Louis Guilloux et le journalisme, une écriture à l’encre sympathique1
p. 327-341
Extrait
1Une évidence. Ou, plutôt, une double évidence bien partagée par les spécialistes de Louis Guilloux. Le journalisme constituerait l’antichambre du futur auteur de La Maison du peuple (1927), une activité alimentaire lui permettant au mieux d’éprouver un peu plus son écriture en devenir. Son aventure parisienne commence, en effet, en 1918 par quelques mois à Arts et lettres et à la Revue mondiale. Il y offre des échos, de même qu’il s’occupe de mises sous plis ou de l’écriture des adresses des abonnés [Loisel, 1998 : 53]. Quatre ans plus tard, à sa troisième tentative parisienne, il est embauché dans ce grand quotidien parisien, L’Intransigeant, auquel il donnait aussi auparavant quelques échos. Dans ses archives, sa carte de rédacteur est bien là, témoignant de son passé. Quand un anniversaire le permet, elle peut être reproduite dans les opuscules célébrant l’écrivain, le tampon et la signature du Directeur de l’organe de presse en renforçant l’officialité [Denis, 1999 : 19].
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