1 Chapitre x,
« Artigas : La Patria Grande I » (2da
Parte), « 450 años de guerra », El Descamisado,
n° 20, 2 octobre 1973, p. 24.
2 « Soutenir,
défendre et contrôler ». Communiqué des FAR et des Montoneros
du 24 mai 1973.
3 Cf.
Déclaration d’unification publiée : El Descamisado,
n° 22, 16 octobre 1973, p. 6-7.
4 Mensaje
desde la residencia presidencial de Olivos, Presidencia de la
Nación, Secretaría de Prensa y Difusión, 20 janvier 1974.
5 « Perón
habla a la juventud peronista » (primera reunión) Residencia de
olivos, Presidencia de la Nación, Secretaría de Prensa y Difusión,
7 février 1974.
6 L’entreprise
est également obligée de distribuer des vivres dans tout le pays
pour 1 million de dollars et de publier un manifeste politique de
l’organisation armée dans plusieurs journaux – y compris dans le
journal français Le
Monde
(20 juin 1975, p. 4, trois colonnes, plus de la moitié de la
page).
7 Franco M.,
El exilio…, op. cit.,
p. 27-46.
8 « Van a
Salta y hacen falta », El
Descamisado,
n° 34, 8 janvier 1974, p. 30-31.
9 El Descamisado,
n° 36, 22 janvier 1974, p. 28-29.
10 L’utilisation
de ces figures n’est pas exclusive de cette organisation. L’ERP
évoque notamment les héros de la guerre d’indépendance, en
inscrivant sa propre action dans l’héritage de ces luttes du xixe siècle.
Cf. Carnovale V.,
op. cit.,
p. 125-127.
11 Anguita E.
et Caparrós M.,
op. cit.,
p. 391-393.
12 Par
exemple, dans l’entretien avec Mario Firmenich du film Résister,
Jorge Cedrón, 1978.
13 Anguita E.
et Caparrós M.,
op. cit.,
vol. II, p. 200.
14 Témoignage
de Ricardo Munich. Menacé par l’AAA, le groupe s’exile en Espagne
et est réorganisé à son retour pour jouer sur la même scène
exactement 31 ans après leur première présentation. « Volvemos a
un país esperanzado », Página/12,
22 août 2003, [http://www.pagina12.com.ar/diario/espectaculos/6-24401-2003-08-22.html].
15 Marchini D.,
No toquen. Músicos
populares, gobierno y sociedad/utopía, persecución y listas negras
en la Argentina 1960-1983,
Buenos Aires, Catálogos, 2008, p. 156.
16 Entretien
avec Juan Cedrón, Cultures
& Conflits,
n° 61, printemps 2006, p. 139-164.
17 Violeta
Parra (« Run Run se fue
pa’l norte »),
Quilapayún (« Vamos
mujer »
de la « Cantata Santa María
de Iquique »), Geraldo Vandré (« Para que no digan que hablé de
las flore »)
et Atahualpa Yupanqui (« Coplas del Valle
Calchaquí »).
18 « Volvemos
a un país esperanzado », art. cit.
19 « Un
admirable quinteto recrea el repertorio americano », La Opinión,
24 mai 1973, p. 22.
20 « La
política influyó en el arte en 1973 », Noticias,
n° 41, 2 janvier 1974, p. 20.
21 « Cantata
popular por trabajadores », Noticias,
n° 0, 19 novembre 1973, p. 20-21.
22 El Descamisado,
n° 33, 31 décembre 1973, p. 2-3.
23 « Festival
de la JP », Noticias,
27 décembre 1973, p. 14.
24 Ces actes
avaient aussi un but de diffusion. En effet, au moment de
s’enfuir, les militants réalisent une action strictement
symbolique : ils abandonnent à la Calera un magnétophone avec la
marche péroniste. D’après leur communiqué, ils cherchaient à
démontrer ainsi « la solidarité combative avec le peuple
péroniste ». Cf. Communiqué des Montoneros, septembre 1970.
25 « Fervor
político en el festival de JP », Noticias,
30 décembre 1973, p. 19.
