1 Baldwin J. W., « Studium et Regnum : the penetration of university personnel into French and English administration at the turn of the XIIth and XIIIth Centuries », Revue des études islamiques, no 44, 1976, p. 199-211 ; Turner R. V., Men Raised from the Dust. Administrative Service and Upward Mobility in Angevin England, Philadelphie, University of Pennsylvania Press, 1988.
2 Eyton R. W., Court, Household, and Itinerary of King Henry II : instancing also the chief agents and adversaries of the king in his government, diplomacy, and strategy, Londres, E. Arnold, 1878 ; Türk E., Nugae curialium. Le règne d’Henri II Plantegenêt (1145-1189) et l’éthique politique, Genève, Droz, « Hautes études médiévales et modernes, 28 », 1977 ; Aurell M. (dir.), op. cit., 2000 ; Billoré M., op. cit. dactyl., 2005 ; Vincent N., « Les Normands de l’entourage d’Henri II Plantagenêt », Bouet P. et Gazeau V. (dir.), op. cit., 2003, p. 75-88.
3 Türk E., op. cit., 1977 ; Vincent N., « The Court of Henry II », Vincent N. et Harper-Bill C. (dir.), op. cit., 2007, p. 278-334.
4 Renoux A., Le Palais des ducs de Normandie à Fécamp : bilan récent des fouilles en cours, Paris, De Broccard, 1982 ; Renoux A. (dir.), Palais royaux et princiers au Moyen Âge. Actes du colloque international tenu au Mans les 6-7 et 8 octobre 1994, Le Mans, Publications de l’université du Maine, 1996 ; Renoux A. (dir.), Aux marches du palais : qu’est-ce-qu’un palais médiéval ? Données historiques et archéologiques. Actes du VIIe Congrès international d’archéologie médiévale, Le Mans-Mayenne, 9-11 septembre 1999, Le Mans, Publications de l’université du Maine, 2001.
5 Une version plus développée de cette partie se trouve dans Madeline F., « Itinéraires royaux, spatialisation du pouvoir et pensée politique de l’espace dans le monde anglo-normand et Plantagenêt. Propositions cartographiques pour l’étude des modes de gouvernement à l’époque féodale », Penser les mondes normands médiévaux. Actes du colloque de Cerisy (29 septembre-2 octobre 2011), Bates D. et Bauduin P. (dir.), Caen, Publications universitaire de Caen, à paraître.
6 Guyotjeannin O., « Résidences et palais des premiers Capétiens en Ile-de-France », Chapelot J. (dir.), op. cit., 1996, p. 123-136 ; Keefe T. K., « Place-Date distribution of royal charters and the historical geography of patronage strategies at the court of King Henry II Plantagenet », HSJ, no 2, 1990, p. 179-188.
7 Vincent N., art. cit., 2004, p. 18-48 ; Vincent N., art. cit., 2003, p. 75-88 (p. 81).
8 Hudson, J., op. cit., 1994, p. 206.
9 Itinéraire réalisé par Judith A. Everard, dans les Acta Plantagenets, introduction, à paraîre.
10 Le Patourel J. H., op. cit., 1984 ; Keefe T. K., art. cit., 1990, p. 179-188.
11 Waters C. M., « Power and authority », Salih S. (dir.), A Companion to Middle English Hagiography, Woodbridge, Boydell and Brewer, 2006, p. 70-86.
12 Thomas H. M., The English and the Normans. Ethnic Hostility, Assimilation and Identity, 1066-c. 12, Oxford, Oxford University Press, 2003.
13 Chauou A., L’idéologie Plantagenêt : royauté arthurienne et monarchie politique dans l’espace Plantagenêt, XIIe-XIIIe siècles, Rennes, Presses universitaires de Rennes, 2001.
14 Mathieu Paris, Chronica majora, Luard H. R. (éd.), Vaduz, Kraus Reprint, 1964, II, p. 452, Gaude-Ferragu M., D’or et de cendres. La mort et les funérailles des princes dans le royaume de France au bas Moyen Âge, Villeneuve d’Ascq, Presses universitaires du Septentrion, 2005.
