Les auteurs
p. 149-152
Texte intégral
1Kenji Iwamoto
2Longtemps professeur à l’université Waseda, Kenji Iwamoto enseigne aujourd’hui à l’université Nihon daigaku (Tôkyô). Historien du cinéma et critique des arts de l’image, il a publié de nombreux ouvrages, parmi lesquels : Gentôki no seiki : eiga zenya no shikaku bunkashi (Les Siècles de la lanterne magique : histoire de la culture visuelle avant le cinématographe, Moriwa-sha, 2002) ; Hikari to kage no seiki : eigashi no fûkei (Le Siècle de l’ombre et de la lumière :l’histoire en images du cinéma, Moriwa-sha, 2006) ; et Sairento kara tôkî he : Nihon eiga keisetki no hito to bunka (Du muet au parlant : hommes et culture pendant la période de formation du cinéma japonais, Moriwa-sha, 2007).
3Marie-Pierre Litaudon
4Docteur en littérature générale et comparée de l’université Rennes 2, Marie-Pierre Litaudon est également chercheur associé à la Bibliothèque nationale de France. Sa thèse a pour objet : « Les abécédaires contemporains de l’enfance au regard de l’histoire du genre (le domaine français et sa mise en perspective avec le domaine anglo-saxon) ». Elle a publié divers articles et contributions à des ouvrages collectifs sur ces domaines.
5Christophe Marquet
6Professeur à l’Institut national des langues et civilisations orientales, spécialiste de l’histoire de l’art et du livre illustré japonais, Christophe Marquet a co-dirigé l’ouvrage Du pinceau à la typographie. Regards japonais sur l’écriture et le livre (EFEO, 2006/édition japonaise : Tôkyô, Bensei shuppan, 2009) et édité les actes du colloque Regarder Vécrit, lire les images. La littérature japonaise et ses supports (Ajia yûgaku, n° 109, Bensei shuppan, 2008). Il a publié plusieurs fac-similés et traductions de livres illustrés de l’époque d’Edo : Hokusai manga de Katsushika Hokusai (BNF, Seuil, 2007, en collaboration avec Jocelyn Bouquillard) ; Esquisses au fil du pinceau de Shunboku et Morikuni (INHA, Picquier, 2007) ; L’Almanach des maisons vertes d’Utamaro et Ikku (INHA, Picquier, 2008).
7Naoko Morita
8Professeur adjoint à l’université du Tôhoku (Japon), membre du Centre d’étude de l’écriture et de l’image (CEEI, université Paris Diderot), Naoko Morita est spécialiste des rapports entre le texte et l’image en France au xixe siècle, de la bande dessinée et du manga, et des théories littéraires. En français, elle a publié notamment : « Une lectrice des Thibault en bande dessinée – Kiiroi Hon (1999) de Takano Fumiko » (Ebisu. Études japonaises, n° 35, printemps-été 2006, Tôkyô, Maison franco-japonaise. Article en ligne sur le site http://www.mfj.gr.jp/publications/ebisu/index.php) ; « Le genkô-yôshi, support de manuscrit au Japon » (Du lisible au Visible, sous la direction d’Anne Kerlan-Stephens et Cécile Sakai, Arles, Éditions Philippe Piquier, 2006).
9Jacques Perriault
10Professeur en information et en communication à l’Université de l’Ouest parisien –Nanterre, Jacques Perriault a conduit de nombreux travaux sur les dispositifs de communication depuis la lanterne magique jusqu’aux réseaux numériques pour l’accès au savoir. Ses principaux ouvrages sont : Mémoires de l’ombre et du son, Une archéologie de l’audiovisuel, Flammarion, 1981 (grand prix d’histoire de la photographie) ; La Logique de l’usage. Essai sur les machines à communiquer, Flammarion, 1989 ; La Communication du savoir à distance, l’Harmattan, 1996 ; Éducation & nouvelles technologies. Théorie et pratiques, Nathan, 2002 ; avec Michel Arnaud, Les Espaces publics d’accès à Internet, PUF, 2002 ; L’Accès au savoir en ligne, Éditions Odile Jacob, 2002. Il a dirigé avec Anne-Marie Laulan le n° 48 de la revue Hermès (CNRS) : « Les racines oubliées des sciences de la communication » (sous presse). De décembre 1998 à janvier 2001, Jacques Perriault a présidé la Société Française des Sciences de l’Information et de la Communication. Il anime depuis 2000 la commission « Technologies de l’information pour l’éducation, la formation et l’apprentissage » de l’Association française de normalisation (Afnor).