26 Sessa M.,
« La Cantata Montoneros.
Folklore, vanguardias y militancia », Aletheia,
vol. 1, n° 1, octobre 2010, [http://www.aletheia.fahce.unlp.edu.ar/numeros/numero-1/la-cantata-Montoneros.-folklore-vanguardias-y-militancia].
27 De même,
un organe tardif de diffusion des Montoneros
est nommé Estrella
federal,
dont le premier numéro date de mai 1977.
28 D’après
Marchini, Ediciones
Lealtad
n’a jamais existé car le disque ne faisait pas partie du circuit
commercial. Pendant un certain temps, quelques radios ont pu
diffuser des morceaux de la cantate, jusqu’au moment où le climat
politique est devenu trop délicat. Cf. Marchini
M. D., op. cit.,
p. 159.
29 Livret du
disque Montoneros PV. Canta
Huerque Mapu,
1973. Nous soulignons.
30 Idem.
31 Cf. « El
negro Sabino », « Fernando y Gustavo » et « El combate de
Ferreyra ».
32 Chanson
« Pueblo peronista », côté B du disque, n° 3.
33 Chanson
« Montoneros », côté B du disque, n° 5.
34 Chanson
« Memoria de los basurales (El aramburazo) », côté A du disque,
n° 1.
35 Parmi les
ouvrages argentins les plus reconnus qui postulent cette idée et
qui visent un public large, cf. Ramos
J. A., América Latina : un
país,
Buenos Aires, Editorial Octubre, 1949 ; Ramos
J. A., Historia de la
nación latinoamericana,
Buenos Aires, Peña Lillo Editor, 1973 ; Hernández Arregui
J. J., Imperialismo y
cultura,
Buenos Aires, Editorial Amerindia, 1957.
36 Une
première version de cette étude a déjà été publiée en espagnol :
cf. Cristiá M.,
« América Latina como frontera simbólica. La historieta y la
sensibilización política en la Argentina de los sesenta y
setenta », S. Bernabeu
et F. Langue
(dir.), Fronteras y
sensibilidades en las Américas,
Madrid, Doce Calles, 2011, p. 343-366.
37 D’après
les témoignages personnels publiés : Oesterheld H.,
La vida del Che,
Buenos Aires, Ed. Creative Commons, 2007.
38 Ibid.,
p. 63.
39 Dans la
bande dessinée, il est décrit de cette façon lors de la conférence
de Punta del Este, ibid.,
p. 60.
40 Échange
électronique avec le directeur de l’Institut vérificateur des
circulations, Roberto Moreyra, 21 mai 2010.
41
Certaines lettres de
lecteurs sont publiées pour montrer le dégoût que suscite le
style de Breccia, par exemple celle de Mario Valenzuela de
Buenos Aires.
Gente
, n° 209, 24 juillet
1969. Il est impossible de prouver l’authenticité de ces
lettres, qui étaient sans doute rédigées par la direction pour
justifier la fin prématurée de la bande dessinée.
42
Gente
, n° 208, 17 juillet
1969.
43 Idem.
44 Gente,
n° 203, 12 juin 1969.
45 La revue,
dirigée par Alejandro Vignatti, publie dix chapitres, entre son
n° 22 (mai 1970) et le n° 31 (février 1971).
46 Nous nous
centrerons sur cette version, publiée dans le cadre de son
incorporation aux Montoneros.
47 Synopsis
du scénario de La guerra de
los Antartes.
Héctor Oesterheld, s. d. (1974). Fonds privé de son petit-fils
Martín Oesterheld.
48 Journal
Noticias,
n° 124, 28 mars 1974, p. 23.
49 Synopsis
de Paraíso.
Héctor Germán Oesterheld. Fonds privé de la Famille
Oesterheld.
50 « Paraíso »,
Top,
1972.
51 Manuscrit
du synopsis de la bande dessinée, s. d. Fonds privé de Martín
Oesterheld.
52 Communication
électronique avec Leopoldo Durañona, entre le 26 avril 2010 et le
17 mai 2010.
