Avant-propos
p. 13-20
Texte intégral
1L’objectif du colloque Lectures du Moyen Âge qui s’est tenu à Lorient du 31 mars au 2 avril 2005 était de faire le point sur une question à la fois littéraire et historique, et plus largement culturelle : celle de la représentation du Moyen Âge à diverses périodes de notre histoire.
2L’idée et la réalisation de ce colloque sont le fruit d’une collaboration entre enseignants-chercheurs en histoire et en littérature de l’Université de Bretagne-Sud : Marie Casset, Joëlle Quaghebeur (membres du SOLITO) et Jean-Louis Benoit (membre comme moi-même de l’ADICORE) ont ainsi permis la tenue et le bon déroulement de ce colloque, ainsi qu’Éric Limousin, directeur du département d’histoire, qui a accepté d’en assurer l’ouverture. Il nous faut également mentionner ici Jean Peeters et Gérard Le Bouëdec, respectivement directeurs des équipes de recherche ADICORE et SOLITO. Que tous soient ici remerciés.
3On a pu constater ces dernières années un regain d’intérêt pour la représentation du Moyen Âge, notamment concernant le xixe siècle. Nous pouvons en effet signaler un certain nombre de publications récentes portant sur la question de la représentation du Moyen Âge : Le Moyen Age des romantiques1, Le Moyen Age au miroir du xixe siècle (1850-1900)2, un numéro spécial des Cahiers de Recherches Médiévales consacré aux Figures mythiques médiévales aux xixe et xxe siècles3, et, en 2006, un ouvrage offrant une large réflexion sur cette question, La Fabrique du Moyen Age au xixe siècle. Représentations du Moyen Age dans la culture et la littérature françaises du xixe siècle4.
4S’appuyant sur cet intérêt accru ces dernières décennies pour l’époque médiévale et les phénomènes de revival, les organisateurs ont choisi d’ouvrir largement ce colloque à des communications portant sur divers domaines culturels et sur diverses périodes5, afin de voir en quoi la représentation qui en est proposée dans les arts, la littérature ou l’histoire, se trouve généralement sous-tendue par une visée idéologique, ou, tout au moins, par une vision du monde qui contribue à faire émerger telle ou telle image privilégiée du Moyen Âge.
5Les communications ont porté sur des sujets variés : représentations de figures historiques médiévales, échos et utilisations d’auteurs et de textes médiévaux, fortune littéraire et artistique de certains événements historiques du Moyen Âge, enseignement, cinéma, arts, philosophie… Celles-ci ont eu trait à diverses aires culturelles, géographiques ou linguistiques.
6Cette question des représentations du Moyen Âge faisait écho à des préoccupations modernes. Rappelons qu’à la suite de l’appel à communication s’est constituée une association, « Modernités médiévales » s’intéressant à toutes les formes d’intérêt pour le Moyen Âge et de revival. Le colloque a permis de réunir pour de premiers échanges adhérents et sympathisants de cette association.
Moyen Âge politique
7La participation d’historiens, médiévistes ou non, à ce colloque, a montré combien la question des représentations constituait une interrogation essentielle au sein des études historiques. Celle de la représentation du Moyen Âge en est un excellent exemple, en ce que cette époque cristallise des images et des mythes à forte teneur idéologique, et ce quelle que soit l’époque considérée, qu’il s’agisse du Moyen Âge lui-même (J. Quaghebeur et P. Adadjidi), du xviiie (I. Galleron), du xixe (M. Casset) ou du xxe (C. Garcia, A. Léonard, L. Broche). Tous montrent la plasticité d’un Moyen Âge constitué en enjeu politique majeur, et ce bien souvent au prix de l’authenticité historique.
