Là-bas peut-être, un opéra pour adolescents de Graciane Finzi
p. 273-282
Texte intégral
1Graciane Finzi est une compositrice française née à Casablanca, au Maroc, le 10 juillet 1945 dans une famille musicienne : son père, Adrien Finzi, est un violoniste renommé et sa mère, Susan Finzi, est pianiste. Ils enseignent tous les deux au conservatoire de Casablanca où Graciane Finzi commence à étudier le piano dans la classe de Fabienne Friboulet. Dès son plus jeune âge, son père l’initie au violon et sa mère lui dispense ses premiers enseignements de solfège et de piano : « À trois ans, je savais que j’étais faite pour la musique. J’attendais avec impatience les leçons de piano de ma mère. Papa m’endormait chaque soir en me jouant une berceuse. Le bonheur parfait1. » En 1955, elle s’installe en France avec sa mère et entre au CNSMDP dans la classe de solfège spécialisé de Georges Baker. Ne pouvant abandonner son poste au Conservatoire, Adrien Finzi reste à Casablanca.
2La jeune musicienne obtient peu de temps après les médailles de solfège, histoire de la musique et déchiffrage. En 1958, elle se consacre à l’harmonie et étudie l’écriture du choral et de la variation dans la classe d’Henri Challan. Elle obtient un premier prix d’harmonie en 1962 et un premier prix de contrepoint et fugue en 1964 et continue son apprentissage dans la classe de composition de Tony Aubin. Toutefois, la compositrice souhaite échapper au langage tonal imposé par le professeur afin d’affirmer son propre style :
« Nous n’avions pas les mêmes goûts, lui faisant de la musique tonale et moi atonale. C’est un professeur merveilleux, il me cultivait, me parlait d’orchestration, de peinture, m’apportait une liberté extraordinaire. C’est grâce à cette liberté que je me suis forgé mon propre langage. Alors que maintenant les classes d’écriture ont changé. Les élèves font des exercices de style, du Beethoven pendant un an. Cela forme de très bons professeurs d’écriture, mais pas des compositeurs. L’imagination est laissée pour compte. Autrefois, c’était plus créatif. Écrire dans le style de Beethoven est plus analytique que créatif2. »
3Graciane Finzi intègre ainsi en 1968 la classe de composition d’Alain Weber, qui prône le « nettoyage de la tonalité », terme qui lui est cher, et laisse plus de libertés à ses élèves. Elle obtient un premier prix l’année suivante.
4Parallèlement à ces études académiques, elle commence à écrire sa propre musique à 18 ans et des œuvres plus conséquentes à 20 ans. Au début de sa carrière, Graciane Finzi compose en créant des juxtapositions de strates sonores dans un langage très atonal. Puis son style change radicalement avec la composition de son Concerto pour piano et orchestre, créé le 4 avril 1997 par Jean-Claude Pennetier et l’orchestre philharmonique de Montpellier. Dès lors, elle cherche l’homogénéité du son dans des masses sonores complexes qui sont attirées vers une harmonie tonale dans un contexte atonal :
« À une première époque de mon métier de compositeur, j’utilisais les instruments d’orchestre en tenant compte de leur individualité puis les réunissais par groupes juxtaposés dont chacun possédait son propre dynamisme, ses pulsions, sa couleur, son rythme de vie, multipliant ainsi ce qu’en termes de métier, on appelle “les parties réelles”. Aujourd’hui c’est vers un langage plus harmonique que la multiplicité des couches sonores s’organise pour former des harmonies géantes. Des pôles d’attraction s’établissent entre les notes qui guident la compréhension d’une musique ne visant jamais à l’abstraction, mais à l’expression immédiate de la vie dans les sentiments les plus profonds de l’homme3. »
5Cette vie, enrichie par ses cultures marocaine et française, lui permet de trouver ses propres influences stylistiques. Celles-ci donnent à sa musique des couleurs harmoniques et des timbres, qui deviennent représentatifs de son langage musical : on les retrouve notamment dans le concerto pour percussions et orchestre, Brume de Sable, créé le 4 décembre 1999 à la salle Pleyel. Graciane Finzi compose également des opéras dès 1983 comme Il était trois fois, sur un livret de son mari, l’homme de théâtre Gilbert Lévy.
