Le Pain des rêves (1942)1 : enfance vécue, enfance rêvée
p. 219-230
Extrait
1Cette communication a pour but de réparer un oubli qui est aussi un peu une injustice. Dans la chronologie, certes indicative et bien lacunaire, qui clôt le volume intitulé, L’Ère du récit d’enfance, publié en 2005 aux Presses Universitaires d’Artois, le Pain des rêves ne figure pas. À ma décharge, La Maison du peuple y est bien à sa place, en 1927, grâce à Bruno Curatolo qui en parlait dans son intervention et qui malheureusement ne parle pas du Pain des rêves. Quant à L’Herbe d’oubli, texte inachevé qui poursuit l’entreprise d’écriture autobiographique chez Guilloux, son nom dit suffisamment qu’il était destiné à être oublié par moi et par les autres contributeurs du colloque sur le récit d’enfance.
2Je propose donc ici de revenir sur ce texte pour réparer cette fâcheuse omission. Je montrerai d’abord comment Le Pain des rêves s’inscrit dans la catégorie du récit d’enfance, en revenant sur les difficultés qui s’attachent à la définition de la catégorie. J’examinerai ensuite,
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