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Remerciements


Texte intégral

1L’enquête sociologique de laquelle est tiré le présent ouvrage a bénéficié du soutien institutionnel et financier de l’Institut universitaire de France et du Centre d’études des mouvements sociaux (EHESS/Paris). Nombre d’hypothèses forgées au cours de notre travail ont fait l’objet de présentations et de discussions à l’occasion du séminaire de recherche que nous co-animons depuis 2008 avec Gérôme Truc à l’EHESS sur la mémoire collective, la mémoire officielle et les identités collectives. G. Truc est resté tout au long de ces années un interlocuteur, un auditeur et un lecteur privilégiés.

2Si nous assumons l’ensemble des propositions et des interprétations qui ponctuent cet ouvrage, nous avons également le devoir de reconnaître nos dettes à l’égard de celles et de ceux qui nous ont accompagnés à la fois au cours de cette enquête et au cours du travail final de relecture. Que soient remerciés les spécialistes de la mémoire de l’esclavage (Christine Chivallon, Jean-Luc Bonniol, Marcel Dorigny), de la sociologie de la mémoire (Eric Savarese), de la sociologie des problèmes publics (Daniel Cefai, Louis Quéré) pour avoir enrichi et rectifié nos analyses à la lumière de leurs compétences. Que soient remerciés également les porteurs de mémoire de l’esclavage ou les acteurs institutionnels directement impliqués dans la fabrique des politiques mémorielles de l’esclavage pour avoir accepté un ou plusieurs entretiens avec nous, notamment Serge Romana, Viviane Romana, Nicolas Paulissen, Marie-Hélène Dumeste, Françoise Vergès, Louis-Georges Tin, Patrick Karam, Marc Vizy, Frédéric Lazorthes, Marcel Dorigny, Emmanuel Jos, Serge Chalons, Christian Jean-Etienne, Daniel Maximim, Jean Zougbede, Serge Guichard, Robert Lalaurie, Marie-France Astegiani-Merrain. Notre recherche n’aurait pas été possible sans les structures institutionnelles qui nous ont permis l’accès à des sources précieuses, notamment les archives du ministère de l’Outre-mer, l’espace « librairie » du Sénat, les archives de l’Assemblée nationale. La dimension collective de la recherche en sciences sociales se mesure également à l’aune de discussions informelles, mais souvent heuristiques, que nous menons depuis plusieurs années avec nos proches. À Boris Gobille, Gwénael Gouérou, Fabrice Joubard et Olivier Roueffce qu’il leur revient.

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