Un genre convivial
6Considérant l’opéra comme « un genre qui favorise les rencontres4 », Graciane Finzi aspire à rendre accessible la musique qu’elle compose. Après la création de son dernier opéra Le Dernier Jour de Socrate5, la compositrice se consacre aux opéras pour enfants, qui au-delà de leur réalité musicale sont vécus comme une aventure sociale riche. Elle participe de ce fait à l’élan donné à la démocratisation de l’art lyrique et oriente ses travaux de composition d’opéras vers un public qui n’a pas toujours accès à cette culture, en particulier les jeunes issus de quartiers défavorisés.
7L’opéra pour enfants peut se définir comme un opéra destiné à un public d’enfants et/ou interprété par des enfants. Ce public spécifique correspond, selon les institutions lyriques, à des jeunes de 1 à 26 ans. Cette dénomination s’applique également au public scolaire (maternelle, primaire, collège et lycée), étudiant, voire familial.
8À l’image de la diversité que suppose le terme « jeune public », celui d’« opéra pour enfants » concerne également les adolescents, plus difficiles à séduire car ils possèdent déjà des a priori sur le genre ainsi que des goûts musicaux bien arrêtés.
9Lors de sa résidence à Lille auprès de l’Orchestre national de Lille6 de 2001 à 2003, Graciane Finzi présente son opéra Le Dernier Jour de Socrate à une classe de Terminale littéraire durant un cours de philosophie. Faisant preuve d’une grande franchise envers la compositrice, les élèves désapprouvent la complexité du langage employé qui ne leur correspond pas et les détourne de l’envie d’aller à l’Opéra. La compositrice accueille positivement cette critique et comprend dès lors les attentes des adolescents : « Je vous remercie. Maintenant je sais ce que je ne dois pas faire7. »
10En 2002, Graciane Finzi reçoit la commande d’un opéra pour adolescents du ministère de la Culture, à l’initiative de François Bou, directeur de l’ONL, motivé par la présence de la compositrice en résidence. Ce projet amène à de nombreuses réflexions concernant le choix du langage aussi bien pour le livret que pour la musique, de la présentation de l’œuvre à ce public spécifique, du message à transmettre, de la mise en scène et de la scénographie. L’intérêt pédagogique de cette création est porté sur la découverte de l’art lyrique souvent associé à un monde jugé élitiste et d’autant plus lorsqu’il s’adresse à des jeunes issus de milieux défavorisés.
La création de Là-bas peut-être à Lille
11Le projet de cette production pour adolescents est proposé à Bernard Allombert, directeur du Théâtre Le Grand Bleu à Lille de 1992 à 2008. Ce théâtre, devenu en 2000 Établissement national de production et de diffusion artistique, propose une programmation et de nombreuses actions de sensibilisation à l’art lyrique pour tous les âges et en particulier pour les adolescents8. Une deuxième structure lilloise, La Clef des Chants, dirigée par Patrick Bève, rejoint le projet. Cette association a pour mission de diffuser l’opéra auprès d’un large public, sur le territoire régional9.
12Bernard Allombert réunit alors autour de ce projet d’opéra et de Graciane Finzi, l’écrivain et comédienne Emmanuelle Marie10, le metteur en scène Serge Bagdassarian, le chorégraphe lillois Cyril Viallon et l’artiste Philippe Hollevout, scénographe qui possède une galerie d’art dans le Vieux-Lille. Tous ces acteurs confrontent leurs idées afin de créer une œuvre lyrique qui réponde aux attentes d’un public adolescent. L’enjeu est d’autant plus important qu’il s’adresse aux jeunes des banlieues de Lille. Le sujet abordé se doit d’allier art lyrique et musique contemporaine tout en s’adaptant à leurs goûts musicaux.
