Colette

Francine Dugast-Portes

doi:10.4000/books.pur.33667

Informations sur la couverture

Liens vers le livre

Informations sur la couverture

Formats de lecture

Colette

Les pouvoirs de l'écriture

Francine Dugast-Portes

Les pouvoirs de l’écriture chez Colette, c’est l’art « décrétal » de susciter la présence dans les portraits, de ressusciter les souvenirs d’enfance et leur charge de « sauvageries », mais aussi de créer ou recréer des silhouettes délibérément fictives – Claudine, Gigi, Don Juan – alliant charme et scandale. Au fil des lettres, des reportages, des chroniques d’un temps pour nous révolu, le monde se peint dans un regard ; l’extrême recherche du style unit indissolublement les volutes esthétique...

Lire plus

Éditeur : Presses universitaires de Rennes

Lieu d’édition : Rennes

Publication sur OpenEdition Books : 18 juillet 2016

ISBN numérique : 978-2-7535-4591-5

DOI : 10.4000/books.pur.33667

Collection : Interférences

Année d’édition : 1999

ISBN (Édition imprimée) : 978-2-86847-427-8

Nombre de pages : 218

Soutiens à la numérisation

Avant-propos

Jacques Dupont

Colette « météorologue »

Marie-Françoise et Berthu-Courtivron

Présentation

Entre tradition et modernité

Le temps du portrait

L’art du portrait dans Trait pour trait

L’image de l’enfance et ses fonctions dans l’œuvre de Colette. Entre tradition et modernité

Modernisation des types

De Claudine à Gigi

Don Juan dans l’œuvre de Colette

Les pouvoirs de l’écriture

« Cette forme décrétale de l’observation »…

L'écriture et la nécessité

L’esprit de la chronique

Lettres de Colette à Annie de Pène et Germaine Beaumont

Colette et Blaise vont en bateau…

Colette et le Palais-Royal

L’œuvre – sulfure

Cercles et intersections dans La Maison de Claudine

L’Étoile Vesper

Le Fanal bleu, ou l’art de maîtriser le temps

Table des illustrations

Les pouvoirs de l’écriture chez Colette, c’est l’art « décrétal » de susciter la présence dans les portraits, de ressusciter les souvenirs d’enfance et leur charge de « sauvageries », mais aussi de créer ou recréer des silhouettes délibérément fictives – Claudine, Gigi, Don Juan – alliant charme et scandale. Au fil des lettres, des reportages, des chroniques d’un temps pour nous révolu, le monde se peint dans un regard ; l’extrême recherche du style unit indissolublement les volutes esthétiques à une éthique, quelque peu nietzschéenne, qui fonde sa loi propre dans la nécessité de l’écriture, et irradie en sagesse ultime.

Francine Dugast-Portes

Voir plus de livres

Louis Guilloux, devenir romancier

Sylvie Golvet

2010

Rêve et réalité dans Le Soulier de satin

Bernard Hue

2005

La critique, le critique

Émilienne Baneth-Nouailhetas (dir.)

2005

Les « amis belges »

Presse littéraire et franco-universalisme

Paul Dirkx

2006

Comparer l’étranger

Enjeux du comparatisme en littérature

Émilienne Baneth-Nouailhetas et Claire Joubert (dir.)

2007

Les clefs des textes médiévaux

Pouvoir, savoir et interprétation

Fabienne Pomel (dir.)

2006

Plaire et instruire

Le spectacle dans les collèges de l'Ancien Régime

Anne Piéjus (dir.)

2007

Images du Moyen Âge

Isabelle Durand-Le-Guern

2007

L'art de la préface au siècle des Lumières

Ioana Galleron (dir.)

2007

La couleur, les couleurs

XI^es Entretiens de La Garenne-Lemot

Jackie Pigeaud (dir.)

2007

Lignes et lignages dans la littérature arthurienne

Christine Ferlampin-Acher et Denis Hüe (dir.)

2007