Remerciements
p. 7-8
Texte intégral
1L’écriture d’un ouvrage est moins une aventure solitaire qu’un parcours jalonné de rencontres enrichissantes qui nourrissent la réflexion. De l’ouverture du premier carton d’archives à l’achèvement de ce livre, j’ai contracté de nombreuses dettes que je dois aujourd’hui honorer en exprimant ma gratitude et ma reconnaissance à tous ceux qui ont contribué à l’aboutissement de cette recherche.
2En premier lieu, je tiens tout naturellement à remercier mes anciens maîtres – Stéphane Durand et Françoise Moreil – qui suivent cette aventure depuis son balbutiement. En dépit d’une retraite bien méritée, Françoise Moreil s’est montrée continuellement disponible tant par ses conseils avisés que par ses nombreuses relectures, accompagnant de son extrême bienveillance et de son indéfectible soutien le mûrissement d’une écriture souvent hésitante. Je n’aurais jamais assez de la longévité d’un Joseph-François Payan pour m’acquitter de tout ce que je lui dois. Quant à Stéphane Durand, ses conseils méthodologiques et sa hauteur de vue ont été, une fois de plus, d’une aide inestimable.
3Un ouvrage d’histoire doit beaucoup à l’aide précieuse – mais trop souvent invisible – des personnels des bibliothèques ou d’archives. Qu’il me soit permis de remercier plus particulièrement Benoît Charenton, directeur des archives départementales de la Drôme, Julien Mathieu, responsable du service archives communales et communautaires Valence-Romans Agglo, Olivier Mondon, archiviste de Saint-Paul-Trois-Châteaux, Lucie Dunas-Olivier-Drure, des archives départementales de la Drôme, pour m’avoir conseillé et aiguillé au sein d’un océan d’archives dans lequel je me serais probablement noyé sans leur assistance bienveillante mais également pour m’avoir fait découvrir de très belles pépites.
4Cet ouvrage doit beaucoup aux discussions, parfois institutionnelles, souvent informelles, avec de nombreux chercheurs qui m’ont aidé à préciser la réflexion, à affiner la méthode et à mieux penser l’objet d’étude. Qu’Annie Duprat, Virginie Martin, Anne Rolland-Boulestreau, Michel Biard, Philippe Bourdin, Paul Chopelin, Hervé Leuwers, Sébastien Malaprade, Waren Pezé, Olivier Rouchon et Côme Simien soient ainsi chaleureusement remerciés.
5Je remercie tout particulièrement ceux qui ont eu la très rébarbative tâche de relire tout ou partie du tapuscrit. Que Mathilde Chollet, Annie Duprat, Virginie Martin, Françoise Moreil, Cédric Audibert, Roland Conti, et Côme Simien soient vivement remerciés pour leurs conseils et leurs critiques. S’il reste des erreurs, j’en porte l’entière responsabilité. Merci également à Sébastien Berthaut-Clarac pour son aide cartographique.
6Cette enquête a beaucoup bénéficié des discussions réflexives partagées avec mes amis « avignonnais » Cédric Audibert, Jonathan Barbier, Loïc Bost et Christophe Portalez, rescapés d’un naufrage éditorial qui nous a rapprochés. Leurs conseils avisés et nos échanges productifs ont été particulièrement stimulants, me permettant de sortir d’impasses rédactionnelles ou de m’affranchir de doutes méthodologiques.
7Il me faut tout particulièrement remercier Virginie Martin et Côme Simien à qui je dois tant. Cet ouvrage n’aurait probablement jamais vu le jour sans leur indéfectible soutien, leur grande disponibilité, leurs conseils avisés, leurs critiques précieuses et leur amitié qui m’honorent et m’obligent.
8Enfin, parce qu’aujourd’hui, comme au xviiie siècle, l’individu n’est rien sans sa famille, je tiens à remercier mon épouse et mes enfants pour leur soutien et, surtout, pour leur grande patience. S’ils ont dû, au quotidien, partager un mari ou un père avec les Payan, ces derniers ne sont jamais substitués à ma vraie famille à qui je dois mes plus grandes joies et mon bonheur « domestique ».
⁂
9À mes parents, avec toute ma reconnaissance filiale.
10À mon frère, avec toute mon affection fraternelle.
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