Conclusion
p. 297-303
Texte intégral
1« Arrêtez-le ! », « Haro ! », « À l’aide ! », « tuez-le ! », « Lynchez-le ! », « Justice ! »… sont autant d’appels qui annoncent la clameur publique. Limitée à un groupe restreint ou étendue à une large collectivité, la clameur publique a tout d’abord les allures d’un cri bref, lancé dans l’espace public. Mais les contributeurs du présent volume ont tous montré, en fonction de l’entrée retenue, de la période étudiée et de la situation examinée, que la clameur ne pouvait se limiter à un simple signal sonore, même si elle se doit d’être audible. Dans l’espace public, il faut élever la voix afin que la parole puisse porter et être entendue. La clameur, insérée dans des systèmes sensoriels, située dans un contexte émotionnel, donne du sens aux sociétés d’interconnaissances et mobilise les imaginaires sociaux.
2Toutefois, elle apparaît d’abord comme un objet éphémère, dont il faut saisir la volatilité. Elle peut prendre la forme d’une rumeur, être proclamée par un personnage accrédité comme le héraut médiéval, scandée et reprise par une foule, voire transposée pour être restituée à destination d’un public beaucoup plus vaste, par la plume d’un observateur de l’époque romaine ou d’un journaliste de la Belle Époque. Il convenait donc d’être sensible aux mots et expressions tels qu’ils ont été fixés et rapportés pour retrouver le langage de la clameur et l’éventail des émotions suscitées. À la protestation bruyante s’oppose parfois la clameur assourdie ou muette. Dans bien des cas, les demandes, pourtant renouvelées, ne sont pas entendues ou bien ne peuvent être formulées, en particulier dans certains lieux, le foyer domestique ou bien la prison. Pour que la sonorité des violences faites au corps, par des coups ou par la contrainte, soit audible et devienne un appel au secours, il faut quitter le monde clos, aller vers l’extérieur et se retrouver dans l’espace sonore public. À l’inverse du cri silencieux, la clameur assourdissante, voire « vrombissante » peut être redoublée, elle donne parfois le signal à un lynchage physique qui une fois accompli peut se poursuivre, se reconstituer en partie et donner lieu cette fois à un lynchage médiatique. Le cri judiciaire c’est aussi le vivre ensemble, à la fois cri d’alerte, cri participatif, cri de frustration, cri de liesse et cri de victoire.
3Les supports s’avèrent variés et vont du témoignage direct aux souvenirs confiés à un tiers qui les rapporte à autrui. Toutes sortes d’écrits les ont recueillis, du livre d’histoire au procès-verbal de gendarmerie, de la déposition à l’article de presse, de l’imprimé au film. La documentation judicaire est la plus abondante et le plus souvent utilisée dans les pages précédentes, mais de la sorte se dessine aussi un autre niveau de lecture : celui du texte judiciaire de la Grèce ancienne à nos jours. Mettre en mots et en forme ce qui s’est passé traduit une exigence, la volonté de combattre l’arbitraire et d’obtenir une vérité partagée par tous. Et même, quand il n’existe pas de loi spécifique, il s’agit, de manière rétroactive, de présenter des faits et de les inscrire dans un processus, selon un protocole discursif qui varie d’une époque à l’autre, d’un espace au suivant.
4La volonté de rationalisation qui se manifeste, est sans cesse réactualisée en fonction des circonstances. Elle est accompagnée par la préoccupation constante d’attester que la clameur est réelle et qu’elle n’est pas née d’une chimère colportée par le bruit qui court. Seule la clameur fondée est légitime, si elle ne l’était pas, elle serait proche de la forfaiture et entraînerait la condamnation morale, voir de très fortes sanctions pouvant aller jusqu’à l’exécution de ceux qui l’auraient provoquée. Les acteurs de la clameur doivent pouvoir rétrospectivement apporter la preuve de ce qui les a mis en mouvement. Ils doivent donc être capables de discernement immédiat car s’ils ne pouvaient, même involontairement, interpréter correctement une situation, ils risqueraient de commettre une injustice irréparable. Le cri d’alerte est donc doté d’une charge explosive qui peut avoir des effets délétères. En fonction des circonstances, il vise à réclamer justice, à exiger une sanction ou une réparation, mais aussi à manifester son accord ou sa désapprobation. Il est encore une demande de défense d’un groupe menacé ou spolié.
