Les auteurs
p. 221-223
Texte intégral
Les auteurs
1Christian Accaoui est professeur d’Esthétique musicale au Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris depuis 2001 et maître de conférences à l’université de Paris 8 depuis 1995. Il a publié Le Temps musical (Desclée de Brouwer) et les Éléments d’esthétique musicale (Actes-Sud/Éditions de la Cité de la musique).
2Florence Fabre est maître de conférences en musique à l’université d’Artois/ESPE Nord-Pas de Calais. Ses travaux concernent surtout le rapport des philosophes à la musique. Elle a publié La Musique et son ombre. Nietzsche musicien (PUR, 2006), Philosophie de la musique. Imitation, sens, forme, en collaboration avec Robert Muller (Vrin, 2013) et Avec George Steiner, les chemins de la culture (actes du colloque de Nantes, Albin Michel, 2010).
3Arne Herman est détenteur d’un diplôme de master en musicologie à l’université de Leuven (2012-2013). Il poursuit une formation de clarinettiste à l’institut Lemmens ainsi que des études en philosophie. Il prépare simultanément une thèse de doctorat dans le domaine du discours musico-esthétique au XIXe siècle, avec une focalisation particulière sur l’opéra. Parallèlement à ses études en musicologie et au conservatoire, il a été stagiaire au service dramaturgique de l’opéra de Flandres (Anvers-Gand), où il a été chargé de contributions écrites et de présentations.
4Léo Larbi a réalisé un mémoire de master 1 et un mémoire de master 2, tous deux à l’université Paris 8 Saint-Denis – Vincennes, intitulé, pour le premier, Devenirs et événements musicaux dans le Second Quatuor à cordes d’Elliott Carter et, pour le deuxième, Les échos du labyrinthe, étude du Second Quatuor à cordes de Brian Ferneyhough. Il est actuellement doctorant contractuel dans la même université et prépare une thèse de doctorat, depuis octobre 2012, sous la direction de M. Jean-Paul Olive, intitulée Elliott Carter, György Ligeti, Brian Ferneyhough : Le figural confronté au temps musical.
5Florence Lethurgez est maître de conférences (sciences de l’information et de la communication), IRSIC, EA 4262 (Institut de recherche en sciences de l’information et de la communication), Aix-Marseille Université, IUT d’Aix-Marseille, département information-communication, option métiers du livre et du patrimoine. Ses axes de recherches portent sur la sociologie des institutions culturelles et des publics, la sociologie de la musique et plus particulièrement ses formes renouvelées de médiation. Son insertion dans un département Métiers du Livre la conduit à travailler sur le « devenir numérique » de la bibliothèque et de la librairie.
6Victoria Llort Llopart est docteure en histoire de la musique et musicologie de l’université Paris-Sorbonne et docteure en humanités de l’université Carlos III de Madrid. Ses recherches portent sur l’esthétique et les rapports entre musique, peinture et littérature aux XVIIIe et XIXe siècles. Parmi ses publications figurent les ouvrages Regards croisés des arts : essai d’esthétique comparée (L’Harmattan, 2009), À l’écoute de Chopin. Témoignages (Æedam musicæ, sous presse). Elle a par ailleurs écrit une biographie de Liszt ainsi qu’un essai sur la méthodologie du comparatisme artistique en espagnol et traduit en cette langue divers écrits sur la musique de Berlioz, Liszt, Wagner et Gide. Elle est actuellement chargée d’enseignement à l’UFR de musique et musicologie à l’université de Paris-Sorbonne.
7Annie Riel est étudiante en troisième année de doctorat en Études françaises à l’université Queen’s, à Kingston au Canada. Boursière du Conseil de recherche en sciences humaines du Canada (CRSH), elle travaille sous la direction de Catherine Dhavernas. Ses recherches portent sur les relations interartielles – plus précisément entre littérature, musique et cinéma – et sur les rapports entre signification et abstraction, l’indicible et les questions identitaires. Elle a déjà publié des nouvelles dans XYZ. La Revue de la nouvelle et participé à des colloques dans lesquels elle a présenté ses recherches sur la musicalité dans l’œuvre de Huston.
8Marion Roussel est architecte diplômée d’État de l’École nationale supérieure d’architecture de Normandie et titulaire d’un diplôme de post-master « Architecture et Philosophie » obtenu à l’ENSA Paris-La Villette. Elle prépare actuellement une thèse de doctorat sous la direction de Chris Younès au sein du Groupe d’Étude et de Recherche Philosophie, Architecture, Urbain (Gerphau, ENSA Paris-La Villette/université Paris 8). Ses recherches portent sur les imaginaires d’un devenir autre de l’homme, étrange ou étranger (Unheimlich) dans l’architecture numérique, et plus particulièrement dans l’œuvre de l’architecteMarcos Novak. Elle fait également partie du comité de direction de la plateforme de publication en ligne DNArchi.fr.
9Marcin Stawiarski est maître de conférences à l’université de Caen Basse-Normandie (ERIBIA, E.A. 2610). Son domaine de spécialité concerne l’inscription de la musique en littérature et tout particulièrement la question de la temporalité en musique et en littérature. Il s’intéresse également aux problématiques narratologiques liées à l’intermédialité dans le roman anglophone du XXe siècle. Il a soutenu sa thèse de doctorat à l’université de Poitiers en 2007 (Dynamiques temporelles de la musique dans le roman anglophone du XX siècle : Conrad Aiken, Anthony Burgess, Gabriel Josipovici).
10Inès Taillandier-Guittard est docteure en musicologie et agrégée. Ancienne élève de l’ENS de Lyon et du CNSMDP, elle enseigne actuellement la musicologie à l’université d’Évry, ainsi qu’en classe préparatoire littéraire au lycée Corot de Savigny-sur-Orge. Ses recherches portent sur l’interprétation, comprise à la fois comme herméneutique et comme pratique.
11Grégoire Tosser est agrégé de musique et docteur en musicologie. Il enseigne la musicologie à l’université d’Évry-Val-d’Essonne et en classe préparatoire littéraire au lycée Corot de Savigny-sur-Orge. Son travail de recherche et ses publications concernent principalement les musiques américaine, russe et hongroise des XXe et XXIe siècles. Participant régulièrement à des activités pour la Cité de la musique, le CDMC et l’IRCAM, il a notamment publié un essai sur Les dernières œuvres de Dimitri Chostakovitch : une esthétique musicale de la mort (L’Harmattan, 2000) et co-dirigé un ouvrage collectif intitulé Ligatures : la pensée musicale de György Kurtág (Presses Universitaires de Rennes, 2009).
12Noëmie Vermoesen est doctorante en littérature comparée à l’université Rennes 2, sous la direction de M. Timothée Picard (CELLAM/IUF). Elle rédige actuellement une thèse sur la critique des musiques électroniques dansantes. Ses recherches portent sur la culture club, les musiques populaires et la critique musicale.
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