Conclusion générale
p. 263-269
Texte intégral
1Au terme de cette investigation pluridisciplinaire des rapports entre enfants, jeunes et espaces, avec des résultats acquis par la psychologie, la géographie, la sociologie, des études de santé publique ou d’urbanisme, sur des terrains situés dans des sociétés de la deuxième modernité ou dans des sociétés en voie de modernisation, avec des outils méthodologiques variés et souvent inventifs, plusieurs conclusions fondamentales peuvent être tirées. La pluralité de démarches et regards scientifiques sur la question des rapports des enfants et des jeunes à l’espace ouvre aujourd’hui le débat, non seulement sur l’impact des espaces dans le développement (partie 1) et la socialisation (partie 2) des enfants et des jeunes, mais également sur le rôle et la place de ces derniers dans les espaces quotidiens et l’aménagement du territoire (partie 3).
2Toutes les contributions montrent que les interactions entre les enfants ou les jeunes et leurs espaces quotidiens génèrent leur développement psychologique et social, leur socialisation. Dans les sociétés de la deuxième modernité la présence des enfants et des jeunes dans les espaces publics est souvent contre-normative, leur participation aux aménagements de l’espace encore balbutiante. Pour autant, quelques travaux révèlent l’action directe des enfants ou des jeunes sur leur environnement, ou leur participation aux décisions qui les concernent, et soulignent les conséquences favorables en terme de développement, de socialisation comme de qualité de la vie (Kural, Özaloğlu et Hasirci).
3Plusieurs auteurs insistent sur la nécessité de l’expérience active des espaces par les enfants dans la construction de leurs compétences (Granié et Espiau ; Legendre) et de leur identité de sujet (Zeinidi) et d’acteur dans la cité (Giroud ;
4Manning, Jago et Fionda ; Zeneidi). En effet, qu’il s’agisse de la construction de leur représentation de l’espace (Ramadier et Depeau) ou encore de l’acquisition des stratégies comportementales dans l’environnement routier (Granié), les auteurs montrent à quel point l’expérience des espaces, la confrontation directe au trafic pour comprendre et mettre en place des stratégies par exemple, contribuent à renforcer les schémas de pensée et à structurer les représentations spatiales. C’est là une dimension récurrente des travaux scientifiques portant sur les rapports à l’espace et leur imprégnation dans les constructions mentales. On peut dès lors prendre la mesure de l’importance à concéder aux espaces dans le développement des enfants et des jeunes, mais également dans le développement tout au long de la vie.
5Quel que soit le lieu investigué, les auteurs révèlent aussi la dimension spatiale des expériences individuelles et sociales des enfants ou des jeunes, outre leurs dimensions sociale et temporelle. En ce sens, l’espace ne peut être réduit à un décor, que l’on pourrait changer sans modifier la situation : il oriente et structure l’action et les représentations enfantines et juvéniles par les opportunités et les contraintes qu’il comporte, par les significations qu’il incarne. On remarque donc combien les espaces quotidiens sont plus qu’un cadre physique matériel et topologique. Ils correspondent également à un cadre social, en tant que vecteur de valeurs, de normes, de sens véhiculés par et à l’enfant. Dans l’ensemble des contributions, les espaces utilisés, fréquentés et aménagés sont l’occasion de façonner des rôles, des statuts, des règles liés aux relations interpersonnelles et de transmettre des imaginaires sociaux. La cour d’école demeure un bel exemple de cadre d’exercice de ces expériences sociales (Delalande ; Nordström). La rue, le quartier et la ville sont des cadres où s’apprennent progressivement les codes conventionnels permettant de consolider et de structurer les connaissances spatiales et les savoir-faire urbains. Ils ont aussi une valeur de communication sociale et de projection ou de neutralisation (selon les cas) de l’identité de l’enfant ou du jeune (Parazelli). Identités, construction de rôles, de positions que l’on retrouve dans les études de Lignier sur les chambres d’enfants « intellectuellement précoces » et Dupuy sur les lieux des repas.
