1 « Position du cinéma », Style en France, no 4, juillet-août-septembre 1946, p. 5.
2 Pour de plus amples développements sur ce point, je me permets de renvoyer à la recherche inédite que j’ai produite pour l’Habilitation à Diriger des Recherches, « Au-delà du matérialisme historique : éléments pour une épistémographie du réalisme dans le cinéma français (1945-1948) », université Paris 3 – Sorbonne Nouvelle, 2006.
3 Voir la contribution de Céline Maes, dans ce volume.
4 Haesaerts P., « Art plastique et cinéma », L’Amour de l’Art, 29e année, nouvelle série, no 37-38-39, « Cinéma », 1949, p. 37.
5 Le film existe aussi sous le titre Le Drame du fils de l’homme. Il semble connaître deux versions, la première réalisée en 1940 et la seconde en 1948. Voir « Répertoire international des films sur l’art », L’Amour de l’Art, ibid., p. 93.
6 Voir la contribution de François Albera, dans ce volume.
7 Lamb C., « L’œuvre d’art et le cinéma », Cinéma éducatif et culturel, no 3-4, avril-juillet 1953, p. 3 (merci à Roxane Hamery, qui a porté ce texte à ma connaissance).
9 Voir le texte de Frédéric Gimello-Mesplomb, dans ce volume.
8 Voir Le Film français, no 102, 22 novembre 1946, p. 9.
10 Lang A., Le Tableau blanc, Paris, Horizons de France, 1948, et Benoît-Lévy J., Les Grandes Missions du cinéma, Montréal, Lucien Parizeau et Cie, 1944.
11 C’est l’un des enjeux de la contribution de Valentine Robert, dans ce volume.
12 On peut y lire : « un film de Gaston Diehl et Robert Hessens ».
13 Document présentant les activités des « Amis de l’art », datant d’avril 1950, conservé aux Archives de la critique d’art (Rennes) dans le fonds Gaston Diehl sous la cote 0023082 XK003/13.
14 Diehl G., « N’oublions pas le public », Les Amis de l’art, nouvelle série, no 1, octobre 1948, p. 1.
15 Dans ses notes manuscrites (rétrospectives), Gaston Diehl évoque « le succès remporté à la Sorbonne par les conférences de l’Abbé Morel sur Picasso pour “Tourisme et Travail” » (fonds Gaston Diehl, cote 0023075 XK001/2).
16 Informations tirées d’un cahier manuscrit de Gaston Diehl, écrit au présent, très probablement à l’époque des faits (fonds Gaston Diehl, cote 0023145 XL003/3).
17 Dossier « Regain » du fonds Gaston Diehl (cote 0033145 XL003/1).
18 La querelle du réalisme, à laquelle participent Léger, Le Corbusier, Lhote et bien d’autres, éclot au début des années 1930, et ses bases sont déjà posées par Léon Moussinac, dans « Réalisme socialiste », Europe, no 162, 15 juin 1936, p. 183-190. Après guerre, cohabitent au sein de l’intelligentsia communiste une tendance qui défend encore, de manière orthodoxe, le réalisme socialiste (Fougeron, Taslitzky, etc.) et une autre plus portée vers l’art « moderne », comme Aragon qui soutient Matisse (merci à François Albera). Pour des précisions sur l’origine de ces débats, on se reportera à La Querelle du réalisme. Léger, Le Corbusier, Lurçat, Aragon, Lhote, Goerg, Cassou, Delaunay, Ernst… Présentation de Serge Fauchereau, Paris, Diagonales. Éditions Cercle d’art, 1987 (textes édités originellement en 1936).
19 Le texte de Léon Moussinac, « Sur les voies d’un nouveau réalisme » (Les Lettres françaises, no 234, 18 novembre 1948) est discuté et critiqué dans Les Amis de l’art, no 3, décembre 1948, p. 2.
20 Prospectus non daté (mais sans doute imprimé aux alentours de 1948-1950), conservé dans le fonds Gaston Diehl, sous la cote 0023082 XK003.
21 Fonds Gaston Diehl, cote XA001/20. Toutes les informations qui suivent sont tirées de cette source.
22 Le carton mentionne qu’« à cette occasion un numéro spécial de nos Cahiers a été publié sur l’Art abstrait ».
23 Barrois M., « À propos du film Van Gogh », Les Amis de l’Art, no 2, novembre 1948, p. 1.
24 Ouest-France, 9-10 avril 1949, p. 6, reproduit dans le fonds Gaston Diehl, sous la cote XK002/24.
25 « Circulaire no 5 » de la « Plaque tournante » (datée de mai 1946 et annonçant l’assemblée constitutive). Document qui figure dans le fonds Jean Epstein de la médiathèque de la Cinémathèque française sous la cote EPSTEIN 420-B94.
26 Tanniger M., « Les chacals de la caméra », Mouvement international du cinéma et des arts, 10e année, nouvelle série, no 1, décembre 1947, p. 2 (premier nom de la revue de la « Plaque tournante »).
27 « Un ciné-club du second degré » (anonyme), ibid., p. 4.
28 « Manifeste du cinéisme » (anonyme), Néo-Art, 11e année, nouvelle série, no 5, mai 1948, p. 2 (nouveau nom du mensuel de la « Plaque tournante »).
29 La séance est annoncée dans Cinéas, 11e année, nouvelle série, no 2, février 1948, p. 4 (nouveau nom du mensuel de la « Plaque tournante »).
30 Epstein J., « Avant-garde pas morte », Spectateur, 9 juillet 1946, reproduit dans Écrits sur le cinéma (tome 1), Paris, Seghers, coll. « Cinéma club », 1974, p. 412.
31 Information donnée dans Cinéo (nouveau nom du mensuel de la « Plaque tournante »), 11e année, nouvelle série, no 1, janvier 1948, p. 4.
32 Le programme est donné dans Philm, journal du cinéisme (nouveau nom du mensuel de la « Plaque tournante »), 11e année, nouvelle série, no 7-9, juillet-septembre 1948, p. 1.
33 « Manifeste du cinéisme », art. cit.
34 Auriol J. G., « Faire des films (I). Les origines de la mise en scène », La Revue du cinéma, no 1, octobre 1946, p. 7-23.
35 « Le cinéma a toujours existé » (anonyme), Néo-Art, op. cit., p. 2.
36 Séance annoncée dans Cinéas, op. cit., p. 4.