Les auteurs
p. 355-358
Texte intégral
1Claire Andrieu est professeur des universités en histoire contemporaine à l’Institut d’études politiques de Paris, chercheure au Centre d’histoire de Sciences Po et chercheure associée au Centre d’histoire sociale de Paris 1. Elle travaille actuellement sur les comportements comparés des populations civiles dans l’Europe de la Seconde Guerre mondiale. Elle a récemment codirigé, avec Sarah Gensburger et Jacques Semelin, La Résistance aux génocides. De la pluralité des actes de sauvetage, Paris, Presses de Sciences Po, 2008.
2Pierre-Yves Baudot est maître de conférences en science politique à l’université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines, chercheur titulaire au CESDIP et associé au Centre d’études européennes (FNSP/Sciences-Po). Il travaille actuellement sur les politiques publiques à destination des personnes en situation de handicap. Il a récemment publié : (avec Anne Revillard), « Le Médiateur de la République : périmètre et autonomisation d’une institution », Revue Française d’Administration Publique, no 139, 2011, p. 339-352 et « L’incertitude des instruments. L’informatique administrative et le changement dans l’action publique (années 1960-1970) », Revue Française de Science Politique, vol. 61, no 1, 2011, p. 79-103.
3Philippe Braud est professeur émérite des universités en science politique à l’Institut d’études politiques de Paris. Sa bibliographie complète se trouve en fin de volume.
4Bernard Bruneteau est professeur de science politique à l’université Rennes 1. Il a récemment publié Le Totalitarisme. Origine d’un concept, genèse d’un débat (Cerf, 2010) et l’Age totalitaire. Idées reçues sur le totalitarisme (Le Cavalier bleu, 2011).
5Patrick Bruneteaux est chercheur en science politique au CESSP (Centre européen de sociologie et de science politique), équipe CRPS (université Paris 1 Panthéon-Sorbonne & CNRS). Parmi ses dernières publications : Patrick Bruneteaux & Daniel Terrolle, L’arrière-cour de la mondialisation. Ethnographie des paupérisés, Bellecombe-en-Bauges, 2010 ; « Couleurs sur corps noirs et carnaval à la Martinique », (avec V. Rochais), in Décors des Corps, sous la direction de G. Boetch, D. Chevé et H. Claudot-Hawad, Éditions du CNRS, 2010, p. 231-239.
6Xavier Crettiez est professeur des universités en science politique à l’université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines, et chercheur au CESDIP. Spécialiste des questions nationalistes et de la violence politique, il a notamment publié ces dernières années : « High Risk Activism : essai sur le processus de radicalisation violente » (parties 1 et 2) in Pôle Sud, no 34 et 35, 2011 ainsi que Les violences politiques en Europe (sous la dir de Xavier Crettiez et Laurent Mucchielli), Paris, La découverte, 2010 et Les formes de la violence, Paris, La Découverte, 2008.
7Nathalie Duclos est maître de conférences en science politique à l’université à l’université de Tours, chercheure à l’ISP Nanterre (Institut des sciences sociales du politique), UMR 7220. Ses travaux portent sur le retour à la vie civile des ex-combattants, en particulier ceux de l’Armée de Libération du Kosovo. Sur ce thème, elle a dirigé un ouvrage collectif L’adieu aux armes ? Parcours d’anciens combattants, Paris, Karthala, coll. « Recherches internationales », 2010.
8François Foret est professeur de science politique à l’université Libre de Bruxelles. Il est directeur des recherches politiques à l’Institut d’études européennes et chercheur au CEVIPOL. Ses recherches portent sur l’intégration européenne, la légitimation des ordres politiques, les dimensions symboliques du politique et les interactions entre politique et religion. Il a notamment publié Légitimer l’Europe. Pouvoir et symbolique à l’ère de la gouvernance, Paris, Presses de Sciences Po, 2008 ; avec Xabier Itçaina (ed.), Politics of religion in Western Europe. Modernities in conflict, London, ECPR Series Routledge, 2011.
9Yves Hélias est maître de conférences en sciences de l’information et de la communication, directeur de l’UFR arts-lettres-communication à l’université Rennes 2, co-fondateur du Congrès ordinaire de banalyse et membre du PREFICS et de l’EA Histoire et critique des Arts. Il travaille sur les politiques culturelles, la communication interculturelle et l’anthropologie de la communication.
10François Hourmant est maître de conférences en science politique à l’université d’Angers et membre du Centre Jean Bodin (UFR de droit, université d’Angers). Il vient de faire paraître François Mitterrand, Le pouvoir et la plume, Paris, PUF, 2010 et Les intellectuels et le pouvoir. Déclinaisons et mutations (avec Arnauld Leclerc), Rennes, PUR, 2012.
11James Jasper enseigne la sociologie au Graduate Center de l’université de la ville de New York. Depuis The Art of Moral Protest (Chicago, 1997), ses recherches portent sur les émotions et les mouvements sociaux. Il vient de publier avec Jeff Goodwin Contention in Context : Political Opportunities and the Emergence of Protest (Stanford, 2012).
12Alfredo Joignant est professeur à l’université Diego Portales (Chili) et ancien président de l’Association chilienne de science politique (1998-2000). Il travaille actuellement sur les élites politiques, ainsi que sur le lien entre malaise, désaffection et mécontentement vis-à-vis les élites en Amérique latine (autres sujets : sociologie du populisme et compétence politique). Il a récemment publié l’ouvrage collectif (avec Pedro Güell), Notables, tecnócratas y mandarines. Elementos de sociología de las elites en Chile 1990-2010, Ediciones Universidad Diego Portales, 2011, ainsi que « The Politics of Technopols. Resources, Political Competence and Collective Leadership in Chile, 1990-2010 » in Journal of Latin American Studies, 2011.