6Lieux de socialisation donc, où s’interprètent des rôles et s’incorporent les rapports sociaux de hiérarchisation et de différenciation d’âge, de genre et de position sociale. Moreau explique comment l’espace public contribuait à la socialisation des jeunes gens jusqu’au début du XXe siècle. Garat et Vernicos révèlent la différence entre tranches d’âge en matière de loisirs extérieurs au domicile. Legendre souligne la différenciation dans l’usage autonome de la ville entre paliers d’âge et entre garçons et filles. Delalande et Nordström rapportent les différences de pratiques des cours d’école entre les filles et les garçons. Ces auteurs montrent que les pratiques des lieux, l’appropriation de l’espace et les conduites d’affiliation sont liées à des préférences spatiales distinctes entre filles et garçons. Ces formes de différenciation peuvent aboutir à une ségrégation inter-enfants et à une reproduction comportementale qui semblent parfois historiquement cristallisées (cf. Moreau). Garat et Vernicos, en enquêtant en France, et McDougall, en Australie, soulignent aussi l’incidence du milieu social dans la définition des lieux de loisirs des enfants et des jeunes par le poids du territoire d’habitation et des ressources familiales. Lignier envisage aussi une socialisation différenciée, mais par la distinction des espaces privés, ici ceux des chambres d’enfants détectés « intellectuellement précoces » surreprésentés en haut de la hiérarchie sociale.
7Dans la diversité des espaces que les enfants et les jeunes fréquentent et qui constituent leur quotidien, beaucoup, parce que considérés comme des espaces entre-deux (entre deux-temps, deux lieux d’activités, deux statuts d’enfants), restent en marge des aménagements pensés pour et avec l’enfant ou le jeune. C’est le cas, par exemple, des cours d’école. Espaces entre deux temps d’activités scolaires, ces cours de récréation, bien que lieux d’apprentissage où les enfants s’amusent de règles et de rôles qui marquent leur construction de l’identité, semblent négligées en termes d’aménagement et de superficies octroyées au cours des programmations urbanistiques (Nordström). Elles demeurent également des espaces à faibles enjeux éducatifs au regard des adultes portant exclusivement leur intérêt sur des questions de sécurité (Delalande). On notera d’ailleurs, qu’il s’agisse de la cour d’école, de la rue ou encore d’espaces laissés vacants par le processus d’urbanisation, combien l’enfant ou le jeune, pour être pris en considération, tant dans les aménagements que dans l’éducation, a besoin de faire partie d’un temps et d’un espace programmés par l’adulte (partie 3). D’ailleurs, Manning, Jago et Fionda au Royaume-Uni, Morelle au Cameroun et à Madagascar, Parazelli au Canada, mettent en évidence l’action de mise à l’écart des enfants et des jeunes indésirables par les gestionnaires de la ville et ses effets néfastes voire pervers. Dans ces contextes pourtant fort distincts, les auteurs montrent qu’une gestion urbaine visant le profit, l’ordre, la sécurité, à court terme, en excluant les enfants et les jeunes errants, perçus comme improductifs, générateurs de désordre et d’insécurité, produit de nouvelles transgressions et entrave la socialisation des intéressés à moyen et long termes. A contrario, l’exposé d’un projet de construction d’un centre, associant les enfants dès la conception souligne les bénéfices qu’ils en tirent dans leur développement psychologique et social, et qu’en tirent plus largement les membres de ce territoire (Kural, Özaloğlu et Hasirci).