8Les communications autour de cet axe ont montré divers exemples d’usages idéologiques du Moyen Âge, allant d’une utilisation explicitement politique de propagande (Joëlle Quaghebeur et Priscille Adadjidi) à une mythification plus ou moins consciente comme celle que pointe Laurent Broche à travers l’usage politique et linguistique du terme « Moyen Âge ». Joëlle Quaghebeur et Priscille Adadjidi étudient en quelque sorte le Moyen Âge au miroir de lui-même, puisqu’elles s’intéressent à l’image de l’époque médiévale à la fin de cette même période. Ainsi Priscille Adadjidi analyse l’utilisation des rois des premiers siècles du Moyen Âge en montrant comment le modèle du roi charitable est utilisé politiquement. Elle souligne le processus d’idéalisation, notamment à travers les figures de Clovis et de Charlemagne, mis au service d’une volonté politique et d’un renforcement de la monarchie française. C’est également une volonté de propagande que montre Joëlle Quaghebeur en étudiant l’exemple de Pierre le Baud et de son Histoire de Bretagne, mise en œuvre au profit d’un projet politique. Charles Garcia s’attaque également à un usage politique du Moyen Âge, un usage contemporain cette fois puisqu’il s’agit d’interroger la lecture que fait le xxe siècle des révoltes populaires en Léon-Castille au xiie siècle. Il montre en effet les détournements idéologiques opérés, soulignant le processus de mythification de l’histoire. C’est un autre mythe auquel s’intéresse Alexis Léonard, celui des Celtes ou plus précisément celui d’une « celtisation du Moyen Âge » et à son corollaire, une « mise entre parenthèses du Moyen Âge chrétien ». Contre les excès de la celtomanie et le repli identitaire, Alexis Léonard tente de redonner sa juste place à l’influence chrétienne sur les civilisations celtes. Dans une perspective très contemporaine, Laurent Broche s’intéresse à ce « nouveau Moyen Âge » dont il montre la récurrence au travers des stéréotypes véhiculés par les écrits politiques et journalistiques. Il souligne ainsi qu’« en dépit du travail et des rappels à l’ordre des historiens », « on use toujours du recours analogique au Moyen Âge pour dénoncer ». Cette persistance des images les plus fausses et des stéréotypes les plus creux fournirait ainsi, s’il en était besoin, une justification à la tenue de ce colloque…
9Enfin, dans une perspective toujours politique mais aussi littéraire, Marie Casset et Ioana Galleron s’interrogent respectivement sur le Moyen Âge du roman de Walter Scott, Ivanhoé et sur celui de l’Encyclopédie. Ce sont les châteaux d’Ivanhoé qui retiennent l’attention de Marie Casset, châteaux dont elle interroge la fonction au sein du roman, en soulignant le mélange de précision documentaire et de volonté démonstrative (condamnation des Templiers par exemple) qui caractérise leur traitement. Les châteaux d’Ivanhoé constituent ainsi un roman sur le Moyen Âge « plus plausible qu’authentique ». Ioana Galleron montre comment, tout en constituant le Moyen Âge en repoussoir à la philosophie des Lumières, les encyclopédistes posent les bases de notre compréhension moderne de cette période.
Moyen Âge littéraire
10L’usage littéraire du Moyen Âge est évidemment multiple : cadre historique d’une intrigue, réécriture de motifs ou même de textes médiévaux, constitution de mythes associés à cette période… la diversité des communications proposées a permis d’interroger différents usages du Moyen Âge en littérature et d’en extraire les particularités.
11L’un des grands axes de l’usage littéraire du Moyen Âge est constitué par la reprise et la réécriture de mythes ou de motifs médiévaux. Dans un dialogue intertextuel avec les auteurs du Moyen Âge, la modernité fait sienne ce patrimoine culturel et littéraire.
12Ainsi certaines études comme celle de Myriam White sur la légende du purgatoire de Saint Patrick nous montrent la fertilité et la plasticité de ces mythes médiévaux. De la même manière, Jean-Louis Benoit, étudiant le personnage du saint médiéval Alexis (renonçant au mariage et au monde pour mener une vie consacrée à Dieu), en montre la postérité littéraire et la profonde modernité.