5La clameur pose, à travers les différentes contributions réunies ici, la question des normes, du droit et de la justice. Le déclenchement de la clameur est rendu possible parce qu’un individu a transgressé une norme usuelle. De la sorte, sa conduite nécessite une réponse collective afin de mettre au plus vite un terme au trouble ressenti. L’existence même de la clameur peut-être considérée comme une « norme de justice », selon la notion proposée par Hans Kelsen. C’est elle « qui prescrit un traitement déterminé à appliquer à des hommes, constitue une valeur absolue si elle prétend être la seule norme de justice possible1 ». En effet, elle laisse supposer qu’il n’y pas d’autre comportement concevable. Face à une situation révélée par la clameur, il n’est pas envisageable de rester impassible. La réactivité presque immédiate s’impose. Mais, sommé de réagir, l’individu n’est pas seul. L’alerte doit mettre en branle une collectivité. L’émotion ressentie, le cri qui la traduit, la réaction provoquée se fait selon un enchaînement empressé, voire expéditif. Parfois, il suffit de quelques instants, d’autres fois la clameur est persistante, elle se poursuit une journée entière, voire plusieurs jours et nuits, et, lorsqu’elle se confond avec une demande de justice, ignorée ou bafouée, elle prend place dans la durée.
6La clameur possède aussi des liens de parenté assez étroits avec la flagrance, présentée dans l’introduction générale et mentionnée dans un certain nombre de contributions réunies ici, et son cousin très proche, le flagrant délit. Adolphe Chauveau et Faustin Hélie, dans la cathédrale juridique qu’ils ont composée sous la monarchie de Juillet considéraient que le flagrant délit se ramène avant tout au droit d’arrestation2. Le Nouveau répertoire Dalloz publié après la Seconde Guerre mondiale ne lui consacre pas un article spécifique, mais la fait glisser dans l’instruction criminelle3. Sur « les lieux du crime flagrant » sont précisés les pouvoirs exceptionnels du procureur de la République puis ceux du juge d’instruction. Quant à l’arrestation même, les rédacteurs signalent que les malfaiteurs arrêtés en flagrant délit peuvent être conduits pour être interrogés soit devant le procureur de la République, soit, pour le tribunal de la Seine, devant son substitut qui se tient en permanence au palais de justice. En France toutefois, le législateur n’est intervenu que relativement tardivement. En effet, c’est sous le Second Empire que la loi du 20 mai 1863 fixe en quelque sorte les modalités des flagrants délits correctionnels4. En 1958, la loi est abrogée mais le contenu des articles se retrouve dans le Code de procédure pénale. Depuis, les textes relatifs à la comparution immédiate (loi du 10 juin 1983) s’inscrivent dans le prolongement de ces dispositions. Les faits divers évoquent la pratique judiciaire, insistant sur l’arrestation et la garde à vue. Au début de la IIIe République, un des quatre grands de la presse populaire signale régulièrement que des cris sont lancés pour combattre le petit chapardage et l’action de « filous », dans des lieux généralement parisiens les plus divers : l’appartement d’un particulier rue des Petits Champs, un magasin de la rue Saint-Fiacre, le jardin du Palais-Royal, un bal à Belleville. Le voleur, écrit un journaliste, fut « contraint de se rendre5 ». Aujourd’hui encore, la presse nationale mais aussi régionale rapportent un certain nombre de situations et d’événements qui se confondent avec la clameur à l’instar d’un périodique breton au titre sans ambiguïté : « Course-poursuite à Saint-Malo. Comparution immédiate pour deux des quatre interpellésn6».