15 Draper P. « King John and St Wulfstan », JMH, no 10/1, 1984, p. 41-50.
16 Iogna-Prat, op. cit., 2006, p. 169-172 ; p. 309-312.
17 En revanche la carte produite par Brian Hindle est plus lisible, même si elle ne parvient à intégrer les données quantitatives qu’en se démultipliant. Voir Hinde B. P., Medieval roads and tracks, Risborough Princes, Shire, coll. « Shire archaeology, 26 », 1998.
18 Edwards J. F., The transport system of medieval England, PhD thesis, Salford University, dactyl., 1987 ; Hindle B. P., A Geographical Synthesis of the Road Network of Medieval England and Wales, PhD thesis, Salford University, dactyl., 1973 ; Stenton F. M., « The Road System of Medieval England », The Economic History Review, no 7/1, 1936, p. 1-21 ; Taylor C., Roads and tracks of Britain, Londres, Orion, 1994.
19 Harf-Lancner L., « L’enfer de la cour : la cour d’Henri II Plantagenêt et la Mesnie Hellequin », Contamine P. (dir.), L’État et les aristocraties (France, Angleterre, Écosse XIIe-XVIIe siècle), Paris, Presses de l’ENS, 1989, p. 27-50.
20 Gauthier Map, De nugis curialium/Courtiers’ trifles, Rhode M. J., Brooke C. N. L. et Mynors R. A. B. (éd.), Oxford, Clarendon Press, 1983, IV, 13, p. 370 ; V, 6, p. 476.
21 Sur ce point voir Warren W. L., op. cit., 1997, p. 278-285.
22 Robert Wace, Le Roman de Rou, Paris, Picard, coll. « Société des anciens textes français », 1970-1974, v. 70-73.
23 Bartlett R. J., England under the Norman and Angevin kings 1075-1225, Oxford, Clarendon Press, coll. « The new Oxford history of England », 2000, p. 136, cite Reinke M., « Die Reusegeschwindigkeit des deutschen Köningshofes im 11 und 12 Jahrhundert nördlich der Alpes », Blätter für deutsche Landesgeschichte, Göttingen, Aisch Schmidt in Komm, 1937, p. 225-251.
24 Hindle B. P., op. cit., 1998, p. 21, révise les données de Hardy T. D., « Itinerarium Johannis Regis Angliae. A Table of the Movements of the Court of John King of England, from his Coronation, to the end of his Reign », Archaeologia, no 22, 1829, p. 124-160, dont les calculs des trajets de 35 à 40 miles (55 à 65 km) par jour voire 50 miles (80 km), un résultat qui paraissait déjà à T.D. Hardy « almost incredible » (p. 125) ; Billoré M., op. cit., dactyl., 2005, p. 446.
25 Torigni I, p. 330 : « Henri II, apprenant la nouvelle, partit en toute hâte, sans attendre les siens. »
26 Billoré M., op. cit., dactyl. 2005, p. 447.
27 Harf-Lancner L., art. cit., 1989, p. 27-50.
28 Epistola 14 de Pierre de Blois dans PL, CCVII, col. 44, cité et traduit par Harf-Lancner L., art. cit., 1989, p. 27-50 (p. 40).
29 Billoré M., op. cit., dactyl., 2005, p. 451.
30 PR 6 H. II, p. 54. (1160), « 100 mesures de froment, 10 de sel, 30 de jambon et 11 poids de fromage pour approvisionner le château de Douvres ».
31 PR 22 H. II, p. 186, 199, 212.
32 Schöder S., Macht und Gabe. Materielle Kultur am Hof Heinrichs II von England, Husum, Matthiesen Verlag, 2004, p. 174-204.
33 PR 3 R. I, p. 136. En 1191, Guillaume de Longchamp, ordonne que des tentes et des catapultes soient conduites de Londres à Lincoln pour assiéger le château des comtes de Chester.
