1 Article publié avec le concours du projet de l’Agence nationale de la recherche (ANR), « Acteurs et action politique en Révolution » (Actapol).
2 J. Maurin, « La prosopographie romaine : pertes et profits », Annales ESC, 1982, no 37, p. 824-836.
3 E. Le Roy-Ladurie, Territoires de l’historien, Paris, Gallimard, 1973, p. 13-14.
4 M. de Certeau, Histoire et psychanalyse entre science et fiction, Paris, Gallimard, 1987, p. 78.
5 C. Lemercier, E. Picard, « Quelle approche prosopographique ? », in P. Nabonnand, E. Picard (dir.), Biographie et prosopographie, Nancy, Presses Universitaires de Nancy, 2012, p. 605-630.
6 Colloque Définir, classer, compter : l’approche prosopographique en histoire des sciences, MSHB Metz, 26-28 novembre 2009 ; séminaire La prosopographie, objets et méthodes, organisé depuis 2012 par Emmanuelle Picard à l’ENS Lyon.
7 C. Kawa, Les ronds de cuir en Révolution, Paris, CTHS, 1996.
8 M. Biard, Missionnaires de la République, Les représentants du peuple en mission (1793-1795), Paris, CTHS, 2002 ; A. de Mathan, Girondins jusqu’au tombeau. Une révolte bordelaise dans la Révolution française, Bordeaux, Sud-Ouest, 2002.
9 P. Bourdin, « Les poètes de la Révolution dans L’almanach des Muses. Essai d’approche sérielle », La Révolution Française, no 7, 2014 [http://lrf.revues.org/1163].
10 P. Jarnoux, Survivre au bagne de Brest, Brest, Le Télégramme, 2003.
11 P. Higonnet, « The Social and the Cultural Antecedents of Revolutionary Discontinuity: Montagnards and Girondins », English Historical Review, t. 100, 1985, p. 513-544.
12 G. Piketty, « La biographie comme genre historique ? Étude de cas », Vingtième Siècle, no 63, 1999, p. 119-126 et G. Levi, « Les usages de la biographie », Annales ESC, no 6, 1989, p. 1325-1336.
13 J. Revel, Jeux d’échelles. La micro-analyse à l’expérience, Paris, EHESS, 1996 et Tentons l’expérience, Annales ESC (numéro spécial), no 6, 1989.
14 [http://grhis.univ-rouen.fr/grhis/?page_id=8053].
15 E. H. Lemay, Dictionnaire des Constituants, Paris, Universitas, 1991.
16 E. H. Lemay, Dictionnaire des Législateurs, Ferney-Voltaire, Centre international d’étude du XVIIIe siècle, 2007.
17 A. Kuscinski, Dictionnaire des Conventionnels, Paris, Société d’histoire de la Révolution Française, 1916.
18 A. Kuscinski, op.cit., p. 377-378.
19 F. Brunel, « Les derniers Montagnards et l’unité révolutionnaire », in A. Soboul (dir.), Girondins et Montagnards, Paris, SER, 1980, p. 297-316 ; Thermidor. La chute de Robespierre, Bruxelles, Complexe, 1989.
20 P. Higonnet, op. cit., p. 525.
21 A. Aulard, Histoire politique de la Révolution Française, Paris, A. Colin, 1901, p. 393.
22 C. Perroud, La proscription des Girondins (1793-1795), Toulouse/Paris/Privat/Alcan, 1917, p. 5.
23 M. J. Sydenham, The Girondins, Londres, Athlone Press, 1961, p. 222-226.
24 A. Patrick, « Political Divisions in the French National Convention », The Journal of Modern History, vol. 41, no 4, 1969, p. 421-422 et The men of the First French Republic. Political Alignment in the National Convention of 1792, Baltimore, John Hopkins University Press, 1972.
25 J. Chaumié, « Les Girondins », in A. Soboul (dir.), op. cit., p. 19-60.
26 P. Higonnet, op. cit., p. 544.
27 M. Ozouf, F. Furet (dir.), Dictionnaire critique de la Révolution Française, Paris, Flammarion, 1988, p. 374-385.
28 Hormis M. Biard, « Entre Gironde et Montagne. Les positions de la Plaine au sein de la Convention nationale au printemps 1793 », Revue historique, 2004, no 361, p. 555-576.
29 P. Bourdin, « Bancal des Issarts, militant, député et notable : de l’utopie politique à l’ordre moral », Revue historique, no 616, 2000, p. 895-937.
30 M. Vovelle, La découverte du politique, Paris, La Découverte, 1993 et « Du tout social au tout politique », Annales historiques de la Révolution française, no 310, 1997, p. 545-554.
31 J.-F. Sirinelli, « De la demeure à l’agora. Pour une histoire culturelle du politique », Vingtième siècle, no 57, 1998, p. 121-131.
32 Dans la seconde partie, l’appareil de notes infra-paginales a été réduit au minimum pour ne pas alourdir la présentation. Les données étant extraite des travaux menés dans le cadre d’Actapol les sources en seront détaillées dans le Dictionnaire des Conventionnels à paraître.
33 Les Côtes-du-Nord comptent 8 députés (Couppé, Fleury, Gaultier, Girault, Goudelin, Guyomar, Loncle et Palasne) et deux suppléants qui siégeront (Coupard et Toudic). Même chose dans le Morbihan (Audrein, Corbel, Gillet, Le Hardy, Le Malliaud, Le Quinio, Michel, Rouault ; suppléants siégeant : Brue et Chaignart) et dans le Finistère (Blad, Bohan, Gomaire, Guermeur, Guezno, Kervélégan, Marec et Queïnnec ainsi que Boissier, suppléant de Kervélégan, mais Le Prédour n’a pas été appelé).
34 A. de Mathan, « Des lettres de Conventionnels à leurs concitoyens : une interface dans un processus de politisation réciproque », Annales historiques de la Révolution française, no 381, 2015, p. 213-239.
35 A. de Mathan, « Le vice-amiral comte Armand de Kersaint, député girondin à la Convention, mutant social ou figure ordinaire en Révolution ? », in É. Francalanza, Claire de Duras, de la Révolution à la Restauration : une femme de lettres et de pouvoir, Paris, Gallimard (à paraître).
36 P. Serna, Antonelle, aristocrate révolutionnaire, 1747-1817, Paris, Le Félin, 1997.
37 A. de Mathan, Histoires de Terreur. Les mémoires de François Cholet et Honoré Riouffe, Paris, Honoré Champion, 2014.
38 D. Waquet, « La bibliothèque de Guermeur, avocat finistérien, conventionnel. Montagnard ? » Annales historiques de la Révolution française, no 380, 2015, p. 45-76.
39 A. de Mathan, art. cit.