7La clameur, au-delà de ses manifestations les plus visibles, possède bien une histoire qui pourrait être découpée en plusieurs segments. Pendant l’antiquité, grecque et romaine, elle se confond souvent avec une demande de mise à mort. Il s’agit, au-delà des appréciations, d’exiger la réparation d’un tort, de restaurer le droit moral de la partie lésée, en s’emparant du corps des responsables d’une situation jugée délétère. Aux époques médiévale et moderne, la clameur possède une vitalité sans égale mais elle est protéiforme. Elle peut être populaire, aristocratique, voire religieuse. Elle correspond à une demande de sécurité, à l’intervention de la maréchaussée, à une exigence de répression. Pour la période contemporaine, elle perd en proximité et change de scène : on la retrouve dans la presse régionale, on la débusque derrière les murs de la prison, on la découvre sur l’écran d’un cinéma. La clameur connaît donc des évolutions, des inflexions et des redéploiements. Gabriel Tarde, l’un des fondateurs de la sociologie, Professeur au Collège de France, voit dans la clameur un phénomène résiduel. Son repli reflète la transformation des mœurs et de la société. Il ne s’agit pas d’un retrait temporaire, mais d’une disparition définitive qui marque un changement de société : « J’avoue qu’au milieu de déploiement continuel d’animosités hypocrites, mais féroces, je suis peu touché de voir les criminalistes se scandaliser du mot de “vindicte publique” employé encore par quelque avocat général retardataire. » Puis il ajoute que la vindicte se rapprochait pour lui de la vengeance et que désormais presque plus personne n’intervient directement, physiquement dans une sorte d’épreuve au corps à corps, il ne reste plus que des « délations lâches, procès scandaleux, décharge de calomnies verbales ou imprimées7 ». La clameur est également tributaire des espaces et nécessite donc de faire varier les échelles d’observation. Les lieux ouverts peuvent être la rue, la place, le foirail, les abords d’un tribunal… Ce sont des endroits reculés et obscurs, mais le plus souvent ce sont des lieux fréquentés, par exemple les Champs-Élysées à la fin du XVIIIe siècle8, les gares au XXe siècle.
8La clameur publique apparaît le plus souvent comme un micro événement, avec ses acteurs vedettes et les groupes mobilisés. Les protagonistes ont le statut de sujets pensant et agissant qui ont le devoir de se mobiliser instantanément. Elle est comme un signe, un des cris primordiaux par lequel nous vivons depuis l’enfance et que chacun peut identifier. Il se produit alors une sorte d’« étrange physique, qui obtient l’événement par la parole9 ». La demande aux allures de slogan, « À mort ! », « emparez-vous de lui ! »… constitue un cri véritable, c’est-à-dire un appel mais qui ne prend pas la forme de sons incompréhensibles. S’il existe des bruits en attente d’un langage, il existe aussi des sons qui se transforment en mots10 et sans doute aussi des cris. Dans les pages du présent livre, il s’agit bien de propos articulés qui résonnent et indiquent la marche à suivre. En effet, dans les chapitres qui précèdent, les hommes et les femmes du passé sont capables d’indiquer un élément déclencheur qui provoque une rupture. Un mot, une parole, voire une harangue, attestent de son existence. Si elle s’inscrit d’abord dans le paysage sonore, elle fait appel à bien d’autres sens. Elle mobilise le regard. Pour donner l’alerte ou témoigner, il faut d’abord avoir vu ce qui s’est passé. Le regard doit capter une scène, saisir dans l’immédiat ce qu’elle peut avoir d’incongrue, lui donner du sens et réagir. Le toucher peut également, dans certains cas, être sollicité. La victime d’un pickpocket a bien l’impression d’un contact, elle perçoit un effleurement et parfois un choc plus violent à la suite d’une bousculade. Ensuite, la voix et les gestes accompagnent et renforcent l’alerte visuelle. Enfin, intervient le mouvement. Les individus et les groupes sollicités sont sommés de réagir, quelques-uns esquissent un geste, d’autres restent immobiles, presque tétanisés, d’autres encore se mettent aussitôt en branle. Mais lorsque la clameur est spontanée, la réaction