8Néanmoins, les rapports et l’accès à l’espace des enfants restent encore très fortement programmés dans les activités et pensées des adultes, qu’il s’agisse de la ville, des rues, des cours d’école, des lieux d’alimentation ou des chambres. Les raisons en sont multiples et pour partie structurelles telles que la gestion néolibérale des espaces rappelée ci-dessus, la domination sociale des adultes sur les enfants et les jeunes, la représentation souvent trop partielle de ces derniers comme êtres à éduquer et à protéger. Ce contrôle et cette planification des usages spatiaux des mineurs par les adultes sont aussi liés aux transformations de vie et d’exigences des familles (flexibilité des temps de travail et domestiques, transformation des structures familliales, etc.). Les parents confient leur enfant dès son plus jeune âge à des institutions (assistante maternelle, crèche, école, structures de loisirs) et tentent de maîtriser au mieux à distance ses usages spatiaux. Pour ce qui concerne les temps libres des enfants par exemple, les choix et l’organisation peuvent être liées à des exigences fortes de parents désireux d’optimiser et de capitaliser les acquisitions émanant de ces différentes activités en « gains scolaires ». Comme le rappelle Mollo-Bouvier1 « l’obsession de la réussite scolaire […] s’est insinuée dans l’usage du temps libre, c’est-à-dire le temps non scolaire, pour le transformer en temps très occupé » (p. 43). Une élucidation des facteurs émanant de l’évolution des structures familiales et des modèles économiques de nos sociétés mériterait alors d’être approfondie. Car on observe combien la place des enfants s’inscrit dans des logiques de société où la programmation urbanistique des espaces peut parfois cristalliser certaines segmentations sociospatiales. Segmentation et spécialisation spatiales restent d’ailleurs des modèles très répandus pour organiser, protéger voire contrôler les usagers (partie 3). Pour autant, elles sont aussi le résultat assez courant, non d’une absence de prise en compte des enfants et des jeunes dans l’espace, mais d’une méthode de pensée trop absolument basée sur des stades de développement qui peuvent générer des segmentations rigides codifiant exagérément les usages de l’espace et aboutissant à des types d’intégration spatio-culturelles qui entraînent parfois des formes d’isolement. Véritable paradoxe, alors, que génèrent ces programmations spatiales, puisque, quand elles intègrent, elles peuvent aussi isoler les enfants, et quand elles ne sont pas adaptées, elles peuvent provoquer des formes d’exclusion2 ou bien de marginalisation3. Excès d’isolement qui parfois contraint ou retarde l’apprentissage d’autonomie des déplacements, au point où l’on observe combien, pour être intégrés dans les espaces, les enfants et les jeunes ont besoin d’être rendus « visibles »4. Ce qui, d’une certaine manière, pose la question, peu traitée dans l’ouvrage et néanmoins de plus en plus fondamentale, au vu de la place que prennent les communications usant de l’espace virtuel, des rapports entre espaces publics et espaces privés dans les pratiques socio-spatiales des enfants et jeunes.
9En outre, qu’il s’agisse de l’accès aux espaces d’activités physiques (MacDougall), de consommation alimentaire (Dupuy) ou encore de l’accès aux espaces ordinaires qui ne leur sont pas spécialement concédés (Manning, Jago et Fionda ; Parazelli ; Zeneidi), et qui ne font que peu l’objet d’étude jusqu’alors, les changements de regard social opèrent souvent sur des domaines ayant trait à la santé ou à la sécurité. Le développement psychologique et social ne serait-il qu’une question de besoins primaires ? Ces notions sanitaire et sécuritaire soulèvent non seulement des enjeux d’aménagements et de responsabilité de l’adulte vis-à-vis des enfants mais également certaines ambivalences dans l’accès aux espaces quand celui-ci est conditionné par ses qualités sanitaires, sécuritaires comme le montrent certaines études scandinaves ou encore anglosaxones réalisées dans les années quatre-vingtdix5. C’est l’exemple de la rue justement où les règles basées principalement sur l’usage automobile contraignent l’utilisation et l’apprentissage des enfants qui n’ont pour alternative de « faire face » que celles de s’en remettre aux conduites d’autrui, très souvent les pairs6 qui les entraînent dans une confiance ou des dilutions de responsabilité augmentant la prise de risque.
10De façon générale, les contributions révèlent comment les disparités des espaces quotidiens des enfants et des jeunes selon leurs milieux sociaux, le genre et/ou selon les territoires de vie entraînent des différences de développement et de socialisation. Et dans certaines situations, les inéquités des espaces quotidiens contribuent à la perpétuation d’inégalités sociales et spatiales (Garat et Vernicos ; Legendre ; Lignier ; MacDougall). Lesquelles obligent à poser avec plus d’acuité la question de la qualité des espaces pour les enfants et les jeunes ainsi que leur prise en compte et leur participation à la définition de celle-là (Kural, Özaloğlu et Hasirci).