13Mais le Moyen Âge ne fait pas seulement retour sous forme de réécriture mythique ; il trouve aussi une présence littéraire au travers de reprises formelles comme le soulignent Dominique Demartini avec l’exemple d’Italo Calvino et Fabienne Pomel avec celui de Michel Rio, reprises qui malmènent et bouleversent le « modèle textuel médiéval » (F. Pomel). Toujours dans la perspective d’une réécriture, Vincent Ferré analyse la modernité du Moyen Âge littéraire à travers l’exemple du roman de Montalban, Erec y Enide, réécriture sur différents plans qui crée « plusieurs niveaux de correspondance entre l’œuvre de Chrétien et celle de Montalban », invitant le lecteur « à réfléchir à la fois à la question de l’interprétation des codes et de la littérature, et à celle de l’engagement de l’individu ». Denis Hue enquête sur une supercherie littéraire de la fin du xviiie siècle, celle des poésies médiévales de Clotilde de Surville soi-disant découvertes par son descendant Joseph. Mais au-delà du jeu, « ce que nous propose Joseph de Surville, ce n’est pas qu’une œuvre poétique, c’est tout un monde perdu, et peut-être un mythe étiologique, qui cherche à replacer la poésie dans un temps parfait, temps d’avant la faute, temps de l’innocence ».
14Il convenait également de s’interroger sur un usage contemporain bien particulier du Moyen Âge, celui qu’en fait la fantasy. Trois études permettent de se pencher sur cette question. Tolkien se trouve au cœur des interrogations de Valérie Naudet. Elle analyse le personnage d’Aragorn et sa filiation avec le modèle du roi médiéval constitué par les deux pôles que sont Charlemagne et Arthur. Les cycles de Marion Zimmer Bradley et de Jean-Louis Fetjaine étudiés par Anne Besson sont l’objet d’une réflexion sur la relecture de la « préhistoire arthurienne par la fantasy contemporaine », réécritures proliférantes qui signalent la vitalité de la légende, et peut-être aussi son appauvrissement.
15Le roman policier constitue également un genre apte à accueillir certaines images médiévales, comme le montre Isabelle Durand-Le Guern à travers notamment le roman d’Umberto Éco, Le Nom de la rose, réceptacle de représentations aussi diverses que celles du roman gothique ou de stéréotypes issus aussi bien d’une tradition littéraire que d’une vision moderne du Moyen Âge.
16Enfin il convenait de compléter cet aperçu des usages littéraires du Moyen Âge par une exploration du domaine poétique. Étienne Dobenesque pose la question de la rupture (ou de la continuité) entre le Moyen Âge et la Renaissance à travers le rapport de Marot et de Du Bellay aux poètes médiévaux. C’est aussi dans leur relation avec la poésie médiévale de Dante que sont saisis Dante Gabriel Rossetti et Paul Valéry (Erica Durante) tandis qu’Élodie Burle s’attache à définir la figure du conteur médiéval Merlin à travers les réécritures de Florence Delay, Boris Vian et Louis Aragon.
17Une vision d’ensemble de ces communications permet de mettre en évidence un usage du Moyen Âge peut-être quelque peu inattendu, usage qui se fonde sur le jeu intertextuel et la réécriture, ludique ou même ouvertement parodique. Si les multiples reprises de la légende arthurienne au sein de la fantasy contemporaine (Anne Besson) affaiblissent peut-être la légende par leur éparpillement, elles constituent néanmoins un enrichissement. Plus riches encore nous semblent être les réécritures orchestrées par Tolkien, Miche Rio ou Montalban, en ce qu’elles créent un dialogue ludique avec le texte médiéval. Certes, les textes qui s’attachent à représenter ou réécrire le Moyen Âge n’échappent pas aux stéréotypes (U. Eco), mais c’est bien souvent pour les subvertir ou en renouveler la signification. La variété des exemples et des angles d’attaque envisagés par les participants est la preuve de l’étonnante plasticité du Moyen Âge ainsi que de la vitalité des images qui le constituent.
