1 Bibliographie de la France, « Chronique », 20 octobre 1877, p. 174.
2 Depuis la loi Lakanal de 1793, les auteurs jouissaient du droit de propriété exclusive sur leurs œuvres durant leur vie entière ; leurs héritiers ou cessionnaires jouissaient des mêmes droits pendant dix années après la mort des auteurs. En 1810, Napoléon a porté cette durée à vingt ans après la mort de l’auteur.
3 Voir Diu Isabelle et Parinet Élisabeth, Histoire des auteurs, Paris, Perrin, coll. « Tempus », 2013, p. 362.
4 Bibliographie de la France, « Chronique », 18 avril 1863, p. 61-68.
5 Le 5 janvier 1862, un arrêté du ministre d’État nomme Georges Guiffrey et Eugène Plon secrétaires-adjoints de la commission de la propriété littéraire et artistique (Bibliographie de la France, « Chronique », 25 janvier 1862, p. 13).
6 Adolphe Nourrit avait épousé Adèle Duverger, fille du régisseur de l’Opéra-Comique, en 1824. Robert Nourrit perdit ses parents très jeune : Adolphe Nourrit mourut à Naples le 7 mars 1839 en se défénestrant de son hôtel et sa femme décéda quelques mois plus tard, le 8 août 1839, peu de temps après avoir donné naissance à son septième enfant. Voir Boutet de Monvel Étienne, Un artiste d’autrefois. Adolphe Nourrit, sa vie et sa correspondance, Paris, Plon, 1903, p. 62.
7 Archives nationales, MC/ET/CIX/1150 : contrat de mariage entre Louis-Robert Nourrit et Marie Plon (6 décembre 1860).
8 Grinevald Paul-Marie, « Duverger, Eugène », in Dictionnaire encyclopédique du livre (A-D), op. cit., p. 840-841.
9 Poirier Jacques, « Édouard Brissaud, grande figure du XIXe siècle », Neurologies, 12, no 114, janvier 2009, p. 42.
10 Archives de Paris : Tribunal de commerce, D32U3 53 (no 1 873) et D31U3 334 (statuts de la société E. Plon et Cie).
11 IMEC : archives du Cercle de la Librairie, conseil d’administration (séance du 10 avril 1885).
12 Ibid. : (séance du 18 avril 1884).
13 Ibid. : (conseil du 9 janvier 1885).
14 Une société civile s’était constituée en 1877 pour l’acquisition d’un terrain à l’angle du boulevard Saint-Germain et de la rue Grégoire-de-Tours. L’hôtel du Cercle de la Librairie fut inauguré le 4 décembre 1879. Voir Fouché Pascal, « Cercle de la Librairie », in Dictionnaire encyclopédique du livre (A-D), op. cit., p. 492-493.
15 IMEC : archives du Cercle de la Librairie, conseil d’administration (séance du 6 février 1885).
16 Ibid. (séance du 19 décembre 1884).
17 Ibid. (séances du 16 mars et du 13 avril 1906).
18 Le Cercle de la Librairie de Paris à l’exposition du livre. Catalogue, Paris, impr. de D. Dumoulin, 1890, p. 21. Sur l’élaboration de la convention de Berne : voir Bastide Lucien, L’Union de Berne de 1886 et la protection internationale des droits des auteurs et des artistes…, Paris, A. Giard, 1890.
19 Le Figaro, 1er avril 1895.
20 Revue des arts décoratifs, t. X, 1889-1890, p. 186. Aux yeux de l’auteur de cet article, Plon surpasse la maison Quantin, « moins bien outillée, moins orientée » (p. 187).
21 « Fragments de deux vers des Géorgiques de Virgile (I, 144-145) devenus proverbe », selon le Petit Larousse illustré.
22 Mollier Jean-Yves, L’Argent et les lettres, op. cit., p. 118.
23 Archives de la Seine : Tribunal de commerce, D31U3 63 (no 1 276) et D31U3 540 ; Justice de paix, D11U1 371. Et Archives nationales, MC/ET/CIX/1349.
