Michel ou de l’éducation
p. 79-88
Extrait
1Intituler un propos sur Michel Tournier : « Michel ou de l’éducation », c’est, à l’évidence, faire allusion à l’ouvrage de J.-J. Rousseau, « Émile ou de l’éducation ». Le rapprochement entre les deux textes s’arrête là. Émile est, au XVIIIe siècle, l’aboutissement d’un projet double, à la fois roman par son titre, traité d’éducation par son sous-titre. Farci de propositions remarquablement modernes (et dérangeantes) pour son temps, il recèle quantité de paradoxes et d’absurdités : « Comment cet homme a-t-il pu concilier tant de génie et tant de folie ? », se demande Jean Louis Lecercle dans son texte d’introduction à l’Émile1. Restons-en là. Il ne s’agit pas ici de comparer les idées de Rousseau et de Tournier en matière d’éducation.
2Une foule de communications, d’articles, de thèses, d’ouvrages ont été et sont toujours consacrés à l’œuvre de Michel Tournier, dans le monde. C’est dire si Tournier a créé une communauté de lecteurs qui dépasse les frontières de l’hexagone, et s
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