Table des matières
Première partie. 1918-1937 : La Chine dans le chaos
Chapitre I. L’imbroglio des seigneurs de la guerre : la France et les Puissances cherchent leurs marques
- Zhang Zuolin, Feng Yuxiang, Wu Peifu et Sun Yat-sen, juillet 1917-novembre 1924
- Deux gouvernements pour la Chine, Pékin et Canton : prudence des représentants français Damien de Martel et Auguste Boppe, janvier 1918-juillet 1920
- Auguste Boppe, Gaston Maugras et Aimé de Fleuriau et le parti Zhili de Wu Peifu à Pékin, juillet 1920-juillet 1922
- Sun Yat-sen, l’arrivée des Soviétiques et les débuts de l’époque rouge de Canton, août 1922 ; à Pékin départ d’Aimé de Fleuriau, juillet 1924
- Revanche de Zhang Zuolin sur Wu Peifu, septembre-novembre 1924
- Disparition de Sun Yat-sen et apogée de Zhang Zuolin, novembre 1924, avril 1926
- Les représentants de la France, Jean Tripier puis Damien de Martel soutiennent Zhang Zuolin
- Zhang Zuolin, Feng Yuxiang et Sun Yat-sen tentent de réunifier la Chine sous l’égide de Duan Qirui
- Disparition de Sun Yat-sen (mars 1925), reprise de la guerre civile dans les provinces, lors de l’arrivée de Damien de Martel
- Les incidents de Shanghai du 30 mai 1925 et la généralisation des troubles contre les étrangers
- Les derniers triomphes de Zhang Zuolin, soutenu par les Puissances occidentales et le Japon, contre Feng Yuxiang aidé par les Soviétiques, décembre 1925
- Contre la menace « rouge » et Feng Yuxiang, les Puissances poussent Zhang Zuolin à s’allier avec Wu Peifu décembre 1925-juillet 1926
- Le triomphe de Chiang Kai-shek, mars 1926-juillet 1928
- Le coup de force du 20 mars 1926
- La Beifa et l’installation du gouvernement de Canton à Wuhan et ses conséquences, juillet 1926-mars 1927, Georges Lecomte et les incidents de Hankou janvier 1927
- Élimination des communistes mars-décembre 1927 ; mise au ban de Chiang Kaishek qui constitue un gouvernement à Nankin, avril 1927
- La fin de Zhang Zuolin et le triomphe de Chiang Kai-shek juin 1928
- La décennie de Nankin
- Difficulté du gouvernement à s’imposer et reprise des négociations avec les Puissances, juin 1928-mai 1931 ; mise en place du consulat de Nankin
- Invasion de la Mandchourie par le Japon, 18 septembre 1931
- Les ultimes tentatives de révolte et l’affaire de Xian, novembre 1933-décembre 1936
- Succès du gouvernement nationaliste vis-à-vis des Occidentaux : abolition des traités inégaux et de l’exterritorialité juillet 1928-mai 1935
- Juillet 1928, signature des traités de commerce par les Puissances ; février 1930, abolition de la cour mixte de la concession internationale de Shanghai
- Damien de Martel et la Convention du 16 mai 1930
- Exterritorialité : Auguste Wilden fait de la résistance
Chapitre II. Évolution des postes
- La double représentation de la France : l’ambassade de Pékin et le poste de Nankin : un statut hybride
- Auguste Wilden (15 juillet 1930-23 septembre 1935) et la création d’un bureau diplomatique
- Emile Naggiar juillet 1936-août 1937
- Postes en Chine du Nord
- Mandchourie : Harbin et Mukden
- Harbin : Henri Lépice, Charles Lépissier et Louis Reynaud 1918-1938
- Mukden : Pierre Crépin 1925-1937 et Robert Germain 1937-1941
- Tianjin dans la province du Zhili : d’Henri Bourgeois à Charles Lépissier 1916-1937
- Henri Bourgeois, Emile Saussine, Marcel Bandez et Lucien Colin 1916-1931
- Charles Lépissier 1931-1937
- Zhifu et les agences consulaires de Qindao et Dairen
- Postes du centre de la Chine
- Chengdu et Chongqing au Sichuan
- Marcel Bandez et Laurent Eynard au centre des combats entre Yang Sen, partisan de Wu Peifu, et les généraux favorables au gouvernement de Canton, avril 1921-mai 1925
- Juin 1925 : les étrangers directement menacés : Fernand Roy puis Laurent Eynard à Chongqing, le docteur Jouvelet à Chengdu
- Octobre 1926 les troubles s’amplifient contre les étrangers : Eynard à Chongqing et le docteur Jouvelet à Chengdu
- 1929 : le docteur Béchamp à Chengdu et Jules Médard à Chongqing, Chiang Kai-shek rétablit son autorité dans la province
- Hankou au Hubei
- Georges Lecomte, décembre 1916-mars 1928