24 Archives nationales, MC/ET/XII/1351 : contrat de mariage entre Jeanne-Caroline-Eugénie Nourrit, née le 29 septembre 1861, et Pierre Mainguet (10 juillet 1883).
25 Toute l’édition, no 454, 4 février 1939 : « Nos grands éditeurs : Joseph Bourdel. Doyen de l’édition française. »
26 Archives nationales, MC/ET/XII/1366 : contrat de mariage entre Marguerite-Louise-Henriette Nourrit, née le 28 septembre 1863, et Henri-Joseph Bourdel (25 mai 1885).
27 Archives nationales, MC/ET/CIX/1349.
28 Ibid.
29 Daumas Jean-Claude (dir.), Dictionnaire historique des patrons français, Paris, Flammarion, 2010, p. 794.
30 Polytechnique occupe « une position dominante exclusive, au moins dans la grande industrie », ibid., p. 790.
31 Voir Mollier Jean-Yves, L’Argent et les lettres…, op. cit.
32 Le Figaro, 1er avril 1895.
33 Archives de Paris, DQ7 11 688 : déclaration de succession dressée le 6 mai 1895.
34 Archives de Paris, DQ7 11 685 : déclaration de succession dressée le 8 décembre 1894.
35 Archives de Paris, DQ7 29 929 : déclaration de succession dressée le 3 août 1906.
36 IMEC : archives du Cercle de la Librairie, conseil d’administration (séances du 20 octobre et du 16 novembre 1905).
37 Ibid., assemblée générale du 22 février 1907.
38 S’y ajoute une table alphabétique publiée en 1911.
39 « Nécrologie » de Gabriel Monod dans la Revue historique, 92, 1906, p. 91-99 (p. 97-98 pour les citations). Voir aussi Amalvi Christian (dir.), Dictionnaire biographique des historiens français et francophones, de Grégoire de Tours à Georges Duby, Paris, La Boutique de l’histoire, 2004, p. 293.
40 Toute l’édition, no 211, 27 janvier 1934 : « Lequel de vos livres vendez-vous le plus ? Petite enquête chez les éditeurs. »
41 Son père avait été conseiller d’État et directeur général des Postes sous Napoléon III et lui-même fut un compagnon de jeu du prince impérial (voir Pingaud Léonce, « L’œuvre d’Albert Vandal », Revue des questions historiques, t. XLV, janvier 1911, p. 179-189).
42 Amalvi Christian (dir.), Dictionnaire biographique des historiens français et francophones, op. cit., p. 313.
43 Elle a été précédée par Royalistes et républicains (1874 ; 2e édition, 1888), Le Parti libéral sous la Restauration (1876 ; 2e édition, 1888), L’Église et l’État sous la monarchie de Juillet (1880).
44 Dans le tome III, on peut lire que « l’amollissement et l’aplatissement [sont] conséquences naturelles d’une civilisation matérialiste et d’un État démocratique » (p. 544).
45 Ariès Philippe, Le Temps de l’histoire, Paris, Éd. du Seuil, 1986, p. 35-36.
46 Le capitaine Maurice d’Hérisson (1840-1898) avait été l’officier d’ordonnance du général Trochu, gouverneur militaire de Paris, pendant toute la durée de la Commune. En septembre 1870, il obtint l’autorisation d’Ernest Picard de sauver la garde-robe de l’Impératrice au palais des Tuileries, vêtements et bijoux qu’il expédia en Angleterre. Il devint le gardien des biens de la famille impériale conservés à l’ambassade d’Autriche. Voir Tulard Jean (dir.), Dictionnaire du Second Empire, Paris, Fayard, 1995.