13Le livret raconte l’adolescence d’une jeune fille africaine, Harmonie, adoptée par des parents européens. Cette adolescente d’aujourd’hui, poussée dans ses rêves par l’harmattan, un vent du sud, part pour l’Afrique en quête de ses origines, laissant à Marseille son ami Raphaël. La ville de Marseille est choisie par la compositrice qui considère ce lieu comme une plaque tournante où se croisent différentes cultures, à l’image des banlieues d’aujourd’hui. Graciane Finzi affectionne particulièrement cette ville où, petite, elle venait du Maroc avec sa mère pour passer quelques jours. La conception de cet opéra, intitulé Là-bas peut-être, est ainsi tournée vers ces adolescents souvent en quête d’identité et cherche à montrer un autre aspect de l’opéra.
14Graciane Finzi s’adapte très rapidement à ce qu’elle appelle un « challenge » et retourne dans son pays d’origine pendant quelques mois pour y trouver l’inspiration. Durant cette période de composition, elle rencontre une troupe de chanteurs Gnawas11 ainsi que des jeunes femmes burundaises qu’elle enregistre depuis la terrasse de sa maison au Maroc. Cet enregistrement est ainsi diffusé au début de la scène trois de l’acte III, pour introduire l’arrivée de la mère africaine qu’Harmonie vient de retrouver.
15La compositrice s’inspire également du rap à travers le texte de la librettiste Emmanuelle Marie qui reprend le vocabulaire et certaines expressions des jeunes des banlieues :
16L’univers sonore est enrichi par Ricardo Mandolini, responsable du Studio de musique électroacoustique du Nord au Département d’études musicales de l’université Lille III. Il reprend des échantillons sonores de bruits de marchés africains, de ports ou de pluie et les assemble en cherchant une harmonie et des couleurs dans les sons.
17En ce qui concerne la chorégraphie, Cyril Viallon crée des mouvements qui allient danse contemporaine, danse africaine et danse de rue comme le hip-hop. Le scénographe Philippe Hollevout quant à lui, place sur scène des toiles de gaze sur lesquelles il projette des images animées, mélangeant films et dessins de sa création et qui laissent apparaître en transparence les percussions situées derrière.
18Les chanteurs professionnels, sont recrutés au moyen d’un casting en fonction de leur âge, de leur physique et de leur présence sur scène. Cette sélection répond au désir de créer un opéra où les adolescents peuvent se reconnaître, tout en se rapprochant d’une démarche cinématographique.
19Durant leur année scolaire, les élèves de la métropole lilloise découvrent l’œuvre à laquelle ils vont assister lors de la création mondiale du 17 janvier 2003 au Théâtre Le Grand Bleu. Cette première représentation leur est spécialement réservée pour l’occasion.
20Ils reçoivent ainsi un dossier pédagogique pour étudier l’opéra en classe avec leur professeur. Puis la compositrice, la librettiste, les chanteurs et d’autres participants du projet vont à leur rencontre et interviennent dans les écoles, ou lors des répétitions, pour leur parler de cet opéra et échanger sur le ressenti des élèves :
« Nous avons immédiatement apprécié le langage employé, un langage d’adolescents qui nous ressemble, ainsi que l’histoire, celle d’une jeune fille qui a été adoptée. […] En décembre, Graciane Finzi, la compositrice de la musique a accepté notre invitation au collège et a interprété pour nous plusieurs extraits de son opéra. Puis, comme l’affiche du spectacle nous avait plu, notre directrice Monique Marquis a organisé une rencontre avec Philippe Hollevout, son créateur. Nous nous sommes rendus dans sa galerie du Vieux-Lille, ce fut un moment inoubliable et nous avons décidé de reproduire son affiche sous la forme d’un patchwork de 1m20 sur 1m50. Ce patchwork, réalisé dans notre atelier de couture au collège a été offert au Grand Bleu pour les remercier de nous avoir ouvert les portes aux répétitions de l’opéra. Il est exposé de façon permanente dans le hall du Grand Bleu. Le jour de la première représentation, nous avons tous été époustouflés par la puissance des voix des chanteurs d’opéra, ainsi que par leur talent de comédiens. Mais l’instant le plus mémorable a sûrement été d’interviewer les acteurs principaux en particulier Sandrine Tome qui interprète le rôle de la jeune héroïne, Harmonie12. »
21L’œuvre reçoit un franc succès auprès des adolescents et connaît plusieurs représentations à Calais, Boulogne-sur-Mer et Montpellier. Pour cette dernière représentation le titre est remplacé par L’Africaine. Graciane Finzi suppose que le choix de ce titre par l’Opéra de Montpellier est un clin d’œil à L’Africaine de Giacomo Meyerbeer13. Le titre d’origine est repris par la suite et l’œuvre connaît une nouvelle production quelques années plus tard.
