1  « At the center of the Irish diaspora, and in the bones of an international Irish identity, has lain the unspoken suggestion that to be Irish is to differ from the norm », Lennon Joseph, Irish Orientalism: A Literary and Intellectual History, Syracuse, Syracuse University Press, 2004, p. 371.

2  Jenny Shaw discute les velléités des engagés et hommes libres irlandais dans Island Purgatory, op. cit., p. 129.

3  Ibid., p. 200 ; voir également Beckles H., « A Riotous and Unruly Lot », op. cit., p. 513.

4  Shaw J., Island Purgatory, op. cit., p. 224.

5  Beckles H., « A Riotous and Unruly Lot », op. cit., p. 508.

6  James Logan to the Penns, 14 novembre 1731, Penn MSS, Official Correspondence, vol. 2, p. 213, cité dans Griffin P., The People With No Name, op. cit., p. 103.

7  Ibid., p. 101. Voir également Wokeck M., Trade in Strangers, op. cit., p. 15 et 61.

8  Il est souvent difficile de savoir de quelle forme de protestantisme nous parlons. Seul le terme protestant était utilisé dans les sources.

9  Voir Peyrol-Kleiber Élodie, « “Ffourty thousand to cutt the Protestants Throats”: The Irish Threat in the Chesapeake and the West Indies, 1620-1700 », dans Lauric Henneton et Lou H. Roper (ed.), Fear and the Shaping of Early American Societies, Leiden, Brill Academic Publications, 2016.

10  Anon., The True Way to Render Ireland Happy and Secure, or, A Discourse wherein ‘tis shewn that ‘tis the interest of both England and Ireland to encourage foreign Protestants to plant in Ireland: in a letter to the right honourable Robert Molesworth, Dublin, Andrew Crook, 1697.

11  Emmer Pieter, « The Myth of Early Globalisation: The Atlantic Economy, 1500-1800 », Nuevo Mundo Mundos Nuevos, Coloquios, 2008, p. 3.

12  Henneton Lauric, dans sa thèse intitulée Liberté, inégalité, autorité : Politique, société et construction identitaire du Massachussetts au xvii^e siècle, Paris, université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines, 2006, p. 12, publiée Paris, Champion, 2009, cite Edward Gray disant que « peut-être faut-il être étranger, et avoir un jugement qui ne soit pas obscurci par le patriotisme, pour pouvoir comprendre ce qu’est l’Amérique ». Gray Edward, « The Little Picture, or, Who is afraid of the big question? », Common Place, vol. 6, n° 4, juillet 2006.

13  Voir par exemple l’introduction de Elliott John H., dans Nicholas Canny et Anthony Padgen (dir.), Colonial Identity in the Atlantic World, 1500-1800, Princeton, Princeton University Press, 1987, p. 3-13. Il met en avant les limites de recherches centrées sur les sociétés coloniales atlantiques de manière séparées et préconise une mise en commun de ces sociétés afin de créer une image à dimension atlantique.