47 Le Figaro, 21 octobre 1882.
48 Tulard Jean, Bibliographie critique des mémoires sur le Consulat et l’Empire écrits ou traduits en français…, Genève ; Paris, Droz, 1971, p. ix.
49 Cette biographie de Joseph Fouché, dans laquelle Stefan Zweig ou Jean Tulard puiseront, déplut au jury de thèse présidé par Lavisse, ce qui ferma les portes de l’Université à Louis Madelin. « Le temple de la laïcité » avait en outre « peine à faire place, en pleine crise combiste, à un homme qui ne cach[ait] pas son attachement au catholicisme » (Dictionnaire biographique des historiens français et francophones, op. cit., p. 203).
50 À la veille de la Première Guerre mondiale, l’histoire est devenue « un produit éditorial prisé au point d’être présente dans la plupart des foyers sous une forme ou sous une autre » (Mollier Jean-Yves, « L’univers de l’édition, du livre et des périodiques », Les Lieux de l’histoire, art. cité, p. 209).
51 BnF, fonds Q10 : Bulletin de la librairie Plon, novembre 1900.
52 Créée en 1853 (15, rue de Richelieu), la société de librairie P. Jannet fut dissoute en février 1858 (Petites Affiches, 7 février 1858). La « Bibliothèque elzévirienne » a été publiée par A. Franck de 1866 à 1869, puis par Paul Daffis de 1870 à 1878. Edgard Daval en a dressé le catalogue : Bibliographie de la Bibliothèque elzévirienne, 1853-1898, Bransat, E. Daval, 2003.
53 Le Livre, 1882 (Bibliographie moderne 3), p. 451-452.
54 Parinet Élisabeth, « L’édition littéraire, 1890-1914 », Histoire de l’édition française, t. IV, op. cit., p. 162.
55 « Mes débuts littéraires », La Revue hebdomadaire, juillet 1924, p. 57. Brada publie son premier roman, Leurs Excellences, chez Plon en 1878.
56 Bibliothèque de l’Arsenal : ms-15 698 : Correspondance d’Henry Gréville et d’Émile Durand-Gréville avec l’éditeur Plon : lettre d’Émile Durand-Gréville du 19 mai 1902 (f. 54). Durand-Gréville ajoute que « l’effet a disparu puisque, depuis un certain temps, le Polybiblion et d’autres journaux religieux ont recommencé à faire l’éloge des romans ».
57 C’est le couple Durand-Gréville qui a suggéré à Plon l’utilisation de l’astérisque. En 1900, Henry Gréville demande à Plon d’étendre « le bénéfice de l’astérisque » – qui concerne alors quatorze de ses titres – à une dizaine d’autres de ses ouvrages, ce qui lui permettrait d’accroître sa « popularité » dans les milieux catholiques (ibid., lettre d’Émile Durand-Gréville du 13 juin 1900).
58 « Les femmes de lettres », article paru dans Le Gaulois du 24 avril 1883.
59 Bibliothèque de l’Arsenal : ms-15 698 : « D’après nos livres, le loyer de la villa de M. Durand-Gréville à Menton a été payé par notre maison en mai 1913, en octobre 1910 et en février 1909, chacun de ces versements étant de 700 francs. » (Lettre de Plon à Liénard du 28 mars 1914.)
60 Ibid., facture (f. 123).
61 En 1916, un contrat est par exemple signé avec Frédéric Rouff, en vertu duquel Plon lui cède le droit exclusif de publier dans sa « Grande Collection nationale » L’Amie et Mademoiselle Cléopâtre d’Henry Gréville. De son côté, la maison Plon, Nourrit et Cie s’engage « à ne pas publier et à ne pas céder pour être publiés dans une édition quelconque d’un prix inférieur à 50 centimes » les deux ouvrages pendant une période de dix ans. Ibid., contrat du 1er mai 1916 (f. 188).