escomptée n’a pas été préparée, elle s’avère immédiate et nul ne peut prévoir le déroulement des événements qui vont suivre. De même qu’il existe une chaîne du pénal, c’est-à-dire un circuit judiciaire, il s’avère manifeste que se rencontre un tracé de la clameur. Il est possible de distinguer plusieurs séquences : le moment où le cri judiciaire retentit, celui où les paroles des protagonistes sont recueillies, l’instant où la plainte est validée par une communauté, l’institution judiciaire, voire le roi ou le chef de l’État. Or ici les problèmes que soulève la clameur sont du même ordre que ceux relatifs au récit historique. En effet, la clameur n’existe d’abord que pour un groupe restreint ou clairement identifié qui s’en saisit dans l’instant, de manière directe. Peu après, chacun peut relater à un proche ce qui s’est passé ou du moins ce qu’il a saisi des événements qui se sont succédés. Ensuite, vient un second temps, non pas de la restitution mais de l’interprétation. Comment donner forme à une expérience qui peut apparaître chaotique dans une large mesure ? De la sorte, c’est bien le problème de « la saisie rétrospective à celle de la saisie directe d’une histoire suivie pour la première fois » qui se trouve posé11. À certaines périodes, ce problème est clairement mis en relief. Ainsi, en 1791, tandis qu’est adoptée une grande loi de réorganisation judiciaire dont l’ambition n’est pas de « corriger » le système des tribunaux mais d’inventer une nouvelle justice répressive, la clameur est maintenue, le législateur lui fait une place puisqu’elle est bien à l’origine de la saisine de la justice et participe de sa décision.
9Comme le soulignait Lucien Febvre, les émotions sont contagieuses12, elles associent plusieurs participants et aboutissent à « un système d’incitations interindividuelles ». La clameur suppose en effet qu’il y a « accord » du groupe, sinon ce ne serait qu’un appel solitaire inaudible qui ne serait pas partagé, mais elle nécessite aussi la « simultanéité ». Elle a bien, en effet, le « pouvoir de provoquer chez tous les présents, par une sorte de contagion mimétique, le complexe affectivo-moteur qui correspond à l’événement survenu et ressenti par un seul ». Les diverses contributions rassemblées dans les trois parties du livre s’inscrivent bien dans cette configuration. Le cri public s’adresse d’abord à ceux et celles qui sont présents et qui forment une communauté qui peut certes s’élargir pour constituer parfois une opinion publique13. Le message lancé doit être, même s’il n’y parvient pas toujours, impérieux. Il est aussi parfois relayé. Des protagonistes préviennent qu’ils se chargent du problème, dédouanant ainsi d’autres protagonistes potentiels qui n’interviennent pas directement et conservent leur statut d’observateurs. Nombre des auteurs du présent volume ont souligné que la clameur ou la demande de justice doit arguer d’un fort soutien populaire. Les badauds, la foule assemblée, la réunion trépidante, les manifestants déchaînés signalent, par le silence ou la vocifération, leur adhésion au cri lancé. À plusieurs reprises, de l’Antiquité à nos jours, le cri judiciaire est à l’origine d’une communauté émotionnelle et il annonce une régulation imminente. Il autorise donc des lectures plurielles : demande de répression et désir de négocier, dans l’espace public, avec les autorités la remise d’un condamné, le châtiment d’un traître, la réparation d’un tort, la capture de suspects ou l’arrestation d’un présumé coupable. Mais la clameur c’est aussi une demande, celle de pouvoir transgresser les limites avec l’aval des autorités sans crainte de représailles postérieures ; c’est encore, nous l’avons vu à plusieurs reprises, un cri de protestation contre une conduite jugée indigne, ou encore contre un abus de pouvoir. Elle est souvent soit le révélateur d’un conflit de compétence, soit une demande implicite de reconnaître, dans certaines situations, un droit de résistance. Dans certaines circonstances, elle ne délivre pas un message unique : elle exprime une angoisse collective, une demande de rétablissement d’un ordre menacé, un besoin de sécurité et une exigence de justice.
