1 Charles Perrault, Contes, Paris, Gallimard, coll. « Folio », 1981, p. 177.
2 Voir Frank Kessler, « La féerie Pathé » in Laurent Le Forestier et Michel Marie (dir.), La firme Pathé Frères, 1896-1914, Paris, Association française de recherche sur l’histoire du cinéma, 2004, p. 133-142.
3 Georges Sadoul, Lumière et Méliès, Paris, Lherminier, 1985, p. 152.
4 Voir Madeleine Malthête-Méliès, Méliès l’enchanteur, Paris, Hachette, 1973, p. 20.
5 Voir André Gaudreault, « Les vues cinématographiques selon Georges Méliès, ou : comment Mitry et Sadoul avaient peut-être raison d’avoir tort (même si c’est surtout Deslandes qu’il faut lire et relire)… », in Jacques Malthête et M. Marie (dir.), Georges Méliès, l’illusionniste fin de siècle ?, Paris, Colloque de Cerisy/Presses de la Sorbonne Nouvelle, 1997, p. 111-131.
6 Arthur Pougin, Dictionnaire historique et pittoresque du théâtre et des arts qui s’y rattachent, Paris, Firmin-Didot, 1885, p. 360 (réédition en fac-similé, Plan-de-la-Tour, Éditions d’Aujourd’hui, 1995).
7 La féerie-modèle serait Le Pied de mouton d’Alphonse-Louis-Dieudonné Martainville et Louis-François Ribié. Voir Paul Ginisty, La féerie, Paris, L. Michaud, s. d. [1910], p. 96.
8 Théodore de Banville, Les Parisiennes de Paris, Paris, M. Lévy frères, 1866, p. 207.
9 Ibid., p. 208-209.
10 P. Ginisty, op. cit., p. 212.
11 Ibid., p. 214.
12 Joseph Leroux, « Au Châtelet Les Quatre Cents Coups du diable », La Revue théâtrale, nouvelle série, no 49, janvier 1906, p. 1214. Le livret de cette féerie est justement publié par Mon beau livre. Magazine mensuel illustré de la jeunesse, dans le no 2, 15 février 1906.
13 Edmond Stoullig, Les Annales du théâtre et de la musique 1896, Paris, P. Ollendorff, 1897, p. 296. Voir aussi dans la présent volume la lettre de Méliès du 7 juillet 1933 dans laquelle il parle d’« exhibition de viande ».
14 P. Ginisty, op. cit., p. 218.
15 Ibid., p. 8-11.
16 M.-N. Bouillet, Dictionnaire universel des sciences, des lettres et des arts, 15e éd., Paris, Hachette, 1896, p. 638.
17 Adrien Bernheim, « La féerie se meurt », Touche à tout, no 9, septembre 1909, p. 357-360.
18 Edmond Floury, « La cuisine théâtrale », La Revue théâtrale, nouvelle série, no 54, mars 1906, p. 1387.
19 Ibid.
20 Ibid., p. 1388.
21 Voir ibid.
22 Sur l’utilisation du diorama et du panorama mobile, voir Hassan el Nouty, Théâtre et pré-cinéma. Essai sur la problématique du spectacle au XIXe siècle, Paris, A.-G. Nizet, 1978, p. 61-63.
23 E. Floury, « Les débuts du cinématographe au Théâtre du Châtelet », Le Courrier cinématographique, no 24, 13 juin 1914, p. 6.
24 E. Floury, « La cuisine théâtrale (suite) », La Revue théâtrale, nouvelle série, no 59, juin 1906, p. 1517.
25 A. Pougin, op. cit., p. 45-46.
26 Voir notamment André Gaudreault et Tom Gunning, « Le cinéma des premiers temps : un défià l’histoire du cinéma ? », in Jacques Aumont, André Gaudreault et Michel Marie (dir.), Histoire du cinéma. Nouvelles approches, Paris, Publications de la Sorbonne, 1989, p. 49-63.
27 Georges Méliès, « L’importance du scénario », Cinéa et ciné pour tous réunis, no 24, avril 1932, p. 23.
28 G. Méliès, « Les vues cinématographiques », éd. établie par J. Malthête, in A. Gaudreault, Cinéma et attraction. Pour une nouvelle histoire du cinématographe, Paris, CNRS Éditions, 2008, p. 204. Voir aussi Jacques Deslandes, Le boulevard du cinéma à l’époque de Georges Méliès, Paris, Éditions du Cerf, 1963, p. 23-24.
29 G. Méliès, « Les vues cinématographiques », op. cit., p. 215.
30 Ibid.
31 Ibid., p. 216.
32 The Charles Urban Trading Co. Ltd., List of Urban Film Subjects, novembre 1903, p. 132.
33 Nous avons visionné deux versions du film sur DVD, l’édition Studio Canal et l’édition Flicker Alley.
34 Georges Ménard, « Les vues cinématographiques de M. Georges Méliès (dites “Star-Films”) », in J. Deslandes, op. cit., p. 99 (note 1) et p. 100.
35 Nous tenons à remercier Stéphane Tralongo pour ses corrections, commentaires et suggestions.