62 Ibid., 24 février 1901 (f. 38).
63 Ibid., 2 mars 1901 (f. 39).
64 Le titre Les Possédés a été suggéré par Eugène-Melchior de Vogüé dans Le Roman russe (le terme original signifie « les démons »). À la demande de Plon-Nourrit, Victor Derély l’adopte mais, scrupuleux, indique entre parenthèses le titre russe. Voir Chevrel Yves, D’Hulst Lieven et Lombez Christine (dir.), Histoire des traductions en langue française, XIXe siècle, 1815-1914, Lagrasse, Verdier, 2012, p. 622.
65 Le Théâtre de Pisemski paraît chez Savine en 1889, également dans une traduction de Victor Derély.
66 La Guerre et la paix et Anna Karénine paraissent chez Hachette en 1879 et 1885.
67 En 1887, Tolstoï annonce dans la presse que ses ouvrages sont libres de toute propriété littéraire et qu’il est par conséquent possible d’en publier des extraits ou des traductions sans autorisation. Voir Histoire des traductions en langue française, op. cit., p. 621.
68 Voir Histoire des traductions en langue française, op. cit., p. 622-623.
69 Hennequin Émile, Écrivains francisés, Paris, Perrin, 1889, p. 163. D’après Christophe Charle, le nombre des traductions de romans russes est de 2 à 5 par an avant 1883 ; il passe à 8-9 à partir de 1884 et atteint un pic à partir de 1886 avec un maximum de 25 titres en 1888, avant un reflux progressif (Charle Christophe, Paris fin de siècle : culture et politique, Paris, Éd. du Seuil, 1998, p. 187).
70 Le Roman russe réunit une série d’articles d’Eugène-Melchior de Vogüé qui lance, à partir de 1883, la promotion de la littérature russe. Christophe Charle souligne que « l’ouvrage connut un succès critique remarquable pour un essai de ce type » (Paris fin de siècle, op. cit., p. 179).
71 Vogüé Eugène-Melchior de, Le Roman russe, nouv. éd., Lausanne, L’Âge d’homme, 1971, p. 61. Cité par Charle Christophe, op. cit., p. 183.
72 Charle Christophe, op. cit., p. 178.
73 Wilfert Blaise, Paris, la France et le reste… : importations littéraires et nationalisme culturel en France, 1885-1930, thèse de doctorat en histoire, sous la dir. de Christophe Charle, université Panthéon-Sorbonne, 2003, p. 78.
74 Ibid., p. 241.
75 Mollier Jean-Yves, L’Argent et les lettres, op. cit., p. 448.
76 Ibid., p. 446.
77 Léautaud Paul, Journal littéraire, Paris, Mercure de France, 1986, t. II, p. 875. Les contrats d’édition prévoient en effet qu’« au cas où, l’ouvrage étant épuisé, l’éditeur laisserait s’écouler un délai d’une année sans le réimprimer, l’auteur recouvrerait purement et simplement la libre disposition du droit d’édition de son œuvre, sauf circonstances exceptionnelles motivant une extension du délai ».
78 Winock Michel, « Bourget (Paul) », in Pascal Ory et Jean-François Sirinelli (dir.), Les Intellectuels en France : de l’affaire Dreyfus à nos jours, Paris, Perrin, coll. « Tempus », 2004.
79 Yehoshua Mathias, « Paul Bourget, écrivain engagé », Vingtième Siècle. Revue d’histoire, no 45, janvier-mars 1995, p. 24.
80 BnF, fonds Q10 : Extrait de catalogue, s. d. [1914 ?].
81 Ibid. : Bulletin de la librairie Plon paraissant une fois par trimestre, no 31, octobre 1912.
82 Maurice Boutet de Monvel est le fils de Louise Nourrit (1826-1883), sœur de Robert Nourrit, et de Benjamin Boutet de Monvel (1820-1898), normalien, chimiste et physicien.