La reprise à Mireuil
22L’opéra Là-bas peut-être est recréé en 2006 à Mireuil, un quartier difficile de La Rochelle, à la demande de Sigrid Gloanec qui a assisté à l’une des représentations de l’œuvre à Lille. Metteur en scène et directrice artistique de projets culturels, elle est à l’origine de l’association « Les Anges rebelles ». Cette association d’artistes en résidence à Mireuil est ancrée dans le Plan de renouvellement urbain de La Rochelle qui favorise l’écoute et l’échange à travers différentes activités, tout en luttant contre la démolition des commerces et des lieux de vie du quartier. L’opéra de Graciane Finzi trouve alors tout naturellement sa place au sein de ce mouvement puisqu’il s’agit cette fois de faire participer les adolescents au projet.
23L’École nationale de musique et de danse de La Rochelle organise ainsi de janvier à mars 2006 des interventions de professeurs du conservatoire dans les écoles maternelles, primaires et les collèges du quartier de Mireuil ainsi que dans les communes de la Communauté d’agglomération collaborant avec l’Éducation nationale.
24Puis des ateliers sont proposés à partir du mois de mai, par divers artistes en résidence à La Rochelle : Claire Benoit, comédienne et chanteuse initie les élèves au théâtre ; le percussionniste Ablaye M’Baye leur fait découvrir les nombreuses percussions utilisées dans l’orchestration de Là-bas peut-être, comme les tambours d’eau, le guiro, le gong, les roto-toms ou le bâton de pluie ; la scénographe Véronique Selleret anime un atelier costumes ; le plasticien-lumières Marc Oliviero travaille avec des élèves sur le décor et la thématique du voyage. La construction de ces décors se fait à partir de bidons, d’éléments de la rue et du port de La Rochelle et sont d’abord imaginés sous forme de maquettes. On trouve également des ateliers de rap avec le groupe Anfa-Africa et des ateliers de hip-hop organisés par la troupe Ultimatum résidant à La Rochelle. Les élèves dansent aux côtés de la troupe sur une chorégraphie qu’ils ont travaillée tout au long de l’année.
25Parallèlement à cette nouvelle production, le compositeur Pascal Ducourtioux s’allie au projet et propose une œuvre créée avec la participation des enfants de l’atelier percussions. Cette composition, intitulée « Prélude à l’Opéra », introduit le décor de Là-bas peut-être :
« J’ai utilisé pour l’écriture musicale la même distribution orchestrale que pour l’opéra Là-bas peut-être. Dans cette composition, les percussions sont reines. Tantôt traditionnelles (tambours d’eau, bidons, guiro,…) tantôt contemporaines (toms, caisse claire, cymbales…). Elles guident nos oreilles au travers d’une pièce évolutive. Les instruments sont progressivement emmenés par des appariteurs et bâtissent au fur et à mesure un véritable décor… Les percussionnistes jouent alors dans une construction de bidons, au cœur d’un ensemble de toms et cymbales… sur la route des tambours d’eau… De l’univers ludique de l’enfance on rejoint pas à pas, une fois le décor musical mis en place, le monde beaucoup plus grave du quotidien dans la cité et des sons qui lui sont liés. Je dédie cette création à Graciane Finzi qui m’a ouvert d’autres horizons acoustiques14. »
26Le cadre de représentation fait partie lui aussi des objectifs sociaux de ce projet. En effet, l’opéra n’est pas créé dans un théâtre traditionnel mais en extérieur dans le « Théâtre de verdure » de Mireuil. Cette ouverture permet aux habitants du quartier d’approcher simplement l’opéra, sans barrière financière. Graciane Finzi se souvient que, durant les répétitions, les habitants du quartier s’arrêtaient par curiosité et repartaient en chantonnant quelques airs de l’opéra. Cette aventure humaine permet au quartier de Mireuil d’unir ses habitants autour d’un projet commun que tout le monde approuve.