18Mais ces « lectures » du Moyen Âge ne se limitent pas à la littérature ; il semble même que cette « modernité médiévale », à l’origine de la réflexion qui a présidé à ce colloque, soit plus visible (dans tous les sens du terme) au sein de pratiques artistiques ayant pour finalité la représentation. C’est à ce Moyen Âge représenté voire exhibé que se sont consacrées une bonne partie des communications.
Représenter : le Moyen Âge dans les arts
19La variété des arts abordés a permis de montrer d’une part l’étendue du regain d’intérêt pour le Moyen Âge, au-delà des simples questions historiques ou littéraires, d’autre part de mettre en évidence une convergence dans les représentations et interprétations du Moyen Âge, par-delà les formes choisies. Qu’il s’agisse en effet de théâtre, de cinéma, d’illustration ou d’architecture, les questions posées par la mise en images du Moyen Âge se rejoignent. Les différentes images exhibées tendent bien souvent vers une idéalisation du Moyen Âge, parfois soumise à une interprétation idéologique. C’est dans cette direction que nous entraînent des communications aussi différentes que celles de Véronique Dominguez, Timothée Picard, Bernard Ribémont ou Hélène Rousteau-Chambon. Le théâtre, l’opéra, la bande dessinée et l’architecture apparaissent ainsi comme autant de modes d’expression d’une certaine instrumentalisation du Moyen Âge, au service d’une idéologie généralement conservatrice. D’autres études mettent plutôt l’accent sur la dimension légendaire du Moyen Âge, objet d’une représentation qui vise à effacer quelque peu son historicité (Adeline Richard, Michèle Gally). La question du mythe se trouve au cœur de ces réflexions qui interrogent la capacité du Moyen Âge à intégrer cette dimension mythique.
20La question de la représentation théâtrale a été au cœur des interrogations de Véronique Dominguez, Annick Le Scoëzec-Masson et Michèle Gally. Toutes trois interrogent cette modernité médiévale à travers divers exemples et diverses problématiques : Valle-Inclan et M. de Ghelderode, Gracq, Vaillant et Anouilh, et les mises en scène au xxe des mystères médiévaux. Véronique Dominguez analyse ainsi la mythification dont est l’objet le théâtre médiéval, mythification fondée sur des stéréotypes discutables comme ceux qui associent le théâtre médiéval au plein air et à la communion des foules. Elle montre comment l’idéalisation de ce passé médiéval constitue un enjeu idéologique majeur : « Si les mythes du plein air et de la communion du public devant le théâtre ancien sont tenaces, c’est que la restitution de son Moyen Âge dramatique devrait offrir à la société française l’image idéalisée d’un passé sans nuage, au moment où le pays traverse des crises […]. » C’est aussi à une idéalisation du passé associée à un refus du présent que se livrent valle-Inclan et M. de Ghelderode, analysés par Annick Le Scoezec-Masson. Michèle Gally, elle, s’interroge sur la capacité de « figures médiévales [à] accéder au rang mythique des figures antiques ». Elle montre l’échec de cette prétention, échec selon elle lié à l’historicité du Moyen Âge, « mémoire indécise [qui] parle pourtant encore en nous, comme histoire, comme légende, comme langue ».
21La représentation, c’est aussi celle de l’opéra et du ballet qu’analysent Adeline Richard et Timothée Picard. Adeline Richard prend l’exemple de Raymonda pour montrer comment le choix du Moyen Âge dans le ballet s’avère extrêmement pertinent, « en ce que cette époque devenue presque légendaire constitue une sorte de hors-temps où le religieux et la surhumanité héroïque ont encore leur place ». Dans la lignée de cette idéalisation du Moyen Âge, mais pour en souligner la dimension incontestablement idéologique, Timothée Picard prend pour objet le Moyen Âge wagnérien et son utilisation au cours du xxe siècle. Il rejoint Véronique Dominguez dans ses conclusions en montrant notamment la place du mythe médiéval wagnérien au sein des nationalismes : « À travers l’Europe, le mythe médiéval wagnérien permet la formulation utopique d’un art collectif national, d’une esthétique auréolée de religiosité. Les principaux mythes wagnériens vont servir à donner la figuration artistique et philosophique de l’histoire en train de se vivre. »
22Deux études nous permettent d’aborder ces arts à la fois modernes et populaires que sont le cinéma et la bande dessinée. Fleur Vigneron souligne l’étonnante modernité du Moyen Âge dans L’Éternel Retour de Cocteau, tandis que Bernard Ribémont s’intéresse aux stéréotypes des Aventures de Blake et Mortimer (héros d’Edgar P Jacob), façonnant un Moyen Âge au service d’une idéologie sociale fortement conservatrice : « l’imaginaire politique de la société médiévale ressurgit fort à propos pour sous-entendre que la classe des laboratores doit rester fortement encadrée et que, lorsqu’elle sort de ses limites, elle doit être punie ».
