1 Sur le personnage de Caoursin : Nicolas Vatin, Sultan Djem. Un prince ottoman dans l’Europe du xve siècle d’après deux sources contemporaines : Vâki’ât-i Sultân Cem, Œuvres de Guillaume Caoursin, Ankara, Publications de la société turque d’histoire, 1997 ; Theresa M. Vann, « Guillaume Caoursin’s Descriptio obsidione [sic] Rhodiae and the archives of the Knights of Malta », dans The Crusades and the Military Orders. Expanding the Frontiers of Medieval Latin Christianity, dir. Zsolt Hunyadi et József Laszlovszky, Budapest, 2001, p. 108-120 ; et Jean-Bernard de Vaivre, « La maison de Guillaume Caoursin à Rhodes », Archives héraldiques suisses, 2008-II, p. 224-230 ; « Guillaume Caoursin, ses origines douaisiennes et son portrait », ibid., 2009-II, p. 193-201 ; « Le siège de 1480, les tremblements de terre de l’année suivante et le remodelage de la ville de Rhodes » (dans ce même volume).
2 Gestorum Rhodie obsidionis Commentarii (Paris, BnF, ms. lat. 6067). Un très luxueux fac-similé du manuscrit a été publié sous le titre El Sitio de Rodas, Madrid, 2006, 2 vol., avec des commentaires dus à Alfonso Garcia Leal, Juana Hidalgo Ogáyar, Hugo O’Donnel et Carlos Morenés y Mariátegui. Ce manuscrit Luxueux s’avère cependant postérieur aux premières éditions incunables parues sous le titre de Descriptio obsidionis Rhodie (cf. Laurent Vissière, « Guillaume Caoursin : une conscience européenne en Méditerranée », dans La noblesse et la croisade à la fin du Moyen Âge : piété, diplomatie, aventure, Actes du colloque de Prague (26-27 octobre 2007), dir. Martin Nejetlý et Jaroslav Svátek, Toulouse, 2009, p. 245-275). Éd. moderne, mais peu fiable, du texte : Marios Philippides, dans Mehmed II the Conqueror, and the Fall of the Franco-Byzantine Levant to the Ottoman Turks : Some Western Views and Testimonies, Tempe (Arizona), 2007, p. 262-313. Une nouvelle édition est annoncée par Donald J. Kagay et Theresa Vann, Crusader Piety and Hospitaller Propaganda : Caoursin and the Ottoman Siege of Rhodes in 1480.
3 Sur ce tableau, voir Étienne Hamon : « Un présent indésirable : l’ex-voto de la victoire de Rhodes en 1480 à Notre-Dame de Paris », Bulletin monumental, 167-IV (2009), p. 331-336 ; et Laurent Vissière, « Note sur l’inscription latine du tableau du Siège de Rhodes, conservé à Épernay », ibid., p. 337-338. Sur les représentations de Rhodes à la fin du Moyen Âge : Jean-Bernard de Vaivre : « Autour du grand siège de 1480. Descriptions de Rhodes à la fin du XVe siècle », Bulletin de la Société de l’histoire et du patrimoine de l’ordre de Malte, n° 22 (2009), p. 36-117.
4 Jean-Bernard de Vaivre et moi-même préparons l’édition scientifique et comparée des différentes relations du siège pour les Éditions Droz. Je remercie d’ailleurs vivement J. -B. de Vaivre de m’avoir fourni de nombreux clichés d’excellente facture pour illustrer cet article.
5 Principaux récits en latin, outre la Descriptio : la lettre que Pierre D’Aubusson, grand-maître de l’ordre, a adressée au pape et à l’empereur, et qui fut sans doute rédigée par Caoursin (éd. et trad. angl., Philippides, dans Mehmed II…, op. cit., p. 316-333) ; le De urbis Collosensis obsidione a Turcis tentata, anno 1480, 23 maii (Venise, v. 1480) de Jacopo de Curti (GW 7860) ; et les Miracula obsidionis Rhodi (Reutlingen, 1480, éd. en annexe du présent article).