34 PR 9 H. II, p. 72 ; 23 H. II, p. 198 ; 34 H. II, p. 67.
35 PR 2 H. II, p. 4 ; PR 13 H. II, p. 1.
36 Bartlett R., op. cit., 2000, p. 137.
37 Schöder S., op. cit., 2004, p. 271-278.
38 PR 23 H. II, p. 198 : ainsi en 1177, 32 £ 14 s. 5 d. sont dépensées pour l’acquisition de « 100 brasses d’escarlate rouge, et 12 autres brasses d’escarlate de Perse, 20 pelisses de vair, 10 manteaux de fourrure de bête sauvage, 10 manteaux de vair, une plume d’oiseau, une plume grise, 2 pelisses de petit gris, 21 fourrures de zibelines pour voyager, pour des serpillières et des cordes ». Pour une description précise de l’approvisionnement de la cour en textile voir Schöder S., op. cit., 2004, p. 205-243.
39 PR 32 H. II, p. 198.
40 PR 30 H. II, p. 135.
41 PR 29 H. II, p. 161 ; PR 12 H. II, p. 130 ; PR 24 H. II., p. 128 : S’agit-il de « la femme de Brichterm de Haverell », qui apparaît dès 1166 pour faire l’orfroi sur les capes du roi ?
42 PR 13 H. II, p. 2 ; PR 21 H. II, p. 19.
43 Lehmann-Brockhaus O., Lateinische Schriftquellen zur Kunst in England, Wales und Schottland, vom Jahre 901 bis zum Jahre 1307, Munich, Prestel, coll. « Veröffentlichungen des Zentralinstituts für Kunstgeschichte in München, I », 1955-1960, p. 1 98, no 6574 : Ocreis sine plica, pileis sine fastu, et vestibus utitur expeditis.
44 Boucheron P. et al., art. cit., 2006, p. 1-43.
45 Bates D., art. cit., 1993, p. 1-11 ; Haskins C. H., op. cit. 1918, p. 94-100.
46 Power D., « Henry, duke of the Normans (1149/50-1189) », Vincent N. et Harper-Bill C., op. cit., p. 85-128.
47 Boussard J., op. cit., 1932, p. 20 ; Rot. Lit. Claus. I. 1204-1224, p. 75.
48 Brown R. A., « The ‘Treasury’ of the later Twelfth Century », Davies J. C. (dir.), Studies presented to Sir Hilary Jenkinson, Oxford, Oxford University Press, 1957, p. 35-49.
49 PR 18 H. II, p. 84.
50 PR 12, p. 101, Brown R. A., art. cit., 1957, p. 35-49.
51 Jolliffe J. A., « The Chamber and the castle treasures under King John », Hunt R. W. et al. (dir.), Studies in medieval history presented to Frederick Maurice Powicke, Oxford, Clarendon press, 1969, p. 117-142.
52 Genet J.-P., « Londres est-elle une capitale ? », Les villes capitales au Moyen Âge, 2006, p. 155-184.
53 Sabatier G., « Le palais d’État en Europe, de la Renaissance au Grand Siècle », Auzépy M.-F. et Cornette J. (dir.), Palais et pouvoir de Constantinople à Versailles, Saint-Denis, Presses Universitaires de Paris VIII, 2003, p. 81-107.
54 On peut rapprocher l’itinérance des Plantagenêts à celle des empereurs allemands ou celle des papes des XIIe et XIIIe siècles, qui sont sans cesse en déplacement pour parcourir les territoires soumis à leur domination. Selon Pierre-Yves Le Pogam en effet, « la stabilité de la résidence avec laquelle l’imaginaire contemporain a associé si fortement le pape […] était inconnue du Moyen Âge ». Le Pogam P.-Y., De la « cité de dieu » au « palais du pape » : les résidences pontificales dans la seconde moitié du XIIIe siècle (1254-1304), Rome, École française de Rome, « BEFRA, 326 », 2005, p. 2.
55 Elias N., La société de cour, Paris, Flammarion « Champs », 1985 ; Chartier R., « Pouvoirs et limites de la représentation. Marin, le discours et l’image », Au bord de la falaise. L’histoire entre certitudes et inquiétude, Paris, Albin Michel, 1998, p. 173-190 ; Marin L., Le portrait du roi, Paris, Éd. de Minuit, « Le Sens commun », 1981.