23Les illustrations de la bande dessinée d’E. P Jacob sont bien éloignées, esthétiquement et idéologiquement, de celles que nous fait découvrir Julia Drobinsky avec William Morris et Edward Burne-Jones, hérauts de la renaissance du livre médiéval à la fin du xixe siècle. C’est également à une lecture sacralisante du Moyen Âge, et surtout fortement idéologisante que se livrent les auteurs du xixe siècle à travers leur représentation de l’ogive (Stéphanie Moore Glaser). Cette étude fait écho à celle d’Hélène Rousteau-Chambon qui analyse l’usage idéologique des reconstructions gothiques au xviie siècle. Ainsi la reconstruction en style gothique de la cathédrale d’Orléans permet « d’abolir les dévastations des guerres de religion ». On se trouve ainsi au cœur d’un usage explicitement politique du Moyen Âge et de ses représentations.
24Pour conclure cette présentation, il semble important de souligner la convergence de ces études consacrées à la représentation du Moyen Âge, par-delà la diversité des domaines de recherche. On notera tout d’abord que, ces communications en témoignent, l’intérêt pour le Moyen Âge apparaît comme une préoccupation contemporaine, si l’on en juge par le nombre d’études consacrées au xxe siècle. Jamais peut-être on ne s’était senti aussi proche du Moyen Âge que dans notre modernité, qui se tourne vers cette période pour l’interroger et surtout pour s’interroger elle-même. Par ailleurs, il semblerait aussi que ce rapport au Moyen Âge prenne racine dans le xixe siècle (romantisme et fin de siècle), comme le montrent par exemple les communications de Stéphanie Moore Glaser, Julia Drobinski ou Marie Casset. Mais le mérite de ce colloque est aussi de ne pas entretenir le mythe d’un oubli total du Moyen Âge entre le xvie et le xixe. Les études consacrées à ces périodes montrent en effet que si le rapport au Moyen Âge a été différent de ce qu’il devient par la suite avec le revival romantique, le Moyen Âge reste une référence dominante : pour les poètes du xvie (Étienne Dobenesque), pour le catholicisme des temps modernes (Hélène Rousteau-Chambon), pour les encyclopédistes (Ioana Galleron). On a ainsi l’esquisse d’une histoire des représentations du Moyen Âge, histoire évidemment lacunaire, dont l’essentiel reste à écrire. Souhaitons que ce colloque, précieux par la qualité des interventions (dont je remercie ici les auteurs) soit le point de départ d’une réflexion plus ambitieuse, et d’ouvrages à venir.
Notes de bas de page
1 Durand-Le Guern Isabelle, Presses Universitaires de Rennes, 2001. On pourra se référer à cet ouvrage pour de plus amples références bibliographiques.
2 Actes du colloque de Saint-Quentin-en-Yvelines (22-23 juin 2000), ouvrage coordonné par Laura Kendrick, Francine Mora et Martine Reid, Paris, l’Harmattan, 2003.
3 No 11, année 2004, sous la direction d’Alain Montandon.
4 Sous la direction de Bernard-Griffiths S., Glaudes P. et Vibert B., Paris, Honoré Champion ; coll « Romantisme et modernité », n° 94, 2006.
5 Les ouvrages cités précédemment se limitent en effet à la littérature et aux xixe et éventuellement xxe siècles.
Auteur
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