6 Principaux récits en français : une lettre anonyme datée du 13 septembre 1480 et connue par deux versions (éd. L. Vissière, « Le siège de Rhodes par les Turcs et sa médiatisation européenne [1480-1481] », communication au colloque « Conflits et opinion (s), XIIIe-XIXe siècle » [université du Maine, 4-6 mai 2009], à paraître) ; Le Siege de Rodes de Mary du Puis, connu par deux éditions incunables, Lyon et Audenarde, v. 1480-1481 (GW 9097 et 9098) – la première est celle de référence ; l’Histoire journalière (BnF, Dupuy 255).
7 La Guerra del Turco contro a Rodi [Florence, v. 1495].
8 Le texte n’est connu que par une copie lacunaire, datée du 13 septembre 1495, qui a reçu au XVIIe siècle le titre d’Histoire journalière du siège de Rhodes [désormais HJ] (BnF, Dupuy 255). Malgré ses manques, il demeure la meilleure relation connue du siège.
9 Sur l’usage de l’imprimé : L. Vissière, « Le siège de Rhodes… », op. cit. ; sur l’iconographie rhodienne : J.-B. de Vaivre, « Autour du grand siège de 1480… », op. cit.
10 Sur le siège, voir E. F. Mizzi, Le guerre di Rodi. Relazioni di diversi autori sui due grandi assedi di Rodi (1480-1522), Turin, 1934 ; Eric Brockman, The two sieges of Rhodes, 1480-1522, Londres, 1969 ; Kenneth M. Setton, The Papacy and the Levant (1204-1571), t. II : The Fifteenth Century, Philadelphie, Memoirs of the American philosophical society (t. 127), 1978, p. 346-363.
11 A défaut d’une véritable édition scientifique du texte de Caoursin, je prendrai comme référence l’édition vénitienne : Obsidionis Rhodie urbis Descriptio ([Venise, Erhard Ratdolt, vers 1480]) [désormais Descriptio], fos 1-4.
12 Dans les miniatures du ms. lat. 6067, les noms de « Bassa » et de « Bacha » apparaissent inscrits sur ses vêtements et sa tente écarlate.
13 BnF, ms. lat. 6067, f° 14 r°. La scène du conseil, imaginée par l’artiste, ne donne pas plus des portraits authentiques des personnages (c’est particulièrement net pour Mahomet II) qu’une représentation fidèle des jardins de Topkapi.
14 Descriptio, fos 2v°-3r°. Le grand-maître adressa une lettre circulaire à tous les frères de l’ordre le 28 mai 1480 (éd. et trad. angl. Philippides, dans Mehmed II…, op. cit., p. 335-339). Le 4 juin, il envoya par un brigantin le frère sergent, Bernard Le Gasquet, chargé d’un autre message pour le roi de Naples et le pape (HJ, fos 29v°-30v°). Ce personnage revint d’ailleurs, début août, avec les deux nefs napolitaines (ibid., f° 107r°).
15 Descriptio, f° 4.
16 Setton, The Papacy…, op. cit., t. II, p. 348-349.
17 La date est explicitement donnée par Mary du Puis (Le Siege…, op. cit., f° 4 v°) et Jacopo de Curti (De urbis Collosensis…, op. cit., f° 2r°) ; Caoursin évoque le 10 des Calendes de juin, soit le 22 mai (Descriptio, f° 4v°), mais les rares dates qu’il donne sont toutes en décalage par rapport aux autres relations du siège ; la Lettre anonyme mentionne, pour sa part, le 24 mai.
18 Lettre circulaire, op. cit. Dans la lettre que Louis XI envoya à la ville d’Angers pour célébrer la victoire, il parle de « . LX. à. IIIIxx. mil des meilleurs combatans » du Turc (Lettres de Louis XI, roi de France, éd. J. Vaesen, E. Charavay et B. de Mandrot, Paris, 1883-1909, 11 vol., t. VIII, p. 318-319). La fourchette varie globalement entre 60 000 et 120 000 hommes – chiffres qui ne sont pas forcément incompatibles si l’on tient compte de la masse toujours énorme des non-combattants. À titre de comparaison, Philippe Contamine estime qu’à la fin du XVe siècle, l’armée française en campagne compte un combattant pour trois hommes (Histoire militaire de la France, t. I : Des origines à 1715, Paris, 1997, p. 232).