27L’œuvre est créée le vendredi 30 juin et le samedi 1er juillet 2006 sous la baguette de Philippe Nahon qui dirige, pour l’occasion, l’ensemble instrumental « C d’accord » de la Communauté d’agglomération de La Rochelle. Cette adaptation de l’œuvre est de nouveau un succès et réunit lors de la première représentation 4 000 spectateurs, parents et enfants.
28L’opéra est repris quelques années plus tard dans sa nouvelle version, le 16 octobre 2008 à l’occasion du festival Beaumarchais dans tous ses états qui se déroule à la Maison des Métallos, une ancienne manufacture réaménagée en Établissement culturel de la ville de Paris15.
*
29Ainsi, comme en atteste Là-bas peut-être de Graciane Finzi, la conception d’un opéra pour adolescents répond à des exigences artistiques et humaines. Les jeunes, acteurs ou public, savent apprécier une voix lyrique, une musique qui sort de leur répertoire habituel, s’ils sont guidés par une équipe pédagogique et si on leur permet de s’investir dans un projet.
30La curiosité du spectateur enfant, adolescent ou parent est plus difficile à éveiller face à la diversité des formes de spectacles proposés aujourd’hui.
31Graciane Finzi et l’équipe avec laquelle elle a travaillé, se sont donné pour mission d’apporter cette culture de la scène et de l’art lyrique en l’adaptant aux attentes des adolescents. Là-bas peut-être offre ainsi un genre hybride mêlant musique traditionnelle et contemporaine, effets sonores, danse et montages vidéo.
32Toutefois, l’opéra pour enfants et l’opéra pour adolescents semblent permettre ainsi à quelques artistes de trouver une nouvelle source d’inspiration tout en cherchant à s’ouvrir à un nouveau public qu’il faut sensibiliser.
Notes de bas de page
1 Anonyme, « Graciane Finzi : musique au cœur ! », Le Figaro Madame, 25 novembre 1984.
2 Entretien avec Graciane Finzi, janvier 2010.
3 Programme de la création de l’opéra Quand un enfant voyage au Théâtre de Saint Quentinen-Yvelines, 12 juin 2004, archives personnelles de la compositrice [APC].
4 Entretien avec Graciane Finzi, le 8 octobre 2009.
5 Opéra composé en 1997 sur un livret de Jean-Claude Carrière et crée le 15 janvier 1998 à l’Opéra-Comique, salle Favart.
6 Désormais ONL dans le texte.
7 Entretien avec Graciane Finzi, 26 septembre 2009.
8 Site web du Grand Bleu : http://www.legrandbleu.com/_front/Pages/page. php?cat=2&item=2&page=2&PHPSESSID=586f844d7f422aaf666f22a6210f8e85, consulté en janvier 2015.
9 Sandner Wolfgang, « Wind-und Wettertänze : Oper für die Adoleszenz : Graciane Finzis “Là-bas peut-être” », Frankfurter Allgemeine Zeitung, 21 janvier 2003, p. 2.
10 Après avoir lu son premier roman Paradis des Tortues, Paris, Éditions La Différence, 2000.
11 Les Gnawas sont un peuple d’Afrique occidentale.
12 Journal O’bleu, no 20, article de trois collégiennes lilloises : Nora Boukra, Magalie Henocq et Jennifer Dufrenne, p. 1, juin 2003, APC.
13 Opéra créé le 28 avril 1865 à l’Opéra de Paris, sur un livret d’Eugène Scribe.
14 Document dactylographié du projet pédagogique de l’opéra Là-bas peut-être à Mireuil, à l’initiative de l’association Les Anges rebelles, inédit, s. d., APC.
15 Programme du festival Beaumarchais dans tous ses états, du 15 au 18 octobre 2008, Paris, APC.
Auteur
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