10La clameur ne relève pas d’un dispositif froid, elle s’écarte de la marche lente et majestueuse de l’institution judicaire officielle. Le groupe qui se l’est approprié veut faire l’économie d’une instruction ou d’une médiation. Il entend obtenir une solution « sommaire », c’est-à-dire simple, rapide et plus efficace. Pour les élites, la clameur vient d’en bas, elle possède le « côté sauvage du peuple » ou « la bestiale sottise des masses ». La foule ou le « grouillement plébéien » n’ont rien à voir avec le public policé des juridictions pénales ou les spectateurs d’une exécution capitale. Tantôt encadré, cantonné à l’intérieur de la sphère judiciaire, tantôt laissé à la discrétion des justiciables, le cri judicaire se trouve placé à la marge du système des tribunaux. La clameur agit aussi comme un moyen de pression, voire, dans certains cas, comme un contre-pouvoir, car proche parfois de la colère ou de l’indignation, elle joue sur le registre de la mobilisation pour lutter contre l’injustice.
Notes de bas de page
1 Hans Kelen, « Justice et droit naturel », dans Le Droit naturel, Paris, PUF, 1959, p. 65.
2 Adolphe Chauveau et Faustin Hélie, Théorie du Code pénal, Paris, Édouard Legrand, 1843, t. II, p. 248.
3 Emmanuel Vergé, Georges Ripert (dir.), Nouveau répertoire de droit, Paris, Jurisprudence générale Dalloz, 1948, p. 813 et p. 817.
4 René Lévy, « un aspect de la mutation de l’économie répressive au XIXe siècle : la loi de 1863 sur le flagrant délit », Revue Historique, juill.-sept. 1985, t. 274, no 555, p. 43-77.
5 Le Petit Parisien, 23 janvier, 9 et 12 février, 25 mars, 21 juillet 1879.
6 Le Télégramme, 3 mai 2013.
7 Gabriel Tarde, La criminalité comparée, Paris, Félix Alcan, p. 184.
8 Ferdinand de Federici, Flagrants délsts sur les Champs-Élysées. Les dossiers de police du gardin Federici, 1777-1791, éd. présentée et annotée par Arlette Farge, Paris, Mercure de France, 2008.
9 Alain, « La magie naturelle » (3 décembre 1921), dans Propos, Paris, Gallimard, « La Pléiade », 1956, p. 354.
10 Michel de Certeau, L’invention du quotidien. 1. arts de faire, Paris, Union Générale d’éd., 1980, p. 238.
11 Paul Ricoeur, Temps et récit, 1. L’intrigue et le récit historique, Paris, Le Seuil, 1983, p. 282.
12 Lucien Febvre, « La sensibilité et l’histoire. Comment reconstituer la vie affective d’autrefois ? », dans Annales d’Histoire sociale, III, 1941, repris dans Combats pour l’histoire, Paris, Armand Colin, 1992, p. 221-238.
13 Voir Laurent Bourquin, Philippe Hamon, Pierre Karila-Cohen, Cédric Michon (dir.), S’exprimer en temps de troubles. Conflits, opinions et politisation de la fin du Moyen Âge au début du XXe siècle, Rennes, PUR, coll. « Histoire », 2012.
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Clameur publique et émotions judiciaires
Ce livre est cité par
- Soler, Marina. (2017) Émotions et travail éducatif. Les Cahiers Dynamiques, N° 71. DOI: 10.3917/lcd.071.0148
- Picot, Johan. (2014) Un exemple de justice seigneuriale en Basse Auvergne : L’enquête pour infanticide de Beaumont (1336). Criminocorpus, revue hypermédia. DOI: 10.4000/criminocorpus.2950
Clameur publique et émotions judiciaires
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