19 Descriptio, f° 4v°. L’Histoire journalière, qui ne commence vraiment qu’à la date du 26 mai, ne parle pas de ces escarmouches.
20 Caoursin évoque le bombardement (Descriptio, fos 4v°-6r°) et une miniature montre l’effondrement partiel de la tour (BnF, ms. lat. 6067, f° 26 r°). Pour le détail de ce pilonnage : HJ, fos 19v°-20v°, 28v°-29v°.
21 Descriptio, fos 6v°-7r° ; HJ, fos 36-38 (9 juin).
22 Descriptio, fos 9-11 ; HJ, fos 41v°-42r° (12 juin : début de la construction du pont), 44v°-45r° (15 juin : achèvement du pont), 45v°-46v° (16-17 juin), 47-51 (18 juin). Le 19 juin, un transfuge turc rapporta que, lors de l’assaut, les Ottomans avaient perdu les trois principaux officiers après le bacha, dont le prince (HJ, f° 52).
23 HJ, fos 31v°-34v° (5-7 juin). Cf. aussi Descriptio, fos 11v° et 16r°.
24 Descriptio, f° 7v° ; HJ, fos 40v°-41r° (11 juin). Voir aussi le récit d’Obadiah de Bertinoro, de passage à Rhodes en 1487 (trad. Joseph Shatzmiller, dans Croisades et pèlerinages. Récits, chroniques et voyages en Terre sainte [xiie - xvie siècle], p. 1358-1373, ici p. 1362).
25 HJ, fos 64v°-65r° (3 juillet).
26 HJ, fos 58v°-59r° (24 juin), et 68r° (6 juillet).
27 HJ, fos 63-72 (1er-8 juillet). Notations similaires presque chaque jour du mois de juillet avant l’assaut.
28 Comme le rappelle l’auteur de l’Histoire journalière, le bacha avait déjà envoyé plusieurs lettres en ce sens (HJ, fos 82-84 : 16 juillet). Caoursin note aussi ces tentatives d’accord à l’amiable : après l’échec du premier assaut, Mesîh Pacha chercha à signer un accord séparé avec la population civile, en lui promettant de l’épargner, puis à faire capituler le grand-maître, en le menaçant des pires maux (Descriptio, fos 13v°-14v°) ; peu avant l’assaut final, les Turcs vouèrent aux tourments tous ceux qui ne renieraient pas leur foi (ibid., fos 15v°-16r°). Ils auraient taillé ostensiblement 8 000 pals pour leurs futures victimes (HJ, f° 92v°).
29 Le récit de la journée constitue le morceau de bravoure de l’Histoire journalière, dont l’auteur compare les exploits du grand-maître à ceux de Josué, Samson, Judas Macchabée, Roland et Olivier, (HJ, fos 89r°-98r°, notamment 91v°) ; Descriptio, fos 16r°-18r°.
30 Descriptio, f° 17v°. L’auteur de l’Histoire journalière évoque environ 3 000 morts pour cet assaut ; il rapporte aussi le récit de transfuges, arrivés le 30 juillet, qui dirent que, d’après les dernières montres, l’armée ottomane comptait 12 000 hommes de moins ; au lendemain de leur retraite, le 18 août, elle en aurait pleuré 30 000 (HJ, fos 97r°, 101v° et 111v°).
31 HJ, f° 105r°.
32 HJ, fos 107-108 et 109v°-110v° (10-11 et 13-15 août) ; Descriptio, fos 18v°-19r°. Détail amusant : le manuscrit de Caoursin, réalisé à la cour de France, attribue à la nef italienne les armes du roi René, alors qu’à cette date, régnaient à Naples les Aragonais (ms. lat. 6067, f° 80v°).
