Remerciements

1Cet ouvrage n’aurait pu voir le jour sans un certain nombre de personnes et d’institutions. Il fait suite à la journée d’études « Jean-Joseph-Louis Graslin : économie et ‘urbanisme’au temps des Lumières » organisée le 30 juin 2005 à l’UFR de sciences économiques et de gestion de Nantes, sous l’égide du Laboratoire d’Economie de Nantes (LEN, Université de Nantes, EA 2154) et du laboratoire Droit et Changement Social (DCS, Université de Nantes, UMR-CNRS 3128). Le livre reprend et développe les communications de ses participants, mais propose également plusieurs travaux nouveaux, qui n’avait pas fait l’objet d’une présentation en 2005. Nous remercions donc tous les participants de cette journée, y compris Dominique Gaurier pour sa communication non publiée. Nos remerciements s’adressent aussi aux présidents de séances, Denis Bouget, professeur à l’Université de Nantes et alors directeur de la Maison des sciences de l’Homme Ange-Gépin de Nantes et Daniel Rabreau, professeur à l’Université de Paris I et directeur du Centre Ledoux, ainsi qu’Olivier Ménard, vice-président de l’université de Nantes, soutien financier de cette journée, qui introduisit la manifestation par une belle présentation de Graslin dans son époque, au doyen Bruno Henriet qui nous a chaleureusement accueilli dans ses locaux, aux équipes des deux laboratoires et notamment de Jean-Pierre Le Crom, alors directeur de DCS dont le soutien s’est poursuivi lors de la rédaction de ce volume, et enfin du Pôle d’Histoire de la Pensée et des Représentations Economiques (PHARE, Université Paris I, EA 3934).

2L’ouvrage lui-même bénéficie de l’aide de l’université de Nantes dans le cadre de l’accord avec les Presses universitaires de Rennes, dont le directeur Pierre Corbel nous a manifesté un soutien immédiat et permanent, de même que nous avons bénéficié de l’aide et des conseils constants et amicaux de Jean-François Caraës, conservateur en chef du Patrimoine aux Archives départementales de Loire-Atlantique, du soutien attentif de Yannick Guin, conseiller municipal à l’enseignement supérieur et à la recherche et de Pascal Bolo, adjoint au maire, et tout particulièrement de l’intérêt personnel que Jean-Marc Ayrault, député maire, a manifesté pour ce projet et qui se traduit par un soutien de la Ville de Nantes à sa publication.

3Nous sommes évidemment très redevables aux Directeurs et Directrices des différents musées qui nous ont autorisé à nous procurer et utiliser les ressources documentaires de leurs fonds : Jacques Santrot, au Musée départemental Dobrée, Philippe Charon et son adjoint Jean-Francois Caraës aux Archives départementales de Loire-Atlantique, Bertrand Guillet, au Musée du château des ducs et de l’histoire de Nantes, Véronique Guitton, aux Archives municipales de Nantes et Blandine Chavanne au Musée des Beaux-Arts de Nantes. Et, dans la collecte de cette documentation, nous voudrions remercier chaleureusement pour leur accueil et leur efficacité à nous fournir ce dont nous avions besoin, les personnels des services photographiques de ces musées et tout particulièrement Muriel Biron au Musée départemental Dobrée, Philippe Jean aux Archives municipales de Nantes, Martine Robert et Cécile Clos au Musée des Beaux-Arts de Nantes, Noël Le Brazidec au Musée du château des ducs de Bretagne et d’Histoire de Nantes, ainsi que les personnels chargés du Patrimoine à la Bibliothèque municipale de Nantes, Isabelle Brohan au service des cimetières de Nantes, et Régis Vasseur, régisseur du Théâtre Graslin, qui nous en a aimablement et largement ouvert les portes.

4Pour notre connaissance de la vie et des réalisations de notre personnage, nous avons été particulièrement heureux de pouvoir bénéficier des informations précieuses et des documents qu’ont pu nous apporter MM. François Caillou et Christophe Maillard, docteurs en histoire moderne, MM. Jean Ardeois, ancien maire, et Luc Bioret de Lavau, Mesdames Solange et Geneviève Rousteau, descendantes des derniers propriétaires de l’ancien Hôtel de France, et plusieurs des descendants retrouvés de J.-J.-L. Graslin, Mesdames Anne Doré-Graslin, Hélène de Vallois et Marie-France de La Robrie, et M. Hubert de Vallois, que nous remercions tous très sincèrement.

5Enfin, dans notre travail de préparation de cet ouvrage, nous sommes particulièrement reconnaissants à Gilbert Faccarello pour la transcription et la mise en forme de la dissertation de Graslin que nous reproduisons en annexe, et pour leurs conseils avisés dans le choix de la documentation iconographique, à Françoise Lelièvre, à l’Inventaire général des Pays-de-la-Loire, et à Gilles Bienvenu dans son aide constante. Pour leur travail sur les documents et reproductions photographiques, dont nous n’aurions pu nous passer, nous remercions également Pascal Mahé, au service photographique de l’université de Nantes, et Samuel Rajalu et Pénélope Haas. Enfin, nous n’oublions pas l’aide constante que nous ont apportée Rachel Rajalu, Véronique Perret-Moussart et Benoit Gromellon dans le traitement des textes et des cahiers d’illustrations.

6Septembre 2008