1 Hildesheimer F., Richelieu, Paris, Flammarion, 2004, p. 236.
2 Dubost J.-F., Marie de Médicis. La reine dévoilée, Paris, Éditions Payot & Rivages, 2009, p. 733-734.
3 Sur Michel de Marillac, considéré comme l’un des représentants du parti dévot et promoteur de l’absolutisme, voir notamment : Bailey D., « The family and early career of Michel de Marillac (1560-1632) », Holt M. P. (éd.), Society and institutions in early modern France, Athens & London : U. Georgia P, 1991, p. 170-189 ; Maillet-Rao C., La pensée politique des dévots Mathieu de Morgues et Michel de Marillac. Une opposition au ministériat du cardinal de Richelieu, Honoré Champion, BHMC, no 49, 2015, 415 p. ; idem., « Mathieu de Morgues and Michel de Marillac : the dévots and absolutism », French History, vol. 25, no 3, 2011, p. 279-297.
4 Bercé Y.-M., « Les politiques de démantèlement de châteaux », Château et pouvoir, Actes du colloque de Commarque, sept. 1993, Bordeaux, 1997, p. 121-131 ; Dubost J.-F., Marie de Médicis, op. cit., p. 724-726.
5 Desjonquères L., Le garde des Sceaux Michel de Marillac et son œuvre législative, thèse de Droit, Paris, 1908, p. 97.
6 Olivier-Martin F., Histoire du droit français des origines à la Révolution, Paris, CNRS Éditions, 1995 p. 353.
7 Chevalier B., « La réforme de la justice : utopie et réalité (1440-1540) », Stegmann A. (dir.), Pouvoirs et institutions en Europe au XVIe siècle, Paris, Vrin, 1987, p. 237-247.
8 Ibid., p. 244.
9 Kadlec L., « Le “Code Michau” : la réformation selon le garde des Sceaux Michel de Marillac », Les Dossiers du Grihl [En ligne], La Vie de Michel de Marillac et les expériences politiques du garde des Sceaux, mis en ligne le 13 juin 2012, consulté le 20 mars 2013. URL : http://dossiersgrihl.revues.org/5317 ; DOI : 10.4000/dossiersgrihl. 5317.
10 Desjonquères L., Le garde des Sceaux Michel de Marillac, op. cit., p. 97-98.
11 Olivier-martin F., Histoire du droit français, op. cit., p. 351.
12 Ordonnance (Code Michaud) sur les plaintes des états assemblés à Paris en 1614, et de l’assemblée des notables réunis à Rouen en 1617 et 1626, Isambert, Recueil général des anciennes lois françaises, depuis l’an 420 jusqu’à la Révolution de 1789, Paris, 1829, t. XVI, p. 224.
13 Ibid., p. 225-226.
14 Ibid., p. 240.
15 Ibid., p. 240-241.
16 Desjonquères L., Le garde des Sceaux Michel de Marillac, op. cit., p. 129.
17 Les articles 62 et 63 soulignent le problème des longueurs et subterfuges qui se pratiquent en la poursuite et jugement desdites évocations, lesquelles arrêtent le cours de la justice et jugement des procès principaux (Code Michaud, op. cit., p. 243-244).
18 Ibid., p. 240.
19 Lefèvre sieur de Lezeau N., La vie de Michel de Marillac (1560-1632). Garde des Sceaux de France sous Louis XIII, éditée par Bailey D. A., Québec, Les Presses de l’université Laval, 2007, p. 259 ; Fernandez H., « L’historien, le code et l’ordonnance », Les dossiers du Grihl [En ligne], La vie de Marillac et les expériences politiques du garde des Sceaux, op. cit., URL : http://dossiersgrihl.revues.org/5398 ; DOI : 10.4000/dossiersgrihl. 5398.
20 Cours chargées de juger les affaires impliquant des protestants.
21 Desjonquères L., Le garde des Sceaux Michel de Marillac, op. cit., p. 96-97.
22 La plus grande partie des droits écrits repoussait le testament écrit et signé à la main, et n’admettait que le testament nuncupatif ou notarié, et le testament mystique. Le chancelier d’Aguesseau se montrera moins hardi que Marillac, car l’ordonnance de 1735 n’impose pas la forme olographe aux provinces où elle n’était pas en usage avant cette ordonnance (Desjonquères L., Le garde des Sceaux Michel de Marillac, op. cit., p. 177).
23 Ibid., p. 178.
24 Krynen J., « Qu’est-ce qu’un Parlement qui “représente le roi” ? », Durand B. et Mayali L. (dir.), Excerptiones iuris : Studies in Honor of André Gouron, Berkeley, CA, Robbins Collection, 2000, p. 353-366 ; idem, L’État de justice. France, XIIIe-XXe siècle. I-L’idéologie de la magistrature ancienne, Paris, Gallimard, 2009, 326 p.
25 Carbasse J.-M., « Le roi justicier », Carbasse J.-M., Leyte G., Soleil S. (dir.), La monarchie française du milieu du XVIe siècle à 1715. L’esprit des institutions, Paris, Sedes, 2000, p. 219.
26 Cornette J., « L’histoire au travail. Le nouveau “siècle de Louis XIV” : un bilan historiographique depuis vingt ans (1980-2000) », Histoire Économie et Société, no 4, 2000, p. 571.
27 Waele M. de, Les relations entre le parlement de Paris et Henri IV, Paris, Publisud, 2000 ; Daubresse S., Le parlement de Paris ou la voix de la raison (1559-1589), Paris, Droz, 2005.
28 Marillac M. de, Discours sur le bon gouvernement, 10 juin 1630, Archives du ministère des Affaires étrangères, vol. 792, f° 212 v°.
29 Code Michaud, op. cit., p. 241-242.
30 Ibid., p. 242.
31 Carbasse J.-M., « Grands jours », Bluche F. (dir.), Dictionnaire du grand siècle, 2005, p. 677.
32 À Poitiers, Angers, Moulins, Riom et Clermont.
33 Lebigre A., Les grands jours d’Auvergne. Désordres et répression au XVIIe siècle, Paris, Hachette, 1976, 338 p. ; idem., « Colbert et les commissaires du roi. Grands jours et intendants. La réduction des officiers à l’obéissance », Mousnier R., Un nouveau Colbert, Paris, Sedes, 1985, p. 133-144 ; Beik W., Louis XIV and absolutism. A brief study with documents, Boston, Bedford/St. Martin’s, 2000, p. 108-120.
34 Lebigre A., « Colbert et les commissaires du roi », art. cité, p. 144.
35 Marillac M. de, Discours sur le bon gouvernement, op. cit., f° 207 r°.
36 Ibid., f° 207 v°.
37 Pour Bercé Y.-M., « La disparition des Grands Jours », La France d’Ancien Régime. Études réunies en l’honneur de Pierre Goubert, Éditions Privat, 1984, t. I, p. 61-70, les chambres des Grands jours sous Michel de L’Hospital, Marillac et Séguier remplissaient efficacement leurs tâches d’inspection de la justice et de l’administration locale, dans le contrôle personnel des officiers.
38 Beik W., Urban protest in Seventeenth Century France: the culture of retribution, New-York, Cambridge University press, 1997, p. 120-132.
39 « Harangue du sieur garde des Sceaux Michel de Marillac », 28 février 1630, Mercure français, t. XVI, p. 156-168.