- Prise de Hankou par les troupes de Canton, septembre 1926, départ des Britanniques, début janvier 1927
- Jules Leurquin, mars 1928-février 1930
- Marcel Baudez et les troubles communistes, février 1930-mai 1933
- Les postes au sud du Yangzi
- Shanghai
- Auguste Wilden et Jacques Meyrier confrontés à la Bande Verte
- Émile Naggiar et le massacre des communistes, mars-avril 1927
- Edgard Koechlin (décembre1928-mars 1932), et la vengeance de Du Yuesheng
- Reprise en main du consulat par Jacques Meyrier, mars 1932-janvier 1935
- Yunnanfou et la chancellerie de Mengzi
- Albert Bodard (mai 1922-octobre 1925) : bonne entente avec Tang Tiyao
- Charles Lépissier et les révoltes des généraux de Tang Tiyao, Long Yun, Ru Ruoyu et Zhang Ruji, février-mars 1927
- Ru Ruoyu et Zhang Ruji contre Long Yun, juin et novembre 1927
- Daniel Lévi, juillet 1929-mars 1932 et la disgrâce de Lépissier et Simon
- De Marcel Baudez à Édouard Chauvet, juin 1933-1937 ; mort de Paul Riffaut mai 1936
- La chancellerie détachée de Mengzi et les agences consulaires de Hekou (Hokeou) et Simao
- Le consulat de Canton
- Georges Goubault et Georges Dufaure de la Prade, mai 1923-avril 1925
- Jules Leurquin et le siège de Shameen, juin-octobre 1925
- André Danjou : le calme avant la tempête
- Les troubles communistes de 1927 et la commune de Canton
- Retour au calme jusqu’en 1937 ; avril 1929, Laurent Eynard succède à André Danjou
- Hong Kong
- Paul Kremer gérant du consulat 1922-1924
- Yves du Courthial et les troubles de 1925
- Georges Dufaure de la Prade 1926-1934, et le retour de Nguyen Aï Quoc 1930
- René Teissier-Soulange, Jules Leurquin, Albert Cadol et Franck Dupuis 1934-1938
- Les petits postes du sud de la Chine, Fujian, Guangxi et Hainan
- Amoy (Xiamen) et Fuzhou : Fernand Roy et René Teissier-Soulange
- Amoy : Fernand Roy
- Fuzhou jusqu’à sa fermeture en 1935 : Pierre Augé, René Teissier-Soulange et Fernand Roy
- Fermeture puis rétablissement d’Amoy au dépens de Fuzhou
- Swatow (Shantou)
- Pakhoi (Beihai) et Hoihow
- Pakhoi : maintien ou fermeture du poste ? Raoul Tulasne, René Waché, Léon Jankélévitch
- Hoihow (Hoihao), Jules Leurquin, le docteur Esserteau et Léon Jankélévitch
- Longzhou : Victor Robert
Chapitre III. Les agents et les intérêts français de 1918 à 1937
- Les agents
- Recrutement et évolution des carrières
- Modification du statut des élèves-interprètes
- Situation difficile des élèves-interprètes en Chine
- Réforme du statut des élèves-interprètes
- La pénurie de personnel et le problème des congés : réformes des années 1920
- Les conditions de vie rendues difficiles par les troubles
- Les fonctions des diplomates et consuls sont-elles les mêmes que dans les périodes précédentes ?
- 1919-1930 Relations franco-chinoises : plus importantes au point de vue culturel qu’économique
- Une utopie : « Les Chinois : les Français d’Extrême-Orient » ?
- Les associations et institutions culturelles avant la Grande Guerre
- Les missions Challaye et Grillet, et les nouvelles écoles en Chine
- En France, les principales œuvres franco-chinoises après la guerre
- La Société franco-chinoise d’éducation et l’Institut de Lyon
- Un inspecteur des étudiants chinois en France
- La crise de 1921 : création du Comité franco-chinois de patronage des jeunes chinois
- L’Association amicale et de patronage franco-chinoise, mai 1923
- En Chine : les principales œuvres franco-chinoises et les écoles et œuvres françaises
- Les œuvres franco-chinoises
- Les œuvres et écoles des Missions catholiques : Jésuites, Lazaristes et Missions étrangères
- Des initiatives privées : le père Licent et le Musée d’Histoire naturelle de Tianjin
- Remise en cause de la collaboration intellectuelle franco-chinoise par le gouvernement de Canton et dans une moindre mesure par le gouvernement central
- Difficultés financières des gouvernements de Canton et de Pékin et les initiatives françaises
- Après les troubles de 1925, mesures de restriction pour les établissements scolaires étrangers
- 1929-1936 : vers la reprise de la coopération intellectuelle franco-chinoise ?