83 Elle est actuellement exposée au musée des beaux-arts d’Orléans.
84 Il publie Les Plastiques en 1887 chez Charpentier.
85 Les quotidiens d’informations parisiens, Le Petit Journal, Le Petit Parisien, Le Matin et Le Journal, sont alors vendus 5 centimes au numéro.
86 La Revue hebdomadaire, mars 1894 sq.
87 La Revue hebdomadaire, décembre 1898.
88 La Revue hebdomadaire, 17 avril 1897 sq.
89 Charles-Étienne-Louis Ganderax eut une certaine réputation comme critique dramatique. Il tint cette rubrique à la Revue des Deux Mondes de 1881 à 1888, puis à La Revue hebdomadaire de 1889 à 1894, avant de prendre la direction littéraire de La Revue de Paris qu’il conserva jusqu’en 1914.
90 Paul Dukas collabora à La Revue hebdomadaire de 1892 à 1901, à la Gazette des beaux-arts de 1894 à 1902, à la Chronique des arts de 1894 à 1905.
91 En 1898, la rubrique consacrée à la critique littéraire s’intitule : « Les livres et les mœurs ».
92 En mai 1892, Léon Bloy offre à Plon La Chevalière de la Mort pour une publication dans La Revue hebdomadaire. Mais Bloy apprend, le 24 mai, par une lettre d’Alcide Guérin, le refus de Plon qui prétendait ne pas connaître l’écrivain, ce qui lui vaudra d’être qualifié de « crétin » par l’auteur du Désespéré. Voir Bloy Léon, Journal, éd. établie, présentée et annotée par Pierre Glaudes, Paris, R. Laffont, 1999, vol. 1, p. 18, 19 et p. 665 (note 54).
93 Premier numéro de La Revue hebdomadaire, 28 mai 1892. Même annonce dans le Catalogue Plon de mai 1897.
94 Félix Jeantet est mentionné pour la première fois comme rédacteur en chef en août 1900.
95 Font également partie du comité de rédaction des Annales de la Patrie française fondées en 1900 : François Coppée, Jules Lemaître, Maurice Barrès, Marcel Dubois, Louis Dausset et Gabriel Syveton (administrateur-gérant).
96 La Revue hebdomadaire, 7 décembre 1901 (« À nos lecteurs »).
97 Archives de Paris, D32U3 139 : acte enregistré le 22 mars 1905.
98 Archives de Paris, D31U3 1066 : statuts de la SA Les Revues Hebdomadaires.
99 Wright Vincent, Les Préfets de Gambetta, Paris, PUPS, 2007, p. 161-162.
100 Weber Eugen, L’Action française, trad. de l’anglais par Michel Chrestien, Paris, Hachette, coll. « Pluriel », 1985, p. 134.
101 Jean Lionnet est notamment l’auteur de L’Évolution des idées chez quelques-uns de nos contemporains, Paris, Perrin, 1903-1905, dont le premier volume est consacré au roman catholique.
102 Charles-Fernand Laudet était entré dans la carrière diplomatique en 1882. Il fut secrétaire d’ambassade à Berlin de 1886 à 1888, puis auprès du Saint-Siège de 1899 à 1904.
103 Liste arrêtée le 5 avril 1905 par le Conseil d’administration et publiée dans La Revue hebdomadaire de mai 1905.
104 La Revue hebdomadaire, 26 novembre 1904.
105 La Revue hebdomadaire, mars 1905.
106 Cahiers de la Quinzaine, 13e série, 2e cahier, p. 11-12.
107 Voir Pluet-Despatin Jacqueline, Leymarie Michel et Mollier Jean-Yves (dir.), La Belle Époque des revues, 1880-1914, Paris, Éd. de l’IMEC, 2002.
108 Voir Mollier Jean-Yves, « La revue dans le système éditorial », ibid., p. 43-55.
109 Rosny aîné J.-H., Mémoires de la vie littéraire : l’Académie Goncourt, les salons, quelques éditeurs, Paris, G. Crès et Cie, 1927, p. 191-192.