33 HJ, f° 111.
34 HJ, f° 112r° (pas de date précise).
35 Édouard Baratier et Félix Reynaud (dir.), Histoire du commerce de Marseille, Paris, 1949, 8 vol., t. II, p. 370-371. Je tiens à remercier ici Jacques Paviot qui m’a fait découvrir cette source.
36 Lettre anonyme du 13 septembre 1480, op. cit.
37 Pierre d’Aubusson s’était acquis les services du canonnier Johann Berger de Nordlingen (A. O. M., Reg. 387, f° 163 r°, cité par K. Setton, The Papacy…, op. cit., t. II, p. 350).
38 Descriptio, fos 3 et 5 ; HJ, fos 17v°-19v° (28 mai) ; 27v° (2 juin), 35 (8 juin), 40v° (11 juin).
39 HJ, fos 18v°-19r° (28 mai).
40 L’auteur du journal relate à plusieurs reprises les exploits de la Katherine, la bombarde « la plus grosse de Rhodes » (HJ, fos 40v°, 99r° et 105v° : 11 juin, 28 juillet et 3 août).
41 L’Histoire journalière note par exemple chez les défenseurs des « plombees de fer et de plomb », à côté des boulets de marbre (HJ, f° 20v°), mais n’évoque jamais que des pierres du côté turc.
42 HJ, f° 77 (11 juillet).
43 HJ, f° 64 (3 juillet).
44 HJ, f° 71v° (8 juillet). L’utilisation de l’huile bouillante est d’ailleurs confirmée par le poème italien (Guerra del Turco, op. cit., f° 1v° col. 2).
45 Abattre quelque Turc devenait apparemment même sujet de jeu ou pari : « Plusieurs arballestriers et espingardiers […] ne voulloient boyre ne menger que premier ilz n’eussent despeché quelque ung, et tel en y avoit que premier qui beust ne mengeast en despeschoient. V. ou. VI. » (HJ, f° 78 : 12 juillet).
46 Descriptio, f° 12v° ; HJ, fos 78v° et 88 (12 et 18-19 juillet). E. Brockman, The two sieges of Rhodes, op. cit., p. 45 et 83-84. À la même époque, vers 1482, Léonard de Vinci proposait à Ludovic le More de lui construire aussi bien des canons que des catapultes (André Chastel, Léonard de Vinci par lui-même, Paris, 1952, p. 65-67).
47 Le catapultage de cadavres n’est mentionné que par La guerra del Turco, op. cit., f° 3r° col. 1.
48 HJ, f° 20r° (29 mai).
49 HJ, f° 17v° (27 mai).
50 HJ, f° 20v° (29 mai).
51 HJ, f° 27v° (2 juin).
52 HJ, f° 29r° (3 juin).
53 HJ, f° 40v° (11 juin).
54 HJ, f° 70r° (7 juillet).
55 HJ, fos 56v°-57v° (23 juin).
56 HJ, fos 59v°-60r° (25 juin).
57 HJ, f° 74v° (9 juillet).
58 Rien n’amusait tant les Turcs que d’empaler leurs prisonniers. L’Histoire journalière en donne de nombreux exemples : fos 61r°, 74v°, 85r°-88r° (27 juin, 9 et 17-18 juillet) ; le grand-maître faisait empaler des captifs en représailles : fos 73v°, 87v°-88r°, 99r° (9, 18 et 28 juillet).
59 Descriptio, f° 16r°.
60 Le 2 juin, un boulet écrasa ainsi une femme et trois petits enfants, dont les débris éclaboussèrent les murailles ; le 28 juin, un autre creva la voûte de la cathédrale pendant la messe, mais sans tuer personne ; le lendemain, une pierre tomba sur le palais du grand-maître et finit sa course en faisant exploser une barrique de vin ; le 30, une autre ruina l’église de Sainte-Marie de la Place, tuant et blessant plusieurs hommes, etc. (HJ, fos 27v°, 61v°-62v°).
61 HJ, f° 23 (31 mai).
62 HJ, f° 88 (18-19 juillet).
63 HJ, f° 26v° (1er juin). Notations similaires dans La Guerra del Turco, op. cit. (en particulier fos 1v° col. 1, 3r col. 2).
