Table des matières
André Stanguennec et Daniel Lancereau
Introduction. Le romantisme allemand : introduire l’art dans les sciences et la science dans les artsPremière partie. Arts du romantisme allemand
Denis Thouard
Qu’est-ce que la poésie ?Olivier Schefer
Imitation romantique de la nature et modernitéAlessandro Bertinetto
Le romantisme et l’esthétique de l’improvisationDeuxième partie. Le transcendantal
Charlotte Morel
« Nous ne sommes qu’une partie de nous-même »Ou en quoi la théorie romantique du sujet n’est pas une « science du moi »
- La théorie romantique du sujet n’est pas une « doctrine de la science »
- Vie et transcendantal : modification du point de vue fichtéen sur la philosophie
- Le sujet romantique comme « doublet empirico-transcendantal » ?
- Sujet romantique et sujet de la psychanalyse : au-delà d’une « science de l’homme » en tant qu’« analytique de la finitude »
- L’analogie de structure : inconscient et division subjective
- Seconde analogie et conclusion : un savoir qui s’infinitise à l’intérieur d’une pratique, non une science de la subjectivité
Gabriel Trop
Fléchissement transcendantal et procédé hyperboliqueLes mouvements de l’absolu chez Novalis et Hölderlin
Troisième partie. Sciences du romantisme allemand
Guillaume Lejeune
Logique et dialogique dans le romantisme allemand- Du dialogue au dialogique
- Deux modèles logiques du dialogique : la logique discussive (Jaskowski) et la logique dialogique (Lorenz/Lorenzen)
- Monoperspectivisme et Multiperspectivisme
- Le dialogique romantique et les principes de la logique classique
- Le principe d’identité
- Le principe de contradiction
- Le principe de tiers exclu
Philippe Séguin
L’École combinatoire de Carl Friedrich Hindenburg (1741-1808) ou comment fonder l’infini- Une expérience de pensée sans symbolisme
- Descartes et l’exposant
- Une accélération subite : Newton, Leibniz et la formule du binôme
- Un exemple : la série de Mercator
- La recherche d’un procédé indirect de résolution
- La fécondité du symbolisme
- Quelques doutes sur le bien-fondé de la méthode : le cas de Grandi
- Les tentatives de démonstration du binôme
- Le tableau de Michel Pensivy
- L’approche de Hindenburg
- 1796 : l’année admirable de Hindenburg et la naissance de l’École combinatoire
- Le travail théorique
- L’enthousiasme fédérateur
- Plus qu’une école ?
- « Trouver une langue » (Rimbaud)
- Conclusion : le formalisme entre stérilité et fécondité
- Stérilité mathématique ?
- Fécondité romantique : Novalis, la langue et la variation infinie
André Stanguennec
Les aspects de la relation homme-animal dans les savoirs du romantisme allemand et quelques-uns de leurs prolongements post-romantiquesDaniel B. Lancereau
Leibniz, Novalis, GödelBalistique du romantisme allemand
- Une courbe d’eau : loxodromie
- Théodicée, annexes 1744
- La fabrique de fragments
- Computation inverse : Hänsel et Gretel
- Retenue I : Novalis
- Une « métaphysique de la poussière » ?
- L’aporie romantique : discret et continu
- Trois champs, trois figures : Lichtenberg, Chladni, Ritter
- Lichtenberg
- Chladni
- Ritter
- Retenue II : Gödel