11Annie Renonciat
12Professeur des universités, membre du Centre d’étude de l’écriture et de l’image (CEEI, université Paris Diderot), Annie Renonciat enseigne à l’université Paris-Diderot et dirige le pôle scientifique de l’INRP (Institut National de Recherche Pédagogique/Musée national de l’Éducation), à Rouen. Spécialiste de l’histoire de l’image dans ses liens au livre et à l’édition, elle a publié des ouvrages sur l’histoire du livre et de ses illustrateurs au xixe siècle (Gustave Doré, J. J. Grandville) et sur les supports pédagogiques et de loisirs pour la jeunesse aux xixe et xxe siècles : albums et livres illustrés ; bandes dessinées ; imagerie en feuilles ; imagerie pour projections lumineuses ; cinéma pédagogique ; histoire et décor de la chambre d’enfant. Elle a notamment dirigé : Livres d’enfance, livres de France, Paris, Hachette, 1998 ; L’image pour enfants : pratiques, normes, discours, Presses universitaires de Rennes, 2000 (rééd. en 2007). Elle dirige actuellement des recherches à l’INRP sur l’histoire de la pédagogie par l’image. Commissaire de l’exposition « La pédagogie par l’image aux temps de l’imprimé, du xvie-xxe siècles » au Musée national de l’Éducation, elle prépare un ouvrage sur ce sujet, à paraître en 2010.
13Isabelle Saint-Martin
14Maître de conférences en histoire de l’art à l’École pratique des Hautes Études (EPHE, section des sciences religieuses), membre du Centre d’étude de l’écriture et de l’image (CEEI, université Paris Diderot), Isabelle Saint-Martin conduit des recherches sur les relations entre le christianisme et les arts visuels aux xixe et xxe siècles. Elle a notamment publié : Voir, savoir, croire. Catéchismes et pédagogie par l’image au xixe siècle (Honoré Champion, 2003) et, en co-direction avec E. Dianteill et D. Hervieu-Léger, La Modernité rituelle. Rites politiques et religieux des sociétés modernes (L’Harmattan, 2004) ; avec J.-M. Leniaud, Historiographie de l’histoire de l’art religieux en France à l’époque moderne et contemporaine. Bilan bibliographique (1975-2000) et perspectives (Brepols, 2005).
15Marianne Simon-Oikawa
16Professeur adjoint à l’université de Tôkyô, membre du Centre d’étude de l’écriture et de l’image (CEEI, université Paris Diderot), Marianne Simon-Oikawa travaille sur les relations entre le texte et l’image en France et au Japon. Ses articles sur les images en écriture (moji-e) publiés en français depuis 2000 incluent notamment « L’Écriture du bonheur : divinités populaires et images en écriture au Japon (xviie-xixe siècle), Ebisu. Études japonaises, n° 23, printemps-été 2000, Tôkyô, Maison franco-japonaise, p. 57-93 ; « Des images en écriture », dans Anne-Marie Christin (dir.), Histoire de l’écriture, de l’idéogramme au multimédia, Flammarion, 2001, p. 145-147 ; « Écrire pour peindre : Les moji-e de Hokusai et de Hiroshige », dans Anne-Marie Christin et Atsushi Miura (dir.), « La Lettre et l’image : nouvelles approches », Textuel, n° 54, université Paris Diderot/CEEI, 2007, p. 75-96. Elle travaille par ailleurs sur la poésie visuelle en France et au Japon.
17Torahiko Terada
18Professeur adjoint à l’université de Tôkyô (Komaba), membre du Centre d’étude de l’écriture et de l’image (CEEI, université Paris Diderot), Torahiko Terada est docteur de l’université Paris Diderot. Sa thèse porte sur « Les procédés photomécaniques et l’illustration des textes littéraires français dans le dernier quart du xixe siècle ». Il a publié divers articles au Japon sur les sources iconographiques de Zola et sur l’illustration de ses ouvrages. Depuis plusieurs années, il conduit des recherches sur la pédagogie et l’histoire de l’apprentissage du kanji par l’image.
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