64 . HJ, f° 36 (9 juin).
65 . Le janissaire, arrivé le 25 mai, avoua ses noirs desseins le 4 juin (HJ, fos 15v° et 31r°).
66 . HJ, f° 54v° (21 juin).
67 67. HJ, fos 31v°, 35v°, 73v° (5, 8 juin, 9 juillet). Cf. Descriptio, f° 5v°.
68 . Descriptio, f° 10 ; HJ, f° 87v° (17 juillet).
69 . HJ, fos 73v°-74v° (9 juillet). Le traître finit d’ailleurs empalé par les Turcs.
70 . HJ, f° 70 (7 juillet).
71 HJ, fos 56v°-57v° (23 juin).
72 On exposa ainsi des têtes au soir des 7 et 18 juin; après l’échec de l’assaut final, 336 cadavres turcs furent décapités et les corps furent ensuite jetés à la mer, chargée de les ramener « en leur païs de Turquie » (HJ, fos 34v°, 51r° et 98r°).
73 HJ, fos 41v° et 51r° (12 et 18 juin).
74 HJ, f° 51r° (18 juin).
75 HJ, fos 92v°-98r° et 100v°-101r° (27 et 30 juillet).
76 HJ, fos 101v°-102r° (30 juillet).
77 Obadiah de Bertinoro, op. cit., p. 1362.
78 Miracula obsidionis Rhodi (Londres, British Library, IA 10650). Le document a été traduit en anglais et commenté par Michael Herzfeld, « New Light on the 1480 Siege of Rhodes », The British Museum Quaterly, vol. 36, n° 3-4 (1972), p. 69-73. L’auteur semble ignorer que la pièce avait été reproduite in extenso dans la chronique de Konrad Stolle, contemporaine des événements (Konrad Stolle, « Memoriale » (thüringisch-erfurtische Chronik), éd. Richard Thiele, Halle, 1900, p. 420-422, n° 332 : « Wie die Turcken die Insel unnd Stad Rodis gewynne wolden »). Cf. L. Vissière, « Le siège de Rhodes… », op. cit.
79 K. Stolle donne une version des Miracula nettement meilleure que celle de l’incunable, mais il est impossible de déterminer s’il en a reproduit une édition différente, qui serait aujourd’hui perdue, ou s’il s’est contenté d’amender et de préciser le texte – ce qui semble très probable. C’est donc le texte de l’incunable que l’on a choisi comme base ; de la version de Stolle, on a indiqué en note les variantes significatives (mais pas orthographiques). Quelques menues corrections ont été ajoutées.
80 Chez Stolle, le titre se trouve à la fin et commence par les mots : « Miracula predicta que tempore… ».
81 Mention manuscrite en marge ; « Anno Domini. M° CCCC° LXXX° » (Stolle).
82 La correction « nona decima » proposée par l’éditeur de Stolle n’a pas lieu d’être.
83 « ante civitatem Rodis sitam » (ajout de Stolle).
84 « ex » (Stolle).
85 « fuerunt » (Stolle).
86 « fuit » (Stolle).
87 « vidisse » (ajout de Stolle) : l’éditeur moderne du texte a cru bon de le corriger en ajoutant un « se » devant le verbe et en supprimant à la fin de la phrase le verbe conspexisse, qui fait doublon.
88 « scilicet beatam Mariam Virginem » (ajout de Stolle).
89 « grandidate » (Stolle).
90 « quum » (Stolle).
91 Correction d’après Stolle.
92 Correction d’après Stolle (texte : « ipsis Thurcis »).
93 Correction d’après Stolle.
94 « divagare » (Stolle).
95 L’éditeur de Stolle propose de rétablir « comperuerunt ».
96 Correction d’après Stolle.
97 Ajout d’après Stolle.
98 Texte : « dilatans » (correction de l’éditeur de Stolle).
99 Correction d’après Stolle.
100 Stolle ajoute « Rodis ».
101 Stolle ajoute « de Rodis ».