1 Le 3 février 1934, Georges-Paul-Maurice Thome est nommé administrateur général, mais il ne prend pas ses fonctions.
2 En juillet 1944, Jean Sarment est nommé administrateur général, mais il ne prend pas ses fonctions.
3 Lorsqu’elles figurent dans le Registre La Grange, les dates des Premières et des reprises sont reportées ci-dessous.
4 L’ordre de citation des noms de comédiens respecte celui établi dans les programmes, de même que l’orthographe du nom des personnages shakespeariens.
5 Chaque « fragment a une distribution qui lui est propre. Nous avons reporté le nom des comédiens dans l’ordre où ils apparaissaient dans les fragments, en omettant les répétitions.
6 La pièce est à l’affiche à l’heure où nous écrivons.
7 Ce cahier d’entretiens n’est pas exhaustif. Nous n’avons reporté que certaines des interviews après correction de la part de celles et ceux qui y avaient très aimablement participé. D’autres rencontres, tout aussi riches, ont eu lieu. Mais leur caractère plus informel ne nous a pas permis d en reporter l’intégralité. Elles ont toutefois grandement aidé à nourrir les analyses critiques des parties II et III.
8 Virginie Merlin, scénographe de formation a suivi des études aux Arts décoratifs. Elle a notamment travaillé pour le conservatoire d’Art dramatique de Paris et dans divers Centres dramatiques nationaux. Son mémoire de fin d’étude portait sur Henry IV de Shakespeare dans lequel elle analysait les jeux de mots autour des thèmes de la doublure et de la teinture.
9 Le Songe d’une nuit d’été a été monté au Théâtre national de Lituanie en 1998.
10 Le travail calligraphique a été préalablement élaboré par Juraté Paulekaité qui signe la scénographie.
11 Catharina : « J’ai honte de voir les femmes assez simples pour offrir la guerre là où elles devraient demander la paix à genoux et, pour prétendre au pouvoir, à la suprématie et au gouvernement, là où elles sont tenues de servir, d’aimer et d’obéir. » Acte V, scène 2, traduction de François-Victor Hugo ayant servi à la mise en scène, G-F, Paris, 1965, p. 207.
12 Il y a eu 14 acteurs engagés depuis le début du mandat de Muriel Mayette.
13 En 1974, Peter Brook, qui vient de s’installer avec Micheline Rozan au théâtre des Bouffes du Nord à Paris, cherche un collaborateur à la mise en scène : ce sera Jean-Pierre Vincent, le temps de la création de Timon d’Athènes.
14 Shylock : « Quel air républicain et flagorneur !/Je le hais parce qu’il est chrétien./Mais plus encore, parce que dans son humble sottise/Il prête de l’argent gratis, et fait baisser/Le taux de l’usure ici chez nous à Venise./Si je peux le tenir une fois sur le flanc,/J’assouvirai la vieille rancœur que je lui porte./Il hait notre sainte nation, et se répand en injures,/Dans le lieu même où s’assemblent les marchands,/Contre moi, mes affaires, et mon profit bien gagné,/Qu’il appelle intérêt. Maudite soit ma tribu,/Si je lui pardonne ! » William S Hakespeare, Le Marchand de Venise, traduction de Jean-Michel Déprats, Gallimard, coll. « Folio Théâtre », 2010, Acte I, scène iii, p. 71-73.
15 Création le 11 avril 1992 avec Yann Babilée, Olivier Capelier, Gilles Coulet, Jean-Michel Deliers, Natalia Dontcheva, Marie-Laure Dougnac, Jean-Claude Fernandez, Robert Guilmard, Maxime Lombard, Martine Montgermont, Francisco Orozco, Vincent Ozanon, Michel Robin, Alain Trétout, Denis Zaidman. Décors de Michel Lebois ; costumes Daniella Verdenelli ; lumières Alain Poisson ; musique Francisco Orozco ; chorégraphie Anne Berger.
16 Traduction parue à Paris, aux éditions Gallimard, nrf, 2010, (préface) p. 7-20.
17 Mise en scène de Jean-Louis Benoit, festival d’Avignon (puis tournée), 1999 avec Philippe Torreton dans le rôle titre.
18 Ouvrage co-écrit avec Émile Copfermann, Paris, Hachette/L’échappée belle, 1985.
19 Ibid., p. 56. Voir à ce sujet la table ronde sur « La traduction des dialectes, patois et parlers populaires au théâtre » animée par Jean-Michel Déprats, 14e Assises de la traduction littéraire en Arles (Arles 1997) parues chez Actes Sud (1998), p. 97-130.
20 Cet échange se poursuit encore sur trois pages jusqu’à la scène ii de l’acte IV, Jean-Michel D éprats, Jean-Pierre Richard, Les Joyeuses Commères de Windsor, op. cit., p. 138-141.
21 Mise en scène au théâtre de la Bastille (et tournée) en 2000.
22 Mise en scène aux Bouffes du Nord (et tournée) en 1999.
23 Mise en scène au festival d’Avignon en 1980.
24 La Tragédie de Coriolan mise en scène par Bernard Sobel au théâtre de Gennevilliers en 1983. Voir à ce sujet Leanore Lieblein, « Translation and Mise-en-Scène : The Example of French Translation of Shakespeare », Journal of Dramatic Theory and Criticism, 1990, p. 81-94 (« The Déprats-Coriolanus » p. 84-87 : examen de la traduction de Déprats). Traduction publiée dans Œuvres complètes, Tragédies II, coll. « Bibliothèque de la Pléiade », op. cit.