- De la coopération intellectuelle à la coopération économique 1930-1937
- Retard économique de la France au début des années 1930
- Reprise de la coopération militaire et industrielle 1932-1937
Deuxième partie. 1937-1945 : Les diplomates français face à l’invasion de la Chine et à la guerre en Europe : deux représentations françaises
Chapitre IV. L’offensive japonaise de juillet 1937 à juin 1940
- Été 1937 : du pont Marco Polo à la prise de Nankin
- Prise de Pékin et Tianjin juillet 1937
- Attaque et prise de Shanghai 11 août-13 novembre 1937
- Offensive sur Nankin août-décembre 1937
- Automne-hiver 1937 : bombardement des villes côtières méridionales et prise de la Chine du Nord
- Les consuls français soumis aux raids japonais
- Démission des Puissances et intensification de l’action japonaise
- Les grandes offensives de 1938-1939 : Chute de Hankou, Canton puis Hainan
- Opérations en Chine centrale et dans les villes et ports du sud : le gouvernement nationaliste quitte Hankou pour Chongqing, suivi par les diplomates
- Fin 1938 : prise de Canton, Hankou et Hainan
- Le nouvel ambassadeur Henri Cosme et le gouvernement de Nankin
- Dernières tentatives de paix officieuses entre Wang Jingwei et Chongqing fin 1938, arrivée de Cosme 1er mars 1939
- Situation en Chine au début du conflit en Europe et mise en place du gouvernement dissident de Wang Jingwei, 30 mars 1940
Chapitre V. Reconnaître ou non le gouvernement de Nankin : deux France face à face
- L’Indochine et les dilemmes de Cosme
- La débâcle en France et l’escalade en Indochine : Georges Catroux et Jean Decoux
- Henri Cosme en désaccord avec Catroux après la défaite et l’appel du général de Gaulle
- Jean Decoux et le gouvernement de Vichy : première capitulation devant le Japon
- Cosme : difficile équilibre entre Chongqing et Tokyo
- Cosme rouvre le consulat de Nankin, les Japonais accentuent la pression sur le gouvernement réfugié à Chongqing
- Retour de l’ambassade à Pékin, Jean Paul-Boncour représente Cosme à Chongqing
- Janvier-décembre 1941 : les empiètements japonais de plus en plus nombreux jusqu’à Pearl Harbor
- La Chine libre soumise aux raids des Japonais qui augmentent leur mainmise sur l’Indochine
- Bombardement de Longzhou, Yunnanfou et Chongqing ; les agents français en difficulté
- Philippe Baudet à Chongqing et Jean Camaly à Longzhou
- L’escalade : la collaboration de plus en plus grande de Vichy avec le Japon et ses conséquences. Réaction des Puissances
- Tora, Tora, Tora : Pearl Harbor et ses conséquences
- Les représentants de la France Libre en Chine : un réseau parallèle qui dispose de peu de moyens jusqu’en 1943
- Français Libres à Shanghai, Hong Kong et Chengdu
- Des initiatives isolées dans un premier temps
- Français Libres à Shanghai : Georges Egal et le mouvement « France quand même »
- Français libres à Hong Kong : Pierre Biau puis Georges Béchamp
- Français libres à Chengdu : André Guibaut et Léon Jankélévitch
- La Délégation de la France Libre à Chongqing : Jean Escarra, relayé par André Guibaut
- La mission d’Escarra et la mise en place de la Délégation, janvier 1942
- Le cas de Léon Jankélévitch
- Les débuts difficiles de la Délégation
- Le ralliement de Paul-Boncour à Alger : la fin de la représentation diplomatique de Vichy à Chongqing ; la Délégation confiée à Jacques Coiffard
- Après novembre 1942, ralliement des agents sympathisants à la France Libre et de Paul-Boncour à Alger
- En Indochine, le capitaine Levain prend contact avec la France Libre à Alger
- Réorganisation de la Délégation à Chongqing confiée à Jacques Coiffard
- Juillet-août 1943 : après le ralliement officiel de Paul-Boncour, Jin de la représentation diplomatique du gouvernement de Vichy
- Attitude des autres agents en Chine
- Réemploi des agents mis à la retraite ou évincés par Vichy
- Ralliement des agents de Vichy fin 1942-1943
- Le double jeu de Joseph Siguret et la mort mystérieuse de Raoul Tulasne
Chapitre VI. De la rétrocession des concessions à la rupture des relations diplomatiques 1943-1944
- La déclaration « ad omnes » du 23 février : premier pas vers la rétrocession des concessions
- Les intérêts français en Chine
- La déclaration du 23 février 1943 et ses conséquences ; la rétrocession du Quartier diplomatique devance celle des concessions
- La rétrocession des concessions
- Rétrocession de Kulangsu le 8 avril 1943, et de Hankou, Tianjin et Canton le 18 mai 1943
- Rétrocession de Shanghai 30 juillet 1943
- Conséquences : rupture des relations diplomatiques et menaces du gouvernement de Chongqing sur l’Indochine ?