56 Aurell M. (dir.), op. cit., 2000, p. 42.
57 C’est l’objet de la thèse de Billoré M., op. cit., dactyl., 2005.
58 Biddle M., « Seasonal festivals and residence : Winchester, Westminster and Gloucester in the tenth to twelfth centuries », ANS, vol. VIII, 1986, p. 51-72.
59 Diceto, I, p. 302.
60 Torigni, II, p. 73.
61 Peterborough, I, p. 198.
62 Torigni, II, p. 117 ; Peterborough, I, p. 291.
63 Mathieu Paris, Historia anglorum, Madden F. (éd.), Londres, Longman & Co., « Rerum Britannicarum Medii Aevi Scriptores, 44 », 1866, I, p. 308-309 : « Le roi Henri prenant de ses propres mains la couronne de sa tête, la posa sur l’autel et jura de ne plus la porter par la suite » ; Mathieu Paris, Chronica, II, p. 215.
64 Foreville R., « Le sacre des rois anglo-normands et angevins et le serment du sacre (XIe-XIIe siècle) », ANS, vol. I, 1979, p. 49-62.
65 Hoveden, I, p. 216.
66 Gervais de Cantorbéry, op. cit., 1965, p. 220.
67 Lewis A., op. cit., 1986.
68 Hugues de Fleury, « Tractatus de regia potestae et sacerdotali dignitate », Sackur E. (éd.), Monumenta Germaniae Historica, Libelli de Lite, 1892, II, p. 466-494.
69 Recueil des actes d’Henri II, Introduction, p. 12-32 ; Rot. Chart., p. xvi.
70 Torigni, I, p. 289-90 ; Gervais de Cantorbéry, op. cit., 1965, p. 159-160.
71 Guillaume de Newburgh, op. cit., 1884, I, p. 101 : « Henri, le petit-fils d’Henri le grand par sa fille l’impératrice, après la mort du roi Étienne, traversa la Manche depuis la Normandie pour hériter de ses droits au royaume d’Angleterre. Il fut acclamé par tous et consacré de l’onction mystique royale, et la clameur se répandit à travers l’Angleterre : “Vive le roi !” »
72 Orderic Vital, op. cit., 1986, II, p. 184-185, Thomas H. M., op. cit., 2003, p. 3.
73 Peterbrorough, II, p. 75-76.
74 Meyer P. (éd.) op. cit., 1891-1901, II, p. 11 v. 10436-10450 (1194).
75 Sur ce point, voir notamment Mariot N., Bains de foule. Les voyages présidentiels en province, 1888-2002, Paris, Belin, 2006.
76 Gillingham J., op. cit. 1999, p. 106-107 retranscrit et traduit les vers d’une chanson anonyme à partir du recueil de Page C (dir.), Music for the Lion-hearted King. Music to mark the 800th Anniversary of the Coronation of Richard I of England, Gothic Voices, Hyperion CDA66336, 1989.
77 Kantorowicz E. H., Laudes Regiae. Une étude des acclamations liturgiques et du culte du souverain au Moyen Âge, Paris, Fayard, « Les Quarante piliers », 2004, p. 274.
78 Ibid., p. 269-280.
79 Schramm P. E., op. cit. 1937, p. 29-31.
80 Hoveden, III, p. 9.
81 PR 34 H. II, p. 19 ; Rot. Lib. Mis. Pres. p. 25 et 93.
82 Kantorowicz E. H., op. cit., 2004, p. 276.
83 Hoveden, III, p. 9 ; Peterborough, II, p. 80-84 ; Foreville R., art. cit. 1979, p. 49-62, revient sur les arguments de Richardson H. G., « The Coronation in Medieval England. The Evolution of the Office and the Oath », Traditio, no 16, 1960, p. 111-202. Sur le lien entre les rituels de couronnement et d’adoubement voir aussi Flori J., « Chevalerie et liturgie. Remise des armes et vocabulaire “chevaleresque” dans les sources liturgiques du XIe au XIVe siècle », Le Moyen Âge, no 84/2, 1978, p. 245-278 et 409-442.