13Nicolas Kaciaf est maître de conférences en science politique à l’université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines, chercheur au CERAPS (UMR 8026) et chercheur associé au VIP (Versailles Saint-Quentin Institutions Publiques, EA 3643). Travaillant actuellement sur la sociologie des « fuites » et des « confidences » à la presse, il est le coauteur de Histoire politique et économique des médias en France (avec Ivan Chupin et Nicolas Hubé, La Découverte, 2e éd. 2012) et a codirigé Communication interne et changement (avec Jean-Baptiste Legavre, Pepper/L’Harmattan, 2011).
14Christian Le Bart, professeur de science politique à l’IEP de Rennes, est chercheur au CRAPE (Centre de recherches sur l’action politique en Europe) et directeur de la Maison des sciences de l’homme en Bretagne. Il poursuit des recherches sur la communication politique et la vie politique locale. Il a notamment publié : Les maires : sociologie d’un rôle (Septentrion, 2003), L’individualisation (Presses de Sciences Po, 2008), et a dirigé (avec Philippe Corcuffet François de Singly) L’individu aujourd’hui (PUR, 2010).
15Brigitte Le Grignou est professeure de science politique à l’université Paris Dauphine et chercheure à l’IRISSO (UMR CNRS 7170). Ses recherches portent sur les médias, la communication politique, la culture politique « ordinaire ». Elle a notamment publié : Du côté du public. Usages et réceptions de la télévision, Paris, Economica, 2003, et avec E. Agrikoliansky et J. Heurtaux, Paris en campagne. Les élections municipales de mars 2008 dans deux arrondissements parisiens, Éd. du Croquant, 2011.
16Jean-Baptiste Legavre est professeur en sciences de l’information et de la communication, directeur de l’école de journalisme, Institut français de presse, CARISM, université Panthéon-Assas (Paris II). Il a récemment publié Communication interne et changement (avec N. Kaciaf) aux Éditions Pepper (2011) et « Entre conflit et coopération. Journalistes et communicants comme “associés-rivaux” » (Communication et langages, no 169, 2001).
17Jacques Le Goff est professeur de droit public à l’université de Brest et ancien inspecteur du travail. Ses derniers ouvrages : Du silence à la parole. Une histoire du droit du travail des années 1830 à nos jours, PUR, 2006 ; Droit et complexité. Une nouvelle intelligence du droit vivant (dir.), PUR, 2007 ; Les lois Auroux, 25 ans après (dir.), PUR, 2008 ; Penser la crise avec Mounier (dir.), PUR, 2011 ; Graines de quotidien. 10 ans à la Une d’Ouest-France, PUR, 2012 ; Georges Gurvitch. Le pluralisme créateur, Michalon, 2012.
18Thomas Lindemann est professeur à l’université d’Artois et chercheur attaché au CERAPS. Il travaille actuellement sur le lien entre dénis de reconnaissance et conflits internationaux (autres sujets : théorie des relations internationales, origines de la guerre, la résolution des conflits). Il a dernièrement publié l’ouvrage collectif (avec Erik Ringmar), The International Politics of Recognition, Paradigm Publisher (Yale Series), New York ; 2011 et Causes of War. The Struggle for Recognition, ECPR Press, Colchester, 2010.
19Erik Neveu est professeur de science politique à l’Institut d’études politiques de Rennes. Ses recherches portent sur les mouvements sociaux, le journalisme et l’espace public. Il s’intéresse également aux Cultural Studies et à la sociologie du genre. Dernier ouvrage paru : Les Mots de la Communication Politique, PUM, Toulouse, 2012.
20Pierre Piazza est maître de Conférences en science politique à l’université de Cergy-Pontoise et chercheur au CESDIP/LEJEP. Spécialiste de la socio-histoire des dispositifs étatiques d’identification et de leurs enjeux, il a publié de nombreux ouvrages et articles sur le bertillonnage, la dactyloscopie, les fichiers de police, l’encartement et la biométrie. Principaux ouvrages et coordinations de publications : Histoire de la carte nationale d’identité (Paris, Odile Jacob, 2004) ; Du papier à la biométrie. Identifier les individus, (Paris, Les presses de Science po, 2006) ; L’identification biométrique. Champs, Acteurs, enjeux et controverses (Paris, Presses de la MSH, 2011) ; Aux origines de la police scientifique. Alphonse Bertillon, précurseur de la science du crime (Paris, Karthala, 2011).
21Philippe Portier est directeur d’études à l’École pratique des hautes études (Paris-Sorbonne), et directeur du Groupe Sociétés, Religions, Laïcités (EPHE-CNRS). Il travaille actuellement sur les recompositions des modes de régulation du religieux dans les sociétés occidentales et sur les reconfigurations contemporaines de la philosophie politique. Parmi ses textes récents, La religion contre la modernité ? (dir. avec J. Lagrée), Rennes, PUR, 2010 ; Droit, Éthique et Religion, De l’âge théologique à l’âge bioéthique, Bruxelles, Bruylant, 2011.
22Isabelle Sommier est professeure de sociologie au département de science politique de l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et chercheure au CESSP (Centre européen de sociologie et de science politique), équipe CRPS (université Paris1 Panthéon-Sorbonne & CNRS). Ses recherches portent sur la violence politique, l’engagement et les mouvements sociaux. Elle a récemment publié La violence révolutionnaire, Paris, Presses de Sciences Po, coll. Contester, 2008 et Penser les mouvements sociaux, en co-direction avec Olivier Fillieule et Éric Agrikoliansky, La Découverte, collection « Recherche », 2010.
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