûtes que des « allèges » de port. À titre de comparaison, l’Écluse et le Compas, nommées « gabares » jaugeaient 450 tonneaux quand à la même époque des unités portuaires de 50 tonneaux étaient désignées par le même vocable, selon SHD, Marine, Rt, 2 G1-9.
38 Sur les gabares, on pourra avantageusement se reporter à Delacroix G., Le Gros Ventre, gabare du roi, Nice, Éditions Omega, 2003.
39 Rochefort du côté de Martrou, BNF, département des estampes, Va 429, format 6 (cf. cahier central).
40 Encyclopédie méthodique marine, op. cit., article « flute », tome II, p. 355 ; et Dictionnaire de Trévoux, Paris, Compagnie des libraires associés, 1771, article « flûte », tome IV, p. 208.
41 Encyclopédie méthodique marine, op. cit., article « emménagement », tome II, p. 148, et article « équipage », tome II, p. 181.
42 Ordonnance de Louis XIV pour les armées navales et arcenaux de marine, op. cit., livre treizième, titre second, art. IX.
43 Boudriot J., op cit., p. 228.
44 D’après SHD, Marine, Rt, 2 G 4. La comparaison L/l et l/c est empruntée à Martine Acerra, Acerra M., op. cit., p. 399.
45 Extrait de Boudriot J., Le vaisseau de 74 canons, Paris, Editions Jean Boudriot, 1977, tome 3, p. 256 et 258.
46 Boudriot J., op. cit., p. 256.
47 Llinares S., Marine, propulsion et technique : l’évolution du système technologique du navire de guerre français au XVIIIe siècle, Paris, Librairie de l’Inde, 1994, p. 66.
48 SHD, Marine, Rt, 2 G1-10.
49 Notamment dans la Première vue de Bordeaux : prise du côté des Salinières, Joseph Vernet, huile sur toile, 165x263, Musée de la Marine, no 5 OA 9 D, dépôt du musée du Louvre, département des peintures, inv. 8301 (cf. cahier central).
50 AN, fonds Gradis, 181 AQ 81, dossier 101 sq.
51 D’après Demerliac A., La Marine de Louis XV. Nomenclature des navires français de 1715 à 1774, Nice, Omega, 1995, et La Marine de Louis XVI. Nomenclature des navires français de 1774 à 1792, Nice, Omega, 1996.
52 Acerra M., op. cit., p. 257.
53 Acerra M., op. cit., p. 492.
54 Acerra M., op. cit., p. 253
55 Soit 130 pieds de longueur (39,39 m), 34 pieds de large (10,30 m), et 13,8 pieds de creux (4,18 m), selon Haudrère P., op. cit., p. 869.
56 D’après Demerliac A., op. cit., et « Abrégés de la Marine », AN, Marine, G 24 à 38, et B5, 3, 4, 6, 7, 9, 10.
57 SHD, Marine, Rt, 1 E 153, f° 279; Martin S., art. cit.
58 Le travail de Patricia Payn-Echalier permet de cerner quelque peu la question en traitant de la participation des allèges et tartanes d’Arles à la logistique de l’arsenal de Toulon, Payn-Echalier P., op. cit.
59 Mathieu J., « L’échec de la construction navale royale à la fin du régime français », Historical Papers, vol. 3, no 1, 1968, p. 24.
60 Mathieu J., art. cit., p. 25.
61 Le Rhinocéros, la Chèvre, le Caméléon, le Messager, l’Outarde, le Cerf, la Fortune, la Ménagère.
62 D’après Demerliac A., op. cit., et « Abrégés de la Marine », AN, Marine, G 24 à 38, et B5, 3, 4, 6, 7, 9, 10.
63 D’après Demerliac A., op. cit., et « Abrégés de la Marine », AN, Marine, G 24 à 38, et B5, 3, 4, 6, 7, 9, 10.
64 SHD, Marine, Rt, 1 E 115, f° 229.
65 Acerra M., op. cit., p. 565.
66 SHD, Marine, Rt, 1 E 174, f° 607.
67 SHD, Marine, Rt, 1 E 173, f° 59, 1 E 256, f° 28, 1 E 156, f° 181, 1 E 176, f° 101.
68 Haudrère P., op. cit., p. 334.
69 BNF, naf 126, f° 132.
70 Les travaux de Martine Acerra sur la construction navale française et ceux de Jean Boudriot, dont la monographie du vaisseau de 74, constituent des références à cet égard, citées en bibliographie.
71 Encyclopédie méthodique marine, op. cit., article « vaisseau », tome III, p. 794.
72 Acerra M., op. cit., p. 289 et 356.
73 La catégorie « Autres navires » regroupe les « frégates légères », un « brûlot » et une « goélette ».
74 Le Florissant en 1758 et le Protecteur en 1763, tous deux pour la Martinique.
75 D’après le fichier « Mouvements ».
76 D’après le fichiers « Mouvements ». Au cours de la période blanche entre 1725 et 1730, le navire resta inscrit dans les effectifs attachés à Rochefort, selon AN, Marine, G 25.
77 AN, Marine, C 7, 159, dossier La Galissonnière.
78 SHD, Marine, Rt, 1 E 422, f° 379.
79 SHD, Marine, Rt, 1 E 115, f° 691 ; 1 E 365, f° 127 ; 1 E 211, f° 154.
80 SHD, Marine, Rt, 1 E 172, f° 297.
81 Acerra M. et Zysberg A., op. cit., p. 220.