84 Foreville R., art. cit., 1979, p. 49-62, résume ainsi le rituel du sacre attesté par les chroniqueurs de la fin du XIIe siècle : 1) electio ou recognitio ; 2) triple serment sur les Evangiles et sur les reliques ; 3) triple onction (tête, poitrine, bras) ; 4) vêture ; 5) ultime adjuration de respecter les serments solennellement émis ; 6) couronnement et remise des insignes royaux ; 7) célébration de la messe dominicale ou festive.
85 Hoveden, III, p. 10.
86 PR 17 H. II, p. 16.
87 Rot. Lit. Pat., 77b ; Vincent N., The Holy Blood : King Henry III and the Westminster Blood Relics, Cambridge, Cambridge University Press, 2001, p. 148, note 35.
88 Vincent, N., op. cit., 2001, p. 148 ; Leyser K., « Frederick Barbarossa, Henry II and the hand of saint James », E.H.R., no 90, 1975, p. 481-506.
89 Hoveden, III. p. 247 (1194) ; Billoré M., op. cit., dactyl., 2005, p. 465-66 : fait remarquer que les sceaux véhiculaient l’ambiguïté de la nature de leur pouvoir en montrant à l’avers la figure de la majesté royale et au revers le cavalier, représentant le prince territorial.
90 Piron S., « Monnaie et majesté royale dans la France du XIVe siècle », Annales. Histoire Sciences Sociales, no 51/2, 1996, p. 325-354.
91 Pastoureau M., « L’État et son image emblématique », Genet J.-P. (dir.), op. cit., 1985, p. 145-153 ; Bedos-Rezak B., Form and order in medieval France studies in social and quantitative sigillography, Aldershot, Variorum, 1993 ; Bony P., « L’image du pouvoir seigneurial dans les sceaux : codification des signes de puissance (fin du XIe début du XIIIe siècle) dans les pays d’oïl », Seigneurs et seigneuries au Moyen Âge. Actes du 117e congrès national des sociétés savantes, Paris, CTHS, 1993, p. 489-524.
92 Bedos-Rezak B., Medieval Identity a Sign and a Concept, Washington, American Historical Association, 2000.
93 Hoveden, IV, p. 90.
94 Roger de Wendover, op. cit., 1965, I, p. 287.
95 Hoveden, IV, p. 139 et 160 ; Roger de Wendover, op. cit., 1965, I, p. 301 et 311.
96 Cole H. (éd.), op. cit., 1844, p. 232.
97 Schramm P. E., op. cit. 1937, p. 32-34, 60-61.
98 Fagnen C., « Le vocabulaire du pouvoir dans les actes de Richard Cœur de Lion duc de Normandie (1189-1199) », Les pouvoirs de commandement jusqu’en 1610. Actes du 105e Congrès national des sociétés savantes, Paris, CTHS, 1984, p. 79-93.
99 Kantorowicz E. H., op. cit., 2000 ; Giesey R. E., Le Roi ne meurt jamais les obsèques royales dans la France de la Renaissance, Paris, Flammarion, « Nouvelle bibliothèque scientifique », 1987 ; Giesey R. E., Cérémonial et puissance souveraine, Paris, A. Colin, « Cahiers des Annales », 1987.
100 Habermas, J., L’espace public. Archéologie de la publicité comme dimension constitutive de la société bourgeoise, Paris, Payot, « Critique de la politique », 1978, p. 20, cité par Cornette J. et Auzépy M., « Lieux de pouvoir, pouvoir des lieux », Auzépy M.-F. et Cornette J. (dir.), op. cit., 2003, p. 5-31, Sur l’usage d’Habermas chez les médiévistes voir : Boucheron P. et Offenstadt, op. cit., 2011.
101 Sabatier G., « Le palais d’État en Europe, de la Renaissance au Grand Siècle », Auzépy M.-F. et Cornette J. (dir.), op. cit., 2003, p. 81-107.