1 AN F17/10793/2, mémoire d’André Hamon, instituteur du Maine-et-Loire, p. 9.
2 AN F17/10793/1, mémoire de François Quellier, instituteur de la Mayenne, p. 10.
3 AN F17/10792/2, mémoire d’Amand Desmots-Montpellier, instituteur de la Mayenne, p. 8.
4 AN F17/10792/3, mémoire de Jean-Marie Royer, instituteur de Loire-Inférieure, p. 3 et 4.
5 AN F17/10793/1, mémoire de Julien Boudet, instituteur de Loire-Inférieure, p. 16.
6 AN F17/10792/5, mémoire de Pierre-Marie Corre, instituteur du Finistère.
7 AN F17/20188, dossier de l’inspecteur Victor Gabriel Marie Bléas de Cloneuf, né à Saint-Pol-de-Léon (Finistère), le 7 décembre 1817. Élève à l’école normale de Rennes (1834-1836), titulaire du Brevet supérieur, il est directeur de l’EPS de Guingamp (1836-1840) puis de celle de Saint-Brieuc (1840-1847). Nommé sous-inspecteur du Finistère (1847-1850), il devient ensuite inspecteur de l’arrondissement de Brest (1850-1864). La dernière partie de sa carrière est consacrée à la direction d’écoles normales : Loches (1864-1865), puis Rennes (1865-1877).
8 AN F17/10792/4, mémoire de Jean-Marie Godec, instituteur du Finistère.
9 Lettre expédiée par l’inspecteur d’académie du Finistère aux instituteurs publics, le 24 décembre 1860, douze jours après le lancement officiel du concours par le ministre de l’Instruction publique et des Cultes, Gustave Rouland.
10 « Fais ce que dois, advienne que pourra » : il faut remplir son devoir et agir en conséquence, sans espérer de récompense.
11 AN F17/10792/5, mémoire de Jean-Marie Thépaut, instituteur du Finistère.
12 AN F17/10792/1, mémoire de Jean-Marie Dérien, Saint-Jean-sur-Couesnon, Ille-et-Vilaine.
13 AD Ille-et-Vilaine, Indicateur historique, édition 1981, page 157, recensement de 1861.
14 AD Ille-et-Vilaine, 12T54, dossier personnel de l’instituteur Dérien, rapport d’inspection du 24 novembre 1860.
15 Ibid., rapport d’inspection du 28 juillet 1863.
16 Ibid., lettre de l’instituteur Dérien à l’inspecteur d’académie, 14 janvier 1861.
17 AN F17/10792/1, mémoire de Auguste Le Beltel, Ille-et-Vilaine.
18 AD Ille-et-Vilaine, 12T104, dossier de l’instituteur Le Beltel, rapport d’inspection sur l’école de Dol, 10 mars 1858.
19 Ibid., rapports d’inspection des 10 mars 1858 et 6 juin 1862.
20 Ibid., rapport d’inspection du 3 mai 1860.
21 Ibid., rapport d’inspection du 10 mars 1858.
22 AN F17/10792/1, mémoire de Émile Pierre Macé, instituteur d’Ille-et-Vilaine.
23 AD Ille-et-Vilaine, Indicateur historique, 1981, page 145, recensement de 1861.
24 AD Ille-et-Vilaine, 12T129, dossier personnel de Émile Pierre Macé, rapport d’inspection de 1864.
25 Ibid., rapports d’inspection de 1862, 1863 et 1864.
26 Phrase reproduite, telle quelle.
27 AN F17/10 793/1, mémoire de Julien Boudet, instituteur de Loire-Inférieure.
28 Recensement de 1861.
29 AN F17/10 793/1, mémoire de François Potiron, instituteur de Loire-Inférieure.
30 AN F17/20319, dossier de Joseph Marie Calloch. Né dans l’île de Groix, en 1795, bachelier, principal du collège de Quimperlé (1831-1836), Joseph Marie Calloch devient le premier inspecteur des écoles du Finistère (1836-1840), avant d’exercer les mêmes fonctions en Loire-Inférieure.
31 Voix dont le timbre est altéré.
32 Michel Lainé, Les constructions scolaires en France, Paris, PUF, 1996, p. 106-107 et Octave Gréard, La législation de l’instruction primaire en France, de 1789 jusqu’à nos jours, Paris, Delalain, 1891-1896, tome 3, p. 407 et 730. L’année 1858 constitue un tournant essentiel. Les textes ministériels imposent aux communes des normes très précises : lieu d’implantation de l’école, isolement du bruit et de l’insalubrité, aménagement d’une cour et d’un préau, installation de latrines, dimensions de la classe etc. L’arrêté du 14 juillet 1858 et la circulaire du 30 juillet 1858 imposent aux communes de présenter des plans lorsqu’elles demandent des secours pour construire ou réparer leur école.
33 AN F17/10792/3, mémoire de Jean-Marie Royer, instituteur de Loire-Inférieure.
34 AN F17/10792/3, mémoire de Jean-Marie Royer, p. 4.
35 2 609 habitants au recensement de 1861.
36 . Sébastopol, ville de Crimée, prise par les armées franco-anglaises, en 1855. Solférino, ville de Lombardie, lieu de victoire des Français sur les Autrichiens, lors de la campagne d’Italie (24 juin 1859).
37 À la suite de massacres de missionnaires, Napoléon III envoie, avec l’Angleterre, des troupes en Chine (1857-1860).
38 Décret sur les écoles normales primaires du 24 mars 1851, titre I, articles 1 et 2. L’article 2 précise : « La durée des cours d’études est fixée à trois ans. »
39 Loi sur l’enseignement du 15 mars 1850, chapitre III, article 38 : « À dater du 1er janvier 1851, le traitement des instituteurs communaux se composera : 1) d’un traitement fixe qui ne peut être inférieur à deux cents francs, 2) du produit de la rétribution scolaire, 3) d’un supplément accordé à tous ceux dont le traitement, joint au produit de la rétribution scolaire, n’atteint pas six cents francs. Ce supplément sera calculé d’après le total de la rétribution scolaire pendant l’année précédente. »
40 Gilbert Nicolas, « Entre attaches régionales et service de l’État : les inspecteurs primaires de l’Ouest au XIXe siècle », Annales de Bretagne et des Pays de l’Ouest, 2002/3, Rennes, PUR, p. 40-41.
41 AN F17/10793/2, mémoire de Louis Lote, instituteur du Morbihan.
42 Population au recensement de 1861.
43 AN F17/10 793/2, mémoire d’André Hamon, instituteur du Maine-et-Loire.
44 16 ares = 1 600 mètres carrés.
45 AN F17/10 793/1, mémoire de François Quellier, instituteur de la Mayenne.
46 AD Mayenne, recensement du 30 mai 1861.
47 AN F17/20928, dossier de Charles Marie Louis Hanriot. Né le 10 février 1818 à Dieuze (Meurthe), élève de l’EN Supérieure (1837-1840), professeur de philosophie (1840-1845), il séjourne à Athènes en tant que membre de l’École française (1846-1849), puis est professeur de rhétorique (1849-1854). Nommé inspecteur d’académie, à partir de 1854, il est en poste à Laval, de 1857 à 1863, puis est affecté à Metz (1863-1871), à Rennes (1871-1872), à Troyes (1872-1873). Il est ensuite professeur de littérature à Clermont, puis à Poitiers, où il termine sa carrière le 1er novembre 1888.