- Le gouvernement nationaliste s’empare des intérêts français et refuse de reconnaître les représentants de la France Libre : Joseph Siguret, seul représentant de la France
- Collusion des nationalistes chinois avec les révolutionnaires vietnamiens de Hô Chi Minh ?
Chapitre VII. De la mission militaire à l’ambassade du général Pechkoff 1943-1945
- Janvier-novembre 1943 : de la Mission Militaire à la Délégation
- Deux missions concurrentes : Pechkoff et Meynier, et le début d’organisation de la Résistance en Indochine
- Le général Pechkoff prend la tête de la Délégation, 13 novembre 1943
- Mise en place d’une délégation militaire et politique et d’un mouvement de résistance « officiel » en Indochine : conflits d’intérêts avec les représentants de la France Libre en Chine
- L’instauration du Gouvernement Provisoire et ses conséquences
- En Chine occupée : désarroi des agents de Vichy
- Juillet 1944 : vers la reprise de l’Indochine ?
- Organisation officielle de la Résistance en Indochine
- Chiang Kai-shek reconnaît le GPRF : 23 octobre 1944
- Novembre 1944 : Pechkoff ambassadeur
- Reprise des relations diplomatiques, économiques et culturelles
- Les nouvelles fonctions de Pechkoff
- La mission commerciale de Guillaume Georges-Picot et la mission culturelle d’André Guibaut
- Rétablissement des consulats en Chine et en France
- Détérioration des rapports entre nationalistes et communistes
Chapitre VIII. Du coup de force des 9 et 10 mars 1945 à la capitulation japonaise et ses conséquences
- Le coup de force du 9 mars 1945
- Les prémices
- Les événements des 9 et 10 mars en Indochine et en Chine
- Conséquences en Chine occupée et en Chine libre
- Situation relativement acceptable à Pékin et Tianjin
- Situation plus difficile dans les autres postes
- Les rescapés d’Indochine se réfugient en Chine libre, envoi de la « mission 5 » au Yunnan
- La capitulation japonaise du 15 août et ses conséquences
- Situation en Chine
- Conséquences sur le conflit entre communistes et nationalistes et en Indochine
- Dernières tentatives de conciliation américaines entre communistes et nationalistes
- Proclamation de la République Démocratique du Vietnam et ses conséquences en Chine
Chapitre IX. Évolution de la situation des agents et des intérêts français jusqu’à la fin de la guerre
- Les agents de Chine piégés par la guerre du Pacifique
- Suppression des congés et changements de postes fréquents
- De nouveaux moyens de recrutement sont mis en place en Chine occupée et parallèlement à Alger
- L’épuration ne touche pas les agents de Chine
- La vie quotidienne dans les différents postes
- Pékin relativement épargné
- Situation délicate à Shanghai et dans les autres postes
- Renouvellement du personnel en 1945 et maintien des intérêts français
- Roland de Margerie demande la relève de son personnel
- Malgré les années de guerre, subsistance des œuvres et des intérêts français
Troisième partie. 1946-1953 : La fin d’un siècle de présence française en Chine
Chapitre X. Le traité du 28 février 1946 et ses conséquences en Chine et Indochine
- Renouvellement du personnel diplomatique et consulaire
- Le nouvel ambassadeur et le rappel des agents en poste sous l’occupation japonaise
- Retour en Chine d’anciens agents et arrivée d’agents du cadre complémentaire
- Le traité du 28 février 1946
- Les préliminaires
- Les négociations du général Salan et de l’ambassadeur Jacques Meyrier
- Après le retour de Salan en Indochine, le général Leclerc exige la conclusion rapide du traité
- La rétrocession des concessions et les clauses relatives aux Chinois en Indochine
- Les négociations des états-majors du 1er mars et leurs conséquences : ambiguïtés du traité du 28 février
- La mission du général Juin et la dégradation de la situation en Indochine
- Mission du général Juin (15-24 avril) et ratification des accords du 28 février
