1 Expression employée dans Le Jeu de patience, I, p. 354.
2 Baudorre P., « Louis Guilloux et la revue Monde », Louis Guilloux écrivain, in Dugast-Portes F. et Gontard M. (dir.), Presses universitaires de Rennes, coll « Interférences », 2000, p. 69-87.
3 « Les articles qu’on va lire étaient brillants, le jour où ils parurent. Mais je n’aime guère les papillons morts. », préface du Bâillon dénoué (1945), in Journal, Mémoires politiques, Laffont, coll. « Bouquins », 2008, p. 532.
4 Le 20 avril 1937 Mauriac écrivait à André Rousseaux qui venait de rendre compte de la parution du Journal dans Le Figaro : « J’ai cru ramasser une brouette de feuilles mortes, et vous en parlez comme si elles étaient vivantes… Elles l’étaient du moins pendant que vous les lisiez », Nouvelles lettres d’une vie, Grasset, 1989, p. 190.
5 Louis Guilloux, l’ambition du romancier, de La Maison du peuple au Sang noir, thèse soutenue à l’université Rennes 2 le 5 décembre 2008 sous la direction de Michèle Touret.
6 Sylvie Golvet, Louis Guilloux : devenir romancier, coll. « Interférences », Presses universitaires de Rennes, 2010. On peut également renvoyer à la bibliographie moins complète mais riche publiée par la Société des Amis de Louis Guilloux dans les Cahiers louis Guilloux no 1, Éditions Folle Avoine, Sant-Brieuc, 2004.
7 Histoires de brigands, suivi d’une préface inédite de l’auteur avec Jean Paulhan, préface de Michèle Touret, Nantes, Passeur Cecofop, 2002, p. 47-48.
8 Il s’agit de Dossier confidentiel.
9 Présentation semblable pour « La promenade de Firmin Laroche » dans Combat du 26 octobre 1949, alors que Le Jeu de patience est déjà paru.
10 Dont un jamais répertorié, « Une chance », le 20 octobre 1921.
11 Bruno Demonsais, Gavroche : un hebdomadaire culturel socialiste de la Résistance à la guerre froide, L’Harmattan, 2006.
12 Cf. Pierre Gremion, Preuves, une revue européenne à Paris (Anthologie), Paris, Julliard/Commentaire, 1989 et Benjamin Achab, « La revue Preuves (1951-1974) : l’expression d’une intelligentsia dans le champ anticommuniste », Labyrinthe, 7/2000, http://labyrinthe.revues.org/index733.html.
13 Cf. « Microrécits médiatiques », Études françaises, vol. 44, no 3, 2008.
14 Sur le mode du Jean Frollo du Petit Parisien.
15 Floréal, 1er mai 1922.
16 Floréal, 20 mai 1922.
17 1893/1961. Il dessine pour Excelsior Dimanche. Il produisit en 1947, dans France-Soir une adaptation des Mystères de Paris d’Eugène Sue, en cent soixante et une bandes.
18 « Un dimanche à Saint-Ouen », Floréal, 18 novembre 1922.
19 Il est intéressant de le voir utiliser ce mot dès 1922. Pour l’étude du genre, cf. B. Curatolo et A. Schaffner, La Chronique journalistique des écrivains, Presses universitaires de Dijon, coll. « Écritures », 2010, et plus particulièrement la contribution de M. Touret, « Louis Guilloux, chroniqueur et la vie comme elle va », p. 155-166.
20 « Choses vues chez les sans-patrie », Preuves, avril et mai 1962.
21 Journaliste spécialisée qui écrit alors régulièrement dans Cinéa ou Ciné pour tous.
22 Floréal, 15 avril 1922.
23 « La vie des rêves », Floréal, 12 août 1922.
24 Guilloux renvoie ici à un passage d’un article que Julien Benda a consacré quelques mois auparavant à Abel Hermant dans la NRF de mars 1922, p 272 : « En lisant le brillant romancier, je pense souvent que les romantiques ont tout de même apporté quelque chose et me surprendrais parfois à devenir belphégorien – si je ne l’étais déjà. »
25 Même si Gallica a considérablement facilité notre accès aux textes de presse.
26 Cf. la correspondance avec Paulhan reproduite par Michèle Touret, op. cit., pp. 208-212.
27 Édition Quarto, op. cit., p. 1064.
28 Op. cit., p. 155.
29 Comoedia, 10 janvier 1942.
30 Thèse, p. 271.
31 L’instituteur désigné sous le nom du « Père Cocu » dans La Bretagne deviendra dans le volume le Père Coco.
32 Information donnée par Loisel p. 173.
33 Je renvoie à Numériser et mettre en ligne, sous la direction de Thierry Claerr et Isabelle Westeel, Presses de l’ENSSIB, 2010.
34 Même si Marcel Martinet et Victor Serge ont déjà amorcé le débat. Mais L’Ascension de Lucien Bourgois ne paraît qu’en 1925.
35 Louis Guilloux, « Aubervilliers d’à présent », Floréal, 28 octobre 1922.
36 Interviennent Eugène Dabit, Jean Cassou, Georges Besson.
37 Henri-René Lenormand, Tristan Rémy, Jacques Chabannes, Stefan Priacel.
38 Henry Sauveplane, Charles Koechlin.
39 Mais sans titulaire régulier ; y interviennent Pierre Unik, Jean Fréville, Aragon, Paul Nizan, etc.
40 Il s’agit des élections législatives du 2 janvier 1956.
41 Depuis le mois de juillet 1955 Koestler travaille au texte qui sera publié en 1956 en Angleterre sous le titre Reflections on hanging, et en France l’année suivante, associé aux Réflexions sur la guillotine d’Albert Camus.
42 Titre en référence à Guéhenno et par lui à Renan, deux noms qui ne sont pas indifférents à Guilloux.
43 Vipère au poing a paru en 1948.
44 Cf. le témoignage de Jean Daniel in Le Temps qui reste, Paris, Gallimard, 1984, p. 34, cité par Corinne Renou in « Caliban, une revue de vulgarisation culturelle », Vingtième siècle, Revue d’histoire, no 40, octobre-décembre 1993, p77.
45 Ibid. p. 78.
46 « Avez-vous lu Guilloux ? », Caliban, décembre 1949.
47 « Il faut l’avoir lu », Caliban, mai 1950.
48 Guilloux note en 1930 dans ses carnets : « Apprendre à dessiner. Si je pouvais me promener avec un carnet de croquis comme les peintres. » (C, p. 82-83).
49 15 août 1909 – 19 avril 2002, illustrateur dans France-Soir du feuilleton pendant plus de trente ans, décorateur de théâtre notamment pour Robert Hossein et peintre.
50 Illustrateur de livre, notamment pour la jeunesse, mais aussi d’œuvres de Kessel ou Simenon, chez Hachette, Julliard et d’autres éditeurs.
51 André Hofer (1891-1973), peintre et illustrateur, a beaucoup travaillé dans les années 1940-1950 pour des journaux tels que Les Nouvelles Littéraires, Le Hérisson, L’Intransigeant, La Presse. Ses dessins accompagnaient des articles historiques, des romans en feuilletons ou l’actualité cinématographique.
52 Illustrateur régulier du Figaro littéraire, cf.www.elie-grekoff.com
53 Maurice Mendjizki, (Łódź, 1890 – Saint-Paul de Vence, 1951).