11En vue d’une analyse globale des rapports à l’espace des enfants et des jeunes, les contributions permettent d’argumenter l’existence d’une structuration et simultanément de dynamiques situationnelles et interactionnelles. Dans les divers territoires investigués, les travaux montrent la préstructuration des usages, des occupations, des appropriations des espaces quotidiens par les enfants et les jeunes. Les aménagements urbains, les configurations matérielles des lieux, leurs régulations formelles (règles européennes, nationales, municipales) et informelles (usages et normes), les caractéristiques socio-démographiques des usagers des lieux, les représentations de l’enfant et des espaces qui lui conviennent, les modèles culturels (statut et place de l’enfant et du jeune dans la société et le milieu social considérés) configurent les espaces quotidiens, positionnent les acteurs et orientent leurs pratiques. Sans les déterminer totalement, ce background doit être saisi pour rendre compte et comprendre les actions et les interactions des enfants et des jeunes dans les espaces quotidiens. Leurs investissements spatiaux, leurs logiques d’action comme leurs imaginaires sociospatiaux diffèrent grandement d’un contexte social à un autre mais ils témoignent toujours des rapports sociaux d’âge, de sexe, de position socioéconomique. L’usage de l’espace par les enfants et les jeunes découle d’une dynamique relationnelle dans une configuration d’acteurs, individuels ou collectifs : enfants, jeunes, pères, mères ou tuteurs, familles, autres usagers des espaces quotidiens, associations et collectifs mobilisés sur la question des espaces, concepteurs, industriels et commerçants de mobiliers, aménageurs, architectes, urbanistes, élus, responsables administratifs, institutions administratives ou politiques supranationales, nationales, régionales, locales. Les connaissances acquises sur le développement cognitif, sur la socialisation, sur la participation dans divers contextes appellent des approfondissements et des compléments. Les travaux présentés incitent à diversifier encore davantage les terrains d’enquête, à engager des travaux de comparaisons tout autant transnationales qu’inter-régionales mettant en regard des milieux aussi variés et, a priori, nuancés que le sont milieux rural et périurbain, milieu périurbains et villes-centre, etc. Ils invitent également à poursuivre la collecte et l’analyse d’expériences innovantes visant l’amélioration des espaces quotidiens pour les enfants et les jeunes, en particulier celles qui les associent et les rendent pro-actifs vis-à-vis de l’environnement.
12Dans tous les contextes étudiés, les enfants et les jeunes sont définis comme mineurs et à ce titre, trop peu, voire pas du tout, sont associés à la création des espaces quotidiens. Les mineurs n’ont pas une pleine place, au double sens matériel et social, dans l’espace public ; les plus dévalorisés socialement (de par leur genre, leur groupe ethnique, leur groupe social, leur lieu d’habitation) sont aussi les plus exclus, symboliquement et/ou physiquement des espaces communs valorisés et donc relégués dans des espaces disqualifiés (parking, friche, quartier périphérique). De différentes façons et à diverses échelles, les enquêtes présentées montrent les inégalités sociales que l’espace entretient et contribue à perpétuer mais révèlent aussi l’importance de l’espace dans le développement et la socialisation des enfants et des jeunes qui l’institue en formidable levier de changement social. Même si cet aspect est peu éclairé dans l’ouvrage, les enfants et les jeunes participent surtout à la reproduction et aux transformations sociales. La pluralité des regards posés ici sur les rapports qu’ils entretiennent avec les espaces quotidiens interrogent également nos manières d’observer, d’enquêter, de recenser et d’améliorer nos propres prises en compte des enfants dans nos démarches scientifiques, en visant à respecter, autant l’éthique que l’exigence de fidélité des outils et techniques utilisées. Lesquelles peuvent paraître simples et adaptables à merci quels que soient les contextes et populations étudiés. Or, les chapitres s’intéressant aux modes de participation des enfants montrent bien la difficulté et en même temps la nécessité de travailler avec les capacités des enfants en vue de leur donner quelques compétences (environnementales7 pour être véritablement les acteurs de l’espace au même titre que ceux qui aménagent pour eux. Aussi, pour parvenir à impliquer les enfants et les aider à porter un jugement sur leur environnement, encore faut-il leur donner l’occasion de vivre et de s’adapter aux espaces quotidiens de façon plus autonome et appropriée à leurs préférences. Des dispositifs de concertation et de décision qui associent les enfants et les jeunes et les prennent en compte, avec leur immaturité et leur besoin de protection spécifique, sont possibles et favorables à des redéfinitions des espaces dans le sens d’un « développement durable » : moins soumis aux contraintes économiques, plus soucieux de tous les acteurs y compris les non productifs (enfants, personnes âgées, personnes handicapées), plus respectueux de l’environnement.