- Dégradation de la situation en Indochine et conséquences en Chine
- Difficultés pour la mise en œuvre du traité du 28 février
- Mise en place des Commissions
- Année 1947 : multiplication des difficultés et échec des Commissions de liquidation, sauf à Hankou et Canton
- Avancée des communistes
Chapitre XI. Évolution des postes jusqu’à la fin de l’année 1948
- La réorganisation de 1946-1947
- La mission de Paul Viaud et la suppression des petits postes
- Maintien des postes les plus importants, rétablissement de celui de Hong Kong
- Réformes administratives (rôle des agents, congés et statuts)
- L’ambassade et le consulat de Nankin et le bureau de Pékin
- Nankin
- Le Bureau consulaire de l’ambassade de France à Pékin (Peiping depuis 1930)
- Les consulats généraux
- Shanghai
- La ville et le consulat en 1946
- Jean Filliol novembre 1945-mars 1946
- Jacques Baeyens mars 1946-juin 1947
- Gérance de Gabriel Van Laethem juin 1947-février 1948
- Pierre Bouffanais février 1948-octobre 1949
- Yunnanfou-Kunming
- Pierre Bouffanais fin octobre 1945-février 1948
- Emile de Curton janvier 1948
- Les consulats de 1re classe, Tianjin, Hankou, Canton
- Tianjin : Joseph Siguret
- Hankou : Cyril Lebas de Plumetot, Charles de Dianous et Léon Jankélévitch
- Canton : Paul Viaud
- Les consulats de 2e classe
- Mukden-Shenyang : Albert Dahoui
- Chongqing : Victor Revelli
- Chengdu : Ernest Auvynet
- Longzhou : Jean-Baptiste Georges-Picot puis Henri Brionval
- Situation au seuil de l’année 1949
Chapitre XII. 1949-1953 « Le peuple chinois est debout, il ne sera plus jamais humilié » (Mao Zedong) : la victoire des communistes et la fin de la présence française en Chine
- L’épopée communiste : la marche vers la victoire
- Après la Chine centrale, prise de Tianjin et Pékin et les dernières tentatives de négociation, janvier-avril 1949
- Prise de Nankin, Hankou, Shanghai, Longzhou et des villes du Hunan, 24 avril-août 1949
- Octobre 1949 : Mise en place du gouvernement communiste, départ de l’ambassadeur Jacques Meyrier et d’autres agents
- Prise de Canton, Chongqing et des villes du Guangxi jusqu’au Tibet : octobre 1949-mai 1951
- Les atermoiements du gouvernement français : faut-il reconnaître ou non le gouvernement communiste ?
- Pression des diplomates et consuls français en Chine en faveur de la reconnaissance
- Attitude de la Grande Bretagne et des États-Unis, craintes du gouvernement français
- Les deux blocs face à face
- Alliance de la Chine avec l’URSS et mise en place des nouvelles réforme
- Alignement de la France sur la politique des États-Unis
- Début de la politique d’élimination des étrangers : les autorités communistes prennent possession des propriétés françaises
- Contrôle des étrangers et début de confiscation des biens français
- Juillet-octobre 1950, fermeture des consulats de Hankou, Mukden, Chongqing et Longzhou
- Fin 1950-fin 1953 : Liquidation des derniers postes et expulsion des consuls
- Menaces sur les derniers consulats et suppression des institutions culturelles françaises
- 1951 : après Kunming, fermeture des derniers postes, Shanghai, Nankin, Hankou et Tianjin
- Les derniers jours de Léon Jankélévitch à Pékin
Archives du ministère des affaires étrangères
Sources et bibliographie
- Correspondance Politique et Commerciale, série E Asie 1918-1940, sous-série Chine (code 32CPCOM)
- 1°) janvier 1918-juin 1922
- 2°) juillet 1922-décembre 1929
- 3°) 1930-1940
- 4°) Relations commerciales 1918-1940 (code 84-RC)
- Guerre 1939-1945
- 1°) Guerre 1939-1945 Vichy E-Asie 1940-1944 (cote 3GMII)
- 2°) Guerre 1939-1945 Londres-Alger CNF 1940-1944 (cote 18GMII)
- Asie-Océanie 1944-1972, sous-série Chine
- 1°) 1944-1955
- 2°) 1956-1967
- Papiers d’Agents Archives privées PAAP
- Service historique du ministère de la défense
- Témoignages