53 El Descamisado,
n° 10, 24 juillet 1973, p. 25. La majuscule se trouve dans
l’original.
54
Ibid.
, p. 26.
55 Chapitre xxii, « Rosas (IV) », El Descamisado n° 32, 24 décembre 1973,
p. 24.
56 Cf. Sigal S.
et Verón E., op. cit.,
p. 72-76.
57 Journal
Noticias,
n° 172, 17 mai 1974, p. 23.
58 Journal
Noticias,
n° 230, 18 juillet 1974, p. 23 et n° 240, 28 juillet 1974,
p. 23.
59 Journal
Noticias,
n° 197, 12 juin 1974, p. 23 et n° 198, 14 juin 1974, p. 6.
60 Chapitre xxii
« Rosas (IV) », El Descamisado, n° 32, 24 décembre
1973.
61 Oesterheld H.,
La vida del Che,
op. cit.,
p. 62.
62
El Descamisado
, n° 10, 24 juillet 1973,
p. 25.
63 Prologue,
El Eternauta,
Ediciones récord, 1975.
64 El Descamisado,
n° 13, 14 août 1973, p. 20-23.
65 Tal T., « Inclusión política y exclusión
genérica en Argentina : metáfora familiar en las películas de Cine
Liberación », Taller, n° 17, 2001,
p. 148-160.
66 El Descamisado,
n° 10, 24 juillet 1973, présentation, p. 25.
67 Dans la
première version ce personnage s’appelait le « chango »
Medina.
68 Journal
Noticias,
n° 201, 17 juin 1974, p. 8.
69 Lambert F.,
Mythographies. La photo de
presse et ses légendes,
Paris, Edilig, 1986.
70 Augé M.,
« De l’imaginaire au “tout fictionnel” », Recherches en
communication,
n° 7, 1997, p. 106.
71 Anderson B.,
L’Imaginaire national :
réflexions sur l’origine et l’essor du nationalisme,
Paris, La Découverte, 2002.
72 « Padre
Echave : la justa bronca de los pobres », Cristianismo y
Revolución,
n° 29, juin 1971, p. 39.
73 Evita Montonera,
n° 9, novembre 1975, p 13.
74 Evita Montonera,
n° 22, septembre-octobre 1978.
75 Evita Montonera,
n° 6, août 1975, p. 29.
76 Ce
terme s’utilise en Argentine pour faire référence à l’enlèvement
de personnes suivi d’emprisonnement illégal dans des centres
clandestins de détention, où les prisonniers souffraient de graves
violations des droits de l’homme. La plupart étaient finalement
assassinés sans que leurs corps soient retrouvés.
77 « Projet
pour des archives d’image et de son », matériel de circulation
interne aux Montoneros, s. d., circa
1973, Fonds privé de Roberto Baschetti.
78 « Distributeur
pour la militance : une cinémathèque populaire », matériel de
circulation interne aux Montoneros,
s. d., circa
1973, Fonds privé de Roberto Baschetti.
79
Ibid.
80 Notre
entretien avec Ana Amado à Buenos Aires, 10 novembre 2010.
81 Ibid.
82 Comme dans
différentes villes européennes, les « maisons argentines » jouent
un rôle référentiel pour les exilés qui arrivent à Mexico. La CAS
(comisión argentina de
solidaridad)
représentait la gauche radicale et Roma I, celle des Montoneros.
Cf. Jensen S.
et Yankelevich P.
(dir.), Exilios. Destinos y
experiencias bajo la dictadura militar,
Buenos Aires, Libros del Zorzal, 2007.
83 Le film
Persistir es vencer
(Grupo
Cine de la Base, 1978, 15’) porte un message semblable à partir
d’une base matérielle du même type : l’entretien avec Luis
Mattini, secrétaire général du PRT, et avec Enrique Gorriarán
Merlo, membre du bureau politique du Parti et commandant de l’ERP.
Le film dénonce l’activité menée par le gouvernement militaire en
Argentine et convoque la résistance face à la répression.