Notes de bas de page
1 . Mollo-Bouvier S., « Les dimensions sociologiques des modes de vie des enfants », dans Saadi-Mokrane (dir.), Sociétés et cultures enfantines, Lille, université Charles-de-Gaulle, 1997, p. 39-44.
2 . Cf. Germanos D., « La relation de l’enfant à l’espace urbain. Perspectives éducatives et culturelles », Architecture et comportement, 11 (1) 1995, p. 55-61.
3 . Cf. Valentine G., « Children should be seen and not heard : the production and transgression of adults’public space », Urban Geography, 17 (3), 1996, p. 205-220.
4 . Depeau S., « Nouvelles façons de se déplacer vers l’école ou l’expérimentation du pédibus dans un quartier rennais. Quelles incidences sur l’apprentissage de l’autonomie de déplacement des enfants et leurs rapports à l’espace ? », Revue Recherche Transport Sécurité, 101, p. 253-271, 2008.
5 . Cf. Björklid P., Parental restrictions and children’s independant mobility. Bi-annual Conference of the International Association for People-Environment Studies IAPS 17 « Culture, Quality of life and Globalization : Problems and challenges for the New millenium ». À Coruna, Espagne, 23-27 juillet 2002 ; BJÖRKLID P., « Children-traffic-environment », Architecture and behaviour. Special Issue : Children and the city, 10 (4), 2004, p. 399-405. Depeau S., L’enfant en ville : autonomie de déplacement et accessibilité environnementale, Thèse de doctorat de psychologie sociale et environnementale, Paris 5, 2003 ; Hillman M., Adams J. et Wwhitelegg J., One False Move… A Study of children’s independant mobility, London, PSI, 1990. Hillman M., Adams J. et Whitelegg J., One False Move… A Study of children’s independant mobility, Dordrecht, Kluwer Academic Publishers, 1997.
6 . Depeau S., « Radioscopie des territoires de la mobilité des enfants en milieu urbain. Comparaison entre Paris intra-muros et banlieue parisienne », Revue Enfances, Familles et générations, n° 8, 2008, [http://0-www-erudit-org.catalogue.libraries.london.ac.uk/revue/efg/2008/v/n8/018489ar.html], 31 p.
7 . Chalaw L. et Heft H., « Children’s competence and the ecology of communities : A functional approach to the evaluation of participation », Journal of Environmental Psychology, n° 22 (1-2), 2002, p. 201-216.
Auteurs
Le texte seul est utilisable sous licence Licence OpenEdition Books. Les autres éléments (illustrations, fichiers annexes importés) sont « Tous droits réservés », sauf mention contraire.
Penser et faire la géographie sociale
Contribution à une épistémologie de la géographie sociale
Raymonde Séchet et Vincent Veschambre (dir.)
2006
Les Aït Ayad
La circulation migratoire des Marocains entre la France, l'Espagne et l'Italie
Chadia Arab
2009
Ville fermée, ville surveillée
La sécurisation des espaces résidentiels en France et en Amérique du Nord
Gérald Billard, Jacques Chevalier et François Madoré
2005
La classe créative selon Richard Florida
Un paradigme urbain plausible ?
Rémy Tremblay et Diane-Gabrielle Tremblay (dir.)
2010
Le logement social en Europe au début du xxie siècle
La révision générale
Claire Lévy-Vroelant et Christian Tutin (dir.)
2010